Caprice et son copain

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Caprice et son copain
Caprice ou crise de l’enfant: comment les calmer ? par Jean-Philippe GEFFRIAUD

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Comment calmer un enfant qui fait un caprice ou une crise de nerf?
Quand un enfant est contrarié, il arrive souvent qu’il fasse la tête, qu’il pleure ou qu’il envoie tout balader. Parfois, on peut résoudre sa frustration et dans d’autres cas c’est impossible.
Seulement, voila, si on ne s’y prend pas de la bonne façon, notre enfant peut s’entêter et on aboutit à une crise de nerf générale.
Pour illustrer mon propos, je vais vous parler de deux exemples. L’un qui m’arrive de temps en temps à l’école quand un enfant demande à voir sa maman.
L’autre c’est mon fils de 10 ans qui s’est mis en colère parce qu’il ne voulait pas aller à son cours d’escalade.
Et je vais vous raconter comment on a pu sortir rapidement de ces deux situations dans la douceur.
En fait, le problème c’est qu’il ne faut pas considérer le caprice de l’enfant comme une tentative de nous manipuler ou de nous mettre des bâtons dans les roues.
IL faut accueille cette réaction émotionnelle importante comme l’expression d’un besoin.
L’enfant peut faire une « crise » pour beaucoup de raisons…les besoins physiologiques comme la faim ou le sommeil… Mais aussi des besoins psychiques comme le besoin de reconnaissance, le besoin d’appartenance ou de se sentir en sécurité .
1-La première étape c’est d’écouter l’enfant exprimer son besoin.
Dans mon premier exemple c’est l’enfant qui me dit: » Je veux voir ma maman ».
Dans mon second exemple, c’est mon fils qui me dit: » Je ne veux pas aller à l’escalade ».
Evidemment, ce que les enfants expriment en surface c’est la solution immédiate qu’ils ont trouvé pour résoudre leur problème. Mais ce n’est pas la solution qui est réalisable et souhaitable dans leur propre intérêt.
Il faut donc creuser et demander tout simplement « Pourquoi? Pour revenir à mes deux exemples: Pourquoi tu veux voir ta maman et pourquoi tu ne veux pas aller à ton cours d’escalade?
Parce que bien sûr on pourrait se contenter de balayer la demande d’un revers de main et de tout simplement dire ce n’est pas possible en aboutissant à une négation des besoins de l’enfant au risque de les rendre de plus en plus instable émotionnellement.
Mais ce n’est évidemment pas comme ça qu’on veut voir grandir nos enfants .
2-La deuxième étape c’est de montrer de l’empathie pour l’émotion ressentie par son enfant en disant quelque chose comme
« Je comprends ,tu veux voir ta maman parce que tu es fatigué et tu aimerais bien lui faire un calin ».
Pour l’exemple de mon fils « Je comprends tu ne veux pas aller à l’escalade parce que ton copain du quartier voulait jouer avec toi cet après-midi ».
Le fait que l’adulte soit à l’écoute de son besoin permet à l’enfant de se sentir reconnu et ça commence déjà à l’apaiser.
La troisième étape ça va être, soit de résoudre immédiatement le problème en répondant à la demande d’aide de l’enfant, soit de se mettre en projet de résoudre le problème de l’enfant avec l’enfant .
Je dis bien se mettre en projet parce qu’il y a des cas ou la résolution du problème n’est ni possible dans l’immédiat ni souhaitable dans le réel.
On va donc imaginer avec l’enfant qu’il obtient déjà ou qu’il va obtenir sous peu ce qu’il désire ou encore jouer à faire comme si.
Dans le cas de l’enfant qui voulait voir sa maman, je lui ai dit: Ah oui, ce sera bien à l’heure des parents de prendre ta maman dans les bras. Tu lui feras un très gros calin. Tu seras content. Oui ? Oui?
Dans le cas de mon fils qui ne voulait pas aller à l’escalade pour voir son copain, ce n’était pas vraiment cela la raison.
Il ne voulait pas éviter l’escalade il voulait simplement voir son copain qu’il ne peut pas voir souvent.
C’est pour ça que je lui ai proposé la solution de l’inviter à jouer à la maison un samedi après-midi.
Souvent, les enfants sont également demandeurs qu’on les prennent un instant dans les bras ce qui a pour effet de libérer de l’occitocine qui les apaise.
La 4 ème étape qui est bien connue c’est de recourir à la redirection c’est à dire de proposer à l’enfant une activité qui va recentrer son attention sur autre chose. A cette étape, l’enfant a déjà presque oublier l’objet de sa crise.
L’issue de ces deux expériences dont je vous ai parlé c’est que mon fils a apprécié son cours d’escalade et que mon élève m’a donné la main pendant la récréation pour se sentir au repos et entouré. Vive la communication non violente !
Voila, vous connaissez maintenant 4 étapes pour apaiser non pas une « crise » mais un besoin de l’enfant.
Je vous mets d’ailleurs une fiche mémo de ces 4 étapes a télécharger juste ci-dessous: Avez-vous vécu récemment des caprices de votre enfant ?
Ici Jean-Philippe Geffriaud, j ‘aide les parents qui veulent vivre une parentalité épanouie et qui cherchent à faciliter l’apprentissage de leurs enfants! 
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“Caprices” d’enfant : la meilleure façon de les gérer

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Accueil > “Caprices” d’enfant : la meilleure façon de les gérer
Les “caprices” de nos petits ou grands enfants ne sont pas une nouveauté. On appelle communément “caprice”, quand notre enfant exprime son désaccord de façon maladroite, sur quelque chose qui nous semble – à nous – peu important. Petit, i l fait une colère pour un malheureux bonbon . Elle refuse de rendre un jouet. Ils tapent le copain qui les a traités de « bébé »… Et plus grand, il trépigne quand on éteint la télé . Comment éviter ces situations bancales et les aider à exprimer leurs désaccords , leurs émotions de façon plus adroite ? 
D’abord, il est important de connaître l’explication scientifique du caprice de l’enfant. Les recherches en neurosciences ont montré que la partie du cerveau appelée « lobes temporaux et frontaux du néocortex » (à vos souhaits !) qui nous permet de réguler nos émotions, n’est pas encore développée chez le nourrisson*. Lors des 5 premières années de vie de l’enfant, cette partie du cerveau va se former, pour arriver à maturité vers l’adolescence. On aura beau leur dire d’arrêter leur caprice d’enfant, de se calmer, de se raisonner, cela n’aura pas beaucoup de résultats. Non pas parce que nos enfants ne veulent pas nous écouter, mais parce que leur cerveau ne leur permet pas encore de se raisonner !
Ensuite ce qui nous fait souvent dire que notre enfant “fait un caprice”, c’est que nous jugeons l’objet de sa frustration peu important . C’est alors que nous oublions que notre enfant est avant tout .. un enfant 🙂 Et qu’ il n’a pas les mêmes centres de préoccupations que nous . Tout comme les autres adultes n’ont pas toujours les mêmes centres de préoccupations que nous. Pour notre homme, un salon rangé est ultra important, pour notre femme elle tient à ce que nous finissions notre assiette, et notre enfant, lui, a envie de finir le jeu qu’il a commencé, avant de passer à table. Et si nous acceptions que chacun n’ait pas les mêmes préoccupations ? 
Et en même temps, nous pouvons aider notre enfant à prendre du recul que la situation, et à s’exprimer autrement qu’en se roulant par terre. Voici comment. 
Pour être accompagné tout au long de l’année dans ma parentalité
La 1ère étape pour que notre enfant puisse mieux exprimer ses émotions (en évitant de taper le voisin), c’est qu’il prenne conscience de ce qu’il ressent. Pourquoi ? Parce que c’est en faisant ce premier pas de prise de conscience des émotions désagréables qui nous traversent que l’on va pouvoir prendre du recul et réagir moins impulsivement. Et c ’est bien sûr aussi vrai pour nous, adultes. Par exemple, on peut être énervé contre un collègue, lui parler avec un brin d’agressivité, sans être vraiment sûr de bien comprendre la raison. Et puis si l’on se pose, que l’on y réfléchit, on peut percevoir que l’on est énervé contre lui, car on le trouve par exemple trop intrusif, ou parce que l’on n’a pas aimé l’une de ses réflexions. 
C’est d’ailleurs cette méthode que la maîtresse de ma fille a adoptée devant le « caprice d’enfant » d’une de ses camarades . Résultat : retour au calme immédiat. Voici l’anecdote.
(Pour info, si vous avez envie d’explorer plus de pistes et d’idées pour mieux gérer les colères de votre petit, j’ai fait un dossier complet sur le sujet : le “PACK ANTI-COLÈRES : Le dossier ultime pour gérer “caprices” et autres crises !” . Pour le recevoir, rien de plus simple, renseignez votre email ci-dessous et je vous l’envoie directement dans votre boite.
Un papa s’apprêtait à lire une histoire à 5 camarades, dont sa fille, avant de partir travailler. La petite fille arracha le livre des mains de son père, et ne voulut pas le rendre. Le père évidemment gronda sa fille, et tenta de la raisonner : « Le livre est à tout le monde, tu le rends. Sinon je ne lis pas d’histoire ». Tempête émotionnelle, sa petite fille éclata en sanglots ! Puis, elle serra le livre d’autant plus fort « Nooon ! ». La maîtresse intervint : « Je crois que ce n’est pas le livre que Juliette ne veut pas prêter, mais son papa qu’elle ne veut pas partager. Tu aimerais que ton papa ne lise une histoire que pour toi, c’est cela ? ». Elle avait vu juste. Juliette se calma instantanément. Elle se sentit comprise.
Si, au moment où Juliette arrachait le livre, son papa avait verbalisé les émotions de sa fille, sans jugement (« Tu ne veux pas que je lise une histoire à tout le monde, tu préférais que j’en lise une pour toi toute seule, c’est ça ? »), elle aurait sans doute été plus à l’écoute. Ce n’est qu’ensuite que l’on aurait pu la guider vers une recherche de solution du type : « Comment fait-on ?! Il y a plein d’enfants dans la classe et on ne va pas mettre une barrière pour ne pas les laisser passer . Si je te lis une histoire dans la classe, on ne peut pas empêcher les autres de venir l’écouter. Donc soit on ne lit pas d’histoire, et je t’en lirai une ce soir, soit je t’en lis une maintenant et tant pis s’il y en a d’autres qui écoutent. Et je t’en lirai une deuxième ce soir rien que pour toi… Tu préfères quoi ? ». Et Juliette aurait probablement choisi l’option de continuer la lecture. Vous aurez d’ailleurs remarqué que l’on arrive à la même conclusion dans les deux cas : « Si tu prends le livre, je ne te lis pas d’histoire ». Mais dans l’un, on part dans l’opposition, dans le jugement, on considère la réaction de notre enfant comme « inacceptable » . Dans l’autre, on comprend ce qu’il ressent, on l’aide ainsi à comprendre lui-même sa réaction a priori irrationnelle . Et au final, on parvient à le raisonner et à continuer l’histoire !
Vous me direz : cela prend du temps ! C’est sûr. Cependant, si on fait le calcul, il est souvent plus rapide de prendre le temps de chercher à comprendre ce que notre enfant ressent et lui formuler, que de gérer un drame qui ensuite nous échappe.
Comprendre notre enfant, accueillir ses émotions et mettre des mots peuvent nous éviter bien des “caprices” ! 
Un matin, ma fille s’empara d’un petit dessin qu’une de ses camarades avait offert à la maîtresse. Elle ne voulait pas le rendre. Devant l’attente normalement pressante de l’autre maman, qui voulait accrocher le fameux dessin au mur avant de partir, je tentais de raisonner ma fille, sans succès. À court d’idée (et de patience), je finis par employer la force : « Bon, je vais devoir te le prendre des mains, c’est dommage ». Bien sûr, cela se termina en drame… Une émotion mal exprimée, que l’on nomme maladroitement “caprice d’enfant”. 
Après coup, je ne me suis pas reproché de ne pas avoir une fille plus docile, mais plutôt d’avoir oublié d’être empathique ! L’objectif n’est pas de culpabiliser, mais simplement de prendre du recul sur nos réactions automatiques, et voir les possibilités de faire différemment les prochaines fois.
« Je comprends que tu veuilles le garder. Tu aurais aimé, toi aussi, offrir un dessin à la maîtresse. C’est cela ? ». Redescente de la pression garantie ! Elle aurait compris cette jalousie qu’elle ressentait, dont elle n’avait peut-être même pas conscience, et elle se serait sentie comprise ! Et j’aurais ainsi pu trouver une alternative : « Tu sais, c’est très gentil de ta part de vouloir toi a
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