Brune lesbienne joue avec des cordes
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Brune lesbienne joue avec des cordes
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1 Bonsoir à tous, comme j'ai lue beaucoup de récit qui m'on vraiment beaucoup plue, je tente de postée le mien afin de voir sil peut plaire ^^ Merci a ceux qui me lirons. ET VRAIMENT DESOLEE POUR LES FAUTES L’accident : Il faisait un temps pourri ce Lundi de Septembre et la météo n’annonçait aucun changement pour la semaine à venir. Entre les rafales de vent et les feuille trempées qui volaient, la pluie qui ne s’arrêtait pas. Helene avait du mal à garder son moral au dessus de zéro. Weekend pourri, semaine pourrie, un vrai cauchemar. Elle se dépêcha pour ne pas arriver encore plus trempée, faisant attention de ne pas glisser sur le trottoir inondé. Depuis une semaine, elle courrait comme une dingue de rendez vous en rendez vous, essayant de garder la tête sur ses épaules avec les problèmes de la boite. Son nouveau boulot n’était pas de tout repos. Bien qu’elle le savait avant, mais souffler cinq minutes lui aurait fait le plus grand bien. Mettre sa messagerie, son portable et tout le reste sur les abonnés absents… C’était son boulot, DRH, directrice des ressources humaines. Affronter les autres, servir de punching ball à tout le monde. Négocier, temporiser, virer « Ouais j’ai les épaules larges » songea t’elle. Elle le savait, son physique avait joué à son avantage lors de l’entretien d’embauche. Un curriculum vitae en béton, d’accord, mais surtout une grande taille, une carrure impressionnante avec de large épaules mais surtout, surtout, des yeux d’un bleu profond, pouvant clouer sur place n’importe quelle personne trop agressive. Un bleu glacé quand il le fallait. Elle savait jouer toute une panoplie d’émotions s’il le fallait, du pire au meilleur, le pire étant malheureusement plus dans ses cordes ces derniers temps. -Aller, dix mètres et je rentre au chaud, pas trop tôt avec ce p… de temps. Ça l’a défoulé de jurer, un bon moyen de se vider de tout le stress, et même un certain plaisir. Trop tard, un trottoir manqué, si près du but, la glissade, la chute, rien à quoi se rattraper, Helene s’étala de tout son long sur la route trempée. « Aïe, bordel,…. » La porte de la boite était à peine deux pas. Impossible de se relever, sa cheville lui faisait un mal de chien. Assise sur le trottoir la tête baissé, elle secoua la tête en regardant sa cheville d’un air haineux. « Aller ma fille, bouge, ne reste pas sur ton cul sans rien faire, et ce putain de gardien qui n’est même pas là quand j’ai besoin de lui…. » Rien à faire elle n’arrivait pas à bouger. Une ombre, avec des bottes aux pieds, une paire de jambes portant un jeans, s’arrêta devant elle. Elle releva la tête doucement, laissant son regard flotter sur le corps recouvert d’une parka et remontant sur son visage doté d’un vert profond et attentif, et surtout désolé, cerné de cheveux longs et trempés. -Besoin d’aide ? La voix était douce et légèrement inquiète. La jeune blonde s’accroupit devant la brune étalée sur le sol. -Non je fais trempette. La blonde se redressa, surprise. - Bon bien… je vous laisse. - Elle se fout de moi !! pensa Helene se voyant passer la journée sur se foutu trottoir, pire qu’un clochard perdu… -Bien sur que j’ai besoin d’aide, la cheville… -Ho, bien, hum…je vais vous aider à vous relever. Appuyez-vous sur moi. La blonde s’accroupit de nouveau. Passant son bras autour du corps d’Helene, elle tira sur ses jambes pour l’aider à se redresser, le bras de la brune autour de ses épaules. -Je vous tiens. Les quelques mètres jusqu’au hall d’accueil furent pénibles pour Helene qui serrait les dents de douleur, s’empêchant de gémir sous la douleur insupportable de sa cheville. La jeune blonde la soutint jusqu’au fauteuil confortable du hall en l’aidant à s’assoir. -Je vais chercher le gardien et nous appellerons les pompiers pour… - Hors de question !!! La voix était grondante. -Mais…c’est un accident du travail !! -Et alors ? L’agressivité de la brune commençait à déstabiliser la blonde, elle bafouilla : - Vous vous êtes peut être cassé quelque chose, c’est ridicule. -Ecoutez ça va aller mieux dans quelques minutes. Elle se radoucit devant la gêne de l’autre, ne voulant pas la blesser sans raison. Après tout elle ne cherchait qu’à aider. Passer sa colère sur la jeune blonde n’arrangerait rien. Un peu têtue, la jeune blonde s’approcha d’Helene et s’assit à ses côtes, déclenchant un coup d’œil et un sourcil relevé de la brune. - Comment vous appelez vous ? Vous travaillez ici ? -Suzanne Lange, et oui je travaille à la Com, dans les hautes sphères, un boulot sympa, pas épuisant, une ambiance sympa, ouai, c’est pas mal. L’aveu surpris la grande femme qui releva encore plus le sourcil. - Et, heu, vous savez qui je suis ? -Ouai la nouvelle DRH !!! Bon alors cette cheville, elle fonctionne ou pas ? -Vous êtes tenace vous !!! -Faut bien l’être pour les autres non ? -OK OK je me lève, si ça va, pas de pompier. -On verra !!! La brune lui jeta un autre regard lourd et soupira renonçant face à cette caboche bornée. Elle se redressa doucement d’abord sur sa bonne jambe avant de poser délicatement son autre pied par terre. Au premier appuie une douleur insupportable la fit gémir. -Ouille. Se relevant d’un bond, la blonde la retint par la taille lui évitant de s’écrouler. -Pompier ? -Pompier ! La suite au prochain épisode enfin si vous le souhaitez 😁
Edité le 05/12/2011 à 6:38 PM par The82lr
Bonsoir à tous, comme j'ai lue beaucoup de récit qui m'on vraiment beaucoup plue, je tente de postée le mien afin de voir sil peut plaire ^^ Merci a ceux qui me lirons. ET VRAIMENT DESOLEE POUR LES FAUTES tu peux prendre un correcteur!
oui c'est vrai j'ai pas réfléchis a ça, merci du conseil 🙂
Edité le 11/11/2011 à 8:09 PM par The82lr
Allez, entre copines, on peut bien s'aider! Soumets moi tes écrits ma belle!! 😁
Bon début! Le caractère explosif de la brune met d'entrée dans l'ambiance! Bravo! Le choc des Titans aurait pu être le titre de ce début de récit!!
Merci beaucoup miel, je suis touché je t'envoie mes écris par MP ? Et oui tu as raison le caractère d'Hélène est plutôt bien trempé ^^
Yes, envoie en MP ma chérie..Ca me fait très plaisir que tu aies confiance en moi!
une petite suite plus courte ^^ .............................................. 2 Toujours pas de gardien à l’horizon, la brune enregistra mentalement d’y repenser. Un bâtiment sans surveillance n’est pas un bon point et c’était à elle de se charger de ce genre de problème. La pause-café du garde durait depuis un moment et n’importe qui aurait pu entrer et ressortir en embarquant ce qu’il voulait sans être gêné. Un rapport bien senti lui pendait au nez. Elle se sentait d’humeur à taper sur tout ce qui bouge. D’un coup, elle se rendit compte qu’elle était toujours debout contre Suzanne et se dégagea doucement pour se rassoir. -Faudrait pas que ça devienne une habitude. Grommela-t-elle entre ses dents… L’autre lui lança un regard surpris mais ne répondit pas. Elle se dirigea vers le comptoir d’accueil en décrochant le téléphone pour appeler les pompiers. -Ils seront là dans 5 minutes. Je vais attendre avec vous pour vous accompagner. -Pas la peine. Toujours le ton bref et dur. -Bon, écoutez, vous pouvez passer vos sautes d’humeur sur moi, je m’en moque, j’ai dit que je restais, je reste… est ce que c’est clair ? Même ton bref, regard décidé. Helène poussa un soupir sentant tomber sa colère en songeant, « Je ne vais pas m’en sortir, mais bon apparemment je n’ai pas le choix ». -Il faudrait peut être prévenir quelqu’un ici, ce foutu gardien n’est même pas revenu depuis un quart d’heure. Il va m’entendre à mon retour. Rala-t-elle. -Je m’occuperai de prévenir dès que je saurai où ils vous emmènent. -J’avais une réunion importante aujourd’hui, ils n’ont pas intérêt à me garder dix plombes dans leur hosto. -Je peux aussi prévenir pour ça. -Vous n’avez pas de travail ou quoi ? Inutile de perdre votre temps, je peux me débrouiller. - Ah non, vous n’allez pas recommencer !! Puis Suzanne eut un petit sourire malin. -Je m’octroie quelques heures de congés en vous accompagnant, je ne vais pas me gêner. Du travail j’en ai, rien d’urgent, et je ne tiens pas à me faire remonter les bretelles par le boss s’il apprend que je vous ai laissé en plan… -Bon, OK. Nouveau soupir. Les pompiers furent plus rapides que le gardien. Ils emmenèrent Helène rapidement après avoir dit à Suzanne à quel hôpital ils allaient. Le temps de prendre sa voiture et de partir, ils avaient déjà disparu. L’hôpital Le long du trajet elle rumina contre la DRH. -Quelle emmerdeuse quand même. On m’avait dit que ce n’était pas une tendre mais quand même, un simple merci aurait été accepté. Mais qu’est ce qui m’a pris de rentrer dans cette galère ? J’aurais du lui laisser le cul dans la flotte, ça lui aurait remis les idées en place. Bon, ben, non je ne pouvais pas quand même, et puis je l’aurais repris dans les dents de toute façon. Enfin, j’espère que ce n’est pas trop grave quand même.
Edité le 05/12/2011 à 6:40 PM par The82lr
moi je veux une suite je veux une suite !!!!! ^^
quelle antousiasme merci beaucoup une suite arrivera bientot
Moi aussi je veux bien une suite également 🙂 , le début promet j'ai hâte
oki j'ai lu le premier paragraphe!pourtant là tout va bien tu vois!!continue cocotte!! 😉 😁
la suite va arriver 🙂 , joyeux soleil normal que tout aille bien j'ai une correctrice hor pair qui s'arrache les cheveux a corriger le récit ^^ Mais merci 🙂
Aller une petite suite pour ne pas vours faire trop attendre ^^ 3 Elle décrocha son téléphone, le laissant en main libre, avant de composer le numéro de la boite. -Salut toi. -Salut Gadget, panne d’oreiller ? Ce n’est pas ton genre ! - Je suis en route pour l’hôpital et je risque d’y rester un moment… -Quoi ? T’as eu un accident ? T’es blessée ? Tu… -Nan, nan, nan, j’ai juste ramassé la DRH le cul sur le trottoir. Elle s’est blessée à la cheville. -Ho merde, la banquise est blessée, y en à qui vont faire la fête dans son groupe. -Allez sois pas vache, elle souffrait vachement la pauvre… -La pauvre ??? Tu dérailles, c’est la pire des s… qui soit sur terre, et toi tu l’appelles la pauvre ? -Bon, ok ok, elle n’est pas très sympa, mais que veux-tu ? Je ne peux pas me changer, ma bonté me perdra. -Tu parles !!! Bon, mais fait attention à toi, elle est vraiment casse pieds quand elle s’y met. -Je m’en suis rendue compte figure toi. J’ai eu un aperçu assez frappant durant dix minutes. Bon j’y vais,je te tiens au courant, salut. -A tout de suite Gadget. Elle sourit au surnom que lui donnait son amie Adeline. Elles avaient fait un marché, interdiction absolue de l’utiliser devant quiconque dans la boite. Le surnom lui avait été donné parce qu’elle avait la réputation d’avoir réponse à tout. Quand quelqu’un avait un problème informatique ou une question quelconque, c’était tout naturellement à elle que l’on s’adressait. Elle n’aimait pas laisser les choses sans réponses, alors elle cherchait jusqu’à ce qu’elle trouve. Peu de monde connaissait ce nom, mais trop tout de même à son goût. L’inspecteur Gadget n’était pas sa tasse de thé. Elle avait d’autres surnoms, elle le savait. Du style. « Hotline », « bip-bip, « la tête chercheuse » entre autres, mais Gadget la dérangeait plus que les autres. Enfin c’était mieux que la banquise. Elle s’arrangea pour se garer près des urgences, volant sans gêne la place attitrée d’un médecin. Elle nota au passage que les pompiers étaient déjà repartis. -Efficaces ceux la. Elle respira un grand coup en songeant aux yeux de glace de la DRH qui devait l’attendre aux urgences. -Elle est plutôt jolie, mais quelle foutu caractère, et quel gâchis. Elle la repéra assise sur un brancard, agitée et énervée d’attendre. -Alors, on en est où ? -Je croyais que vous aviez renoncé à me suivre comme un petit chien. -Ouaf, ouaf. Elle se met à japper. Non, je suis plutôt du genre tenace. L’humour arracha un faible sourire à Helène, lui donnant un air éblouissant pendant une fraction de seconde. « Ouah, ouai, plutôt mignonne quand elle sourit »songea Suzanne plutôt surprise d’avoir une telle pensé. Elle dévisagea Helène un peut trop longtemps au goût de l’autre. -Quoi ? -Hum, rien, je me demandais où on en était. -A attendre, comme toujours, il y a du monde j’ai mal choisi mon jour pour me casser la figure. - Attendez-moi-la. Lança Suzanne s’éloignant sans en dire plus. Helène la regarda partir, se demandant ce que tramait encore sa jeune accompagnatrice. -Têtue, mais pas désagréable la gamine…Son esprit divaguait en songeant au jolie visage de la blonde. « Hey, je n’avais même pas remarqué qu’elle était blonde avec ses cheveux trempés toute à l’heure. Petit gabarit mais jolis yeux, hum…Allez calme toi, elle n’est paspour toi, elle t’aide juste pour ne pas avoir d’ennuis avec la boite… » Mais c’était plus fort qu’elle. « C’est peut être naturel chez elle la gentillesse… »Surprise d’apprécier autant la jeune femme. Elle se retourna au bruit de pas sur le sol carrelé, apercevant Suzanne accompagnée d’une grande femme rousse en blouse blanche « Et efficace en plus ». -Je vous ai amené les secours. -Et bien, il était temps, je prenais racine moi. La femme rousse la regarda d’un air narquois. -Ici, on ne prend pas racine, on se couvre de toile d’araignées… -Et bien, vous faites un concours d’humour toutes les deux. -Ouais, ça aide à évacuer le stress. Aller on y va, on va vous aider à marcher. Naturellement, Suzanne se plaça à côté de la grande femme pour mettre son bras autour de sa taille, sans se rendre compte du sursaut de l’autre. Sans son manteau, elle pouvait sentir la chaleur du bras autour d’elle et étrangement cela lui fit du bien. La blonde l’aida à s’installer sur la table d’examen et en partant lui souffla à l’oreille : « faudrait pas que ça devienne une habitude »avec un grand sourire, admirant les yeux écarquillés de la brune devant la réplique qu’elle lui avait fait quelques temps avant. Elle sortit d’un pas tranquille. Elle ne vit pas le sourire narquois de la rousse, tant elle était subjuguée par le culot de la blonde. Après tout, elle ne faisait que lui rendre la monnaie de sa pièce. Elle n’avait pas été d’une gentillesse exemplaire depuis sa chute. Elle se déshabilla en obéissant à l’ordre du médecin, la laissant lui palper le dos pour s’assurer qu’elle n’avait rien de cassé, avant de passer à la cheville. - Bon, on va faire une radio pour être sur qu’il n’y a rien de cassé, mais on dirait juste une bonne foulure, rien de catastrophique. Helène soupira un grand coup. -Je lui avais bien dit. -Notre jeune amie a eu raison de vous forcer la main, cela aurait pu être plus grave. -Vous vous connaissez ?
Edité le 05/12/2011 à 6:40 PM par The82lr
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L'actu Doctissimo, c'est ici ! Votre dose d'actualités quotidienne
Beaucoup de bassistes se rendent compte en studio que leur jeu n'est pas aussi propre qu'il devrait. D'autres notes résonnent en même temps que celles qu'ils jouent. en effet, les cordes non jouées se mettent à vibrer lorsque l'on joue les autres, nous allons donc voir comment les étouffer. Différentes positions : Il existe plusieurs façons de bien placer sa main, cette position sera définie au fur et à mesure que vous construirez votre identité musicale. Quels que soient vos choix, vous allez devoir développer une technique afin d’étouffer les cordes qui ne sont pas jouées. En effet quand vous attaquez les cordes aiguës, les cordes graves vont se mettre à résonner (et inversement), ce qui va « salir » votre jeu. Il existe beaucoup de techniques pour étouffer les cordes, je vais vous donner 2 principaux exemples. On peut aussi remarquer que lorsque l’on attaque une corde, la précédente est naturellement bloquée par le jeu en « butté ». On peut donc garder la même position pour jouer l’avant dernière et la dernière corde. Certains bassistes utilisent trois doigts pour jouer (index, majeur et annulaire). Ils se servent alors de leurs pouces (et éventuellement auriculaire) pour étouffer les cordes graves. Appliquons cela sur une basse 6 cordes, il suffira pour les autres de ne pas tenir compte des lignes qui ne leur serviront pas. Quand on attaque la corde de Si, le pouce est placé sur le micro. Quand on attaque la corde de Mi, le pouce descend sur la corde de Si. Quand on attaque la corde de La, le pouce descend sur la corde de Mi, mais continue aussi à toucher le Si. Quand on attaque la corde de Ré, le pouce descend sur la corde de La, mais continue aussi à toucher le Si et le Mi. Quand on attaque la corde de Sol, le pouce reste sur la corde de La, continue à toucher le Si et le Mi, et l'auriculaire bloque la corde de Ré. La plupart des bassistes jouent avec deux doigts, ils se servent du pouce, de l’annulaire et parfois de l’auriculaire pour étouffer les cordes. Par exemple lorsque l’on joue la corde de Ré, le pouce repose sur la corde de Mi (et bloque éventuellement le SI) et l’annulaire bloque la corde de La. Les bassistes qui jouent sur 6 cordes bloqueront le Si et le Mi avec le pouce, le La avec l’auriculaire et le Ré avec l’annulaire. C’est la technique que j’utilise et que je conseille. Application sur une basse 6 cordes : Quand on attaque la corde de Si, le pouce est placé sur le micro. Quand on attaque la corde de Mi, le pouce descend sur la corde de Si. Quand on attaque la corde de La, le pouce descend sur la corde de Mi, mais continue aussi à toucher le Si. Quand on attaque la corde de Ré, le pouce reste sur la corde de Mi, continue à toucher le Si et l'auriculaire vient bloquer le La (Sur une basse 5 cordes j'aurais plutôt tendance à bloquer le Ré avec l'annulaire). Quand on attaque la corde de Sol, le pouce reste sur la corde de Mi, continue à toucher le Si, l'auriculaire vient bloquer le La et l'annulaire bloque le Ré. Pour ce qui est de bloquer les cordes aiguës c'est l'autre main qui va s'en occuper (celle sur le manche). Travail technique : Vous devez d’abord réfléchir aux différentes positions que vous allez devoir adopter pour bloquer les cordes (une position par corde sauf pour la dernière corde grâce au jeu en butté). Vous effectuerez les exercices en laissant 4 te
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