Ce n'est pas Noël, mais elle reçoit un cadeau

Ce n'est pas Noël, mais elle reçoit un cadeau




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Ce n'est pas Noël, mais elle reçoit un cadeau
« Besoin d’un copain » : Karine Le Marchand cherche un nouveau compagnon et lance un appel - Voici












Suivre





Ne plus suivre















Suivre





Ne plus suivre





Plus de news sur Karine Le Marchand













Suivre





Ne plus suivre















Suivre





Ne plus suivre















Suivre





Ne plus suivre















Suivre





Ne plus suivre















Suivre





Ne plus suivre















Suivre





Ne plus suivre















Suivre





Ne plus suivre















Suivre





Ne plus suivre















Suivre





Ne plus suivre















Suivre





Ne plus suivre





Modifié le 15/12/2021
à 17h26


Karine Le Marchand a pu compter sur le cadeau très coquin d'une marque bien connue pour être interdite au moins de 18 ans. Et l'animatrice de M6 s'est visiblement bien amusée avec ses présents, comme elle l'a montré sur Instagram.
Il en faut peu pour être heureuse. N'est-ce pas Karine Le Marchand ? L'animatrice de M6 a reçu un cadeau étonnant début décembre : un calendrier de l'avent qui sort un peu de l'ordinaire. Et pour cause, c'est la marque Dorcel qui lui a fait parvenir ce présent . C'est dans sa story Instagram que la présentatrice de L'amour est dans le pré a ouvert, ce mercredi 15 décembre, son paquet. " Alors j'ai reçu un cadeau de chez Dorcel. Bon, je ne sais pas ce que c'est, on va ouvrir" , a-t-elle d'abord montré avant de faire céder l'emballage. Et de continuer : " C'est un calendrier de l'avent, de chez Dorcel. On est le 15 aujourd'hui. Je vais ouvrir. Mais, j'ai déjà loupé 15 jours, on a 15 jours de retard les filles ".
Ouverture à une main pour la case 15 de cet étonnant calendrier de l'avent , pas hyper catholique ! 3, 2, 1 et Karine Le Marchand s'étonne, en vidéo toujours dans sa story, de ce qui a pu glisser de la boîte. Mais, la forme phallique n'était qu'un simple gel lubrifiant et massant. " Je pense que ça va avec le 14, le 13 et le 12 ", s'amuse alors l'animatrice.
Et la tête d'affiche de La France a un incroyable talent ne s'était pas trompée. Le petit produit semble se conjuguer parfaitement avec la case n°5. Dans cette dernière, Karine Le Marchand a découvert un sextoy, de couleur noire et à la taille plutôt imposante. Pour amuser ses fans et ses collaborateurs, elle s'est alors amusée à le ventouser contre une porte de placard. À voix haute et en plein fou rire, elle explique : " C'est pour ouvrir les portes, je suppose, je ne sais pas trop à quoi ça sert ". Sur la vidéo, il est simplement écrit : " Quand tu es célibataire depuis trop longtemps ".
Un aveu relatif à sa situation amoureuse actuelle ? Certainement. Cet été, à l'occasion d'un post Instagram afin de fêter l'anniversaire de l'animatrice, Yoann, agriculteur de l'amour est dans le pré avait confirmé le célibat de Karine Le Marchand . " Mais j'aimerais vraiment que tu trouves l'homme qui saura t'accompagner, regarder dans la même direction, t'aimer comme tu le mérites, voir celle que tu es sans fard, ni paillettes (et nous, on sait que tu es canon même au réveil) ", avait-il écrit à l'époque. Gageons que les gadgets présents dans son calendrier lui feront passer un bel hiver, même sans compagnon.

Devenez maître dans l'art du gossip avec les newsletters quotidiennes Voici !


Tous les scoops sont dans votre magazine Voici !

Toutes les news people sont sur Voici !

Le respect de vos données est notre priorité Nous et nos partenaires pouvons stocker et/ou accéder à des informations stockées sur votre terminal (telles que données d'identification, de navigation, de géolocalisation) au moyen de cookies ou technologies similaires. Avec votre accord, nous et nos partenaires utilisons des traceurs afin de produire des statistiques d'usage ou personnaliser votre expérience (identification par analyse du terminal, publicités et contenus personnalisés, mesure de performance des publicités et contenus, production de données d'audience et développement de produit) sur internet ou par communication directe (email, sms...). Vous pouvez consentir à ces utilisations en cliquant sur le bouton «Accepter & Fermer», «Continuer sans accepter» dans le cas contraire, ou obtenir plus de détails et/ou en refuser tout ou partie en cliquant sur «En savoir plus →». En cas de refus, vous continuerez à recevoir des publicités mais ces dernières ne seront pas personnalisées en fonction de vos centres d'intérêts. Vos choix seront appliqués sur l'ensemble du portail BFMTV (*.bfmtv.com) et conservés au maximum pendant 13 mois. Vous pouvez à tout moment modifier vos choix en utilisant le lien "cookies" figurant en bas de page sur ce site. Pour en savoir plus, vous pouvez également consulter notre politique de protection des données personnelles .
Pourquoi n'ose-t-on pas refuser un cadeau qui ne nous plaît pas?
A peine ouverts et déjà revendus sur Internet. On a de moins en moins d'états d'âme à revendre sur le net nos cadeaux de Noël. Mais pourquoi ne pas tout simplement dire à ceux qui nous les offrent qu'ils ne nous plaisent pas? C'est la question que RMC.fr a posé au psychiatre Samuel Lepastier.
Propos recueillis par Philippe Gril
Pourquoi n'ose-t-on pas refuser un cadeau qui ne nous plaît pas?
Le Docteur Samuel Lepastier est psychiatre, directeur de recherche à l’université Paris Diderot et chercheur associé à l'institut des Sciences de la communication du CNRS. Il est l'auteur notamment de "L'incommunication" (CNRS éditions).
"Il y a plusieurs raisons. La première, c'est qu'on est poli. Les codes de politesse font que lorsqu'on reçoit un cadeau, même s'il ne nous plait pas , nous devons dire que c'est très bien trouvé, avec peut être une certaine hypocrisie. Mais cette hypocrisie nécessaire permet le maintien de relations: si nous disions à chaque personne ce que nous pensons vraiment, la vie en société serait compliquée, sinon impossible.
La seconde raison, c'est que la façon de donner vaut mieux que ce que l'on donne. C’est-à-dire que même si un cadeau ne nous plaît pas fondamentalement mais qu'il vient d'une personne que nous aimons, nous sommes touchés par cette attention et nous l'acceptons comme un témoignage d'amour, même s'il est maladroit ou incongru. Une mère est ainsi toujours touchée par les cadeaux de ses enfants même si, au fond, ils ne sont pas d'une grande utilité ou que leur valeur marchande est dérisoire.
La troisième raison, c'est de vouloir éviter de déclencher une crise: par exemple quand le cadeau du conjoint n'est pas ce qu'il aurait dû être. Là, on accepte le cadeau tel qu'il se présente. Mais on remarque que ces normes sociales ont moins d'importance aujourd'hui puisque dès le lendemain de Noël des gens revendent leurs cadeaux sur Internet de façon anonyme.
Finalement, refuser un cadeau, c'est refuser quelqu'un, donc ce n'est pas possible. Par définition, il ne peut pas bien le prendre. Critiquer le cadeau de quelqu'un, c'est comme si on critiquait cette personne. Refuser peut témoigner d'une mauvaise relation avec l'autre. En général, le cadeau qu'on reçoit avec gêne, même si on ne le dit pas, c'est le cadeau qui témoigne d'une ambivalence de la personne qui l'offre, et qui laisse à penser que la personne ne l'a fait que parce qu'elle était obligée.
Mais ne pas apprécier un cadeau, ce n'est pas fondamentalement ne pas apprécier quelqu'un. La question n'est pas tant le cadeau que le lien que nous avons avec la personne. Quand on déteste quelqu'un, même avec la meilleure volonté, on offre le cadeau qui ne faut pas et le cadeau qui fait mal, c'est ce que l'on appelle un acte manqué.
Le reproche ne sert strictement à rien. La solution c'est, avant la fête, de dire quel cadeau on aime ou quel cadeau on aime pas.
© Copyright 2006-2021 BFMTV.com. Tous droits réservés. Site édité par NextInteractive












Accueil





Actualités







International



Europe



Economie



Politique



Société



Médias



Technologies



Citoyenneté



Santé



Environnement



Info locale



Religions



Actu en bref








Tribune Libre







Politiques & citoyens








Culture & Loisirs







Culture



Extraits d’ouvrages



Parodie



Étonnant



People



Mode & tendances



Voyages



Sports



Dessin du jour



Ouvrages Agoravox



Pubs buzz



L’été léger








Qui sommes-nous ?





La Fondation AgoraVox


Politique éditoriale

Contact

FAQ et conseils

Nos partenaires










Faire un don
Newsletter






par C’est Nabum
(son site)



samedi 25 décembre 2021



Réagissez à l'article

6 réactions à cet article  

Les plus anciens d'abord
Les plus récents d'abord





A lire dans la même rubrique
Étonnant


Plein le cigare
par olivier cabanel


En réseau
par C’est Nabum


Ils ont changé ma chanson
par olivier cabanel



Voir tous les articles de la rubrique

Tout avait commencé étrangement dans la boîte aux lettres. La période était encore à la cueillette des derniers champignons, la douceur de l'automne ne laissait pas supposer que l'hiver réclamait déjà toute votre attention. Plus tôt encore que l'année précédente, des catalogues, pleins de promesses, étaient arrivés pour tenter tous les petits diables qui sommeillent dans chaque enfant.
Un bon gamin sans doute mais un démon quand même. Un enfant qui n'en fait qu'à sa tête, un être de colère et de caprices, tyran domestique et monstre d'exigence. Dès qu'il les consulta, ces maudits catalogues, il n'y eut plus moyen de le tenir. Il allait d'une page à l'autre en s'exclamant, en cochant tout ce qui lui faisait envie, en découpant ce qu'il désirait avidement.
Il n'était pas fou, il avait compris que l'empressement des grands à satisfaire ses désirs passait par une sélection exhaustive de ces mirages merveilleux. Il voulait tout, réclamait tout dans une fièvre gourmande d'appropriation. Il savait que pour être aimé, il était indispensable d'être gâté. C'était un enfant modèle de la société de consommation.
Il distribuait les rôles à qui voulait bien lui accorder un peu d'estime. Père, mère, beau-père, belle-mère, oncles et tantes, grands-parents et voisins, amis et connaissances ; tous avaient droit à une petite requête, une demande précise, référencée, cataloguée. Il y avait de quoi satisfaire ses envies les plus extravagantes : la profusion des cadeaux possibles lui assurait un pouvoir redoutable sur tous ces adultes pris au piège.
Ce pouvoir, il le connaissait parfaitement. Il réclamait sans honte ni modération. L'enfant est roi en ce monde mercantile ; il est désormais impossible de lui refuser quoi que ce soit et point ne sert de prétexter un quelconque argument pour se défiler. Le cadeau de Noël est un passage obligé, une imposition sociétale. L'enfant l'avait compris et, de son trône, organisait sa prochaine remise des récompenses.
Pour plus de sûreté, il établit une liste précise et détaillée qu'il expédia par la poste à un mystérieux entremetteur, livreur nocturne des colis espérés. Il précisa, pour plus de clarté, le nom de chaque personne sollicitée. Le bon vieillard n'avait plus qu'à faire l'interface. Comme c'était un enfant de son époque, il eut la prudence de doubler la lettre d'un message électronique, ainsi était-il certain de son fait. Il serait comblé le moment tant attendu venu.
Il croisa durant tout le mois de décembre, de curieux personnages grimés dans les magasins et les centres commerciaux, sur les marchés de Noël et les places publiques. Quoique qu'il n'eût jamais affaire aux mêmes , tous ces pauvres comédiens misérables à la barbe postiche lui affirmèrent, tous en chœur, qu'ils avaient bien reçu sa commande et qu'il n'y avait aucune raison qu'elle ne soit pas satisfaite. Il jubilait d'un tel pouvoir !
Quelques rabat-joie venaient bien lui réclamer de petits efforts en contrepartie. Un peu de sagesse, une petite dose de politesse et de bonnes notes à l'école. Les pauvres, ils ignoraient sans doute qu'il y a belle lurette qu'on ne note plus les élèves. Quant aux autres conditions, l'enfant en riait d'avance. Qui oserait le priver de ce dont il avait droit ? Il n'est plus question d'exiger des contreparties à l'enfant roi.
Et le jour tant attendu, il comprit sa toute puissance, sa force de persuasion et son importance dans la cité. Sous le sapin de Noël, une avalanche de paquets aux mille et une couleurs, enlacés de rubans dorés ou bien argentés. Il y avait là des monceaux de paquets-cadeaux, des colis tous plus gros les uns que les autres. Il était bien le roi de la fête, le prince de la nuit.
Il allait pouvoir commencer son cinéma, sa grande scène si souvent répétée. Il allait se montrer injuste, égoïste, capricieux et difficile. Il se savait observé, admiré, scruté. Il allait leur jouer le grand numéro de celui qui reçoit bien trop de cadeaux. Les caméras étaient braquées sur sa personne, la foule admirative n'attendait plus que lui.
Il prit son temps, feignant l'indifférence devant ce tas entièrement dédié à sa gloire. Il tourna autour, cherchant du regard le paquet le plus volumineux. L'amour se mesure en mètres cubes ; il avait compris la nouvelle mesure de la démesure. Il ouvrit ce gros, cet immense paquet. Il l'éventra plutôt, le déchira, martyrisa le carton d'emballage, s'en prit même au contenu qui reçut quelques coups. Autour de lui, on s'exclamait d'une telle énergie. Lui, il brisait pour le simple bonheur d'asseoir son autorité sur cet aréopage de courtisans.
Il abandonna bien vite le premier cadeau sans même remercier ceux qui avaient répondu à sa requête. Il le laissa dans un coin, l'abandonnant à son triste sort, présent inutile et encombrant qui achèverait sa vie éphémère dans une déchetterie quelconque. Seul le plaisir du déballage lui importait . Jouer ? Mais pourquoi diantre s'encombrer de pauvres objets quand l'espace virtuel s'offrait à lui ?
Il se décida à porter son dévolu sur un autre paquet. Il subirait le même sort. Les flashes crépitaient tandis qu'il détruisait méthodiquement cette grosse peluche ridicule. Puis ce serait le tour d'un camion de pompier, une drôle d'idée qu'il n'avait même pas eue. Ainsi, une grande partie de la soirée, il allait ouvrir et abandonner des cadeaux dérisoires, des épaves déjà, sans amour ni désir.
Les adultes boudent maintenant cette cérémonie fastidieuse. Ils se pressent devant le buffet, ils ont payé leur écot en apportant un cadeau pour ce vilain garnement. Ils n'espéraient aucun remerciement ; ça tombe bien, ils n'en auront pas. Ils ont rempli leur devoir de grande personne ; ils ont acheté une babiole, c'est tout ce qu'on leur demandait.
Au pied du sapin, un capharnaüm sans nom, monticule de papiers éventrés, de rubans déchirés, de cartons émiettés, de cadeaux démembrés, d'objets à jamais oubliés. L'enfant est retourné à ses écrans ; il a abandonné ce champ de bataille qui l'a distrait quelques minutes de son monde virtuel. Il est retourné à ses aventures sanguinolentes, ses monstres et ses vies magnifiques.
Pourtant, au pied du sapin, un paquet minuscule, ridicule, reste encore emballé. Celui qui l'a offert, garde le regard dans le vague. Il souffre de la négligence du petit monstre, de son indifférence à ce qui est si précieux à ses yeux. Il ne comprend pas la r
Mon cousin français aime le sexe. Et elle m'a envoyé cette vidéo où son plug bien enfonce elle se fait du bien de Anal
J'ai tiré un coup avec une escorte de luxe
Cette MILF se fait taper et fini avec les seins pleins de sperme

Report Page