Ca s'appelle pas une fellation pour rien

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Ca s'appelle pas une fellation pour rien
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Medisite > Bien-ĂȘtre et beautĂ© > Psycho / Sexo > Amour et SexualitĂ© > Ce que les hommes pensent vraiment lors d’une fellation
Que se passe-t-il dans la tĂȘte d'un homme lorsqu'il reçoit le cadeau ultime d'une fellation ? Pour le savoir, le site Refinery29 a directement posĂ© la question Ă  plusieurs volontaires. Voici leurs rĂ©ponses.
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Publié par Rédaction Medisite , le 18/04/2017 à 11:01
Ce n'est pas pour rien qu'on l'appelle la petite gĂąterie ! La fellation figure parmi les pratiques sexuelles prĂ©fĂ©rĂ©es des hommes. Mais que se passe-t-il dans la tĂȘte de ces messieurs quand ils reçoivent leur gĂąterie ? Pour le savoir, les auteurs du site Refinery29 n'y sont pas allĂ©s par quatre chemins, ils ont carrĂ©ment posĂ© la question Ă  plusieurs hommes.
"Oh mon dieu ça va arriver trop bien", rĂ©pond le premier volontaire un peu gĂȘnĂ© lorsqu'on lui demande sa premiĂšre pensĂ©e au dĂ©but de l'acte.
Mais quand leur partenaire pose vraiment les lÚvres sur leur membre, un sujet revient souvent dans leurs réponses : l'odeur. "J'espÚre toujours que la zone ne sent pas mauvais" exprime l'un d'entre eux.
Puis quand les premiÚres inquiétudes s'en vont, le plaisir prend place et devient difficile à contenir. "J'essaie de ne pas crier trop fort ou de ne pas dire des choses idiotes comme "oh, c'est super" ou des expressions de ce genre" avoue l'un d'entre eux.
"Au bout d'un certain moment je commence Ă  penser Ă  des choses terribles pour faire retomber la pression et ĂȘtre sĂ»r de ne pas venir tout de suite", poursuit le suivant.
Pour que ces messieurs prennent un maximum de plaisir, la réponse ne se fait pas attendre pour l'un d'eux : "J'aimerais qu'elle y prenne aussi du plaisir à le faire. Ce n'est pas la peine de jouer si ça ne t'amusera pas toi aussi."
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La fellation serait-elle le ciment du couple ? Paroles de femmes et d'hommes sur une pratique qui n'a aujourd'hui plus rien de taboue. Pipe, pipe hourra ?
« Je veux bien m’agenouiller, mais pas sans retour. Pas de cunni, pas de pipe ! Un jour, je suis tombĂ©e sur un maniaque de la turlutte. La seconde fois, j’ai rĂ©clamĂ© la rĂ©ciprocitĂ©, il m’a rĂ©pondu qu’il n’aimait pas ça. Ni une ni deux, je l’ai zappĂ©. DĂ©solĂ©e, mais on est en 2012 ! »
Bruno, 37 ans, en couple depuis deux ans
« La pipe est ma pratique favorite, je la prĂ©fĂšre Ă  la pĂ©nĂ©tration, les sensations sont plus variĂ©es. J’ai parfois du mal Ă  obtenir gain de cause. Je crois que les femmes ont peur qu’on ne les force Ă  aller au bout, alors je fais gaffe Ă  ça, et j’offre la rĂ©ciproque bien volontiers. »
Daphné, 36 ans, en couple depuis cinq ans
« Je pratique la fellation spontanĂ©ment. MoitiĂ© en prĂ©liminaires, moitiĂ© en plat de rĂ©sistance ! Quand j’ai vraiment envie de “ça”, j’utilise de la chantilly ou du chardonnay, je m’amuse avec son pĂ©nis, que j’aime renifler et voir de prĂšs. Je n’ai jamais eu d’orgasme en suçant, mais ça m’excite beaucoup. Un mec m’a dit, un jour, que j’étais la meilleure pipeuse qu’il ait connue, ça m’a beaucoup flattĂ©e. J’ai souvent fait hurler mes partenaires de plaisir, ça me donne un sentiment de toute-puissance, c’est jouissif mentalement ! Un psy m’a expliquĂ© : “Pour rendre un homme heureux, aimez son sexe.” Je crois que si toutes les femmes comprenaient ça, elles seraient plus heureuses avec leur mec. »
Julie, 35 ans, en couple depuis sept ans
« La pipe, ça doit toujours venir de moi : ça ne se demande pas, ça s’accueille ! Je ne supporte pas qu’on m’appuie sur la tĂȘte. Cela dit, je le fais avec plaisir, c’est rigolo, comme une expĂ©rience de chimie Ă  l’école : on observe de prĂšs le tube Ă  essai ! Et puis c’est amusant Ă  pratiquer. Je ne demande jamais la rĂ©ciprocitĂ©, ça non, je suis une femme de gauche, je suis pour le gratuit, trĂšs 2.0, quoi. Je donne, et comme il est bien Ă©levĂ©, il donne en retour, pas forcĂ©ment illico, mais la fois suivante. La fellation, c’est une reprĂ©sentation de la bonne entente entre les sexes et, oui, j’ose, un acquis fĂ©ministe. Je trouve que ça Ă©quilibre bien les forces en prĂ©sence : je prends beaucoup de place et de pouvoir Ă  la maison. Une petite pipe calme le jeu, met de la douceur, lui permet de croire qu’il est le boss, ce qui tombe bien Ă  un moment oĂč je gagne plus que lui. Finalement, chacun a l’impression de dominer l’autre, c’est ça, le gĂ©nie de la pipe ! »
Laurent, 44 ans, marié depuis seize ans
« Les hommes pensent beaucoup, beaucoup plus souvent Ă  la pipe que les femmes. Ma femme m’en offre rĂ©guliĂšrement, ce qui est indispensable, mais est-ce assez ? En mĂȘme temps, la pipe, c’est comme un clos des papes 1995 ou des Ɠufs brouillĂ©s Ă  la truffe : tous les jours, on s’en lasserait, Ă  coup sĂ»r ! »
Marianne, 38 ans, en couple depuis dix ans
« Je ne conçois pas de rapport sexuel sans fellation ! Ce qui signifie que c’est davantage en prĂ©liminaires qu’en pratique seule. Je le fais avec plaisir et pour lui faire plaisir, “gratuitement” bien sĂ»r, mais le lit est le seul domaine de notre vie oĂč on partage les tĂąches Ă  50/50 ! J’avoue que je ne comprends pas trop les femmes qui n’aiment pas ça, puisque ça nous donne tous les pouvoirs : celui de le garder, de nous rĂ©concilier, de le rendre fou... Alors oui, j’en joue ! »
Bertrand, 45 ans, marié depuis cinq ans
« La pipe est incontournable dans la vie sexuelle du couple, pas forcĂ©ment au quotidien, disons comme un extra voluptueux. Certaines femmes la pratiquent pour Ă©viter d’ĂȘtre pĂ©nĂ©trĂ©es, je me demande si, parfois, ce n’est pas le cas de la mienne. Peu importe, d’ailleurs, car elle se dĂ©brouille trĂšs bien ! Ce qui n’est pas le cas de toutes les filles que j’ai croisĂ©es quand j’étais cĂ©libataire : trop inspirĂ©es par les films, sans doute, elles se livraient Ă  des prestations frĂ©nĂ©tiques. Parfois, ça me faisait mal, mais je n’osais rien dire, elles y mettaient tant de bonne volontĂ© ! »
Alice, 46 ans, en couple depuis sept ans
« Pour notre couple, la fellation est indispensable. Je la pratique souvent, en allant au bout ou pas ; cela se joue en un regard avec lui, c’est une complicitĂ© joyeuse. J’ai beaucoup d’appĂ©tit pour le sexe, rien ne me dĂ©goĂ»te. Je ne demande jamais rien en retour, les choses viennent spontanĂ©ment. La pipe, il faut s’y intĂ©resser, apprendre Ă  bien la faire. L’indispensable ciment du couple, c’est d’avoir en tĂȘte ce qui peut combler l’autre. Le sexe n’est que la prolongation des conversations amoureuses. Penser Ă  l’autre, anticiper son plaisir Ă©vite les frustrations. »
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Et si la fellation, autrefois taboue, Ă©tait devenue le ciment du couple ? La gĂąterie qui rĂ©sout les fĂącheries, booste la libido et la complicité  EnquĂȘte auprĂšs de femmes souvent enthousiastes et d’hommes reconnaissants.
1972 : le film « Gorge profonde », glorifiant la fellation dans sa forme extrĂȘme, sort aux États-Unis, provoquant un scandale sans prĂ©cĂ©dent. 2012 : la France Ă©lit François Hollande Ă  la tĂȘte de la RĂ©publique. Quel rapport, vous demandez-vous ? Aucun, a priori. Sauf que quarante ans aprĂšs les exploits buccaux de Linda Lovelace dans ledit film culte, la pipe est devenue « normale », Ă  l’image de notre nouvelle prĂ©sidence. Elle s’est dĂ©mocratisĂ©e, rĂ©pandue, banalisĂ©e. Pour preuve, cette Ă©tude de l’Ifop de mars dernier, rĂ©vĂ©lant que 81 % des femmes de gauche auraient dĂ©jĂ  pratiquĂ© la fellation (contre 69 % pour les Ă©lectrices de droite, que l’on sait plus ĂągĂ©es). Au-delĂ  du clin d’Ɠil politique, ce qui frappe, c’est la force des chiffres : autrefois considĂ©rĂ©e comme une pratique de professionnelles (dans les annĂ©es 50, seule une femme sur deux avouait s’y ĂȘtre adonnĂ©e au moins une fois), la fellation a quittĂ© le domaine de la pornographie et de la prostitution pour s’immiscer dans la vie sexuelle de tout un chacun. Selon la derniĂšre Ă©tude sociologique française d’envergure sur la sexualitĂ© (1), 88,5 % des femmes de 35-39 ans et 90,5 % des hommes du mĂȘme Ăąge ont fait l’expĂ©rience de la pipe. En ce qui concerne la pratique rĂ©guliĂšre, on frĂŽle les 70 % chez les 25-34 ans. Bref, aujourd’hui, on suce comme on respire, et les jeunes hommes, biberonnĂ©s au cyberporn, considĂšrent la « plume » comme un dĂ».
(1) « EnquĂȘte sur la sexualitĂ© en France. Pratiques, genre et santĂ© », de Nathalie Bajos et Michel Bozon (Ă©d. La DĂ©couverte).
« Je n’imagine mĂȘme pas, quand je rencontre une fille, qu’elle puisse me refuser ça ! » s’exclame Julien, cĂ©libataire de 26 ans. « D’ailleurs, la plupart du temps, elles descendent toutes seules, pas besoin de demander », poursuit-il. MĂȘme son de cloche chez tous nos tĂ©moins masculins interrogĂ©s, qui emploient des mots sans appel : pour eux, la pipe est « obligatoire », « incontournable », « souhaitable », bref, carrĂ©ment indispensable Ă  leur sexualitĂ©. « Les gens ont parfaitement intĂ©grĂ© la fellation dans un rapport sexuel “normal”, confirme Damien Mascret, mĂ©decin sexologue. Elle est devenue une figure imposĂ©e de la sexualitĂ©, mĂȘme si 10 Ă  20 % des individus, y compris chez les jeunes, n’en sont pas adeptes. Aujourd’hui, deux tiers des couples pratiquent rĂ©guliĂšrement le sexe oral, fellation ou cunnilingus. Et dans la grande majoritĂ© des cas, cela semble fait avec plaisir, ou, en tout cas, sans dĂ©plaisir. La fellation n’est plus du tout vĂ©cue comme une transgression, contrairement Ă  la sodomie. Une fois cela posĂ©, chacun choisit d’entrer ou pas dans la norme. » De fait, les femmes que nous avons interrogĂ©es ne se dĂ©robent pas : elles ont parfaitement digĂ©rĂ© l’idĂ©e que la pipe est un facteur important du dĂ©veloppement durable de leur couple. Si deux d’entre elles, parmi les plus jeunes, avouent courageusement qu’elles considĂšrent la fellation comme transgressive et disent « beurk, beurk » sans se soucier du climat ambiant du « tout-le-monde-le-fait-donc-je-m’y-colle », la grande majoritĂ© s’y prĂȘte de bonne grĂące, « pour faire plaisir », et quelques-unes s’en donnent Ă  cƓur joie, tout simplement parce qu’elles adorent jouer de la « flĂ»te enchantĂ©e », ce qu’elles assument haut et fort.
« Cela correspond tout Ă  fait Ă  ce que j’ai observĂ©, note le Dr Mireille Dubois-Chevalier, sexologue. Face Ă  la fellation, les femmes se divisent en trois groupes : les plus nombreuses sont celles que cela ne dĂ©range “pas trop”, qui pratiquent la fellation sans conviction mais avec gĂ©nĂ©rositĂ©, pour rĂ©pondre au dĂ©sir de leur partenaire. D’autres, pas si rares, souffrant sou
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