Brunette à gros seins niquée par son demi frère

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Publié le

15/10/2014 à 08:46
| Mis à jour le

02/06/2017 à 13:30


Le tribunal examinait, hier, le sort douloureux d’une fillette victime d’agressions sexuelles il y a vingt ans à Blois.
U n destin pénible. C'est l'expression employée, mardi par la présidente du tribunal lors de l'évocation d'un lourd dossier d'agression sexuelle. Les faits sont anciens puisqu'ils remontent aux, années 1992-1994. La victime a attendu l'année 2009 pour les révéler à la justice. Née en 1984, elle a grandi à Blois dans un univers sordide, victime à la fois de son demi-frère et de son oncle. Les deux hommes étaient convoqués, ce mardi, à la barre, mais seul l'oncle était présent. Le demi-frère âgé de 36 ans a disparu de la circulation. Un mandat de recherche a été émis à son encontre en mars 2013. Sans résultat.

Émilie (prénom modifié) a porté plainte le 11 janvier 2009 à l'âge de 24 ans. Elle était alors mère de deux filles et ne voulait pas qu'elles subissent à leur tour les mêmes souffrances. Après plusieurs tentatives de suicide et des séjours en psychiatrie, elle a fini par se confier. Son demi-frère lui a imposé des années durant des sévices sexuels et lui a aussi asséné des coups violents. Mais elle a également enduré le comportement de son oncle qui, lors de ses visites, l'appelait régulièrement dans sa chambre, lui demandant de se déshabiller pour la prendre en photo dans des positions scabreuses. L'oncle est aussi poursuivi pour lui avoir imposé des caresses sur tout le corps, en particulier le sexe. La mère de la fillette n'a rien fait pour la protéger. Il a fallu recourir à un éloignement du domicile pour la tirer de cet enfer. A la barre, l'oncle, légèrement retardé sur le plan intellectuel et aujourd'hui âgé de 50 ans peine à s'expliquer, visiblement embarrassé. « Oui je l'ai pris en photo avec un Polaroïd, mais je ne lui ai pas demandé d'écarter les jambes. J'étais un peu bourré, je ne peux pas vous répondre ni vous expliquer, c'est loin tout ça. Je regrette ce que j'ai fait, mais j'ai pas vraiment envie d'en parler. »

Lors de l'instruction, la victime lui a reproché des fellations et des tentatives de pénétration. Actes qui auraient plus lui valoir les assises si sa nièce l'avait dénoncé plus tôt. Défense dérisoire, mais hélas habituelle dans ce type d'affaire, l'homme laisse entendre que c'est la fillette qui parfois venait le provoquer. « Non, à 8 ans, ce n'est pas possible », intervient la présidente Maggy Deligeon.
L'avocate de la victime, M e Audrey Leprêtre, du barreau de Nantes, explique pourquoi Émilie n'est pas présente. « Le mois dernier, elle était là, mais le report de l'audience l'a beaucoup perturbée. Elle n'a pas eu le courage de revenir affronter le regard de son oncle. Ce dernier ne semble pas prendre en compte la mesure de la situation. La vie de ma cliente a été détruite, elle a perdu tous les repères de normalité notamment en terme de sexualité, et elle ne peut avoir confiance dans aucun homme. » La partie civile a réclamé un total de 19.000 euros.
Pour sa part, le substitut Franck Didier a évoqué le traumatisme profond de la victime. « Maltraitée par son demi-frère, délaissée par sa mère, cette fillette était en droit d'attendre un autre comportement de la part de son oncle, seul être qui venait rompre ce huis clos de violence. Malgré son comportement, elle avait de l'affection pour lui, c'est pour cela qu'il a très mal interprété sa faible résistance, mais cela n'était en aucun cas un signe de consentement qui n'existe pas à un si jeune âge. » Le représentant du parquet a requis cinq ans d'emprisonnement dont deux ferme pour l'oncle et trois ans ferme pour le demi-frère.
En défense, M e Schéhérazade Bougrara assure que son client est parfaitement au fait de sa responsabilité et qu'il regrette amèrement ses actes. « Il avait alors le cerveau d'un enfant et n'avait à 28 ans aucune vie sexuelle, il n'est cependant pas l'auteur des faits les plus traumatisants », ajoute-t-elle en faisant allusion au demi-frère absent. Le tribunal a condamné l'oncle à trois ans d'emprisonnement intégralement assortis d'un sursis avec mise à l'épreuve, et a infligé trois ans de prison ferme au demi-frère. Une somme de 6.000 € a été accordée à la victime.

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Le tribunal examinait, hier, le sort douloureux d’une fillette victime d’agressions sexuelles il y a vingt ans à Blois.
U n destin pénible. C'est l'expression employée, mardi par la présidente du tribunal lors de l'évocation d'un lourd dossier d'agression sexuelle. Les faits sont anciens puisqu'ils remontent aux, années 1992-1994. La victime a attendu l'année 2009 pour les révéler à la justice. Née en 1984, elle a grandi à Blois dans un univers sordide, victime à la fois de son demi-frère et de son oncle. Les deux hommes étaient convoqués, ce mardi, à la barre, mais seul l'oncle était présent. Le demi-frère âgé de 36 ans a disparu de la circulation. Un mandat de recherche a été émis à son encontre en mars 2013. Sans résultat.

Émilie (prénom modifié) a porté plainte le 11 janvier 2009 à l'âge de 24 ans. Elle était alors mère de deux filles et ne voulait pas qu'elles subissent à leur tour les mêmes souffrances. Après plusieurs tentatives de suicide et des séjours en psychiatrie, elle a fini par se confier. Son demi-frère lui a imposé des années durant des sévices sexuels et lui a aussi asséné des coups violents. Mais elle a également enduré le comportement de son oncle qui, lors de ses visites, l'appelait régulièrement dans sa chambre, lui demandant de se déshabiller pour la prendre en photo dans des positions scabreuses. L'oncle est aussi poursuivi pour lui avoir imposé des caresses sur tout le corps, en particulier le sexe. La mère de la fillette n'a rien fait pour la protéger. Il a fallu recourir à un éloignement du domicile pour la tirer de cet enfer. A la barre, l'oncle, légèrement retardé sur le plan intellectuel et aujourd'hui âgé de 50 ans peine à s'expliquer, visiblement embarrassé. « Oui je l'ai pris en photo avec un Polaroïd, mais je ne lui ai pas demandé d'écarter les jambes. J'étais un peu bourré, je ne peux pas vous répondre ni vous expliquer, c'est loin tout ça. Je regrette ce que j'ai fait, mais j'ai pas vraiment envie d'en parler. »

Lors de l'instruction, la victime lui a reproché des fellations et des tentatives de pénétration. Actes qui auraient plus lui valoir les assises si sa nièce l'avait dénoncé plus tôt. Défense dérisoire, mais hélas habituelle dans ce type d'affaire, l'homme laisse entendre que c'est la fillette qui parfois venait le provoquer. « Non, à 8 ans, ce n'est pas possible », intervient la présidente Maggy Deligeon.
L'avocate de la victime, M e Audrey Leprêtre, du barreau de Nantes, explique pourquoi Émilie n'est pas présente. « Le mois dernier, elle était là, mais le report de l'audience l'a beaucoup perturbée. Elle n'a pas eu le courage de revenir affronter le regard de son oncle. Ce dernier ne semble pas prendre en compte la mesure de la situation. La vie de ma cliente a été détruite, elle a perdu tous les repères de normalité notamment en terme de sexualité, et elle ne peut avoir confiance dans aucun homme. » La partie civile a réclamé un total de 19.000 euros.
Pour sa part, le substitut Franck Didier a évoqué le traumatisme profond de la victime. « Maltraitée par son demi-frère, délaissée par sa mère, cette fillette était en droit d'attendre un autre comportement de la part de son oncle, seul être qui venait rompre ce huis clos de violence. Malgré son comportement, elle avait de l'affection pour lui, c'est pour cela qu'il a très mal interprété sa faible résistance, mais cela n'était en aucun cas un signe de consentement qui n'existe pas à un si jeune âge. » Le représentant du parquet a requis cinq ans d'emprisonnement dont deux ferme pour l'oncle et trois ans ferme pour le demi-frère.
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