Ce jeune couple s'envoie bien en l'air

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(vidĂ©o) Un couple s’envoie en l’air au milieu des festivaliers





09/08/2014





Source : faitsdivers.blogs.sudinfo.be



















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Publié le
19/05/2018 Ă  07:30







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Jamais Claire n'aurait imaginé faire l'amour dans un avion avec un parfait inconnu.
"Il y a deux ans, dans un vol pour New York, je me suis envoyée en l'air. Au sens propre, comme au figuré. J'avais pris l'avion seule à cause d'un cafouillage avec mon amie Sophie sur nos dates de vacances. Nous avions prévu de passer une semaine sur place et je devais la rejoindre. 

Cela ne me posait aucun problÚme. Au contraire, j'adore voyager seule . Le temps est comme suspendu. On est injoignable, il n'y a rien d'autre à faire que de se distraire. Je profite à fond de ce moment : je m'achÚte une tonne de magazines, je m'autorise deux ou trois verres de vin durant le vol et je regarde des comédies romantiques que je n'aurais jamais l'idée d'aller voir au cinéma. 

Pour ce vol, j'étais à la place du milieu, coincée entre une Américaine d'une quarantaine d'années cÎté hublot et un Français dans la trentaine, cÎté couloir. J'ai échangé quelques mots polis avec la dame au moment de m'installer mais à peine avions-nous décollé que j'avais déjà le casque sur les oreilles, plongée dans un film quelconque avec Jennifer Aniston. 

Au moment du passage de l'hÎtesse, j'ai enlevé mes écouteurs pour lui indiquer mon choix de boisson et que je préférais les pùtes au poulet pour le repas. C'est à ce moment là qu'Ivan, mon voisin, a engagé la conversation sur les mérites comparés des deux propositions. 

Comme entrée en matiÚre, on a vu mieux mais cela m'a permis de le regarder avec plus d'attention. Au premier abord, je l'avais trouvé quelconque. Là, son physique plutÎt commun s'animait d'un sourire trÚs attirant. Nous avons parlé de la pluie et du beau temps pendant quelques minutes en mangeant nos repas insipides. La femme à cÎté de moi avait le regard fixé sur son écran, les écouteurs soigneusement vissés aux oreilles. 

Peu Ă  peu, nous avons abordĂ© d'autres sujets : j'ai appris qu'Ivan avait 29 ans, qu'il Ă©tait ingĂ©nieur, qu'il se rendait Ă  New York pour retrouver une bande d'amis. Ils avaient prĂ©vu de passer trois semaines Ă  voyager Ă  travers les Etats-Unis. Nous avions pas mal de points communs : l'Ăąge, le goĂ»t du voyage, mĂȘme nos vies Ă  Paris se ressemblaient beaucoup. Nous nous sommes rendus compte que nous sortions dans les mĂȘmes endroits et que nous vivions Ă  quelques stations de mĂ©tro de distance. 

A un moment, il a posĂ© sa main sur mon avant-bras pour appuyer son propos. MalgrĂ© son air de ne pas y toucher, il s'est attardĂ© une seconde de plus que la politesse ne le permet. Cela m'a mis la puce Ă  l'oreille. Je me suis dit que sous cette conversation innocente se jouait en sous-texte quelque chose de bien diffĂ©rent. Nous avons continuĂ© Ă  discuter. J'ai embrayĂ© innocemment sur le terrain de la vie sentimentale. Il m'a dit ĂȘtre cĂ©libataire. "Ça t'intĂ©resse ?", a-t-il demandĂ©, goguenard. 

Finalement, les lumiĂšres de l'avion se sont Ă©teintes. J'ai dit Ă  Ivan que j'allais dormir un peu. J'ai toujours eu du mal Ă  m'installer confortablement dans un espace exigu. Je n'ai jamais compris comment certaines personnes faisaient pour s'endormir toutes droites dans leurs siĂšges. Moi, je me contorsionne, je me tourne et me retourne. A cette place du milieu, je ne parvenais pas Ă  caler ma tĂȘte. "Tu peux t'appuyer sur moi", a proposĂ© Ivan. 

J'ai dĂ©clinĂ©e, gĂȘnĂ©e. Au bout d'une dizaine de minutes, j'ai fait semblant de m'ĂȘtre assoupie pour pouvoir tout de mĂȘme m'appuyer sur son Ă©paule sans ĂȘtre dĂ©masquĂ©e. J'Ă©tais Ă©lectrisĂ©e par cette intimitĂ© soudaine avec un total inconnu. 

Son contact Ă©tait agrĂ©able. Au bout d'un moment qui m'a semblĂ© terriblement long, j'ai senti sa main me caresser les cheveux. C'Ă©tait trĂšs agrĂ©able. J'ai rĂ©alisĂ© que si je ne faisais rien, il risquait d'arrĂȘter. Prise d'une impulsion, j'ai posĂ© ma main sur sa cuisse. Comprenant que je ne dormais pas, il s'est penchĂ© vers moi et nous nous sommes embrassĂ©s. D'abord timidement, plus fougueusement ensuite. 

Je jetais des petits regards à notre voisine mais elle semblait profondément endormie, collée contre le hublot. Rassurés, nous nous sommes caressés, cachés sous le plaid fournie par la compagnie aérienne. 

" C'est hyper clichĂ©, non ?", s'est amusĂ© Ivan. "Tu sais ce qui serait encore plus clichĂ© ?, ai-je demandĂ©. Se retrouver aux toilettes du fond dans cinq minutes." Je ne sais pas oĂč j'ai trouvĂ© l'audace de lui faire cette proposition. La promiscuitĂ© imposĂ©e pendant de longues heures et l'alcool fourni ont sĂ»rement accĂ©lĂ©rĂ© les choses. Si nous avions eu un rendez-vous dans un bar Ă  Paris, j'aurais Ă©tĂ© incapable de jouer Ă  ce petit jeu. Le fait de relever un fantasme si courant a aussi jouĂ©. Je me suis dit : "Je me lance, ça fera une histoire dingue Ă  raconter." 

AussitÎt dit, aussitÎt fait. J'ai laissé Ivan s'extraire de son siÚge le premier. J'ai attendu cinq minutes exactement, vérifiant frénétiquement l'heure sur ma montre. Au moment fatidique, je me suis levée. 

Dans la travée, je n'ai regardé personne. Je me suis ruée jusqu'à la cabine désignée. J'ai frappé un léger coup. La porte s'est ouverte. Je me suis engouffrée dans les toilettes. Une fraction de secondes, je me suis demandée ce que je faisais là, coincée entre le minuscule lavabo en plastique et la cuvette. Mais bon, puisque j'en étais là, autant ne pas faire les choses à moitié ! 

Ivan a sorti un prĂ©servatif de sa poche - avait-il prĂ©vu son coup ?- Nous avons fait l'amour : moi, les fesses en Ă©quilibre prĂ©caire sur le rebord du lavabo, lui tĂąchant de se rester Ă  la bonne hauteur. Nos deux pantalons baissĂ©s sur les chevilles ne nous aidaient pas franchement Ă  ĂȘtre Ă  l'aise. 

L'acte en lui-mĂȘme n'a pas durĂ© trĂšs longtemps mais cela a Ă©tĂ© un bon moment. Les Ă©clairages froids de la cabine et la proximitĂ© des toilettes n'ont en tout cas rien gĂąchĂ©. D'ailleurs, contrairement Ă  ce que l'on croit d'ordinaire, les toilettes d'avion sont mĂȘme plutĂŽt propres, en tout cas bien plus que certains lits de mes dates Tinder Ă  Paris ! 

De toute façon, compte tenu de l'exiguĂŻtĂ© des lieux, on ne s'Ă©tale pas. Je me souviens aussi que le miroir devant le lavabo a jouĂ© un grand rĂŽle dans mon excitation. Il me suffisait de pivoter un peu pour nous voir en pleine action. L'adrĂ©naline, la peur de se faire surprendre et le fait d'ĂȘtre attentifs aux moindres bruits ont aussi contribuĂ© Ă  rendre ce quickie trĂšs excitant . 

Nous avons joui l'un aprÚs l'autre, à quelques secondes d'intervalle. Ivan a ensuite enlevé le préservatif et l'a jeté aux toilettes. Je me suis rajustée et je suis sortie en premier. Personne ne m'a remarquée. Enfin, je crois. 

Cinq minutes plus tard, Ivan était de retour à sa place. Nous avons discuté à mi-voix, nous confiant l'un à l'autre que jamais nous n'aurions cru une telle aventure possible. J'ai fini par fermer les yeux. Une maniÚre de couper court à la discussion et de prendre un moment pour repenser tranquillement à tout ça. Je me suis vraiment endormie. Les lumiÚres de l'avion se sont rallumées. Le petit-déjeuner a été servi. 

Avec Ivan, nous avons discuté, comme si de rien n'était. Au fond, j'étais un peu mal à l'aise en repensant aux événements de la nuit. Je sentais que lui aussi marchait sur des oeufs. Je crois que nous avons été soulagés quand l'avion s'est posé. Nous avons échangé nos noms en promettant de nous ajouter sur Facebook. Je l'ai perdu de vue dans les allées de l'aéroport mais il m'a envoyé un message deux jours plus tard pour savoir si tout allait bien. 

Prise dans le tourbillon new-yorkais, j'ai rĂ©pondu gentiment mais sans relancer. Par la suite, je n'ai plus jamais eu de nouvelles. Je l'avoue, il m'arrive tout de mĂȘme d'aller l'espionner sur Facebook. J'ai vu qu'il avait une copine depuis quelques mois et qu'ils Ă©taient partis en vacances au Mexique. Je me demande s'il a retentĂ© l'expĂ©rience..." 


Avec l’aimable autorisation de Beverly Willett
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Je n’apprĂ©cie pas et je ne me reconnais pas dans le terme "couguar" mais j’aime l'esprit et l'attitude qu'il reprĂ©sente.
“Tu es une vraie couguar, dis donc!” s’est exclamĂ©e une amie lorsque je lui ai racontĂ© mon rendez-vous amoureux avec un homme assez jeune pour ĂȘtre mon fils. Elle plaisantait, bien sĂ»r, mais l’utilisation de ce terme pĂ©joratif dĂ©signant les femmes qui font ce que les hommes sont encouragĂ©s Ă  faire depuis longtemps m’agace profondĂ©ment.
J’ai vĂ©cu un divorce horrible aprĂšs vingt ans de mariage. Quand j’ai Ă©tĂ© Ă  nouveau prĂȘte Ă  faire des rencontres, j’ai constatĂ© que les hommes libres de mon Ăąge (la cinquantaine) ne couraient pas les rues.
Les chants nuptiaux entonnĂ©s par les hommes rencontrĂ©s par amis interposĂ©s n’avaient rien de romantique: ils me proposaient de me cuisiner un plat de pĂątes chez eux ou d’apporter une bouteille de vin chez moi. Sans parler du riche propriĂ©taire d’un yacht qui, aprĂšs m’avoir invitĂ©e au restaurant, m’a fait promettre de lui prĂ©parer Ă  dĂźner – et de faire beaucoup plus – le lendemain soir.
Les hommes rencontrĂ©s sur des sites Ă©taient pires. Certains mentaient effrontĂ©ment sur leur situation amoureuse ou prĂ©tendaient ne pas avoir d’enfants. La plupart cherchaient des femmes beaucoup plus jeunes que moi et je me souviendrai du misogyne qui, dĂšs que nous avons commandĂ© un verre, a commencĂ© Ă  tenir des propos orduriers Ă  l’égard de sa supĂ©rieure hiĂ©rarchique.
Je voulais un hétéro, gentil et généreux. Etait-ce trop demander?
C’est Ă  ce moment-lĂ  qu’un jeune pilote, que je prĂ©nommerai Ahmed, est entrĂ© en scĂšne Ă  l’aĂ©roport de Dulles, Ă  Washington. Notre vol Ă  destination de Savannah, en GĂ©orgie, Ă©tait retardĂ©, et lorsque je suis allĂ©e m’informer au comptoir, Ahmed – un grand brun tĂ©nĂ©breux – s’est approchĂ© de moi et m’a demandĂ© ce qu’on m’avait dit.
“Incident technique”, ai-je rĂ©pondu.
“Mon alerte parlait d’un problĂšme mĂ©tĂ©o”, m’a-t-il dit en me montrant le message de la compagnie aĂ©rienne.
“Alors, ils ont menti”, ai-je ajoutĂ©.
Ahmed m’a souri et nous avons regagnĂ© nos places. Il avait peut-ĂȘtre 30 ans. En tout cas, beaucoup plus proche, en Ăąge, de mes filles de 20 ans que de moi.
C’était le soir, j’avais passĂ© toute une journĂ©e en famille avant de faire deux heures de route, sous une pluie battante et dans une circulation dense, jusqu’à l’aĂ©roport. Je n’avais pas eu le temps de me laver les cheveux ni de me maquiller et je portais des leggings et une tunique informe. La tenue que je portais depuis deux ans (quand j’avais pris dix kilos). Je me sentais affreuse.
Ahmed, en revanche, avait clairement l’air athlĂ©tique sous son jean et son t-shirt serrĂ©s, et il Ă©tait frais comme un gardon malgrĂ© les diffĂ©rents avions qu’il m’a dit avoir pris ce jour-lĂ . J’ai essayĂ© de ne pas fixer ses bras musclĂ©s et de ne pas penser Ă  la graisse qui enrobait les miens. Et puis je l’ai vu approuver de la tĂȘte lorsqu’il a remarquĂ© le tatouage sur mon Ă©paule.
“Vous habitez Ă  Savannah?”, lui ai-je demandĂ© pour faire diversion.
“Non, dit-il. “Je viens d’Arabie Saoudite.”
Il rejoignait une ville proche de Savannah pour son entraĂźnement de vol annuel. Je lui ai dit que je venais de rendre visite Ă  ma mĂšre.
Juste avant l’embarquement, il m’a dit qu’il aimerait beaucoup m’emmener dĂźner au restaurant Olde Pink House. Sa proposition m’a surprise mais j’ai acceptĂ©.
Nous avons Ă©changĂ© nos numĂ©ros, mĂȘme si je ne croyais pas vraiment Ă  cette invitation dans l’un des restaurants les plus chers et les plus romantiques de Savannah, par un homme de vingt ans mon cadet, beau comme un dieu. Compte tenu de mon expĂ©rience dĂ©sastreuse avec des hommes qui auraient dĂ» mieux connaĂźtre les femmes, et mieux se comporter, quelles Ă©taient les chances pour qu’un jeune de la gĂ©nĂ©ration habituĂ©e aux coups d’un soir me rappelle?
Je trouvais cela d’ailleurs bizarre qu’il m’ait proposĂ© de passer par la case dĂźner. Je pensais que les jeunes de son Ăąge faisaient l’impasse sur les rendez-vous amoureux, commençaient la soirĂ©e par le sexe et finissaient, dans quelques cas, pas cohabiter. Mais, mĂȘme si le divorce m’avait dĂ©vastĂ©e, je croyais toujours Ă  l’amour et au jeu de la sĂ©duction. Alors je me suis dit: pourquoi pas?
Nous avons embarquĂ© et nous sommes dirigĂ©s vers nos siĂšges, situĂ©s aux extrĂ©mitĂ©s opposĂ©es de l’avion. AprĂšs l’atterrissage, je me suis rendu compte de ce que j’avais fait et je me suis prĂ©cipitĂ©e vers ma voiture.
Qu’est-ce qui m’avait prise de lui donner mon numĂ©ro? Vu mon Ăąge et mon look dĂ©braillĂ©, il n’allait jamais appeler. Pourquoi continuer Ă  me bercer d’illusions alors qu’à chaque fois cela finissait mal? Pourtant, plus tard dans la nuit, il m’a envoyĂ© un texto pour savoir si j’étais bien rentrĂ©e.
Bien dĂ©cidĂ©e Ă  ne pas cĂ©der aux fantasmes, j’ai sautĂ© dans ma voiture le lendemain matin et suivi mon programme, c’est-Ă -dire assister Ă  une retraite silencieuse hors de la ville.
À mon retour, j’ai trouvĂ© ce message sur mon portable: “J’espĂšre que tout va bien. J’attends ton retour pour qu’on puisse se voir.”
Il m’a aussi demandĂ© une photo de moi (houlĂ !) et m’a envoyĂ© plusieurs photos de lui que j’ai fait dĂ©filer lentement, de peur de tomber sur quelque chose de dĂ©placĂ©. Fort heureusement, il n’était pas adepte du sexting.
Ahmed a proposé une date pour notre dßner. Ce soir-là, nous avons longuement parlé au téléphone, chose que je croyais désuÚte, encore plus chez les jeunes.
“Quand tu m’as dit que tu Ă©tais allĂ©e voir l’hĂŽtesse Ă  la porte d’embarquement, je me suis di
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