Ce dîner devient torride

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Marina, 43 ans et deux enfants. Un soir d’été, elle s’inscrit sur un site de rencontre. Son objectif : rompre avec la solitude et enchaîner les rendez-vous sans lendemain. Mais, même quand on le souhaite, les liaisons ne sont pas toujours pornographiques... Propos recueillis par Hélène Fresnel
Marina, 43 ans et deux enfants. Un soir d’été, elle s’inscrit sur un site de rencontre. Son objectif : rompre avec la solitude et enchaîner les rendez-vous sans lendemain. Mais, même quand on le souhaite, les liaisons ne sont pas toujours pornographiques... Propos recueillis par Hélène Fresnel
Vendredi, fin de mois d’août à Paris.
Seule sans mes deux enfants, en vacances avec leur père, je m’engouffre dans une salle de cinéma sur les Champs-Elysées. Je vais voir une comédie, « J’me sens pas belle », l’histoire d’une femme qui ne veut plus entendre parler d’amour mais qui désire plutôt multiplier les aventures sans lendemain. En sortant, je me dis : « Moi aussi, j’ai envie de plaire, qu’on s’intéresse à moi. Et je veux un homme, là, tout de suite. » Comme je suis une fille plutôt structurée, je n’ose pas alpaguer quelqu’un dans la rue, mais je suis tellement en manque que je me mets à consulter mon répertoire pour y trouver un amant. Je regarde les noms et aucun ne colle : « Ah, non, celui-là, ce n’est pas possible, c’est mon beau-frère. » Je rentre seule dans mon appartement. Comme toutes les nuits depuis deux ans, depuis que Martin, mon ex-mari, m’a quittée pour une de mes meilleures amies. Je suis analyste financière. Je travaille comme une dingue dans un univers très agressif, et je passe mon temps à me plaindre de ne rencontrer personne. Ce soir-là n’est pas comme les autres. Je ne me couche pas désespérée. Je ne sanglote pas dans l’oreiller. C’est terminé. Fini les lamentations. Ras le bol de ces week-ends où je me traîne parce que les enfants ne sont pas là. Je reprends le contrôle de ma vie. J’allume mon ordinateur et je m’inscris à un site de rencontre sur Internet. Depuis des mois, mes copines me tannent pour que je saute le pas.
Comme je n’assume pas vraiment et que je suis un peu masochiste, je prends le surnom affectueux que me donnait Martin. Je deviens « Marnie 33 », trente-trois parce que, avant moi, trente-deux autres ont choisi ce prénom. Je rédige une petite annonce. Simple et sans détours : « J’aimerais qu’on m’invite dans un bar avec des banquettes en moleskine rouge, boire un bon verre de vin et passer à autre chose rapidement… » Au début, je crois halluciner. Des dizaines de types me répondent, me parlent d’eux, s’intéressent à moi, disent qu’ils flashent. Après plusieurs mois de surf assidu, de nombreuses discussions et des rencontres sans passage à l’acte, je dresse mes petites statistiques : 80 % des hommes sur le Web ne sont pas « envisageables ». En tout cas, pas pour moi : ils se connectent parce qu’ils en ont marre de se faire réchauffer leur dîner au micro-ondes et d’aller voir des films seuls dans des multiplexes. Ils cherchent une compagne pour ronronner tranquillement, se faire dorloter dans un déprimant train-train journalier. Les 20 % restant peuvent me convenir. Ils sont souvent mariés ou appartiennent au genre collectionneur, avide de sexe. Certains sont très séduisants, très intelligents, très cultivés, et ne veulent qu’une chose : baiser. Parfois, les conversations sont glauques et tristounettes, parfois enjouées, légères et terriblement tentantes. C’est le cas avec « Toujours prêt ». Je repère tout de suite le serial fucker, mais il me plaît. J’accepte de déjeuner avec lui. Il est beau. Il sait ce qu’il veut. Quand je parle, il plonge ses yeux dans les miens : « Vas-y, continue, je t’écoute. » Il effleure mon bras. Je sors du restaurant bouleversée. Je ne connais pas ce type mais, pour la première fois depuis longtemps, je désire quelqu’un. Je n’ai pas été touchée par un homme depuis le départ de Martin. Cet inconnu, je le veux immédiatement. Il refuse : « Non, pas maintenant. »
Quand j’arrive au bureau, il m’a déjà envoyé quatre SMS
On commence à entretenir une correspondance érotique par Texto, par mail et au téléphone. Quelques jours plus tard, on se retrouve chez moi à l’heure du déjeuner, et on fait l’amour longtemps. Je prends beaucoup de plaisir. Je retourne au travail les joues roses, toute guillerette. Je regarde mes collègues stressés : « Pendant que vous mangiez vos sandwichs en bossant, je prenais mon pied avec un inconnu. » On ne se voit pas souvent avec « Toujours prêt ». Notre relation est essentiellement épistolaire, mais le peu de fois où nous nous retrouvons, les contacts sont explosifs. Il est en couple. Je n’ai aucun remords vis-à-vis de l’autre femme. Mon envie ôte toute culpabilité. Je n’en ai plus rien à faire de l’honnêteté ou d’une quelconque solidarité féminine. J’ai vraiment souffert avec Martin, perdu beaucoup d’illusions. Mon heure est passée. L’amour, c’est fini. Puisque mon ticket n’est plus valable, je vais devenir l’autre, celle qui plaît, échappe à la lassitude du quotidien conjugal. Je serai le morceau de sucre d’un homme. Seulement, la médaille a ses revers. « Toujours prêt » est rarement disponible. Je dois me plier à son désir. C’est toujours lui qui décide du quand, du comment de nos retrouvailles.
Un après-midi, pendant une conversation téléphonique torride, j’entends des pleurs de bébé derrière lui
« Tu es avec un enfant ? – Non, pas du tout. Attends, je te rappelle. » Je suis glacée, écoeurée. Je ne décroche pas le téléphone. Internet vient de montrer ses limites. Trois mois plus tard, un samedi soir où je m’ennuie, je replonge. Un inconnu dont le pseudo est « Mais où sont-elles donc ? » m’écrit : « Je ne demande pas grand-chose. Juste un amour et une histoire. » Je réponds : « Ça fait envie. » On commence à s’échanger des messages. Très vite, on joue au couple installé. Il m’explique qu’il en a assez de mes régimes, que, ce soir, il va me préparer un bon dîner. « Ce n’est pas sain de manger comme ça. Je vais cuisiner un ris de veau. Assieds-toi. Tiens, prends un verre. Tu sais, je suis passé chez le caviste. J’ai pris le montrachet que tu aimes bien. Il est sur la table. Sers-nous. Et si tu nous mettais de la musique ? – O.K. Miles Davis. » C’est son musicien favori. On part en balade, chacun chez soi devant son écran. Il m’emmène à nouveau chez le caviste, puis en Italie, à Pise, où j’ai passé une partie de mon enfance. Au bout d’un moment, forcément, le dîner est prêt. Je lui demande de m’embrasser. J’en ai envie. Pour lui, c’est trop. Il n’est pas « Toujours prêt ».
Il ne veut pas entendre parler de relations chaudes sur le Web
Le ton est ferme et définitif : « Ou on arrête tout, ou on se voit tout de suite. » On se donne rendez-vous le lendemain après-midi, un dimanche, au musée Picasso. Je pense : ce n’est pas possible. Cet homme est drôle, intelligent, délicat, cultivé, inventif. Quelque chose doit clocher. Il est laid ou il va m’annoncer qu’il est marié et a quatre enfants. Le jour J, j’attends assise sur ma Vespa, un casque sur la tête, arrêtée à un feu, près du lieu de notre rendez-vous, quand quelqu’un se penche vers moi : « Marnie ? » Il m’a reconnue. Je suis stupéfaite et rassurée. Ce n’est pas George Clooney, mais il a de l’allure : grand, mince, la quarantaine, les cheveux gris coupés à la brosse, élégant. Il s’appelle Pierre. C’est drôle de visiter une exposition avec un parfait étranger. On teste nos sensibilités respectives devant les tableaux. A la sortie, je suis un peu gênée. Je n’ai pas envie d’aller boire un thé dans le quartier du Marais avec tous les bobos parisiens. On discute littérature. Il me parle d’ « Un soir au club », de Christian Gailly, que je ne connais pas. Il me propose de l’acheter dans une librairie ouverte le dimanche. On traverse la capitale sur mon scooter, comme des ados. Alors qu’on erre dans les rayonnages du magasin, je lève le bras : « Pierre, je l’ai trouvé ! » Plus tard, il me racontera que ce cri l’a transpercé, qu’il s’en souviendra toute sa vie. Je lui propose de le ramener. Arrivés en bas de chez lui, je lui demande : « Vas-y, embrasse-moi pour voir. » C’est agréable. J’ai l’impression de le connaître depuis toujours. On monte chez lui. Il est ingénieur, divorcé, habite un petit nid d’aigle, une garçonnière. Sa femme et ses trois enfants sont partis vivre en province. On fait maladroitement l’amour une première fois. La deuxième, c’est mieux, et puis la troisième, très très bien. A un moment, il quitte le lit pour nous faire du thé. Je me sens déjà seule : « Tu m’abandonnes tout de suite ? – Mais non, je te garde pour toujours. »
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Adolescent, Xavier a vécu une histoire torride avec une femme plus âgée. Aujourd’hui que son fils est lui-même un adolescent, il s’en souvient et fait le bilan. Avec tendresse.
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Le temps passe vite. Mon fils Diego a eu 17 ans cet été. Le même âge que j’avais lorsque j’ai rencontré Solène. A l’époque, j’étais un passionné de course à pied, je faisais mes allers-retours quotidiens au lycée en courant, je m’entraînais dès que j’avais une minute. Le prof de sport m’a recommandé auprès d’un club d’athlétisme pour que je puisse avoir mon propre entraîneur. Solène avait 36 ans, et elle y venait avec son mari. Nous étions les coureurs les plus performants du club, chacun dans sa catégorie, et rapidement nous avons pratiqué ensemble. J’étais lycéen, elle travaillait dans l’administration, on pouvait se retrouver en fin d’après-midi pour courir le long de l’Isère. C’était rare, à mon niveau, de trouver quelqu’un qui tienne la distance et j’étais ravi et pas peu fier de partager ces moments avec elle. C’était une femme superbe, avec une silhouette de coureuse, élancée, petits seins, taille fine, jambes à se damner. En plus, elle avait des yeux incroyables, violets comme ceux d’Elizabeth Taylor. Entre émulation, effort partagé et admiration mutuelle, nous nous sommes vite rapprochés.
J’étais flatté qu’on vive cette complicité, mais je n’imaginais pas une seconde que son intérêt puisse aller au-delà de l’affection amicale. Bien sûr, j’ai commencé à fantasmer sur elle, on court en short très short… J’avais déjà fait l’amour avec une fille de mon âge, mais, pour l’ado que j’étais, être initié aux choses du sexe par une femme telle que Solène tenait du rêve : l’expérience, la connaissance de son corps, de son plaisir et de celui de son partenaire, autant de choses que ne pouvait offrir une fille de 16 ans aussi terrifiée que moi à l’idée de franchir le pas. J’essayais de refouler ça lorsqu’on s’entraînait, mais, souvent, dans ma tête, ça partait en vrille.
Et, un jour, nous avons gagné, chacun dans sa catégorie, un semi-marathon. Le prix était un long week-end à Londres. Il allait de soi qu’on le passerait ensemble. Déjà dans le bus qui se dirigeait vers l’aéroport, l’ambiance avait changé entre nous. Elle potassait son guide et m’indiquait des lieux. Nos têtes se trouvaient très proches l’une de l’autre, alors que, jusque-là, nous en étions à peine à nous faire la bise. Arrivés à l’hôtel, à côté de Piccadilly Circus, nous avons posé nos affaires, évidemment chacun dans sa chambre, et nous avons passé l’après-midi à arpenter Londres. Elle avait concocté un super itinéraire, moitié monuments, moitié shopping. J’exultais d’être là, sans arrière-pensée. Et puis est arrivé le dernier truc auquel je m’attendais : alors qu’on traînait chez Marks & Spencer, elle a pris ma main. Je me disais que c’était une marque d’amitié, qu’il ne fallait pas que je me méprenne ni que je commence à me faire des films. Solène qui flirtait avec moi ? De la science-fiction !
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