Brunes sexy sortent et passent du bon temps
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Les plus beaux seins de la télé
Quand le décolleté devient une arme de distraction massive
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Le 1er avril 2016 à  13:35
par
Laurence2307
Les plus beaux seins de la télé
Le Avril 2016 à  22:42
par
Sar
Les plus beaux seins de la télé
Le 1er avril 2016 à  13:41
par
Ariane
Les plus beaux seins de la télé
Le 1er avril 2016 à  14:36
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Sedetiam
Les plus beaux seins de la télé
Le Avril 2016 à  09:33
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Laveritesijemént
Les plus beaux seins de la télé
Le 1er avril 2016 à  17:23
par
Pierre-Albert Espénel
Les plus beaux seins de la télé
Le Avril 2016 à  19:59
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Sedetiam
Les plus beaux seins de la télé
Le 1er avril 2016 à  17:57
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JĂ©rĂŽme2709
Les plus beaux seins de la télé
Le 2 avril 2016 à  18:58
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ursus
Les plus beaux seins de la télé
Le 3 avril 2016 à  09:45
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réveillez-vous
Les plus beaux seins de la télé
Le Avril 2016 à  10:50
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La meuliĂšre
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Le 3 avril 2016 à  09:54
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réveillez-vous
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Le Avril 2016 à  14:55
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barker
Les plus beaux seins de la télé
Le 5 avril 2016 à  20:30
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Souch39
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Le 6 avril 2016 à  08:59
par
Souch39
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Delphine Ernotte, la boss du service public audiovisuel, cherche à « diversifier » la présentation du 20 Heures . Les « hommes blancs de plus de 50 ans » dégagent, aux profit des « jeunes femmes de la diversité ».
Adieu pĂąle patriarcat, bonjour fĂ©minisme colorĂ©. Trois crĂ©atures sont en compĂ©tition, une Noire trĂšs sensuelle (Kareen Guiock), une algĂ©ro-vietnamienne trĂšs girly (Ămilie Tran Nguyen), et une Indienne dĂ©jĂ en poste (Patricia Loison sur Soir 3 ). En outsider, Marie Drucker, la « niĂšce de », quâon ne prĂ©sente plus, et qui change rĂ©guliĂšrement de petit ami dans Voici , histoire de rester dans la course.
En rĂ©alitĂ©, cette poussĂ©e de jeunisme fĂ©ministe cache une raison un peu moins antiraciste : il faut rĂ©cupĂ©rer les jeunes partis sur le Net, et un JT fĂ©minin attire plus de femmes... et donc dâacheteuses potentielles susceptibles dâĂȘtre touchĂ©es par la pub avant et aprĂšs la tranche 20h-20h30. Ce que lâannonceur veut, Dieu le veut.
Voici les outsiders Kareen et Ămilie, appelĂ©es Ă remplacer les vieux colonialistes :
Sociologie dâun mĂ©dia de (moins en moins de) masse Ă bout dâidĂ©es et dirigĂ© par des commerçants et des technocrates
AprĂšs les CĂ©sar du CinĂ©ma, voici les Nibards de la TĂ©lĂ©. Pas de raison quâE&R ne dĂ©cerne pas aussi ses rĂ©compenses. Comme toutes les corporations ont dĂ©jĂ leur propre cĂ©rĂ©monie, il ne restait plus que les femmes de la tĂ©lĂ©, qui nâont rien Ă se mettre sous la dent, Ă part les 7 dâOr, dont tout le monde se tape. Ă lâĂ©cran, les seins, ça compte beaucoup. Ăa fait oublier â ou supporter â les banalitĂ©s ou les contrevĂ©ritĂ©s profĂ©rĂ©es Ă lâantenne. Cet avantage compĂ©titif (Ă moins quâun jour les animateurs ne sâen fassent implanter) est utilisĂ© sans vergogne par les ambitieuses. Car ne vous y trompez pas : tous ceux qui veulent montrer leur bobine (et le reste) sont accros Ă lâimage, Ă leur image, et Ă la notoriĂ©tĂ© qui va avec. La dĂ©charge dâadrĂ©naline en plateau est une drogue dure.
E&R a voulu rendre hommage au talent (mammaire) de nos stars, qui nâest heureusement pas le seul. Enfin, pas toujours. DĂ©crochez vos ceintures, ça va dĂ©coll(et)er.
Avertissement : certaines photos ou personnalitĂ©s ne sont plus toutes jeunes, mais aujourdâhui, la chirurgie, cette amie des femmes, fait des miracles. Et ne rĂȘvez pas, nous nâallons pas tout montrer, il sâagit quand mĂȘme dâintimitĂ©, et nous avons de la pudeur : pas de Nicki Minaj ici. En revanche, les dĂ©colletĂ©s, trĂšs politiques , sont autorisĂ©s. Car la femme de tĂ©lĂ© compte dâabord sur son sex-appeal (des pieds Ă la tĂȘte, des cheveux au Mules) pour conserver lâattention du tĂ©lĂ©spectateur.
Et les tĂ©lĂ©spectatrices ? Câest bien connu, les femmes aiment regarder les autres femmes, pour les juger (beaucoup plus finement que les hommes), et Ă©ventuellement, les dĂ©molir. Sur un dĂ©tail, une ridule, un couac. Nous nâirons pas jusque-lĂ , et vous prĂ©sentons maintenant le Top 20 de la tĂ©lĂ© française. Lâordre qui suit ne porte ni sur le volume, ni sur lâesthĂ©tique.
Rare, câest un job de mecs, qui en plus sont prĂȘts Ă tuer pour lâobtenir ou le conserver. Les femmes, pourvues de moins dâagressivitĂ© prĂ©datrice par la Nature, sont dĂ©favorisĂ©es dans cette course. Mais la paritĂ© lĂ©gale et la pression mĂ©diatique ont poussĂ© toute une gĂ©nĂ©ration de femmes sur le devant des plateaux. Le temps des William Leymergie entourĂ©s dâune nuĂ©e de secrĂ©taires-chroniqueuses soumises semble rĂ©volu. Ici, MĂ©lissa Theuriau, ex-bimbo de M6 devenue productrice et rĂ©alisatrice de documentaires plutĂŽt bien-pensants. Une madame Debbouze toujours sexy mais sobre : elle ne peut pas se permettre de dĂ©conner avec son image, il y va de sa crĂ©dibilitĂ©.
Lors de la soirĂ©e de la FĂȘte de la Musique sur France 2 en juin 2013, Patrick SĂ©bastien sâĂ©tait permis quelques propos dĂ©placĂ©s Ă cĂŽtĂ© dâAĂŻda Touihri. Elle nâa pas goĂ»tĂ© les plaisanteries quâelle jugeait salaces, et lâexpĂ©rience de coanimation bourrin/beurette ne reviendra probablement plus Ă lâantenne. Conclusion : pas dâexacerbation des caractĂšres spĂ©cifiques fĂ©minins. La surexposition rhabille les femmes et planque les poitrines. Mais certaines nâont rien Ă perdre, et passent outre.
Faux seins Ă©normes, postures outranciĂšres, provocation de caniveau, les deux ultras blonde et brune des chaĂźnes privĂ©es NRJ12 et TF1 ne peuvent concourir dans la trĂšs sĂ©rieuse catĂ©gorie des Nibards dâOr. Il est trop facile dâentrer « normale » chez un chirurgien sĂ©farade du bas des Champs-ĂlysĂ©es, et dâen ressortir bombe sexuelle. Le peuple, qui ne sây trompe pas â femmes comprises â assimile ces crĂ©atures modelables Ă des nĂ©o-prostituĂ©es. Elles rĂ©pliquent quâil ne sâagit que de second degrĂ©. Ainsi, une GĂ©raldine Muhlmann affole-t-elle Ă sa maniĂšre les compteurs masculins en se situant sur un plan intellectuel, et non pas prĂ©-horizontal. La difficile conquĂȘte, implicite, nâen est que plus excitante. Bref, dans cette catĂ©gorie des bimbos en plastoc, on a Nabilla, la femme au couteau, et Victoria, comparse de Dechavanne dans ses Ă©missions de divertissement. La femme du magicien qui sert Ă dĂ©tourner lâattention pendant le coup de Jarnac.
Lâintellotte de la tĂ©lĂ© dĂ©sire deux choses, qui ne sont pas forcĂ©ment compatibles : ĂȘtre prise au sĂ©rieux, et ĂȘtre prise tout court. Prise au sĂ©rieux, et regardĂ©e comme un ĂȘtre dĂ©sirable. CrĂ©dibilitĂ©, et fĂ©minitĂ©. Cela demande un certain art de lâĂ©quilibre. Lâair de pas y toucher (au sexe) tout en le suggĂ©rant fortement. On peut dire ce quâon veut, mais les femmes excellent dans ce sport un brin lubrique. Ă cĂŽtĂ©, les hommes sont des bĆufs⊠fascinĂ©s par des gazelles. GĂ©raldine Muhlmann, avec son agrĂ©gation de philo et son look de tenanciĂšre de galerie Ă Saint-Germain, allie ces deux qualitĂ©s.
DotĂ©e dâun tel minois, GĂ©raldine nâa pas vraiment besoin de montrer de la chair. La nec plus ultra : celle qui montre rien. Il faut tout deviner. IdĂ©al pour les masos ou les soumis.
Face Ă un public de grands patrons et de politiques, le sein ne se montre pas. Eu Ă©gard aux goĂ»ts dâhommes plus mĂ»rs, qui lorgnent plus vers les jambes et les pieds, un effort particulier est portĂ© vers le bas du corps. La sobriĂ©tĂ© Ă©tant de mise en haut, on retrouve lâimpĂ©ratif sexy plus bas : pompes adaptĂ©es qui Ă©tirent la jambe, dĂ©jĂ allongĂ©e par une jupe plutĂŽt courte. Objectif : fasciner le cochon qui sommeille en tout homme politique, et lâattirer sur un terrain plus familier, oĂč la petite phrase pourra tomber plus facilement, et faire le tour des revues de presse radio/tĂ©lĂ©. Technique Ă©prouvĂ©e. Attention Ă ne pas sâhabiller en courtisane devant un homosexuel ou un pĂ©dophile, coup dâĂ©pĂ©e dans lâeau assurĂ©, et mĂ©pris garanti.
Spécialiste numéro un des jeux de jambes : Caroline Roux. Qui doit avoir une garde-pompes équivalente à celle de Céline Dion (3 000 paires). Il y a des femmes folles de chaussures. Mais aussi des hommes fous de femmes folles de chaussures. Tous les goûts sont dans la nature.
Lapix, elle, a connu un certain succĂšs sur Canal et Dimanche+ , avant de cartonner dans C Ă vous sur France 5. il est vrai quâelle cumule : visage avenant, regard coquin, poitrine agressive, silhouette sportive, et tenues dangereuses Ă la limite du porno-chic. Une combinaison gagnante, surtout depuis quâelle a lĂąchĂ© le tout-politique pour le divertissement. Malheureusement, une Ă©mission gĂąchĂ©e par Patrick Liste Noire Cohen, le grand journaliste impitoyable avec les mĂšres de victimes dâattentat en quĂȘte de vĂ©ritĂ©, mais ce nâest pas le dĂ©bat.
Devant 5 Ă 6 millions de tĂ©lĂ©spectateurs, on ne peut pas, comme cette Albanaise, exhiber le matos. Le statut de femme-tronc exige de la tenue, et une poitrine naturelle, si possible pas trop stimulante. La minceur est de rigueur. Une vache laitiĂšre au 20 Heures dĂ©clencherait les quolibets dĂ©placĂ©s, et dĂ©tournerait la noble fonction informative vers quelque chose de moins prestigieux. Câest pourquoi la prĂ©sentatrice idĂ©ale est dans la quarantaine, le lifting invisible, pour faire plus dame que les pouffiasses jetables de tĂ©lĂ©-rĂ©alitĂ©. Dame patronnesse, est le mot, mĂȘme si ça peut virer Ă la tata XVIe. Les Français ont besoin dâune figure maternelle â que BĂ©atrice Schönberg incarnait parfaitement.
Dans le mĂȘme registre, la Chazal Ă©tait un peu trop cuir pour devenir la reine-mĂšre des Français. Et puis, afin de relancer le dĂ©sir et entretenir son fan-club (les gays lâadorent, comme toutes les cougars chics), il y a la sempiternelle paparazzade dâĂ©tĂ©, avec un jeune giton de prĂ©fĂ©rence. Notez que la prĂ©sentatrice se doit dâĂȘtre sexuelle, mais pas de maniĂšre primitive. La tendance « crĂ©dible » doit lâemporter sur la tendance « bonnasse ». Sinon câest foutu. Il faut dire que les mecs sont graves, avec ça. Le moindre Ă©cart sexuel, et tout lâeffort de solennitĂ© est rĂ©duit en bouillie.
La banquiĂšre de DSK a longtemps jouĂ© de ses charmes, en et hors plateau. HabituĂ©e des soirĂ©es TF1 et des soirĂ©es mondaines, comme la brigade du mĂȘme nom, Anne a plus jouĂ© de ses yeux de chatte que de sa poitrine, planquĂ©e bien au chaud sous ses pulls angora. Aujourdâhui, Ă 60 balais passĂ©s, elle ne se refuse aucune plastique, et si elle nâapparaĂźt plus sur nos Ă©crans, elle occupe le Net avec son HuffPost. Parfois, Le Grand Journal lâappelle pour commenter la derniĂšre semaine Ă©lectorale amĂ©ricaine, et profĂ©rer quelques vĂ©ritĂ©s puissantes du genre : « Obama peut gagner, mais Mc Cain aussi. »
Claire Chazal reprendra le flambeau dâattachĂ©e de presse de la premiĂšre chaĂźne dâEurope. DiplĂŽmĂ©e HEC rapidement repĂ©rĂ©e par un renifleur de talents (Philippe Tesson), Claire prĂ©sentera les JT pendant prĂšs dâun quart de siĂšcle, jouant de son look de dominatrice qui affole le prolo. La voix grave jusque quâil ce faut pour jouer sur lâambiguĂŻtĂ©. Beaucoup regarderont les infos (creuses) de la Une en rĂȘvant de possĂ©der cette speakerine de luxe.
Le problĂšme, quand on est un produit dit « branché », câest quâon se dĂ©branche trĂšs vite. MaĂŻtena Biraben, qui Ă©tait la reine de la matinale de Canal, en a fait lâamĂšre expĂ©rience en arrivant sur lâaccess , comme on dit. Ce sont les juteuses minutes avant le pic dâaudience, entre 19 et 20 heures, sur lesquelles les chaĂźnes se disputent les annonceurs et leurs spots rĂ©munĂ©rateurs. La talentueuse Suissesse, « dĂ©couverte » par Ardisson et « apprĂ©ciĂ©e » par Hollande, paye les (s)pots cassĂ©s dâun changement de mode de consommation de lâĂ©cran et aussi dâune politique suicidaire de ses employeurs. Les derniĂšres traces de subversion ayant disparu sur la chaĂźne, cette derniĂšre ne peut mĂȘme plus faire semblant dâen ĂȘtre la matrice, Ă lâheure de la concurrence de lâInternet. Il faut ĂȘtre vrai, ou disparaĂźtre.
Des qui sont vraies, ce sont les deux grosses Christine Bravo et ValĂ©rie Damidot, avec leur langue bien pendue. Incarnations de la Française dĂ©coincĂ©e, qui envoie chier hommes et femmes avec le mĂȘme tarif : une vanne dans la gueule. Comme la bonne nature va avec les gros nichons, on retrouve dans ce panier les poids lourds du genre. Ce ne sont certes pas des intellectuelles majeures (mĂȘme si elles surjouent les bonnes filles ), mais elles plaisent Ă la France profonde, et au blaireau grivois qui sommeille en chaque homme. Peut-ĂȘtre imaginent-ils des croisements femme-gĂ©nisse en les regardant⊠Soyons sĂ©rieux, les « grosses » de la tĂ©lĂ© savent trĂšs bien mettre en valeur ces atouts que sont les formes, et leurs adeptes sont nombreux. Nâoublions pas quâelles ne constituent pas des rivales dangereuses pour les femmes : elles sont donc, selon le verbiage du milieu, fĂ©dĂ©ratrices, ou non-clivantes.
Câest en vĂ©ritĂ© dans le stock inĂ©puisable et renouvelable de chroniqueuses quâon peut pĂȘcher du lourd, question dĂ©colletĂ©s et provocation. Moins exposĂ©es, elles tentent leur chance en exploitant Ă mort leurs atouts naturels (exemple, les Miss mĂ©tĂ©o de Canal) dans la mince fenĂȘtre de tir qui leur est impartie. DâoĂč cette lancinante impression dâagression sexuelle que peut ressentir le tĂ©lĂ©spectateur Ă leur contact.
Interchangeable, nombreuse, concurrentielle, Ă durĂ©e de vie limitĂ©e, Ă moins quâelle nâaccĂšde au rang enviĂ© dâanimatrice, la chroniqueuse fait le sel dâĂ©missions de plus en plus plates et pĂ©nibles. On y retrouve toute la gamme, de la gonzesse brillante (lâexcellente Clara Dupond-Monod Ă la LittĂ©rature) Ă la pure radasse de plateau, juste bonne Ă gifler (Ănora MalagrĂ©). Il est rare quâon y trouve un boudin, Ă moins quâil ne propose un intĂ©rĂȘt Ă©ditorial poussĂ©, et que les producteurs nâaient pas trouvĂ© lâĂ©quivalent regardable. Ainsi, on a pu dĂ©couvrir lâanti-bimbo absolue Marie Colmant, une ex-rĂ©dactrice en chef de TĂ©lĂ©rama , assurer la rubrique internationale dans lâĂ©quipe de Bruce Toussaint. Donc que les pas-belles se rassurent, il nây en a pas que pour les tops models. Une moche peut impacter en termes de... proximitĂ©. La tyrannie des belles admet quelques exceptions.
Championne toutes catĂ©gories, la Bretonne MalagrĂ©, co-star de TPMP, la quotidienne du vendeur de chaussettes (trouĂ©es) Cyril Hanouna. GrossiĂšre, inculte et agressive, elle joue le rĂŽle de roquet du patron, la secrĂ©taire qui dĂ©fend bec et ongles son dieu. Ses interventions truffĂ©es de cul et de gros mots sont des tue-lâamour de premier ordre. Lâeffet de ces femmes hippies sans pudeur qui se baladent Ă poil du matin au soir et qui anĂ©antissent tout dĂ©sir. Rendez-nous Christine Boutin !
Câest la « pĂ©teuse de dĂ©colleté » qui monte. La chienne (au vrai sens du terme, attention) que Ruquier lĂąche sur ses invitĂ©s quand ils dĂ©roulent une promo ou un discours lĂ©nifiant dangereux pour lâaudimat. AppelĂ©e Ă coprĂ©senter la grande Ă©mission politique de France 2, avec et ensuite Ă la place de Pujadas, jugĂ© pas assez sioniste par la paire BHL-Field, elle devra faire semblant dâattaquer tous les candidats tout en Ă©vitant de parler de lâessentiel. On lui fait confiance : la belle est aussi astucieuse quâambitieuse. Et cela ne nous Ă©tonnerait pas quâelle finisse par sâacoquiner avec un politique de poids...
Virginie Efira a larguĂ© la tĂ©lĂ© pour le cinĂ©ma, oĂč elle semble sâamuser. Il est vrai que son expĂ©rience dâhumoriste sur Canal, malgrĂ© un salaire exorbitant, a tournĂ© court. Virginie, câest la bonne copine pas farouche, du coup on oublie parfois la femelle aux appĂ©tissants appĂąts. Quâelle nâoublie pas de montrer. PotelĂ©e, souriante, brillante, fĂ©ministe mais pas trop , on ne lui connaĂźt pas dâennemis. Peut-ĂȘtre que les Caroline Fourest doivent la dĂ©tester...
Julie Raynaud, la brune de TPS quâon voyait passer un peu dans toutes les Ă©missions de plateau, avant que la chaĂźne de TF1 ne soit rachetĂ©e par Canal+. Julie, son rire, et, excusez lâexpression, ses gros seins. Elle ne se cachait pas de cela, et le rĂ©alisateur de ses Ă©missions non plus. Que ce soit du sport, de lâinfo ou du divertissement, elle avait toujours la tenue adĂ©quate. Ă ce niveau de volume et dâexhibition, on aurait presque pu la faire tomber pour dĂ©lit de racolage sur la voie publique. Mais curieusement, personne nâa jamais portĂ© plainte.
Faustine Bollaert, dans le genre bustĂ©e, câest pas mal aussi. On va arrĂȘter de prendre des gants, parce que elles nâen prennent pas beaucoup non plus. Atout charme des dimanches aprĂšs-midis chez Drucker, elle devait provoquer le mĂąle, que ce soit lâinvitĂ© ou le tĂ©lĂ©spectateur, mais avec les limites autorisĂ©es par le maĂźtre de cĂ©rĂ©monie. Par exemple, les interventions dâune MalagrĂ© seraient malvenues chez Mimi. Il faut du sexe, mais dans une enveloppe acceptable, car les familles regardent. Donc second degrĂ©, allusions voilĂ©es, quenelles discrĂštes...
Malika MĂ©nard, ex-miss France 2010, brune de Normandie Ă la fois mince et plantureuse, devenue journaliste foot pour France 3, on la voit ici participer Ă un Fort Boyard. Elle a notamment Ă©crit une lettre Ă Robert MĂ©nard , parce quâelle ne voulait plus quâon la croit parente du vilain maire de BĂ©ziers. Un courage sans nom.
Magali Lunel faisait partie de ces « filles de lâinfo » chĂšres Ă Jean-Claude Dassier, qui a dĂ» piquer le concept aux AmĂ©ricains. Un gang de nanas Ă la fois professionnelles et attirantes, pour lancer la premiĂšre chaĂźne tout info française. LCI aujourdâhui va passer en gratuite, et les filles de Dassier auront fait du bon boulot. Il y avait la blonde, la brune, la Noire, la glaciale, la chaude... Magali, câĂ©tait la mĂ»re aux charmes Ă©panouis. Un casting de Claudettes.
Elsa Fayer a fait pendant cinq saiso
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Une infirmiĂšre Ă Halloween
Il rencontre sa belle-mĂšre pour la premiĂšre fois et lui cloue la verge