Brunette de 19 ans souleve son tee shirt

🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

Brunette de 19 ans souleve son tee shirt

Société Faits divers Politique Monde Santé Justice

Seine-et-Marne : Un prisonnier en cavale va voir une dernière fois sa mère mourante à l’hôpital
Le baron de la drogue du dark web bientôt incarcéré en France ?


Une faute ?


5


commentaires


2

partages



Partager sur Messenger




Partager sur Facebook




Partager sur Twitter




Partager sur Flipboard




Partager sur Linkedin





Sauvegarder l'article




En vous inscrivant à cette newsletter, vous rejoignez la communauté 20 Minutes – Pourquoi je deviens membre 20 Minutes ?


La politique RSE de 20 Minutes est certifiée par le label Silver d’Ecovadis

Merci de lire 20 Minutes ! Nous respectons votre vie privée et c’est grâce à la publicité que nous vous permettons de recevoir à chaque instant une information de qualité gratuitement.
En acceptant ces cookies vous pourrez déguster l’actualité chaude et croquante, garnie avec les pépites du web , ou vous pouvez aussi Continuer sans accepter
*20 Minutes a été élue marque préférée des Français dans la catégorie presse d’information nationale, dans le cadre d’une étude réalisée en juin 2022 avec l’institut OpinionWay, auprès d’un échantillon représentatif de la population française.
Lire le journal du
vendredi 09 septembre

Justice Condamné pour avoir scarifié son codétenu avec un rasoir à Saint-Brieuc

PRISON Soupçonnant son codétenu d’être un « pointeur », l’individu lui avait inscrit le mot « viol » sur le ventre
Un homme incarcéré à la maison d’arrêt de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor) était jugé mardi en comparution immédiate pour des violences aggravées sur un codétenu, rapporte Ouest-France . L’affaire remonte au printemps. A cette période, un jeune détenu de 19 ans avait été affecté dans une autre cellule après qu’un autre prisonnier ait tenté de l’étrangler. Une rumeur circulait alors au sein de l’établissement, le jeune homme étant soupçonné d’être un « pointeur ».
Devant ses nouveaux codétenus qui lui demandaient des explications, ce dernier leur avait alors avoué avoir été agressé et scarifié avec une lame de rasoir dans les douches. Il avait ensuite soulevé son tee-shirt et montré son ventre sur lequel était inscrit le mot « viol » en lettres capitales, précise le quotidien.
La direction de l’établissement pénitentiaire alerté, une enquête avait démarré et l’un des agresseurs avait été clairement identifié par la victime. A la barre, le prévenu, désormais détenu dans une autre prison, a nié les faits alors que les images de vidéosurveillance attestent de sa présence dans les douches au moment des faits.
Le tribunal l’a condamné à quatre ans de prison ferme.

08/09/21 | CA DEPASSE

Bretagne : « La balayeuse »… Un automobiliste verbalisé pour avoir…

07/09/21 | BRACONNAGE

Six ans de prison requis pour un trafiquant de cornes de rhinocéros

07/09/21 | BRACONNAGE

Finistère : Des pêcheurs d’ormeaux en infraction sanctionnés d’une lourde…

Choix de consentement © Copyright 20 Minutes - La fréquentation de 20 Minutes est certifiée par l’ACPM


Nous respectons votre vie privée Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Fonctionnement , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit

Saisissez votre adresse e-mail et suivez les instructions envoyées par email





× Fermer
Inscrivez-vous à La Nouvelle République


Vous possédez déjà un compte ? Connectez-vous






Blois






Un ancien militaire blésois aux Invictus Games





Un ancien militaire blésois aux Invictus Games




Titre





Armée

Handisports

A la Une local


Blois

Sports








PanneauPocket : une application qui séduit les communes rurales




Il avait incendié deux véhicules




Il monte dans le mauvais train et dégrade plusieurs voitures




Recevez nos newsletters, bénéficiez de 10 articles offerts par mois, et bien
d'autres avantages encore...
Créez votre compte pour gérer votre abonnement directement en ligne !

 Les informations recueillies ci-dessus sont destinées aux Sociétés du Groupe La Nouvelle République
pour assurer la création et la gestion de votre compte, ainsi que des abonnements et autres services
souscrits. Elles seront également utilisées sous réserve des options souscrites par vos soins, par
La Nouvelle République, pour d'autres finalités commerciales et publicitaires telles que détaillées
dans la politique de confidentialité.

Vous bénéficiez d'un certain nombre de droits, y compris celui de demander l'accès, de modifier ou
de supprimer vos données personnelles, ou de modifier vos préférences marketing. Pour connaître
l'ensemble de vos droits et plus largement nos pratiques en matière de traitement et protection
des données personnelles, nous vous invitons à consulter
notre politique de confidentialité.

Publié le

05/01/2019 à 08:55
| Mis à jour le

07/01/2019 à 18:40



Cyrille, militaire de 32 ans, a perdu ses jambes à la suite d’une explosion lors d’une mission au Moyen-Orient.

© (Photos NR, Jérôme Dutac)

Parachutiste militaire, Cyrille perd ses jambes en 2016 dans une explosion. En octobre, il participait aux Invictus Games, défi sportif pour blessés de guerre.
Cyrille rejoint l’armée de l’air en 2005, à l’âge de 19 ans. Il est parachutiste, chuteur opérationnel. Il devient caporal-chef et enchaîne les missions. « J’ai fait l’Afghanistan, le Tchad ou encore le Mali. » Sa vie bascule au cours de l’une de ces missions, en 2016, au Moyen-Orient. « J’ai été victime d’une explosion. » Sa jambe gauche est arrachée, la droite amputée à son retour à Paris. « Le sang ne circulait plus. Les médecins ont essayé de créer des déviations via des artères. Mais ça n’a pas fonctionné. Ils ont amputé progressivement : la moitié du pied, la cheville, le tibia et au-dessus du genou », détaille Cyrille, aujourd’hui âgé de 32 ans.
Originaire de Bordeaux, il vit à Blois avec sa femme Radia qu’il épouse dix jours avant l’explosion. Cyrille passe plus d’un an à l’hôpital. D’abord au service réanimation. « J’étais drogué, sous antibiotiques. » Son état de santé doit être stabilisé. Il a un fémur cassé et de nombreuses autres complications. Il soulève son tee-shirt pour montrer une grosse cicatrice qui coupe son ventre en deux.
En juillet 2017, il obtient ses prothèses de jambes. Elles sont décorées du patch de son groupe militaire et d’une représentation de saint Michel, saint patron des paras. Chacune est équipée d’un gyroscope, d’un accéléromètre, d’un vérin et d’un microprocesseur qui compense la démarche. « C’est ce qu’il y a de mieux sur le marché », note Cyrille. Depuis novembre 2017, il vit en autonomie chez lui.
“ Le sport permet surtout de m’évader ” C’est d’ailleurs son leitmotiv. « Je veux être autonome. A l’hôpital, je commençais à saturer au niveau psychologique. Je voulais être libre de faire ce que je voulais. »
Une semaine après être sorti de l’hôpital, il allait au club handisport de Blois. « Là-bas, j’ai rencontré un homme qui a perdu 5 ans de sa vie. Il était resté chez lui. Il avait peur du regard des autres », raconte Cyrille. Lui ne voulait pas perdre ce temps. Pour trouver la motivation, il cherche des sources d’inspiration parmi des personnes amputées des deux cuisses, qui marchent et pratiquent la course à pied. Mais Cyrille est presque le seul. « J’ai finalement découvert un Américain, amputé des jambes et d’un bras. Il publie des vidéos sur Internet . »
Cet exemple motive Cyrille. Il reprend le sport régulièrement, participe à des stages organisés par des associations et par l’armée. Il va à la salle de sport, conduit, fait de la moto. Parfois, il a des baisses de moral. Il en parle peu : « Les militaires sont formés pour y faire face. J’essaie de me souvenir de mes objectifs ».
« Je voyais Cyrille avancer chaque jour », poursuit Guillaume, en visite chez son ami. Lui aussi a été victime de l’explosion. Il a été amputé de la jambe droite, au niveau du tibia. Ils se sont reconstruits ensemble.
En octobre dernier, deux ans après l’explosion, les deux amis ont participé aux Invictus Games à Sydney en Australie. C’est une compétition sportive pour les blessés et les vétérans de guerre. « Notre but était de tout faire pour participer aux Invictus », insiste Cyrille. Les médecins étaient contre. « Nous étions justes sortis de l’hôpital. Une défaite aux Invictus peut être un coup au moral. »
A force de conviction, les deux amis s’envolent pour l’Australie. Lui participe à six sports : le volley assis, le rugby fauteuil, la natation, la voile, l’athlétisme et la force athlétique. Il ramène une médaille d’or en voile.
« Le sport permet surtout de m’évader, de rencontrer de nouvelles personnes. Je ne reste pas chez moi à ne rien faire », souligne Cyrille. En février, il portera en Croatie les couleurs de la Team France de volley assis. Mais avant, fin janvier, il s’essaiera au ski alpin lors d’une étape de Coupe de France, « pour voir le niveau. »

Une prothèse de jambe coûte 120.000 euros. Le financement est aidé par la sécurité sociale militaire et des associations.

© Photo NR

À Montrichard, la Gend'Run collecte 22.000 € pour deux associations
Saint-Maixent : un raid cycliste solidaire pour les blessés de guerre passe par l'Ensoa


À Montrichard, la Gend'Run collecte 22.000 € pour deux associations



Saint-Maixent : un raid cycliste solidaire pour les blessés de guerre passe par l'Ensoa


Nous respectons votre vie privée Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Fonctionnement , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit

Saisissez votre adresse e-mail et suivez les instructions envoyées par email





× Fermer
Inscrivez-vous à La Nouvelle République


Vous possédez déjà un compte ? Connectez-vous






Blois






Un ancien militaire blésois aux Invictus Games





Un ancien militaire blésois aux Invictus Games




Titre





Armée

Handisports

A la Une local


Blois

Sports








PanneauPocket : une application qui séduit les communes rurales




Il avait incendié deux véhicules




Il monte dans le mauvais train et dégrade plusieurs voitures




Recevez nos newsletters, bénéficiez de 10 articles offerts par mois, et bien
d'autres avantages encore...
Créez votre compte pour gérer votre abonnement directement en ligne !

 Les informations recueillies ci-dessus sont destinées aux Sociétés du Groupe La Nouvelle République
pour assurer la création et la gestion de votre compte, ainsi que des abonnements et autres services
souscrits. Elles seront également utilisées sous réserve des options souscrites par vos soins, par
La Nouvelle République, pour d'autres finalités commerciales et publicitaires telles que détaillées
dans la politique de confidentialité.

Vous bénéficiez d'un certain nombre de droits, y compris celui de demander l'accès, de modifier ou
de supprimer vos données personnelles, ou de modifier vos préférences marketing. Pour connaître
l'ensemble de vos droits et plus largement nos pratiques en matière de traitement et protection
des données personnelles, nous vous invitons à consulter
notre politique de confidentialité.

Publié le

05/01/2019 à 08:55
| Mis à jour le

07/01/2019 à 18:40



Cyrille, militaire de 32 ans, a perdu ses jambes à la suite d’une explosion lors d’une mission au Moyen-Orient.

© (Photos NR, Jérôme Dutac)

Parachutiste militaire, Cyrille perd ses jambes en 2016 dans une explosion. En octobre, il participait aux Invictus Games, défi sportif pour blessés de guerre.
Cyrille rejoint l’armée de l’air en 2005, à l’âge de 19 ans. Il est parachutiste, chuteur opérationnel. Il devient caporal-chef et enchaîne les missions. « J’ai fait l’Afghanistan, le Tchad ou encore le Mali. » Sa vie bascule au cours de l’une de ces missions, en 2016, au Moyen-Orient. « J’ai été victime d’une explosion. » Sa jambe gauche est arrachée, la droite amputée à son retour à Paris. « Le sang ne circulait plus. Les médecins ont essayé de créer des déviations via des artères. Mais ça n’a pas fonctionné. Ils ont amputé progressivement : la moitié du pied, la cheville, le tibia et au-dessus du genou », détaille Cyrille, aujourd’hui âgé de 32 ans.
Originaire de Bordeaux, il vit à Blois avec sa femme Radia qu’il épouse dix jours avant l’explosion. Cyrille passe plus d’un an à l’hôpital. D’abord au service réanimation. « J’étais drogué, sous antibiotiques. » Son état de santé doit être stabilisé. Il a un fémur cassé et de nombreuses autres complications. Il soulève son tee-shirt pour montrer une grosse cicatrice qui coupe son ventre en deux.
En juillet 2017, il obtient ses prothèses de jambes. Elles sont décorées du patch de son groupe militaire et d’une représentation de saint Michel, saint patron des paras. Chacune est équipée d’un gyroscope, d’un accéléromètre, d’un vérin et d’un microprocesseur qui compense la démarche. « C’est ce qu’il y a de mieux sur le marché », note Cyrille. Depuis novembre 2017, il vit en autonomie chez lui.
“ Le sport permet surtout de m’évader ” C’est d’ailleurs son leitmotiv. « Je veux être autonome. A l’hôpital, je commençais à saturer au niveau psychologique. Je voulais être libre de faire ce que je voulais. »
Une semaine après être sorti de l’hôpital, il allait au club handisport de Blois. « Là-bas, j’ai rencontré un ho
Gros Seons
On A Échangé Nos Mamans Sexe
Femme A Belle Poitrine