Brutalité à son apogée

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Brutalité à son apogée

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Deux Basile restaurent l'Empire d'Orient

Publié ou mis à jour le : 2021-03-24 08:41:13

Quel drame, en 1568, mena à l'indépendance des Pays-Bas ?

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Héritier de la dynastie macédonienne fondée un siècle plus tôt, Basile II porta Byzance à son apogée en près d'un demi-siècle de règne. Le basileus annexa à l'empire l'Italie du Sud, l'Arménie, une partie de l'Asie mineure... Toutefois, ses succès épuisèrent le Trésor public. De plus, Basile II fit preuve d'une grande brutalité à l'égard des Bulgares, de sorte qu'il resta connu dans la postérité sous le surnom de Basile le Bulgaroctone (en français, le « tueur de Bulgares » ).
Cinq siècles après la fondation de Constantinople , l'empire romain d'Orient fait mauvaise figure, malmené par les querelles de palais, les disputes théologiques et les assauts des Bulgares. Mais il va se relever de façon quasi-miraculeuse grâce à un ancien garçon d'écurie devenu le favori du basileus Michel III l'Ivrogne ! Il fait assassiner celui-ci et prend sa place sur le trône le 23 septembre 867 sous le nom de Basile Ier. Comme le nouvel empereur est né en Macédoine, sa dynastie sera dite « macédonienne » .
Basile et ses successeurs consolident l'État et profitent de la faiblesse de leurs voisins pour repousser les frontières de l'empire avec leur armée de mercenaires. Le 10 janvier 976, deux arrières-petits-fils de Basile Ier accèdent ensemble au trône sous les noms de Constantin VIII et Basile II.
En 976, Basile II et Constantin VIII ne sont encore que des enfants, aussi, leur grand-oncle Basile Lécapène assure-t-il la régence. Mais en grandissant, Basile II prend goût au pouvoir et à la politique. En 985, il exile son grand-oncle et écarte son frère. Le voilà seul sur le trône.
Basile II conquiert la Géorgie, l'Arménie, une partie du Caucase et des territoires arabes (Syrie). 
Le 29 juillet 1014, son armée remporte une victoire magistrale sur les Bulgares dans la passe de Kleidion (actuelle Bulgarie). Selon la chronique, le basileus aurait alors fait crever les yeux de 15 000 prisonniers bulgares, 150 étant épargnés et « seulement » éborgnés afin qu'ils puissent guider leurs infortunés compagnons jusqu'à leur souverain.
Il noue aussi des alliances matrimoniales et marie sa soeur Anne au grand-prince de Kiev Vladimir le Grand en 988. En échange de quoi celui-ci se convertit au christianisme.
L'empereur accorde aussi un statut commercial privilégié à Venise . Cette alliance va asseoir la prospérité de la Sérénissime République .
À l'intérieur, le basileus impose la restitution aux petits propriétaires de toutes les terres qui leur ont été confisquées.
Basile II meurt sans héritier le 15 décembre 1025. La dynastie macédonienne s'éteint avec lui et, très vite, l'empire replonge dans les querelles intestines et les coups d'État à répétition, pendant que les Turcs pointent le bout de leurs nez en Asie mineure.
Etudiante en Master de Journalisme culturel à l'université Sorbonne Nouvelle-Paris 3, Pénélope Pélissier est titulaire d'un Master en Edition multimédia et d'une Maîtrise d'Histoire. Elle se passionne pour l'Histoire de l'Europe centrale depuis son séjour à Prague en 2017.
Après avoir soutenu un mémoire sur les jumelages franco-allemands au XXème siècle, elle travaille désormais sur la représentation de Napoléon Bonaparte dans la presse magazine d'Histoire.
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Philippe II, en qualité de chef de la Contre-Réforme catholique, voulut remettre de l'ordre dans ses provinces rebelles. En août 1567, il nomma un nouveau gouverneur des Pays-Bas en la personne du duc d'Albe, à la sinistre réputation. Arrivé à Bruxelles avec le titre de vice-roi, il mena une répression sanglante, émaillée de 8 000 victimes, qui culmina avec l’exécution des comtes d'Egmont et de Hoorn le 5 juin 1568. Leur mort marqua le début de la « Guerre de Quatre-Vingts ans » qui entraîna l’Union d’Utrecht en 1579 et déboucha sur la reconnaissance par l'Espagne, en 1648, de l'indépendance de la République des Provinces-Unies.
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Veille Cyber N400 – 15 aout 2022 | on
Une manifestation à Bruxelles contre la mort d’un homme alors qu’il était en garde à vue a tourné à la violence mercredi alors que des manifestants se sont affrontés avec des officiers et que la voiture du roi belge Philippe a même été prise dans le feu croisé.
Les manifestants ont lancé des projectiles, tandis que la police a utilisé des gaz lacrymogènes pour disperser la foule, qui s’est rassemblée devant un poste de police près de la gare du Nord. La manifestation, qui à son apogée a attiré quelque 400 personnes, selon la police, a été organisée après la mort d’un homme identifié comme Ibrahima B., 23 ans, à la suite de son arrestation samedi dans des circonstances qui font toujours l’objet d’une enquête.
La police a déclaré avoir ouvert une enquête interne sur l’affaire.
La mort d’Ibrahima a soulevé un examen plus approfondi de la police bruxelloise et des plaintes pour brutalités policières à la suite d’autres affaires très médiatisées dans lesquelles des jeunes hommes, pour la plupart d’origine moyen-orientale ou nord-africaine, ont été tués alors qu’ils interagissaient avec des policiers. Des milliers de personnes se sont rassemblées dans la capitale belge l’été dernier pour des manifestations faisant écho au mouvement Black Lives Matter aux États-Unis, appelant à la justice après la mort d’un homme de 19 ans identifié comme Adil, qui a été tué alors qu’il aurait fui un contrôle de police.
En 2019, un garçon de 17 ans a été heurté par un véhicule de police et est décédé plus tard.
Le roi et son chauffeur sont tombés sur la manifestation de mercredi alors qu’ils se dirigeaient du Palais Royal, dans le centre de la ville, vers la résidence royale de Laeken, a rapporté Le Soir. Sa voiture était à portée des projectiles, mais n’a pas été arrêtée par les manifestations, selon le journal.
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1 Mobilisation forcée dans l'industrie allemande

1.1 Classifications des travailleurs

4 Controverses sur l'indemnisation des victimes
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Travailleurs forcés posant des câbles à Ostende (Belgique) en 1941.
Travailleuses forcées à Riga (Lettonie) le 11 juillet 1941.
Article détaillé : Organisation Todt .

↑ En septembre 1943, l'Italie avait changé de camp et, dans le nord de l'Italie, l'État fantoche de la République sociale italienne fut établi ; celui-ci est donc inclus dans l'Europe occidentale occupée. La Bulgarie, la Hongrie et la Roumanie ne changeront pas de camp avant l'été 1944 et sont incluses dans la section des alliés allemands.







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Le recours au travail forcé et à l' esclavage dans le Troisième Reich et dans toute l' Europe sous domination nazie pendant la Seconde Guerre mondiale fut d'une ampleur sans précédent [ 1 ] . Ce fut une part importante, considérée comme vitale, de l' exploitation économique allemande des territoires conquis, contribuant également à l'extermination massive des populations en Europe occupée par les Allemands. Les Allemands ont environ mobilisé 12 millions de personnes dans près de vingt pays européens ; les deux tiers environ venaient d' Europe centrale et d' Europe de l'Est [ 2 ] . De nombreux travailleurs succombèrent en raison de leurs conditions de vie : mauvais traitements, une malnutrition sévère, ou sous la torture, ce qui était les principales causes de décès.

De nombreux autres devinrent des victimes civiles des bombardements ennemis sur leurs lieux de travail (notamment les usines) tout au long de la guerre [ 3 ] . À son apogée, les travailleurs forcés représentaient 20 % de la main-d'œuvre allemande. En comptant les décès et le renouvellement des effectifs, environ 15 millions d'hommes et de femmes furent travailleurs forcés à un moment donné pendant la guerre [ 4 ] .

La défaite de l'Allemagne nazie en 1945 fit libérer environ 11 millions d'étrangers (classés comme « personnes déplacées » ), dont la plupart étaient des travailleurs forcés et des prisonniers de guerre . En temps de guerre, les forces allemandes déportèrent dans le Reich 6,5 millions de civils en plus des prisonniers de guerre soviétiques pour du travail forcé dans les usines [ 2 ] ; les renvoyer chez eux fut une priorité pour les Alliés. Cependant, concernant les citoyens de l'URSS, le retour signifiait souvent des soupçons de collaboration et donc une déportation vers le Goulag . L' Administration des Nations unies pour le secours et la reconstruction (UNRRA), la Croix-Rouge et les opérations militaires ont fourni de la nourriture, des vêtements, un abri et une assistance pour leur retour chez eux. En tout, 5,2 millions de travailleurs étrangers et de prisonniers de guerre ont été rapatriés en Union soviétique, 1,6 million en Pologne , 1,5 million en France et 900 000 en Italie , ainsi que 300 000 à 400 000 en Yougoslavie , en Tchécoslovaquie , aux Pays-Bas , en Hongrie et en Belgique [ 5 ] .

La politique hitlérienne de « Lebensraum » a fortement insisté sur la conquête de nouvelles terres à l'Est, connues sous le nom de Generalplan Ost , et sur l'exploitation de ces terres pour fournir des biens et de la main-d'œuvre bon marché à l'Allemagne. Même avant la guerre, l' Allemagne nazie maintenait une réserve de main-d'œuvre esclave . Cette pratique a débuté dès les premiers jours des camps de travail , peuplé par d' « éléments peu fiables » ( allemand : unzuverlässige Elemente ), tels que les sans-abri, homosexuels , criminels, dissidents politiques, communistes , juifs et toutes personnes indésirables au yeux du régime nazi. Pendant la Seconde Guerre mondiale , les nazis ont exploité plusieurs catégories d' Arbeitslager (camps de travail) pour différentes catégories de détenus. Les prisonniers des camps de travail nazis étaient exploités jusqu'à la mort avec de courtes rations et dans de mauvaises conditions, ou tués s’ils devenaient incapables de travailler. Beaucoup sont morts des suites du travail forcé sous les nazis [ 2 ] .

Après l' invasion de la Pologne , les Juifs polonais ou simples Polonais âgés de plus de 12 ans vivant au gouvernement général ont été soumis au travail forcé [ 6 ] . L'historien Jan Gross estime que « pas plus de 15 % » des travailleurs polonais se sont portés volontaires pour aller travailler en Allemagne [ 7 ] . En 1942, tous les non-Allemands vivant dans le gouvernement général étaient soumis au travail forcé [ 8 ] .

Le plus grand nombre de camps de travail détenait des civils enlevés de force dans les pays occupés (voir Łapanka ) pour fournir de la main-d'œuvre dans l'industrie de guerre allemande, réparer des voies de chemins de fer et des ponts bombardés ou travailler dans des fermes. Le travail manuel était une ressource très demandée, car une grande partie du travail aujourd’hui effectué avec des machines était encore une affaire manuelle dans les années 1930 et 1940 — pelletage , manutention , usinage et bien d'autres. Au fur et à mesure de la progression de la guerre, l'utilisation de la main-d'œuvre esclave a augmenté massivement. Des prisonniers de guerre et civils « indésirables » ont été amenés des territoires occupés. Des millions de Juifs, de Slaves et d'autres peuples conquis ont été utilisés comme travailleurs esclaves par des sociétés allemandes, telles que :

ainsi que les filiales allemandes d'entreprises étrangères, telles que Fordwerke (filiale de Ford ) et Opel (filiale de General Motors ) entre autres [ 10 ] . Une fois la guerre commencée, les filiales étrangères ont été saisies et nationalisées par l'État allemand sous contrôle nazi, et les conditions de travail s'y sont détériorées, comme ce fut le cas dans toute l'industrie allemande. Environ 12 millions de travailleurs forcés, dont la plupart étaient des Européens de l'Est , ont été employés dans l' économie de guerre allemande à l'intérieur de l' Allemagne nazie pendant toute la durée de la guerre [ 11 ] . Le besoin allemand de travail forcé a augmenté au point même d'utiliser la main d'œuvre enfantine pour travailler dans une opération appelée Heuaktion . Plus de 2 000 entreprises allemandes ont profité du travail forcé pendant l'ère nazie, dont la Deutsche Bank et Siemens [ 12 ] .

Un système de classes a été créé parmi les Fremdarbeiter (« travailleurs étrangers ») amenés en Allemagne pour travailler pour le Reich. Le système était basé sur des classes de travailleurs de moins en moins privilégiés, à commencer par des travailleurs bien rémunérés des alliés de l'Allemagne ou des pays neutres aux travailleurs forcés des populations Untermenschen conquises (« sous-humains »).

En général, les travailleurs étrangers d'Europe occidentale touchaient des revenus bruts similaires et étaient soumis à une imposition similaire à celle des travailleurs allemands. En revanche, les travailleurs forcés d'Europe centrale et orientale ont perçu tout au plus environ la moitié des gains bruts versés aux travailleurs allemands, bénéficiant également beaucoup moins d'avantages sociaux [ 2 ] . Les travailleurs forcés considérés prisonniers de camps de concentration recevaient peu ou pas de salaire et d'avantages [ 2 ] . L'insuffisance des gains nets des travailleurs forcés d'Europe centrale et orientale (par rapport aux travailleurs forcés des pays occidentaux) est illustrée par les économies de salaire que les travailleurs forcés ont pu transférer dans leur famille, au pays ou à l'étranger (voir tableau).

Les nazis ont interdit les relations sexuelles entre Allemands et travailleurs étrangers [ 17 ] . Des efforts répétés ont été faits pour propager le Volkstum (« conscience raciale »), pour empêcher de telles relations [ 18 ] . Des brochures, par exemple, ont enjoint à toutes les femmes allemandes d'éviter tout contact physique avec tous les travailleurs étrangers amenés en Allemagne, afin d'éviter « l'impureté [ 19 ] » . Les femmes ayant désobéi ont été emprisonnées [ 20 ] . Même la fraternisation avec les travailleurs était considérée comme dangereuse et ciblée par des campagnes de brochures en 1940-1942 [ 21 ] . Les soldats de la Wehrmacht et les officiers SS étaient exemptés de telles restrictions. On estime qu’au moins 34 140 femmes d’Europe de l’Est arrêtées à Łapanka et forcées de servir d’ esclaves sexuelles dans les bordels militaires allemands et les maisons closes des camps pendant le III e Reich [ 22 ] , [ 23 ] . Rien qu'à Varsovie , cinq établissements de ce type ont été mis en place sous la garde militaire en septembre 1942 , avec chacun plus de 20 chambres. L'alcool n'y était pas autorisé, contrairement au front de l'Ouest , et les victimes subissaient des examens génitaux une fois par semaine.

À la fin de l'été 1944, les chiffres indiquaient 7,6 millions de travailleurs civils étrangers et prisonniers de guerre sur le territoire allemand, dont la plupart y ont été amenés par coercition [ 13 ] . En 1944, le travail des esclaves représentait le quart de la main-d'œuvre allemande et la majorité des usines allemandes comptaient un contingent de prisonniers [ 24 ] . Les nazis possédaient également des plans pour la déportation et l'asservissement de 50 % de la population masculine adulte britannique en cas d' invasion réussie [ 25 ] .

L' Organisation Todt était un groupe de génie civil et militaire du Troisième Reich . Elle portait le nom de celui qui a été son fondateur et son dirigeant jusqu'en 1942, Fritz Todt , un ingénieur et une figure importante du nazisme, en tant que mandataire général pour la régulation de l'industrie du bâtiment ( Generalbevollmächtigter für die Regelung der Bauwirtschaft ). L'Organisation a été chargée de la réalisation d'un grand nombre de projets de construction, dans les domaines civil et militaire, tant en Allemagne , durant la période qui a précédé la Seconde Guerre mondiale et pendant celle-ci, que dans les pays d' Europe sous domination nazie , de la France à la Russie . La plupart des travailleurs soviétiques dits « volontaires » de prisonniers de guerre ont été affectés à l'Organisation Todt [ 26 ] . L'histoire de l'organisation se divise en trois phases principales [ 27 ] :

Des millions de Juifs servaient de travailleurs forcés dans des ghettos , avant d'être envoyés dans des camps d'extermination . Les nazis ex
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