Casser sans faire de mal (2ème partie)

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Casser sans faire de mal (2ème partie)
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avril

2007



Méditation chrétienne,


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Plus de 700 monastères, ermitages et maisons de prière en pays francophones.
Pierre Claverie est né à Alger de parents nés en Algérie. Après des études universitaires en sciences, il entre dans l’ordre des Dominicains en 1958. Ordonné prêtre en 1965, il poursuit des études de philosophie et de théologie. De retour à Alger en 1967, il se consacre à l’étude de la langue et de la civilisation arabes de l’islam et exerce divers ministères. Il est ordonné évêque d’Oran en 1981. Le 1er août 1996, il est assassiné à l’Évêché d’Oran. Il était conscient de s’être donné à l’Algérie et au peuple algérien « avec lequel, disait-il, nous lie une alliance d’amitié que rien, même la mort, ne pourra briser». En cela il voulait être disciple du Christ.
D’ailleurs, Jésus lui-même avait dû faire cette expérience et c’est pour cela qu’il pouvait la partager avec une force si communicative. Et là encore, je me replongeais dans l’Évangile : qu’est-ce qui donnait au Christ autant d’assurance, de confiance en lui et dans les autres ? Qu’est-ce qui lui permettait de communiquer aux autres cette force de vivre et d’aimer ? Lui-même vivait dans une communion profonde avec celui qu’il appelait son Père. Il était connu du Père qui lui donnait son nom et il connaissait ce Père qu’il appelait : Abba. Ils étaient un et c’est ainsi que Jésus se savait et se sen­tait libre et fort, confiant et débordant de vie. Lui aussi existait pour quelqu’un ! Le secret de cette communion, il nous le donnait à connaître et à partager : Dieu, son Père, pour lui, était la source de la vie, la force de l’amour. Dieu avait, pour lui, le visage et le comporte­ment de quelqu’un à qui il pouvait dire dans le secret de son cœur : Abba, Père (Jn 15, 15).
Là encore, je faisais la découverte extraordinaire, celle de Dieu, telle que personne, jamais, ne me l’avait enseigné… Pour moi. Dieu avait beaucoup de noms. Je savais beaucoup de choses sur Dieu ! La plupart du temps, nous savons trop de choses sur Dieu. Nous avons appris Dieu d’un tas de sources en dehors de Jésus-Christ. Les visages que nous avons de Dieu sont les visages que les hommes donnent à Dieu et nous avons beaucoup de mal à les faire coïncider avec Jésus-Christ. Ces visages-là viennent continuellement se superposer à ce qu’est Jésus-Christ qui seul manifeste la présence et le visage de Dieu. Ainsi Dieu, philosophiquement, est l’Être suprême, l’Être parfait, le Tout-Puissant. Cela ne veut rien dire, aussi longtemps que nous n’avons pas passé toutes ces images au filtre de la connaissance de Jésus-Christ. Alors nous nous apercevons qu’il faut ren­verser complètement tout le vocabulaire, toute la connaissance naturelle que nous avons de Dieu pour commencer à comprendre ce qui se passait en Jésus-Christ. Jésus-Christ révèle que Dieu est Amour et c’est tout ! Cependant nous continuons à dire que Dieu est Amour, mais il est aussi tout-puissant, il est juste. À l’amour, nous allons superposer la justice du donnant-donnant, ce Dieu terrible, le juste Juge, quelle catas­trophe ! Si vraiment nous devions passer toute notre vie devant l’Enquêteur et le juste Juge, nous ne poumons pas vivre ! Comment former une conscience religieuse qui ait le goût de vivre, en plaçant l’homme sans cesse sous le regard de l’Observateur qui va soupeser grave­ment nos actes bons et nos actes mauvais. C’est la pire des catastrophes !
Jésus vient renverser cette conception. Par exemple : les ouvriers de la onzième heure (Mt 20, 1-16). Chaque fois qu’il parle du Père, il inverse ce que nous imaginons de Dieu. Est-ce que nous arriverons un jour à nous mettre bien dans la tête que Dieu n’est qu’Amour, même si cela suppose pour nous une abdication de la toute-puissance de Dieu ? En effet, si nous imaginons que Dieu est tout-puissant, au sens où Dieu pourrait faire n’importe quoi pour le plaisir de le faire et parce qu’il est le plus fort, c’est la pire des caricatures que nous ayons de lui ! Oui, peut-être êtes-vous d’accord avec moi, maintenant ! Mais quand nous prions Dieu, nous le traitons souvent ainsi. Dieu ne peut pas faire n’importe quoi ! S’il est le Tout-Puissant, il n’est le Tout-Puissant que par la toute-puissance de l’amour. L’Amour ne peut pas faire n’importe quoi. Dieu respecte celui qu’il aime y compris dans ses refus, dans ses abandons. Il ne pourra rien faire d’autre que d’être là et d’appeler à nouveau et d’appeler encore et de dire encore, je t’aime ! Mais si je ne réponds pas, il ne se passera rien. Nous préférerions bien qu’il suffise de dire : « Change ceci, fais cela… » et nous, pourquoi changerions-nous, puisque c’est lui, le Tout-Puissant ! Nous traitons souvent Dieu de cette manière. Or Dieu n’est tout-puissant que par son amour. Seulement voilà, au fond de nous-même, nous n’avons pas saisi vraiment ce que pouvait être la force irrésistible de l’amour. Cette force aura certainement le dernier mot.
Mais l’amour n’aura le dernier mot que lorsqu’un homme se lèvera pour répondre :
« Oui » à l’appel. Si personne ne se lève pour répondre à l’appel de Dieu, l’humanité continuera à aller à vau-l’eau sans que, mal­heureusement, ni Dieu ni l’homme n’y puissent rien. Le jour où un appel de Dieu est vraiment entendu par un homme qui a perçu à quel point la force de l’amour peut tout transformer alors Dieu fait de lui quelqu’un qui est mille fois plus fort que toutes les puissances que l’homme se donne pour changer le monde. Mais au fond de nous-même, nous n’avons pas envie de miser sur cette seule force intérieure-là, pas du tout ! Nous préfé­rons nous entourer de forces bien palpables par lesquelles nous nous dominons mutuellement et nous nous écrasons quitte, ensuite, à accuser Dieu de nous écraser. Le jour où des hommes et des femmes misent vraiment sur une force intérieure, les choses changent. Aussi longtemps qu’ils n’ont pas misé ne serait-ce qu’un tout petit peu là-dessus, rien ne changera. Dieu sera exilé du monde.
Rien d’un Seigneur lointain, puissant et sourcilleux qui observerait et jugerait de haut le pauvre monde que nous sommes. Mais un Dieu dont les entrailles frémissent parce qu’il aime et parce qu’il souffre. Et ce Dieu-là dit son amour en Jésus-Christ, à Jésus-Christ et par Jésus-Christ à tous les hommes murés dans la peur et l’ignorance ou la haine. C’est ainsi que Jésus-Christ, habité par Dieu, exerce sa toute-puissance : il crée l’homme en l’aimant comme la mère crée son enfant en l’aimant. En effet pour faire grandir son enfant et lui apprendre à marcher, sa mère crée devant lui un espace de confiance. L’appel de son amour permet au petit d’homme rampant de se lever et d’exister debout devant quelqu’un par la seule force de l’amour de celle qui l’attire au-devant. C’est de cette manière que Dieu crée : il ne contraint pas, il est devant et il appelle. Si seulement nous étions un peu sensibles à cet appel ! Dieu crée l’homme en l’aimant. Il n’explique rien et comme nous ne comprenons pas vraiment, nous hésitons à faire confiance. Par certains côtés, nous voyons bien que nous pouvons faire confiance, mais pour le reste, nous préférons encore miser notre vie sur nous-même, mettre quelques garanties de côté. Nous pouvons ignorer cet appel et le rejeter sans que rien ne change ni dans notre vie, ni dans celle des autres. Mais je vois en Jésus-Christ et en ceux qui le reçoivent que s’il est reconnu et accueilli alors tout peut changer, même ce qui semblait impossible à changer. Il n’y a plus de mort et tout est pour la vie.
C’est ce visage de Dieu que je découvrais en Jésus-Christ, à travers son comportement et sa parole – à travers son action sur moi et sur tous ceux que l’Évangile me pré­sentait. Un Dieu très humble qui compatit et vient par­tager le sort de sa création pour y placer le germe explosif de la résurrection, avec la discrétion et la légèreté de l’amour, désarmant et désarmé parce que ce germe de la résurrection est l’amour et qu’il n’est pas très brillant.
Là-dessus, je vous cite un théologien jésuite. Joseph Thomas :
Jésus nous fait passer à Dieu son Père, il nous fait pénétrer au cœur même de Dieu. En même temps il fait éclater toutes les caricatures que nous pourrons nous faire de Dieu. Face au Dieu impassible il révèle la vérité déconcertante d’un Dieu vulnérable, faible par amour. Face au Dieu jaloux des hommes et de leur bonheur, il manifeste un Dieu prodigue, prodigue comme le père de la parabole qui se laisse dépouil­ler de ses biens par le jeune fils. Face à l’image d’un Dieu rival, il nous signifie un Dieu qui se refuse à entrer dans nos compé­titions pour le pouvoir, la richesse et la gloire. Enfin, le fantôme d’un Dieu cruel, Moloch qui exige la mort du premier né, se dissout. Le Père ne fait pas mourir son Fils. Il se livre en lui à la merci des hommes. Il subit leur révolte et en meurt.
En Jésus seul nous pouvons discerner les traits véritables du Dieu vivant. Il nous introduit à son mystère. Il nous libère des idoles.
Si Dieu est Amour, si l’amour est la seule force qui puisse communiquer la vie, aimer quelqu’un c’est accepter d’avoir à souffrir à cause de lui. L’amour rend vulnérable. C’est vrai pour les hommes, c’est vrai pour Dieu. Nos péchés ne l’offensent pas. Nos fautes le font souffrir dans la mesure même du mal que nous nous fai­sons à nous-mêmes. Le Père souffre de la souffrance de ses fils, y compris de ceux qui ont rompu tout lien avec lui. Aussi la joie est grande lorsque le fils revient à la maison (Lc 15, 11-32).
Dieu est humble. Il dépose dans la création le germe de l’amour qui paraît insignifiant par rapport à toutes nos toutes-puissances, à tous nos déploiements ridicules de vanité et de domination. Dieu rompt avec le cercle de la domination et du pouvoir, il se livre. Parce que le pou­voir et la domination cassent tout et écrasent l’homme, Dieu casse le jeu et en meurt.
Dieu attend qu’un homme se lève et l’accueille pour agir au-delà de toute espérance humaine et changer ainsi le monde. Dieu a rencontré en Jésus-Christ quelqu’un qui, enfin, lui faisait confiance jusqu’au bout, sans plus rien miser sur lui-même, sans toujours comprendre -relisez Gethsémani (Mt 26, 36-46) ou la tentation au désert (Mt 4, 1-11) – sans savoir, puisque Jésus dit : « Le jour et l’heure, je ne sais pas, cela appartient au Père » (voir Mt 24, 36). Sa ligne directrice est oui à Dieu, je te fais confiance, je crois que tu m’aimes, j’y vais. Et parce que cet homme-là a fait confiance jusqu’au bout à ce Dieu-là et qu’il a vécu cette dépossession de lui-même, la force explosive de la résurrection a pu entrer dans la vie.
J’ai cru à ce Dieu-là. Je décidai d’entrer à la suite du Christ, dans cette manière d’être qu’il me proposait. Je pressentais que là était la vie, là était la liberté, là était la puissance même de la création, quelles que soient les apparences. Je pouvais devenir libre, vivant et communi­quer la vie. Je pouvais aimer avec confiance : Quelqu’un me précédait, m’appelait, m’attendait, m’espérait. Cela seul comptait. Et j’espérais pouvoir faire ainsi de ma vie quelque chose qui ait du poids, qui compte et qui se communique. Pour cela, il fallait entrer dans la voie ouverte par le Christ et opérer une conversion.
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Alors les tours, c’est si bien que ça ?
Déjà, c’est quoi ce fantasme masculin à 2 balles d’avoir la plus grande ? Ou alors ce serait pour faire plaisir aux agents immobiliers ? Sérieux ? Vous nous avez bien regardé ?
Les plus écolos d’entre vous pointeront du doigt par exemple les moyens énergétiques déployés parfois peu pertinent. Cela peut sembler absurde de pomper de l’eau pour la chasse de tes chiottes qui sont à 300 mètres du sol. Ou encore de multiplier les ascenseurs ultra-rapides pour éviter les embouteillages verticaux…
Dans une ère un peu écolo qu’est la notre, la tour a de moins en moins bonne réputation . C’est presque has-been et ça sonne un peu ring’ genre années 90, gros 4×4 qui polluent et téléphone portatif qui recouvre toute ta joue.
Autre chose, la tour génère de l’ombre , mais aussi du vent . Ça peut paraître dérisoire, mais je vous laisse imaginer un petit square ou une rue piétonne, parsemée de petits bancs publiques, tous désertés car le vent les balayent violemment et inlassablement toute la journée et même la nuit et le tout sans un rayon de soleil… Pas très bon pour le commerce de proximité . C’est pas rien.
Alors on peut tergiverser en nous demandant à partir de quelle hauteur ou de combien d’étages on considère que c’est mal ?
Mais la France a décidé pour nous, grâce à la notion d’ IGH (immeuble de grande hauteur). C’est un immeuble de plus de 50m et 28m max si il y a présence d’un local commercial (qui a dit absurde ?). Ce qui fait 9 étages à peu près (pas beaucoup hein ?). Au dessus de ces hauteurs, les pré-requis contre l’incendie sont drastiques (structure ultra protégée, multiplication des issues de secours, etc), avec notamment la présence obligatoire et permanente de pompiers à l’entrée. Ceci coûte donc beaucoup plus cher et du coup ça rend frileux .
Mais ce n’est pas tout : pendant longtemps les hauteurs des constructions neuves étaient schématiquement limitées à celle des bâtiments anciens (environ 7 étages) type Haussmannien . De façon à ce que la ville conserve son visage et sa skyline compacte et ultra régulière . Aujourd’hui on a le droit de faire de la tour, mais il persiste dans notre culture cette sensation que construire plus haut c’est dénaturer notre patrimoine urbain . Là, je pense qu’il y a débat.
Et parceque vous l’avez bien mérité, voici un beau gros kinder surprise de propagande, par les champions du gratte-ciel : les Emirats Arabes Unis
La vidéo est si belle que j’en ai la larme à l’œil !
Address
123 Main Street
New York, NY 10001
Hours
Monday—Friday: 9:00AM–5:00PM
Saturday & Sunday: 11:00AM–3:00PM
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Collombat
sur 18 juillet 2021 à 13:39


barschal
sur 28 février 2021 à 16:43



Je suis Laura Arnal, patient expert, coach en santé, auteure du livre « J’ai surmonté la maladie de Lyme » (Éd. Odile Jacob).
Un jour, après nombre de RV médicaux infructueux, j'ai réalisé que ma guérison était sous ma responsabilité : je devais comprendre ce que mon organisme endurait pour mieux l’accompagner et me soigner. Cela n’a pas été une simple promenade de santé, mais la bataille a valu le coup !
Après l’écriture du livre, j’ai créé Lymetime pour continuer à vous informer, à vous donner des clés pour comprendre et agir devant cette maladie. En parallèle, j'accompagne individuellement des lymés pour les aider dans leur parcours de soins.

Bienvenue sur LymeTime !
Publié le 19 février 2019

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Vous avez été piqué-e par une tique qui s’est accrochée si fort qu’elle n’est sortie qu’à moitié. Est-ce qu’elle peut continuer à transmettre des maladies si elle est coupée en deux ? Et que faire des bouts noirs restants qui sont restés coincés sous la peau ?
Ce qui reste accroché, c’est généralement une partie buccale de la tique : l’ hypostome . Cette partie de son anatomie l’aide à s’ancrer solidement dans la peau et est parfois sectionnée au moment du retrait de la tique.
Dans ces conditions, la tique ne peut plus vous transmettre de maladie de Lyme ou de co-infection . En effet, les agents pathogènes de la tique se situent dans son abdomen et ses glandes salivaires qui eux ont bien été enlevés. => No stress .
Une telle situation peut malheureusement arriver même si on a extrait la tique avec un tire-tiques et avec toutes les précautions du monde. Pour autant, les bouts restants peuvent provoquer une inflammation locale… alors…
Ce qui est sûr, c’est qu’il faut extraire les bouts accessibles avec une pince à épiler ou une aiguille que l’on va désinfecter préalablement. Utiliser alors de l’ alcool ou antiseptique transcutané .
Ensuite, pour les morceaux trop difficilement atteignables, les recommandations médicales diffèrent. Certains préconisent de laisser les bouts en place. Ils devraient être repoussés et rejetés dans les jours qui suivent la piqûre – comme dans le cas d’une écharde – et le risque d’inflammation de la plaie sera minimisé. Il se peut en revanche que ces petits morceaux causent douleur et inflammation . Par exemple, un point rouge peut apparaître et persister plusieurs semaines, mais il n’est pas lui-même un signe de maladie de Lyme .
J’ai discuté de ce point avec le Professeur Perronne . De son côté, il préfère clairement que les bouts restants soient enlevés . Il a vu plusieurs cas d’ inflammation compliquée, alors c’est certainement une bonne précaution . N’hésitez pas à consulter votre médecin à ce sujet !
Et ensuite, mais faut-il le rappeler ? Dans les jours et semaines qui suivent, n’oubliez pas de surveiller l’apparition éventuelle d’un érythème migrant , d’un lymphocytome borrélien , d’un syndrome grippal , de douleurs articulaires , de m aux de tête , etc. => Dans ce cas, consultez rapidement.
Avez-vous été confronté à une telle situation ? Qu’avez-vous fait ?
Bonjour nous avons retrouvé un tique dans ma tête dimanche il y a 3 jours. Visiblement je n’ai pas été mordue. Dimanche la tique a été enlevée vivante, mais visiblement il manquait un bout puisqu’hier on m’a enlevé le « dard ». Puis je être infectée tout de même par la maladie ? Si la tique est porteuse sachant que je précise bien qu’elle ne m’aurait pas mordue …
Bonjour,
J’ai la maladie de lyme depuis 2 ans et je ne m’en sort pas vraiment, malgré des traitements. Les symptômes sont vraiment très handicapants et terribles. Je conseille de bien faire enlever les tiques sans laisser la tête (en tournant doucement avec un tire tique, désinfecter avec de l’eau oxygenée puis bétadine, et de retirer la t
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Mature avec des lunettes suce une grosse bite
Mary et Shrima

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