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La Fédération des mutuelles de France envisage de proposer aux syndicats et aux associations de créer des rassemblements pour le 15 octobre afin de peser sur le débat parlementaire portant sur la loi de financement de la Sécurité sociale.
LA Fédération des mutuelles de France (FMF) lance un certain nombre de dispositions contribuant à alimenter le débat sur l'avenir de la protection sociale. Dès ce mois-ci, les adhérents et leur famille sont sollicités pour donner leur avis sur cinq séries de réflexions et de propositions, se situant à contre-courant de la réforme Juppé. Une fois amendé, ce texte sera transmis à tous les parlementaires, qui se pencheront, le 15 octobre, sur la loi de financement de la Sécurité sociale. Pour sa part, la FMF s'élève contre la répartition des prélèvements obligatoires entre les salariés, les chômeurs et les retraités, et préconise de modifier «le prélèvement social à partir de l'entreprise, de la production et de la circulation des richesses».
Présentant l'initiative, hier, au cours d'une conférence de presse, Daniel Le Scornet, le président de la FMF, souhaite «donner une dimension populaire inédite à l'interpellation» des députés et entend proposer «aux partenaires syndicaux, associatifs et mutualistes d'envisager de très vastes rassemblement» le jour du débat à l'Assemblée nationale. Réunis le 24 septembre à Paris, deux mille responsables mutualistes discuteront plus concrètement de cet objectif.
Deuxième point à l'ordre du jour de ce rassemblement: faire échec à toute tentative «de transformer les mutuelles en énième compagnie d'assurances», indique Daniel Le Scornet. «Il faut donner un coup d'arrêt définitif au risque de voir appliquer les directives assurances européennes à la mutualité», ce qui ouvrirait la voie à des «pratiques de profit» dans le domaine de la santé, poursuit le président de la FMF.
Selon lui, le gouvernement devrait «décider de retirer les mutuelles de la liste des organismes soumis aux directives européennes», en dépit du dernier «coup de semonce» de la Commission de Bruxelles sur une telle transposition dans le droit français. Daniel Le Scornet demande aux partis politiques de lui transmettre leurs prises de position sur ce sujet afin de les rendre publiques lors du rassemblement du 24 septembre.
Enfin, la troisième disposition concerne la gestion des organismes de Sécurité sociale. La FMF déplore la situation «caricaturale de démocratie sociale» dans ces instances: «C'est désormais le CNPF et, en son sein, la puissante Fédération française des sociétés d'assurances, qui fera la loi dans les caisses», estime Daniel Le Scornet. Selon lui, «actuellement, on atteint le comble de l'étatisme, du corporatisme, des accords de couloir sans aucune possibilité d'intervention des assurés sociaux». Le Conseil d'Etat a été saisi par la FMF sur l'ordonnance déterminant la mise en place et la composition des conseils d'administration des caisses de Sécurité sociale. En outre, questionne Daniel Le Scornet, «pourquoi le législateur ne saisirait-il pas l'année 1997, celle des élections sociales, prud'homales, pour que les mutualistes puissent s'exprimer, par le vote direct, en matière de représentativité mutualiste départementale, régionale et nationale?».
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