Cadeau de bienvenue de ma prostituée préférée

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Ayant eu l’occasion de retourner quelques semaines en Thaïlande cet été, j’ai aussi appris la mort de ma grande amie Gi, à qui je veux rendre hommage à travers cet article.
Je n’ai pas pu savoir comment Gi a trouvé la mort, la personne qui me l’a appris n’en savait pas plus. C’est au cours de l’année et demie passée à Pattaya (ville de Thaïlande organisée pour la prostitution pour les touristes) que je me suis liée avec cette jeune femme dont j’avais fêté le 29 ans le 1er août 2008.
J’ai commencé à connaître Gi en janvier 2008, alors que j’avais rencontré tout un groupe de femmes se prostituant sur la plage, à qui j’allais rendre visite très régulièrement.
Gi était souvent avec les femmes de ce groupe. Je la connaissais de vue, mais je n’avais jamais parlé avec elle, ni vraiment fait attention à elle.
Un jour vers la mi-février, je l’ai croisée toute seule sur la plage, et ce fut la première occasion où nous avons discuté toutes les deux. Je me suis rendue compte que pour sa part, elle me considérait déjà depuis longtemps comme son amie.
Gi m’a raconté sa situation familiale, qui est la même que celle d’un grand nombre de femmes qui se prostituent à Pattaya : elle avait un enfant, F., d’un homme dont elle s’était séparée. C’est sa mère qui élevait F. Celui-ci appelait sa grand-mère « Maman », et les rares fois où il voyait sa mère, il l’appelait « grande sœur ». Gi, comme un grand nombre de femmes à Pattaya, avait perdu sa carte d’identité. Sans carte d’identité, elle ne pouvait pas faire un travail normal, ni même se prostituer d’une façon moins humiliante que sur la plage, en étant salariée dans un bar. Elle ne pouvait pas faire refaire une carte, car pour cela il fallait un papier qui se trouvait chez sa mère, et elle ne pouvait pas rendre visite à sa mère et à son fils, car elle ne leur avait pas envoyé d’argent depuis longtemps, et n’en avait pas à leur apporter… et elle ne serait pas bienvenue dans la famille sans rien à leur donner.
Je lui ai donc proposé de l’accompagner le lendemain chez sa mère, qui habitait alors à Bangkok, pour qu’elle puisse revoir sa mère et son fils, et récupérer ses papiers. Gi a accepté, et elle est sortie rendre visite à ses amies de la plage, en me promettant de rentrer pas trop tard. Elle n’est rentrée que le surlendemain matin, complètement ivre, en me demandant pardon les mains jointes d’un air totalement désespéré. L’avant-veille, ses amies l’avaient empêchée de retourner chez moi, et elle n’avait pas osé venir le lendemain. Par la suite elle n’a pas osé accepter ma proposition.
Mon amie a ensuite rencontré un Européen, qui est devenu son « petit ami » — c’est ainsi que les femme de Pattaya appellent les hommes avec qui elles vivent un temps plus ou moins long, en échange d’une aide matérielle importante, qui est présentée non comme un paiement, mais comme le fait normal qu’un petit ami fasse des cadeaux à sa petite amie et aide la famille de celle-ci dans le besoin. Les familles ont souvent beaucoup d’ingéniosité pour présenter des besoins urgents et dramatiques aux petits amis de leurs filles… C’est une façon de masquer la prostitution. Quand ce genre de relation aboutit à un mariage, le harcèlement de la famille devient parfois infernal pour le couple.
Elle est venue un jour me rendre visite avec lui. Celui-ci n’était au départ pas très à l’aise de venir chez moi, mais je l’ai accueilli le plus amicalement possible. Il a alors rapidement commencé à se confier à moi et à me raconter un évènement traumatisant de sa vie, survenu quelques années plus tôt, lors de la guerre en Irak, et qui l’avait visiblement anéanti.
L’Européen m’a dit qu’il voulait emmener Gi dans différentes villes de Thaïlande pour lui faire découvrir son propre pays, puis l’emmener à Khonkaen, pour qu’elle puisse refaire ses papiers d’identité.
Gi et son Européen ont vécu ensemble à Khonkaen pendant plusieurs semaines. Elle me donnait des nouvelles de temps en temps, la cohabitation semblait de plus en plus infernale… L’Européen passait son temps à boire avec ses amis, sans permettre à Gi de se joindre à eux. Il interdisait aussi à Gi de fréquenter ses propres amies, et même de leur téléphoner. Il voulait bien par contre qu’elle soit en contact avec moi, et il avait même proposé de me payer le trajet en bus pour que je vienne leur rendre visite à Khonkaen. Un jour Gi m’a dit qu’il l’avait menacée avec un couteau, suite à quoi elle avait rompu définitivement avec lui.
Il se trouve que Gi connaissait bien ma grande amie N., et qu’elles avaient même habité ensemble un temps l’année dernière. Fin juillet, j’étais allée à l’hôpital de Khonkaen auprès de N. qui s’était fait opérer. Gi aussi est venu lui rendre visite, et cela a été l’occasion pour qu’ensuite elle m’emmène dans son village de Khonkaen, où elle n’avait pas cessé d’habiter avec sa famille depuis sa rupture avec son petit ami européen.
J’ai pu me rendre compte avec tristesse que, comme pour d’autres amies se prostituant, la famille qui avait envoyé Gi chercher du « travail » à Pattaya était loin d’être dans la misère… Par contre, j’ai aussi pu constater avec joie que F. savait maintenant qui était sa mère, et que c’est Gi qu’il appelait « Maman » (« Mêê » en thaï).
merci merci de ton témoignage pour gi il y a des vies où la croix est si grande et prégnante qu’aujourd’hui en ce jour du 14 septemnbre jour de l’exaltation de la sainte croix ,nous pouvons croire et nous réjouir qu’au ciel ton amie est enfin heureuse .je pense souvent à ste Thérèse de l’enfant Jésus qui disait que si Dieu n’avait pas retiré les pierres de sa route , elle aurait pu être une prostituée
Merci Nathalie. Elle avait un Merci Nathalie. Elle avait un grand cœur, elle ne peut pas avoir refusé l’amour de Dieu à sa mort !
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Accueil » Personnages historiques » Cateau la Borgnesse, la femme qui dépucela Louis XIV
Louis XIV par Juste d’Egmont, en 1654
Manœuvre du lavement anal ©lepoint.fr
Hôtel de Beauvais ©unjourdeplusaparis.com
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Louis XIV a 14 ans, la majorité pour les Rois de France. Il est temps pour lui de goûter au plaisir charnel et de prouver qu’il est capable de donner un héritier au Royaume de France. Anne d’Autriche, la Régente et Reine-Mère, va s’en assurer. Son choix se porte sur Catherine-Henriette Bellier, surnommée Cateau la Borgnesse, sa femme de chambre. Cette femme au physique disgracieux et de 20 ans son aîné est chargée de déniaiser le Roi de France. Découvrez le portrait de Cateau la Borgnesse et les « dessous » de cette histoire de dépucelage royal.
Anne d’Autriche, Reine-Mère depuis le décès de son époux Louis XIII, a pris la régence du Royaume de France. Louis Dieudonné, héritier du trône, n’a alors que 5 ans. La régente a la mission d’assurer le maintien du pays, tout en préparant le jeune Louis à son rôle de Monarque.
Elle suit de près l’éducation de son fils tant aimé. Il faut dire que sa venue a longuement été désirée. Elle a attendu 23 ans de mariage pour mettre au monde son premier enfant, l’héritier du trône. Avec l’aide du Cardinal de Mazarin, Anne d’Autriche veille sur ses intérêts et son éducation : Histoire, art, danse, maniement des armes et devoirs religieux sont au programme. Celui que l’on surnommera plus tard le Roi-Soleil apprend tout ce qu’il faut pour devenir un grand Souverain. A l’instar de son frère cadet Philippe, dit Monsieur, qui est volontaire pouponné par sa mère. Pas question qu’il se rebelle contre son frère pour tenter de lui prendre sa place. 
Anne d’Autriche veille attentivement sur la vie intime de son fils aîné, et notamment sur sa capacité à procréer. Un bon Roi doit être capable d’assurer sa descendance et de donner un héritier au trône de France. Les craintes de la Régente sont légitimes. N’a-t-elle pas épousé un homme n’ayant aucun attrait pour la « galanterie » ? Le père de Louis XIV n’était que très peu porté sur la chose. Il se dit même que sa libido était inexistante envers les femmes. Anne d’Autriche ne souhaite pas que son fils prenne le même chemin. Et que dire de Monsieur, le frère cadet de Louis XIV ? Touché par le « vice italien », Philippe préfère la compagnie des jeunes jouvenceaux. Pour toutes ces raisons, la Reine-Mère veut s’assurer que l’héritier du trône aime les femmes, et lui donnera des petits-enfants.
Lorsque Louis XIV atteint l’âge de la puberté, sa mère Anne d’Autriche vérifie régulièrement et minutieusement ses draps. Elle recherche d’éventuelles traces séminales laissées par Louis XIV, joliment appelées « Carte de France ».
Un matin, son vœu s’exauce enfin. La nouvelle fait rapidement le tour du Louvres, lieu de villégiature de la Cour. Les médecins du jeune Roi ont découvert un liquide en grande quantité dans le lit de Louis XIV. Âgé maintenant de 14 ans – l’âge adulte pour un roi – celui-ci doit être initié à l’amour, autrement dit au plaisir charnel.
De nombreuses femmes de la Cour se portent volontaire. Vous imaginez bien…pouvoir initier le jeune roi offrirait une place importante dans la vie du souverain et certainement quelques privilèges. Se faire une place dans la vie de Louis XIV c’est se faire une place dans la haute société.
Anne d’Autriche prend les choses en main. Il faut lui trouver celle qui saura être à la fois bonne pédagogue, mais qui n’emportera pas le cœur du Roi pour autant. Pour cela, elle choisit elle-même celle qui aura cet honneur. Son choix se porte rapidement sur Catherine-Henriette Bellier, sa femme de chambre et confidente.
Catherine-Henriette Bellier naît en 1614 dans le Poitou. C’est la fille d’un commerçant de textile nommé Marin Bellier, et de Thoinette Nain. Catherine a grandi loin de la Cour et de la noblesse. En dépit de son manque d’instruction, elle fait preuve d’un esprit remarquable. A 20 ans elle épouse Pierre Beauvais. Cet honnête marchand drapier est le fournisseur de la Cour en textile. Sept enfants naîtront de cette union. C’est par l’intermédiaire de son époux que la future « Cateau la Borgnesse » fait son entrée au Louvre. Son caractère bien trempé la fera vite remarquer par Anne d’Autriche.
Catherine-Henriette Bellier est jugée fort laide et peu attrayante. Elle est loin d’avoir un physique pour plaire aux hommes, et encore moins au Roi. Une particularité fait sa légende : elle porte un œil de verre. Cela lui vaut le surnom peu flatteur de « la Borgnesse » ou « Cateau la Borgnesse ». Elle porte toute la journée un bandeau pour cacher sa borgne.
Malgré ce physique disgracieux, Catherine-Henriette manifeste très tôt un penchant pour la luxure. On lui prête cette phrase : « L’Amour, c’est le soleil après la pluie. Le sexe, c’est l’orage après le soleil ». Ce qui se vérifie dans les dires car elle eut beaucoup d’amants. On lui prête notamment des liaisons avec l’Archevêque de Sens et Louis-Henri Pardaillan de Gondrin.
Cette réputation de lubricité semble difficile à accorder avec le caractère pieu de la régente Anne d’Autriche. Contre toute attente, une complicité s’installe entre les deux femmes. Anne d’Autriche l’a fait entrer à son service en tant que femme de chambre et petit à petit Cateau gagne la confiance de la Reine-Mère. Il faut dire qu’elle a su se rendre indispensable. C’est elle qui lui insère le clystère pour le lavement anal quotidien, pratique courante au XVIIème siècle. Il se dit que le doigté de Cateau est à ravir, et seule la borgnesse prodigue ce soin à la perfection.
C’est donc tout naturellement qu’Anne d’Autriche fait appel à sa plus grande confidente pour déniaiser son fils. La confiance qu’elle lui accorde, et son expérience en la matière en font une candidate parfaite. Son physique peu attrayant en fait un choix encore plus judicieux. Il serait mal venu que Louis XIV en tombe amoureux. Certains évoquent même le terme de complot. Anne d’Autriche demande immédiatement ce service à sa confidente, sans même prendre l’avis de ses conseillers ou même du Roi. Ce sera Catherine-Henriette, et personne d’autre ! 
Alors âgé de 14 ans, Louis se fait un surprendre par Cateau la Borgnesse un matin lorsqu’il se trouve à l’écart dans le Louvre. La Borgnesse aurait « violé » le Roi afin de parvenir à ses fins. Tout cela, avec la bénédiction de la Reine-Mère. Une fois l’affaire conclue, Cateau vient informer Anne d’Autriche et lui dit « rassurez-vous ça se passe très bien et vous aurez très certainement de nombreux petits enfants ! ». Et l’Histoire confirme ses dires. Quant au Roi de France, on peut dire qu’il a apprécié cette première expérience. Il n’a pas tardé à retourner auprès de Catherine, pour parfaire ses connaissances dit-on. De 14 à 16 ans, le futur Roi-Soleil se rendra régulièrement auprès de sa première amante. Cateau la Borgnesse devient en quelque sorte la première maîtresse de Louis XIV . La première d’une longue liste. 
Pour son service rendu auprès du jeune Roi, la femme de chambre est grassement récompensée. La Reine-Mère lui offre un terrain au 68 rue François Miron dans le quartier du Marais à Paris, ainsi qu’une belle somme d’argent. Son époux recevant le titre de Baron, Cateau la Borgnesse devient Baronne. Elle reçoit le privilège de pouvoir assister à vie au lever du Roi de France, devant les princes de sang. Sur le terrain qu’elle reçoit, la Baronne fait construire l’Hôtel Beauvais de style baroque avec des pierres initialement prévues pour la construction du Louvre. Catherine le fait construire par Antoinette Lepautre, premier architecte du Roi. Il fera décorer l’Hôtel de têtes de Bélier, en hommage au nom des propriétaires. On y trouve également la sculpture d’un visage de femme, unique représentation dit-on de Cateau la Borgnesse. Un portrait très flatteur très flatteur quand on connaît le modèle. Les époux Beauvais font installer des boutiques en façades, afin d’en percevoir les loyers. L’Hôtel de Beauvais, actuel Cour administrative d’appel de Paris, accueille des noms illustres. Au XVIIIème siècle, l’ambassadeur de Bavière loue l’Hôtel. Mozart, alors âgé de 7 ans, y séjourne entre 1763 et 1764. La Reine Christine de Suède y réside également pendant son exil.
C’est du balcon de l’Hôtel de Beauvais qu’Anne d’Autriche et le Cardinal de Mazarin assistent le 26 août 1660, jour de l’inauguration, à l’entrée de Louis XIV et Marie-Thérèse d’Autriche pour fêter leur mariage royal. Madame de Maintenon , dernière épouse de Louis XIV, est également présente. Les futurs époux se rencontrent pour la première fois en ces lieux. Sans le savoir, Louis XIV et ses épouses sont rassemblés.
Ce jour-là, Catherine-Henriette ne dissimule pas sa fierté. Quelle belle revanche pour cette fille de commerçant, devenue femme de chambre, puis première maîtresse du Roi de France. Elle qui n’a pas reçu d’éducation a su se distinguer grâce à son esprit. Elle qui a souvent été stigmatisée par les courtisans est aujourd’hui Baronne, confidente de la Reine-Mère.
Par la suite, Cateau la Borgnesse rend très régulièrement visite à Louis XIV et Monsieur son frère. Elle est très attentionnée avec celui qui restera à jamais son « petit Louis ». Cateau la Borgnesse mène une existence galante, prenant amant sur amant. Elle se rend très régulièrement à Saint Germain, où le Roi de France l’accueille avec amitié. Il a gardé un grand respect pour celle qui lui a transmis le plaisir charnel.
Lorsque son époux le Baron de Beauvais décède, Catherine-Henriette accumule les dettes. Elle doit se résigner à se séparer de l’Hôtel de Beauvais et le mettre en vente. Mais Louis XIV, avec toute la considération qu’il a pour sa « toute première », rachète le lieu et l’offre en cadeau à Cateau. Peut-être une façon à lui de la remercier pour les services rendus il y a plusieurs dizaines d’années.
Alors âgée de plus de 70 ans, Cateau la Borgnesse se rend régulièrement au Château de Versailles. Ses rares apparitions font beaucoup de bruits à la Cour. Les courtisans sont toujours ravis de recevoir cette femme pleine d’esprit. La Baronne a l’honneur de pouvoir approcher le Roi et discuter avec lui, faisant fi de l’étiquette. Cateau la Borgnesse peut alors se féliciter du travail accompli dans l’éducation sexuel du jeune Louis XIV. La Baronne de Beauvais est en effet la première d’une longue liste de maîtresses. Avec plus de quarante maîtresses, dont 15 officielles, on peut dire que l’élève a largement dépassé le maître. Pleine de fierté, et après une vie fastueuse, Cateau la Borgnesse s’éteint en 1689 à plus de 75 ans.
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