Camgirl sexy s'extirpe de ses fringues

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Camgirl sexy s'extirpe de ses fringues
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Masha, 25 ans, se souviendra avec beaucoup d’émotion de ce quickie lors d’une séance de shopping dans la cabine d’essayage !
Après avoir lu cette histoire de sexe vous trouvera que je suis une belle salope voire une petite pute. Sachez que cela ne me fait ni chaud, ni froid. Je suis une femme de vingt-cinq ans, je suis libre, libérée, j’aime le sexe et je ne me prive pas de consommer, là où je veux, quand je le veux et surtout, avec qui je veux !
Juste avant le troisième confinement je me suis réservé un après-midi shopping, seule, sans les copines. J’avais autant envie de m’offrir des fringues que de voir si je ne pouvais pas croquer un beau petit mec en mal de tendresse.
J’ai écumé les magasins des grands boulevards essayant tout ce qui me plaisait ou ce que m’apportait une vendeuse ici, un vendeur là. Petits tops, jean taille haute qui reviennent en force pour cette saison, chaussures … évidemment, chaussures ! Et pour finir je me suis réservé ce que je préfère au-delà de tout, la lingerie.
Je flânais donc entre soutien-gorges aux froufrous plus excentriques les uns que les autres, les culottes et strings assortis, m’attardais sur les dentelles d’un porte-jarretelle affriolant ou sur des tenus très hot, laissant bien des possibilités à des mains fureteuses et décidées.

C’est là que je l’ai vu. Il était grand, métisse et il me regardait du coin de l’œil depuis un bon moment. Tout ce que j’aime. J’ai tourné encore un moment entre les rayons tout en me rapprochant ostensiblement de lui, jusqu’à le frôler.
Il sentait un mélange de vanille poudrée et de musc léger. J’ai tout de suite adoré son parfum et mains. Des doigts fins, élégants, avec une gestuelle tout en féminité.
J’ai choisi un ensemble transparent à souhait dans deux tailles différentes. Je connais parfaitement mes mensurations mais j’avais une idée derrière la tête.
Je me suis tournée vers lui brusquement et, les yeux dans les yeux, je lui ai asséné : « J’ai besoin d’un regard masculin, vous accepteriez de venir voir ce que ceci donne sur moi ? » en lui désignant les dentelles et la tulle noire.
Je n’ai jamais vu homme écarquiller autant les yeux ! J’ai failli exploser de rire tant la surprise de ma proposition l’a décontenancé !
Il a voulu dire quelque chose, je ne lui en ai pas laissé le temps, je l’ai pris par la main et nous nous sommes engouffrés dans les immenses cabines d’essayage comme si nous étions un couple de longue date.
Il a voulu lâcher ma main au passage du rideau pour m’attendre à l’extérieur mais j’ai été la plus forte. Un fauteuil Voltaire au velours rose soutenu trônait dans un ange, il s’est assis timidement dessus. Pétrifié telle la femme de Loth !

Je me suis lentement déshabillée jusqu’à me trouver nue devant cet inconnu, je mouillais déjà abondamment, quand j’ai vu la bosse énorme qui déformait son pantalon, ma chatte s’est transformée en fontaine.
J’ai enfilé le soutif et je me suis tournée pour l’agrafer et me regarder dans le miroir. Lui avait une vue imprenable, assis pile à la bonne hauteur, su mon petit popotin rebondi et musclé. Je me suis alors outrageusement penchée en avant afin d’enfiler la culotte, j’ai senti l’air frais et sec de la climatisation du magasin s’insinuer dans mon sillon, je savais donc avec certitude, toujours grâce à la glace, que mon heureux élu, derrière moi, ne ratait pas une miette du spectacle.
Il n’a pas pu passer à côté de mon petit con entrouvert et brillant d’humidité, j’ai même entendu un petit bruit mouillé lorsqu’elles se sont écartées l’une de l’autre.
Une fois l’ensemble passé, j’ai tourné sur moi-même après avoir remis mes talons. « Alors ? Comment me trouvez-vous ? »
Je n’avais aucune intention de le laisser me répondre, si tant est qu’il en eut été capable, ce qui ne paraissait pas être le cas. Je me suis installée à califourchon sur ses genoux, je l’ai embrassé et j’ai commencé à le déshabiller.
Il avait une queue sublime ! De ces modèles que j’affectionne tout particulièrement. Grosse à la base, effilée vers le gland, super droite, un bâton de maréchal, pas un poil à l’horizon, une paire de petites couilles ballotaient en dessous mais surtout, son gland circoncis était déjà tout maculé de son désir salé.
J’ai à moitié arraché le peu que j’avais sur moi et je me suis jetée sur cette tige chaude qui s’est révélée délicieuse à sucer. Mon amant s’est enfin décidé à devenir un peu plus actif et a glissé ses doigts dans mes cheveux. Il gémissait doucement lorsque j’avalais son membre loin dans ma gorge, j’ai eu peur un instant qu’il ne me gicle précocement dans la bouche mais le bougre a su se retenir. Mes lèvres épaisses s’enroulaient avec délice, ma langue goûtait le miellat masculin dont la salinité emplissait ma bouche d’une salive abondante.
C’en était trop, mon bas-ventre était en feu, j’avais envie, j’avais besoin qu’il me prenne, là, maintenant. Je me suis ruée sur mon sac, j’ai farfouillé comme une folle, j’en ai extirpé une capote, j’ai libéré la rondelle visqueuse de lubrifiant, j’ai bien pincé le réservoir et hop, j’ai déroulé la protection sur l’objet de tous mes désirs de l’instant.

Je me suis remise debout, j’aime être possédée debout. J’ai plaqué mes mains et ma poitrine sur le fond de la cabine, j’ai arqué au maximum mes jambes et cambré mes reins au point de rupture. J’étais prête à la saillie.
J’ai senti son souffle, puis la toison de son poitrail sur mon dos, il m’a caressé les seins, ses doigts son descendus jusqu’à ma fente, il a caressé mon sillon jusqu’à mon cul. Était-ce une demande en bonne et due forme pour une sodomie dans les règles ?
Un doigt s’est insinué dans mon anus, puis deux. J’avais ma réponse.
A jouer les salopes autant jouer jusqu’au bout. « Vas-y … encule-moi, j’adore ça .. » lui ai-je susurré avec ma plus belle voix de téléphone rose.
Il n’en fallait pas plus à mon boutentrain, il m’a plaquée un peu plus contre le mur, j’ai senti qu’il fléchissait les genoux afin de donner la bonne inclinaison à sa queue, un connaisseur de la chose anale ?
Son gland est entré dans mon petit trou comme dans du beurre. Une respiration puis une poussé assez forte, la moitié de son gros chibre s’est retrouvé englouti dans mes entrailles. Il m’a laissé souffler, j’ai détendu mon sphincter anal et le reste de la queue est venue en moi, je sentais ses couilles taper contre ma chatte, c’était délicieux.
Il m’a limée pendant un moment, assez vigoureusement tout en restant discret. On entendait des voix féminines dans les cabines voisines, des échangent féminins pour la plupart qui commentaient la couleur d’un string ou la super poitrine que dessinait un push-up.
Ça m’a excitée comme une folle, j’avais à la fois peur et envie que le rideau s’ouvre, qu’une cliente ou une vendeuse entre par mégarde. Je mouillais à mort et ma cyprine venait lubrifier mon cul, je sentais l’orgasme monter ; monter, monter.
Un mouvement un peu plus chaloupé de mon baiseur inconnu et son gland est venu taper sur un point particulièrement sensible de mon fourreau, j’ai prié pour qu’il ne s’arrête surtout pas. Combien d’amant commence sur un rythme qui vous plait et d’un coup cesse, cassant votre montée vers le plaisir ?
Mais non, il a continué de m’enculer avec ce petit mouvement du bassin en fin de course qui venait illuminer mon sexe. Quelques allers-retours supplémentaires et je suis partie. Il a fallu que je morde dans le bonnet rembourré du soutif que j’avais à portée de la main pour étouffer le cri que je m’apprêtais à pousser.
J’ai eu un orgasme d’une rare violence, pour tout dire j’adore jouir du cul, appelons un chat un chat, les sensations de cette pénétration encore taboue me donne des sensations à nulle autre pareille. La queue s’est immobilisée dès mes premiers spasmes, pour un amant tiré à la loterie, j’avais tiré le gros lot !
Il est sorti en douceur, j’ai senti mon étoile se refermer lentement, je me suis retournée, j’ai enlevé le préservatif et j’ai offert à cet homme au savoir-faire indéniable, la pipe de sa vie. Je l’ai pompé avec toute la maitrise dont je suis capable, caressant ses couilles, le regardant dans les yeux. Une secousse, deux secousses et le premier jet est venu s’écraser sur ma langue. Son sperme était salé mais pas désagréable, il a éjaculé en plusieurs geysers qui se sont amenuisés, ma bouche était remplie de sa semence. Toujours les yeux plantés dans les siens, j’ai tout avalé et j’ai lapé son gland d’où quelques gouttes de foutre perlaient encore.
Le temps de nous rhabiller et nous sommes sortis. La cabine sentait le sexe, le sperme, la mouille, la sueur. J’avais un sourire béat accroché aux lèvres, mon enculeur aussi. J’ai eu la surprise qu’il m’offre le petit ensemble, trop chou.
En nous quittant il m’a glissé son 06 dans la main, je ne l’ai jamais appelé. J’aime ces one shot, ces coups de folie mais ils restent sans lendemain, c’est plus simple.
Vivement la réouverture des magasins !
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