Catin masquée se fait prendre

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Catin masquée se fait prendre



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"Je n'ai eu qu'un Julot, il me tabassait, je l'ai balancé. J'ai décidé que plus personne ne me frapperait."
PIERRE SALIBA










Société , Béziers , Narbonne




Publié le 04/11/2013 à 06:00
, mis à jour

le 15/02/2022 à 16:30



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En ces temps de chasse à la prostitution et de législation hésitante, Midi Libre a rencontré Sylvie, professionnelle depuis quarante ans. Audiard aurait pu faire un personnage de cinéma de cette fille de joie installée sur la route de Narbonne depuis plus de vingt ans. 


Dans le fourgon blanc de la route de Narbonne , deux bougies brûlent en permanence. Juste à côté d’une sainte vierge en plastique glissée dans le vide-poches. "En souvenir des deux motards fauchés par une voiture. Ce jour-là, je n’étais pas là, mais tout le monde a cru que c’était pour moi que le conducteur a traversé la chaussée. Je suis prostituée et croyante , ce n’est pas incompatible."

Sylvie, 60 ans, 40 ans de tapin dont vingt sur ce chemin de terre à l’aplomb de la nationale 613. Grande gueule, bouche et seins XXL et cœur encore plus gros. Mais qui voit d’un sale œil les Roumaines piétiner son territoire. "Elles sont arrivées il y a quatre ans. Tout le monde a besoin de manger, mais elles cassent les prix. C’est le discount de la prostitution ! Je suis obligée de me solder, à mon âge !"

Un monde les sépare. Celui des réseaux de proxénètes venus de l’est et des filles qu’on met de force sur le bitume, la faim au ventre. "Une fois, j’ai aidé une petite, enceinte d’un client. Elle voulait me vendre son gnaro ! Je ne supporte pas les maquereaux ni les salopards qui veulent faire ça sans protection et plombent leurs femmes."

Chez elle, c’est l’amour sans risque

"Ici, tu as la poubelle à enfants (traduction, les préservatifs), là le gel pour les mains, pour le sexe, le brumisateur quand ils transpirent, la petite bombe pour assainir l’atmosphère. J’ai même les masques en cas de grippe pour qu’ils ne me postillonnent pas leurs microbes". Quand le rideau de la cabine est tiré, c’est que madame est occupée. "Aujourd’hui, j’ai un peu bricolé mais on est loin des 800 tickets par jour que je pouvais faire avant."

De l'abattage à Düsseldorf à la route de Narbonne

Sylvie a bien, très bien gagné sa vie. "J’avais acheté une villa, une Porsche et le fisc m’est tombé dessus."

Elle pourrait se retirer dans son jardin secret, un appartement dans une résidence privée du Cap-d’Agde . Se contenter d’accrocher de jeunes amants à son bras de cougar naturiste. Se ficher du regard des autres et ne se soucier que de ses amis, "des gens normaux". Mais voilà, elle aime définitivement son métier.

"C’est comme si j’allais au théâtre. Et puis, c’est agréable de plaire. Je m’apprête et j’y vais. J’ai horreur des chichis. L’abattage, c’est mon truc, je l’ai fait en Belgique ou à Düsseldorf dans des éros-centers. De toute manière, je n’aime pas faire l’amour."

Elle débute à 17 ans. À cause de Paulette. "Elle tapinait en bas de chez nous. Je la trouvais belle. Elle avait du cœur. Elle regardait les gens dans les yeux, elle était franche, j’ai pris exemple sur elle et elle m’avait prise en affection." Lors d’un repas de famille, on fait un tour de table pour sonder l’avenir des huit enfants. "Je veux être prostituée comme Paulette , j’ai lancé. J’ai pris une taloche", se souvient Sylvie. 

Elle a 14 ans, un caractère forgé dans les pensionnats depuis l’âge de 5 ans. Les bonnes sœurs l’avaient prise en grippe et un curé l’aimait trop. À 16 ans, cette enfant d’un écart, reconnue par un beau-père gendarme pour le qu’en-dira-t-on, se fait émanciper. "J’étais la brebis galeuse. En fait, ma vie a commencé quand j’ai fait le tapin. Je n’ai eu qu’un julot. Il me tabassait, me prenait ma fraîche, je l’ai balancé. J’ai décidé que plus personne ne me frapperait ! Depuis, j’ai toujours travaillé à mon compte".

Après l’Allemagne, elle ouvre une bonbonnière, à Montpellier , à côté d’un commissariat. "La première maison close de Montpellier . Puis j’ai travaillé route de Mèze."

Jamais plus de Julot mais un Jules, rencontré dans un bar. Le coup de foudre. Il ressemblait à Yul Brüner. Il était marié. L’argent manquait dans son ménage. "Il ne s’entendait plus avec sa femme. Je l’entretenais. Je turbinais comme une folle, mais j’étais heureuse. Ça a duré trois ans. Je lui ai offert deux BMW. Comme j’étais panier percé, il m’a proposé de faire fructifier mes économies." Il les place dans la construction d’une maison... celle de sa propre famille. Sylvie n’aimera plus jamais.

"Avant, on était la mère, la sœur, la psy, on n’était pas là que pour les fantasmes !"

Un jour, elle arrêtera le métier. Quand on ne voudra plus d’elle. Quand elle n’aura plus envie. "Les mentalités ont changé. Avant on était la mère, la sœur, la psychologue, l’amante, sans les contraintes de la maîtresse. J’ai des clients depuis 20 ans, je connais leur vie. Je ne suis pas là que pour les fantasmes."

Avant, c’était les petites bouffes entre copines, la caisse commune pour payer les médicaments des marmots. "J’ai fait la grève en 1975, dans les églises et à La Sorbonne quand Giscard voulait nous cacher dans les maisons closes. On était solidaire. Oui, les prostituées avaient du cœur. Moi, quand j’aime je donne tout, je suis pure. Chez moi, je suis à nu. Quand je sors, je mets ma carapace, j’ai peur de la méchanceté des gens."

Au temps des rois, elle aurait été courtisane, la favorite évidemment. "Aujourd’hui, j’ai l’impression d’être la Cosette de la route de Narbonne, remisée derrière mon talus", rit - jaune - Sylvie.Elle se serait bien vue en politique aussi, mais son caractère entier s’accommoderait si peu des compromis.Et puis, il y a sa passion pour les chevaux et les éléphants qui peuplent son appartement. Va savoir pourquoi.

Sylvie le dit, elle disparaîtra avant de trop vieillir : "J’ai vécu vite, mais j’ai bien vécu. Si demain je pars, je n’aurai rien à regretter."
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Plus détendue que la dernière fois, je prends la route pour le retrouver. Aujourd’hui, je me sens en confiance. Je décide de porter un haut à demi transparent qui laisse clairement deviner ma petite poitrine juste en dessous. Je porte une jupe noire sans rien d’autre, aucun sous-vêtement pour cette fois, c’est une première.
J’arrive, je sonne, je monte les escaliers avant de toquer à l’entrée. J’entends un bruit de talons s’approcher avant que la porte ne s’ouvre. Je comprends sans effort qu’il s’agit de sa soumise.
L’angoisse me monte un instant, je n’étais pas préparée, je ne m’attendais pas à ça. J’entre et je la salue, avec beaucoup de timidité et de gêne. Cette femme est magnifique, petite, fine et terriblement féminine. Elle porte un body transparent qui met son corps parfait en lumière. Il y a sérieusement de quoi me trouver horrible face à elle.
Je pose mon sac pendant que N. nous rejoint. Il me la présente à son tour, sa soumise, sa femme. Nous nous installons dans la pièce de l’entrée, Monsieur N. dans le fauteuil, sa soumise, plutôt discrète, sur le canapé. Quant à moi, je me mets à genoux par terre, entre les deux.
Voilà, ma soumise se prénomme « Petit chap », et comme tu le sais déjà, c’est ma première soumise. D’ailleurs, elle le porte sur elle, puisqu’elle est marquée. De ce fait, cela lui donne l’ascendant sur toi. C’est pour ça que je te demanderai de la vouvoyer et de l’appeler Madame.
C’est entendu, j’acquiesce de la tête.
Monsieur N. se relève et rapporte une petite boîte dans une main, le collier dans l’autre. Je suis un peu fébrile car la veille, je lui ai formulé un vœu très fort, celui d’accepter de me soumettre à lui.
Alors voilà, je deviens sienne, et sans le savoir encore, j’allais vivre un sacrement en grande pompe ce soir, digne d’un roman BDSM.
Il positionne le collier autour de mon cou avant de me tendre la petite boite. Je l’ouvre, un peu fébrile… Il s’agit d’un pendentif, une fleur de lys, symbole de la monarchie mais surtout, sous un autre régime, cette fleur était appliquée au fer rouge sur les épaules, le front ou les fesses des prostituées afin de les reconnaître (cela s’appelait la flétrissure). Désormais, tout comme le porte déjà sa soumise, j’ai ce symbole autour de mon cou. C’était très inattendu pour moi.
Ensuite, nous discutons autour d’un verre, je fais connaissance avec elle, très sobrement. C’est une femme douce, pleine de délicatesse. Son attitude est réservée, sa voix est féminine et ses gestes sont gracieux. Je comprends tout le bonheur que l’on peut avoir à soumettre une femme pareille.
Assez rapidement, j’ai pour ordre de m’installer dans la pièce rouge, juste à côté. Je tends les poignets au ciel pour m’y faire attacher, puis fouetter. Sa soumise s’installe dans un coin, et me regarde très certainement. Tandis que moi, je ferme les yeux et j’inspire profondément. Je ne sais pas encore jusqu’où ira-t-il devant elle, je suis gênée de me mettre autant à nu ce soir… Physiquement, émotionnellement.
J’accepte les coups, qui, tout comme la dernière fois sont progressifs et très réguliers, j’aime particulièrement ça. Je dois bien reconnaître que Monsieur N. manie parfaitement bien le fouet sur moi, et que tout cela ne me laisse pas indifférente. J’ai peur de faire peur à sa soumise, même si je sais qu’elle a certainement dû en voir beaucoup plus que ça dans toute son expérience. Je gémis, je bouge, et les coups sont de plus en plus forts, de plus en plus mordants. Psychologiquement, je pense avoir bloqué, ce n’est pas ce soir que je vais lâcher prise. Ce sont des choses assez intimes que je n’arriverai jamais à communiquer en « public » enfin, je n’en sais rien, peut-être qu’avec le temps, l’intimité, je pourrais me surprendre à « rompre » devant elle.
Je ne sais même pas comme l’avenir se présage. Vais-je la revoir à ma prochaine visite ? Et les suivantes ?
Monsieur me détache avant de me faire mettre au sol, à ses pieds. Je l’embrasse, le remercie comme il se doit. Je suis fébrile, mais pas déconnectée. Je suis encore bien là, et je ne pleure pas. Ce que je ne sais pas encore c’est que je suis déjà bien abîmée. Comme la fois précédente, Monsieur m’oblige à aller me regarder. C’est à contrecœur que je me lève devant la glace, je suis dans une autre pièce, seule.
Voilà. Je toise mon reflet avant de me mettre à pleurer. Mon ventre est passé du rose pâle au pourpre bleuté en l’instant d’une demi heure à peine. Certains coups m’ont laissé des boursouflures impressionnantes que je n’ose toucher du doigt. Pour un peu, la peau se décolle. Je ne reste qu’une poignée de secondes avant de repartir au salon, je ravale mes larmes aussitôt pour ne pas me laisser submerger.
Lorsque je les retrouve, c’est dans le petit salon, avant d’y être encordée. Une fois le buste enserré, les seins mis en valeur et les bras immobilisés, Monsieur N. passe un wand entre mes cuisses ! Le wand est redoutable, j’ai peur de squirter sur lui, je me contiens mais ça devient rapidement très compliqué. Il monte à la vitesse maximale tandis que je supplie. Quand vient son accord, je me libère dans un râle animal qui me permet de relâcher absolument toutes les tensions qui m’habitent.
Je me sens bien, repue d’avoir joui au terme de cette soirée aussi forte d’émotion. Simplement, je ne le sais pas encore mais nous sommes loin d’avoir terminé cette soirée.
Monsieur me fixe du regard, moi qui suis toute tremblante, me baladant du bout des doigts de pieds, le corps retenu au plafond par ces quelques cordes. Je fuis du regard, même s’il m’ordonne de le fixer dans les yeux. Sa puissance et son autorité me rendent moite, il me perturbe tellement que dans des moments pareils je m’en pisserai dessus de trouille… C’est terriblement excitant !
Je fais de mon mieux, je le regarde sans la moindre fierté. « Ouvre la bouche » me dit-il avant d’y cracher à l’intérieur. Ses yeux sont noirs, je me demande bien ce à quoi il pense lorsqu’il me regarde ainsi… Avant de me détacher, il pince mes tétons, les regarde un moment avant de les prendre à pleine bouche, l’un, puis l’autre.
Tu vas remettre ta jupe, et on va descendre tous les trois.
Oh, mais pour faire quoi ?! J’ai bien une petite idée mais tout de même, il ne va pas faire ça !! Sous son donjon, son lieu de travail, accessible par un petit escalier intérieur. Le stress commence à m’envahir gentiment… J’enfile ma jupe et j’ouvre la marche. Je descends les escaliers, pieds nus. Lorsque nous arrivons tous les trois, Mr N. ouvre l’une des portes, sur laquelle est inscrit « piercing »…
Me voilà toute tremblante, je n’ose pas croire qu’il va me percer ce soir, c’est dingue, je n’aurais jamais cru ! Tout à coup je sens le sérieux chez lui, le professionnel appliqué. Il me regarde, place ses petits repères au feutre et m’allonge. Je respire nerveusement, je suis à la fois surexcitée et soufflée par ce que je suis en train de vivre, là, maintenant ! Mon pendentif, mon ventre, et cette fois…. Mes seins !
Je l’écoute attentivement : il ne faut pas bouger. Je sens les pinces sur mes tétons puis l’aiguille me transpercer !!! Pour une personne comme moi aussi sensible des seins, j’ai failli arracher le cuir de sa table d’examen avec mes ongles. A cet instant, je suis contente de ne pas avoir été prévenue pour ça, sinon j’aurais trop eu la frousse.
Sur le coup, j’ai l’air d’une chochotte mais je jubile à l’intérieur. C’est merveilleux ce qu’il est en train de faire, c’est fort, ça me rend heureuse, encore plus que je ne le suis déjà ! Une fois le second sein percé, je me relève et contemple ma poitrine. Je n’arrête pas de le remercier, je suis toute excitée, surprise, émue. Je le laisse faire les pansements pendant qu’il me donne toutes les informations nécessaires. Une fois tous les trois remontés à l’étage, je m’empresse de le remercier: me met à genoux, l’embrasse encore et encore.
Ce soir, tu dors dans la cage. Je t’enchaîne par le collier aux barreaux, et tu seras enfermée à clef. Je te conseille de pisser avant, sinon…
Je comprends bien qu’il ne faut pas que je le réveille, de toute façon je n’oserais jamais… Cette énième surprise me réjouit de plus belle, même si c’est un peu stressant tout de même. Cette situation m’excite cérébralement, je suis ravie. Petit chap pleine de bonté me découpe une bouteille d’eau qu’elle dépose à portée de main, à côté de la cage, juste au cas où.
Méfie-toi, si tu pisses dans cette bouteille, je te fais tout boire au réveil. Et puis, je suis tellement pervers que je serais même capable de pisser dedans et dire que c’est toi !
… me dit-il en riant. Pour ma part, j’acquiesce les yeux rivés sur le parquet. Qu’est-ce que je me sens bien, là. Pour moi, cette soirée est parfaite, riche, si riche, une bousculade perpétuelle d’émotions, toutes aussi folles et différentes les unes des autres ! Une douce folie.
Moi qui me faisait une angoisse de rencontrer sa soumise, non pas par rivalité, du tout, mais surtout par timidité, par honte, en ayant peur d’être de trop, de parasiter. Maintenant, il est l’heure d’aller se coucher. Je prends une douche rapide et je vais faire pipi, même si ce n’est que pour quelques gouttes.
Je m’installe dans la cage et je le laisse passer une grosse chaîne en métal dans l’anneau de mon collier.
Il est doux, bienveillant. Une vague de plénitude me submerge alors. Il fait tout pour que les choses se déroulent à
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