Cassage d'anus direct pour une obse en pantoufles

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Remarque : Vous pouvez sélectionner un mélange de courbes latérales et longitudinales.

Remarque : Si vous sélectionnez une courbe (autre que la courbe numéro 1) sur la surface fermée dans une autre direction, alors deux surfaces sont créées. Une surface de courbe1 à la courbe sélectionnée et l'autre de la courbe sélectionnée à la fermeture originale. Dans l'exemple suivant, nous avons casser la surface à la courbe3
pour donner deux surfaces
.

Sujet parent : Edition de power-surfaces

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Une surface peut ĂȘtre cassĂ©e en plus petits morceaux sur la courbe sĂ©lectionnĂ©e.
Par exemple, prenez en compte la surface suivante :
Les courbes sont sélectionnées comme montrées ci-dessous :
La surface est cassée en plus petits morceaux sur la courbe sélectionnée :
Quand une surface ajustée est cassée à la courbe sélectionnée, les données d'ajustement sont mappées sur les nouvelles surfaces, pour ainsi préserver le résultat de l'ajustement original. Si vous cassez une surface ajustée qui est affichée comme ajustée, toutes les surfaces résultantes qui tombent entiÚrement à l'intérieur de la région d'ajustement sont éliminées. Pour conserver ces surfaces effacées, vous pouvez désactiver la relimitation locale ou globale avant le cassage (cliquez sur Gérer > Modifier > Relimitée pour afficher la relimitation localement. Utilisez l'option Relimitation de la page Surface de la boite de dialogue Options pour afficher ou masquer la relimitation globalement).

Volume 79, Issue 4 , September 2018 , Page 270
The Journal of Steroid Biochemistry and Molecular Biology, Volume 143, 2014, pp. 240-249
Journal des Maladies Vasculaires, Volume 38, Issue 1, 2013, pp. 6-12
Journal of Diabetes and its Complications, Volume 31, Issue 3, 2017, pp. 615-618
Canadian Journal of Diabetes, Volume 39, Issue 6, 2015, pp. 513-519
Journal of Immunological Methods, Volume 430, 2016, pp. 28-32
Copyright © 2018 Published by Elsevier Masson SAS
La gastroparĂ©sie diabĂ©tique (GPD) rĂ©fractaire reprĂ©sente une complication rare mais altĂ©rant la qualitĂ© de vie des patients. Nous rapportons le parcours de soin d’une patiente DT1 porteuse de GPD rĂ©fractaire traitĂ©e par by-pass gastrique.
Il s’agit d’une patiente ĂągĂ©e de 26 ans diabĂ©tique type 1 depuis 13 ans, difficile Ă  Ă©quilibrer, multicompliquĂ©e, avec une rĂ©tinopathie diabĂ©tique prolifĂ©rante, neuropathie pĂ©riphĂ©rique et vĂ©gĂ©tative dont une gastroparĂ©sie objectivĂ©e Ă  la scintigraphie gastrique. Ses symptĂŽmes sont apparus en mai 2015, entraĂźnant plus de 11 hospitalisations pendant 6 mois pour vomissement chronique, amaigrissement de 15 kg et dĂ©gradation majeure de la qualitĂ© de vie. Un bilan somatique complet a Ă©tĂ© effectuĂ© non contributif. AprĂšs l’échec du traitement mĂ©dicamenteux pendant 10 mois, la patiente a bĂ©nĂ©ficiĂ© d’un pacemaker gastrique en fĂ©vrier 2016 avec amĂ©lioration transitoire suivie d’une rĂ©cidive malgrĂ© les recalibrages successifs. Une injection de toxine botulique en intra-pylorique a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en dĂ©cembre 2016 sans efficacitĂ©, suivie d’une jĂ©junostomie d’alimentation en avril 2017 pour dĂ©nutrition sĂ©vĂšre. Devant la persistance des signes cliniques, avec stagnation du poids Ă  48 kg, une intervention chirurgicale Ă  type de by-pass gastrique a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en juin 2017 avec amĂ©lioration clinique spectaculaire et une reprise de poids Ă  67 kg.
La GPD sévÚre représente 2 à 5 % des GP, son traitement a connu plusieurs progrÚs thérapeutique. Le by-pass gastrique est rarement utilisé en cas de GPD chez les diabétiques non obÚse, mais il a démontré son efficacité chez notre patiente.
Les auteurs n’ont pas prĂ©cisĂ© leurs Ă©ventuels liens d’intĂ©rĂȘts.
Vitamin D receptor (VDR) polymorphisms have been inconsistently investigated in type 1 diabetes (T1D). However, the results are inconsistent and inconclusive. The current study aimed to investigate the role of Taq I, Bsm I, Apa I and Fok I VDR polymorphisms in T1D disease. Following the Preferred Reporting Items for Systematic Reviews and Meta-analyses (PRISMA) guidelines, a systematic search and meta-analysis of the literature, since 1998 until december 2013, was conducted. Subgroup analyses were performed to detect potential sources of heterogeneity from selected study characteristics. Meta-analyses yielded a non-significant association of Taq I polymorphism with T1D [OR = 1.014 (0.783–1.312); P = 0.918] in the recessive model. The Bsm I polymorphism was not associated with T1D [OR = 1.44 (0.944–1.386); P = 0.171] in the dominant model. Also, Apa I polymorphism was not associated with T1D risk [OR = 0.996 (0.859–1.155); P = 0.960] in the homozygous model. The Fok I polymorphism was not associated with T1D risk [OR = 0.968 (0.743–1.263); P = 0.813] in dominant model. Stratification according to study characteristics showed that publication year, age, gender, estimated vitamin D levels and latitude moderated significantly association between VDR polymorphisms and T1D disease. Meta-analysis on haplotypes revealed that BAT might be a significant risk factor for T1D [OR = 1.331 (0.957–1.850; P = 0.089]. However, the bAT was found to be a significant protective factor [OR = 0.639 (0.460–0.887); P = 0.007]. As conclusion, individual VDR polymorphisms seemed not to be associated with T1D risk. However, haplotypes contributed significantly to disease susceptibility. Study characteristics moderated the association between VDR polymorphisms and T1D. These results suggested that, in T1D pathogenesis, VDR polymorphisms interact with each other and with environmental factors.
Glutamic acid decarboxylase (GAD) catalyzes the conversion of glutamic acid into gamma-amino butyric acid within pancreatic islet ÎČ cells. Autoantibodies against GAD (GADA) are found in patients with type 1 diabetes mellitus (T1DM), stiff-person syndrome, and epilepsy. Both GAD forms are recognized by GADA, but GAD65 is the predominant autoantigen being recognized in 65% of patients. Up to 90% of children and adolescents who will develop T1DM and patients with latent autoimmune diabetes in adults (LADA) recognize either form. Unlike other islet autoantibodies, GADA persist for many years after the diagnosis in a significant proportion of patients with T1DM and can thus characterize long-standing diabetes. Indeed, it has been demonstrated that the presence of multiple autoantibodies is associated with a high risk of developing diabetes. The identification of GAD as a major autoantigen in T1DM is the basis for new therapy approaches to inhibit the progression of disease by inducing tolerance in GAD-reactive T cells.
Les techniques de pose de chambre implantable ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© largement dĂ©crites. L’utilisation de l’échoguidage fait partie des recommandations de bonnes pratiques des Standard Options Recommandations (SOR) 2008, mais il n’existe que peu de donnĂ©es dans la littĂ©rature et ces recommandations ne reposent que sur un accord d’experts. C’est dans cette optique que nous avons procĂ©dĂ© Ă  une Ă©tude prospective monocentrique sur la pose de chambre implantable par abord percutanĂ© Ă©choguidĂ© entre janvier 2008 et aoĂ»t 2009. Outre l’ñge, le sexe, l’indication thĂ©rapeutique et le site de pose, nous avons recensĂ© la durĂ©e opĂ©ratoire et le nombre de ponctions veineuses rĂ©alisĂ©es pour chaque procĂ©dure. Nous avons ensuite relevĂ© les complications infectieuses et les complications thromboemboliques. Notre Ă©tude porte sur 102 patients consĂ©cutifs. L’ñge moyen est de 61,8 ans (28–90) avec 71 % d’hommes. Chez 101 patients, la ponction a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en jugulaire interne et pour un patient en sous-claviĂšre. Dans 86 % des cas, la pose a eu lieu Ă  droite contre 14 % Ă  gauche. La durĂ©e moyenne de procĂ©dure est de 30 minutes (18–60) avec Ă  chaque fois une seule ponction veineuse. Sur les 102 patients, la morbiditĂ© globale est de 7,8 % avec quatre infections (3,9 %) et quatre thromboses (3,9 %). Aucune complication peropĂ©ratoire (ponction artĂ©rielle, hĂ©matome, pneumothorax) n’a Ă©tĂ© constatĂ©e. En conclusion, la pose de chambre implantable par abord percutanĂ© Ă©choguidĂ© de la veine jugulaire interne est une technique sĂ»re, peu invasive et respectant le cahier des charges des recommandations SOR 2008 en prĂ©venant le risque de thromboses veineuses en Ă©vitant les ponctions veineuses itĂ©ratives. Moins invasive que l’abord chirurgical et plus sĂ»re que la ponction « à l’aveugle », elle constitue une procĂ©dure fiable, simple et facilement reproductible, permettant de limiter au maximum les risques iatrogĂšnes liĂ©s au geste et d’amĂ©liorer le confort des patients.
Techniques of insertion of implantable venous devices have been widely described. The use of ultrasound guidance is part of the good practice recommendations of the SOR 2008 but there are few data in the literature and recommendations are based only on expert agreement. To this end we conducted a prospective, single-center study from January 2008 to August 2009 on percutaneous ultrasound-guided insertion of implantable devices. In addition to age, sex, the therapeutic indication and the site of implantation, we identified the operative time and number of venipunctures performed for each procedure. We then identified the infectious complications at three months and thromboembolic complications at 1 year and a half. Our study examined 102 consecutive patients. The mean age was 61.8 years (28–90); 71% of patients were men. For 101 patients, the internal jugular vein was punctured, the subclavian vein in one patient. In 86% of cases, the implantable venous device was inserted into the right vein. The average length of procedure was 30 minutes (18–60) for a single-vein puncture. Among the 102 patients, the overall morbidity was 7.8% with four infections (3.9%) and four thromboses (3.9%). There were no immediate perioperative complications (arterial puncture, hematoma, pneumothorax). In conclusion, percutaneous ultrasound-guided insertion of implantable venous devices in the internal jugular vein is a safe, minimally invasive technique which complies with the 2008 SOR recommendations by preventing the risk of venous thrombosis and avoiding repeated venous puncture. Less invasive than the open surgical approach, ultrasound-guided insertion is safer than puncture based solely on anatomical landmarks. In summary, this is a reliable, simple and easily reproducible technique which limits iatrogenic risks and improves patient comfort.
The aim of the study was to assess the relationship between CCR5 -Δ32 polymorphism and the coincidence of celiac and autoimmune thyroid diseases with type 1 diabetes mellitus (T1D) in children.
420 children with T1D aged 15.5 ± 3.0 years and 350 healthy controls were studied. Characterization of CCR5 -Δ32 genotypes (rs333) was analyzed by polymerase chain reaction (PCR).
The allele frequency was significantly different in diabetic children as compared to the healthy controls (p < 0.0001). We found negative association between T1D and Δ32 allele (OR = 0.383; 95% CI = 0.268–0.549). Besides, we observed alterations in the frequencies of CCR5 -Δ32 genotypes due to celiac and autoimmune thyroid diseases. The risk of celiac disease for patient carriers of the 32-bp deletion was more than threefold higher than for noncarriers (OR = 3.490; 95% CI = 1.357–8.859; p = 0.009). Similar results were obtained in the case of autoimmune thyroiditis. The risk of autoimmune thyroiditis for patient carriers of the 32-bp deletion was also more than threefold higher than for noncarriers (OR = 3.466; 95% CI = 1.754–6.849; p = 0.0004).
The findings of our studies suggest that the CCR5 -Δ32 polymorphism is associated with type 1 diabetes mellitus and the Δ32 allele increases the risk of celiac disease and autoimmune thyroid disorders in patients with T1D.
The association between celiac disease (CD), an autoimmune condition involving intestinal inflammation related to gluten ingestion, and type 1 diabetes has long been recognized. CD prevalence rates 4 to 6 times greater in adults with type 1 diabetes than in the general population. Much of the existing literature focuses on important implications related to the impact of a gluten-free diet on short-term outcomes in metabolic control and quality of life. Canadian Diabetes Association guidelines recommend targeted CD screening in patients with type 1 diabetes who have classic symptoms, such as abdominal pain, bloating, diarrhea, unexplained weight loss or labile metabolic control; however, a significant proportion (40% to 60%) of patients may have mild or absent symptoms. Recent evidence suggests that adult patients with both conditions are at higher risk for diabetes microvascular comorbidities, increased mortality and impaired bone health if the CD is untreated. The purpose of this review is to describe the association between CD and type 1 diabetes and to summarize recent literature that evaluates risks in patients with both conditions.
L'association entre la maladie cƓliaque (MC), une maladie auto-immune impliquant une inflammation intestinale liĂ©e Ă  l'ingestion de gluten, et le diabĂšte de type 1 est reconnue depuis longtemps et la MC a des taux de prĂ©valence 4 Ă  6 fois plus Ă©levĂ© chez les adultes atteints de diabĂšte de type 1 que dans la population gĂ©nĂ©rale. Une grande partie de la littĂ©rature existante se concentre sur les implications importantes liĂ©es aux impacts des rĂ©gimes sans gluten sur les bĂ©nĂ©fices Ă  court terme du contrĂŽle mĂ©tabolique et de la qualitĂ© de vie. Les lignes directrices de l'Association Canadienne du DiabĂšte recommandent le dĂ©pistage ciblĂ© de la MC chez les patients avec un diabĂšte de type 1 qui ont des symptĂŽmes classiques, tels que des douleurs abdominales, des ballonnements, une diarrhĂ©e, une perte de poids inexpliquĂ©e, ou un faible contrĂŽle mĂ©tabolique; toutefois, une proportion importante (de 40% Ă  60%) des patients peut avoir des symptĂŽmes bĂ©nins ou absents. Des donnĂ©es rĂ©centes suggĂšrent que les patients adultes prĂ©sentant ces deux conditions sont plus Ă  risque de comorbiditĂ©s avec des complications micro-vasculaires diabĂ©tiques, une augmentation de la mortalitĂ© et une santĂ© osseuse altĂ©rĂ©e si la MC n'est pas traitĂ©e. Le but de cette revue est de dĂ©crire l'association entre la MC et le diabĂšte de type 1 et de rĂ©sumer la littĂ©rature rĂ©cente qui Ă©value les risques chez les patients avec les deux conditions.
At the current time, multiple candidate interventions are being proposed to abrogate or slow progression to type 1 diabetes (T1D) among islet autoantibody (iAb) positive subjects, but mass screening for eligible subjects and the general population remains a laborious and inefficient process. We have recently developed and extensively validated nonradioactive iAb assays using electrochemiluminescense (ECL) detection with an excellent sensitivity and specificity compared to the gold-standard radioassays. Using ECL detection on a platform from MesoScale Discovery (MSD) allows the measurement of four antibodies in a single well using a small blood volume (6 Όl). In the present study using a MSD QuickPlex 4-Spot plate, we successfully combined three iAb to insulin (IAA), GAD65 (GADA), and IA-2 (IA-2A) with tissue transglutaminase autoantibodies (TGA) in a single well of a 96 well plate. We tested 40 new onset T1D patients, all positive for at least one iAb and a half of them positive for TGA by radioassay, as well as 50 healthy controls. The multiplex assay retained 100% sensitivity and 100% specificity for all four autoantibodies in terms of positivity identified in patients versus normal controls compared to the corresponding standard radioassays and our single ECL assays. The multiplex ECL assay was able to identify more positivity than current radioassays for IAA and TGA. The development of this multiplex assay will facilitate high-throughput screening for T1D and celiac disease risk in the general population.
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Les gros objets trouvĂ©s dans le rectum sont supposĂ©s avoir Ă©tĂ© insĂ©rĂ©s dans l’anus plutĂŽt que d’avoir atteint le rectum aprĂšs avoir Ă©tĂ© avalĂ©s. Bien que les victimes aient prĂ©tendu vraiment glisser et tomber sur ces objets , les mĂ©decins ont confirmĂ© que la plupart des objets rĂ©cupĂ©rĂ©s avaient Ă©tĂ© utilisĂ©s dans le cadre d’actes sexuels.
Éviter de consulter un mĂ©decin et tenter de retirer soi-mĂȘme l’objet conduit Ă  un retard dans le traitement, ce qui peut provoquer des symptĂŽmes tels que douleurs abdominales, nausĂ©es et vomissements, fiĂšvre et saignements rectaux et rendre le processus encore plus difficile pour enlever l’objet coincĂ©.
Voici quelques-uns des objets les plus étranges trouvés dans les endroits les plus inhabituels.
Des douleurs abdominales ont amenĂ© un homme de 50 ans au service des urgences de l’hĂŽpital Kwong Wah de Hong Kong, en Chine. L’examen a rĂ©vĂ©lĂ© que le patient Ă©tait atteint de pĂ©ritonite, tandis que la radiographie abdominale montrait l’ombre d’une anguille, selon le cas rapportĂ© et publiĂ© dans le journal Surgery . AprĂšs un nouvel interrogatoire, le patient a rĂ©vĂ©lĂ© qu’il avait insĂ©rĂ© une anguille dans le rectum pour soulager sa constipation , ce qui a incitĂ© le mĂ©decin Ă  procĂ©der Ă  une laparotomie (une incision dans la paroi abdominal) d’urgence pour retirer une anguille de 50 cm de long.
Il a Ă©tĂ© constatĂ© que l’anguille mordait l’angle splĂ©nique du cĂŽlon et une perforation de 3 cm a Ă©tĂ© trouvĂ©e sur la paroi antĂ©rieure du rectum. Le patient a Ă©tĂ© renvoyĂ© Ă  la maison le septiĂšme jour.
Dans ce cas particulier, l’examen rectal a rĂ©vĂ©lĂ© qu’un corps Ă©tranger solide Ă©tait visible et palpable juste Ă  l’intĂ©rieur du sphincter anal d’un jeune homme de 27 ans. Le rapport de ce  cas publiĂ© dans l’ American Journal of Forensic Medicine and Pathology a rĂ©vĂ©lĂ© qu’un jeune homme au chĂŽmage avait injectĂ© une colle liquide dans le rectum Ă  l’aide d’un pistolet Ă  colle Ă  double chambre, la colle a alors durci et s’était fixĂ© Ă  l’intĂ©rieur. Le patient l’avait fait pour un plaisir Ă©rotique anal.
Les mĂ©decins se sont renseignĂ©s auprĂšs de l’entreprise fabricante du pistolet Ă  colle et ont pu obtenir une photographie exacte du pistolet Ă  colle et une description des composants de la colle. Ils ont alors ouvert l’abdomen par une incision mĂ©diane infĂ©rieure et ont constatĂ© que le mĂ©lange formait un plĂątre du rectum de 16 cm de long et de 300 grammes de poids.
Un spray aĂ©rosol dĂ©sodorisant a Ă©té retirĂ© du rectum d’un patient cĂ©libataire ĂągĂ© de 23 ans aprĂšs auto-insertion. L’homme est arrivĂ© Ă  l’hĂŽpital Riyadh Care en Arabie saoudite, se plaignant de douleurs abdominales basses. Les mĂ©decins ont identifiĂ© l’objet logĂ© dans le rectum aprĂšs qu’une radiographie pelvienne ait montrĂ© qu’il Ă©tait juste au-dessus de la courbe du sacrum, selon le rapport publié dans The Internet Journal of Surgery .
Le patient n’a pas rĂ©vĂ©lĂ© la raison de cette auto-insertion. Le spray dĂ©odorant a Ă©té retirĂ© sous anesthĂ©sie gĂ©nĂ©rale. L’homme a Ă©tĂ© libĂ©rĂ© le deuxiĂšme jour.
Un homme de 72 ans s’est rendu au centre mĂ©dical de l’UniversitĂ© du Mississippi en se plaignant d’une bouteille dans l
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