Brillante manifestation sexuelle d'un couple
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Quand le temps éprouve la passion amoureuse, le couple se remet en question. Panne de désir, insatisfaction sexuelle... les problématiques liées au sexe dans le couple touchent la plupart des partenaires. L'issue évidente pour une vie de couple épanouie réside-t-elle uniquement dans le sexe ? Si oui, comment renouveler le sexe dans le couple ?
Aux premiers temps de la relation amoureuse, les sentiments sont à leur apogée, le mystère reste intact et le désir s'en ressent : le couple explore sa sexualité avec envie, et les rapports sexuels sont fréquents. Mais souvent, mieux les amants apprennent à se connaître et plus la curiosité est assouvie, parfois la lassitude s'installe avec la routine du quotidien.
Si le temps agit de manière parfois néfaste sur le sexe dans le couple, il peut avoir à l'inverse un potentiel très favorable à l'épanouissement des sentiments et de la complicité des partenaires. Gestes tendres, attentions câlines, regards de connivence : le couple soudé est visible au premier regard. Mais le sexe dans le couple soudé n'est pas nécessairement à la hauteur de sa complicité et de la tendresse qu'il exprime. Plus important, la tendresse poussée à l'extrême peut être elle-même à l'origine de la diminution de la fréquence des rapports sexuels des amants. Trop de complicité peut faire basculer le couple dans une relation d'amitié et la tendresse peut remplacer peu à peu le désir sexuel, de l'avis de certains. Dans ce contexte, la vie de couple sur le long terme apparaît comme un savant équilibre entre désir et tendresse.
Le sexe dans le couple : combien de fois par semaine ? Par mois ? La question revient de plus en plus souvent dans un contexte où les hommes comme les femmes communiquent beaucoup plus librement au sujet de leur sexualité. Mais difficile d'établir une normalité comme référence sur laquelle se baser pour évaluer si la fréquence des rapports sexuels dans le couple est ou non suffisante... De plus, cette notion de fréquence du sexe en couple est-elle réellement primordiale ?
Le sexe dans le couple doit-il être évalué en termes de qualité ou de quantité ? Mieux vaut-il avoir des rapports sexuels très régulièrement, planifiés en vue de maintenir la flamme dans le couple, ou des relations sexuelles spontanées, fruits d'un désir intense ? Il est évident que le sexe dans le couple doit faire suite à une véritable envie. Toutefois, beaucoup avancent que plus les rapports sont rapprochés et fréquents, plus l'envie demeure et croît. Beaucoup de femmes, à ce propos, affirment qu'une fois "lancées" dans l'acte sexuel, le désir naît et le plaisir s'en ressent irrémédiablement. Rajoutant qu'il suffit de "s'y mettre", même si la flemme n'incite pas aux ébats.
Le sexe dans le couple varie d'un couple à l'autre. Mais il n'est pas non plus envisagé et perçu de la même manière chez l'homme et la femme d'un même couple. En majorité, les hommes ont une libido plus développée que les femmes. Cela s'explique notamment au niveau hormonal - les cycles de la femme influent chaque mois sur sa libido - et certaines avancent également la notion de "charge mentale" : la femme se sent de devoir gérer davantage la famille et cette pression augmente son niveau de fatigue et de stress.
Si le sexe dans le couple n'est pas le seul ingrédient pour une vie de couple épanouie, il y participe néanmoins en grande partie. Parce que par nature, le sexe différencie le couple amoureux du couple d'amis. Egalement parce que le rapport sexuel représente un moment d'intimité privilégié qui permet d'approfondir le couple. Et bien entendu parce que le sexe en couple permet de satisfaire les partenaires physiquement.
Alors comment lutter contre la routine qui s'installe ? De nombreuses astuces favorisent le renouveau sexuel dans la vie de couple, pour bénéficier de tous les avantages d'une sexualité épanouissante : surprendre le partenaire par un lieu ou une position insolite, ou en lui envoyant des sextos, assouvir un fantasme, tester des pratiques libertines... A chacun de trouver la dose de nouveauté sexuelle qui lui permettra de mettre du piment dans sa vie de couple.
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Par Olivier Vincent et Thibaud Cécile
Publié le
08/07/1999 à 00:00
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La chronique de Gwénaëlle Avice-Huet
Par Gwénaëlle Avice-Huet, vice-présidente senior en charge de la stratégie de Schneider Electric
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Elle n'aurait jamais dû prendre ce bus-là. Il n'aurait jamais dû passer par là. Au premier regard échangé, elle est foudroyée. Il reste tétanisé. Péniblement, ils rassemblent ce qui leur reste de neurones pour engager un semblant de conversation. Douze ans plus tard, Florence et Laurent, mariés, la trentaine paisible, parents de deux enfants, n'en finissent pas de s'émerveiller. Ils se sont trouvés, au premier battement de cil, dans la grisaille parisienne, à un arrêt de bus. «Il est monté dans l'autobus avec moi et il m'a accompagnée à la fac. On ne s'est plus quittés.»
Les histoires d'amour commencent-elles toutes par un coup de foudre? Non, rétorque Nadine, agacée. Elle a travaillé pendant trois ans avec Pierre, avant que naisse doucement le sentiment. «A l'époque, je vivais des histoires chaotiques. Je rencontrais tous les mois l'homme de ma vie. Je tombais raide dingue de types qui me faisaient tourner en bourrique.» Jusqu'au jour où elle commence à regarder d'un autre oeil le garçon très patient qui lui tend des mouchoirs en écoutant le feuilleton de ses malheurs.
Comment tombe-t-on amoureux? Dès le premier instant ou au fil de la rencontre? Qui a raison, de Racine ou d'Aragon? Celui qui fait dire à Phèdre «Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue»? Ou celui qui commence son roman par «La première fois qu'Aurélien vit Bérénice, il la trouva franchement laide»? Est-ce le hasard? Le destin? La chimie du désir? Y a-t-il vraiment une recette? Existe-t-il des lieux et des moments propices? On pourrait le croire, tant, à l'approche des beaux jours, il y a de la guimauve dans l'air. A la Une des magazines féminins, les horoscopes amoureux convoquent les étoiles à la rescousse. «Quelque part, l'amour vous attend», promet ces jours-ci l'affiche du film Une bouteille à la mer, qui fait vibrer à la perfection tous les trémolos du mélo: un homme (Kevin Costner), une femme (Robin Wright Penn), une plage, un coucher de soleil. Chabadabada, ça marche à chaque fois.
Tomber amoureux? «C'est l'état naissant d'un mouvement collectif à deux», explique le sociologue italien Francesco Alberoni, auteur d'un best-seller sur la question, Le Choc amoureux (Pocket). Une histoire vieille comme le monde, croit-on. Et pourtant, pendant longtemps, en Occident comme ailleurs, la rencontre a été tout sauf une aventure à deux. Une affaire d'alliances entre familles, plutôt, et de transmission de patrimoine. Depuis Claude Lévi-Strauss, on sait que la constitution du couple est au coeur d'un système d'échanges qui structure la parenté et organise le groupe dans son ensemble. Pas question de laisser un tel enjeu à la merci des fantaisies du coeur. Jusqu'à l'orée du XXe siècle, la rencontre est balisée par les codes sociaux et surveillée à la loupe par les parents. L'amour n'entre là qu'en contrebande. Mariage et sentiments ne font pas bon ménage. On se méfie des coups de tête qui pourraient perturber la bonne marche de la société.
Aujourd'hui, les valeurs sont complètement inversées. Un, il n'y a de beau mariage que d'amour. Deux, le choix de l'élu est devenu une affaire strictement individuelle. Il y a belle lurette que les parents ne se mêlent plus de «présenter» un parti. Ne reste plus guère que la grande bourgeoisie pour s'obstiner à entretenir ses traditions fossiles et à organiser les rencontres entre soi, de façon protocolaire, de rallyes en bals de débutantes, dans l'espoir affiché de perpétuer certaines valeurs. «Pour le reste de la population, souligne Véronique Nahoum-Grappe, anthropologue à l'Ecole des hautes études en sciences sociales, tout repose sur les épaules de l'individu.» Exit le regard prospectif des parents, exit les règles de la société. «Il y a une solitude sociologique sans bouée de sauvetage collective, reprend Véronique Nahoum-Grappe. Et, en même temps, jamais la pression n'a été si forte: pour avoir une vie qui vaille d'être vécue, il faut être amoureux.»
Dès l'adolescence, il faut partir tout seul à la chasse à l'amour hors des sentiers balisés par la famille. Mais cela signifie-t-il que l'on choisit au hasard? Certainement pas. Les travaux menés par Michel Bozon, directeur de recherches à l'Institut national d'études démographiques, mettent au jour les nouvelles règles implicites, adaptées aux modes de vie contemporains, qui ont remplacé les stratégies matrimoniales traditionnelles. Sans même qu'ils en aient forcément conscience, les jeunes gens cherchent là où ils ont plus de chances de trouver leurs semblables. Ainsi, dans les milieux modestes, on ira facilement flirter dans les lieux publics, bals, spectacles ou discothèques. Alors que les classes sociales plus aisées se sentent mieux dans les ambiances privées, «sélectionnées», qu'il s'agisse de fêtes entre amis, de rencontres au cours des études ou en vacances.
Plus précis encore, Michel Bozon étudie combien les critères de jugement sur l'aspect physique varient: si les hommes privilégient en général la beauté des femmes, ces dernières valorisent chez eux ce qui évoque le statut social. Ainsi, dans les milieux populaires, elles préfèrent les hommes plutôt costauds, gage selon elles de solidité, de sérieux et de stabilité. Alors que les femmes des classes privilégiées se tournent vers les hommes grands et minces, qui incarnent à leurs yeux les qualités qu'elles apprécient, c'est-à-dire l'intelligence, l'assurance et la sécurité. Point par point, les données statistiques du chercheur défont les jeux de l'amour et du hasard: les stratégies matrimoniales du XIXe siècle sont bien mortes, mais les méandres de la vie sociale contemporaine ont pris le relais. Sans se l'avouer, on sait déjà où l'on a les meilleures chances de rencontrer son prince charmant ou sa belle au bois dormant.
Comme dans un conte de fées. Car le coup de foudre passe toujours pour un sortilège: une évidence contre laquelle il est impossible de lutter, racontent ceux qui l'ont vécu. Pour Elisabeth, c'était en montant dans un car: «Il était assis tout au fond, au dernier rang. En l'apercevant, j'ai senti une sorte de décharge électrique des pieds à la tête. Avant même qu'il me voie, je savais que j'étais tombée amoureuse.» Il est des indices qui ne trompent pas. Bouche sèche, mains moites, sensation de chaleur, jusqu'au coeur «qui bat si fort que c'en est en même temps agréable et presque insupportable», se souvient Etienne. Le coup de foudre n'est pourtant ni passage obligé ni label de qualité d'un amour naissant. Simplement, «certaines personnes sont de véritables paratonnerres, constate Boris Cyrulnik, éthologue et psychiatre: c'est leur façon à elles de réagir face à l'autre; elles sont particulièrement réceptives».
Une fois le contact ainsi établi, explique-t-il, bien d'autres manifestations physiques interviennent, comme autant de «minuscules indices corporels, intensément perçus par l'autre, mais de façon non consciente». En fait, avant même le premier baiser, une multitude de signes - les lèvres qui gonflent, les pommettes qui rosissent - ont déjà été échangés à l'insu des intéressés. Parfois, c'est encore plus subtil. Des chercheurs ont ainsi présenté à des hommes deux photos du visage d'une même femme. Seule différence: dans la seconde, la pupille avait été retouchée artificiellement et dilatée - signe d'une émotion intense. Puis ils leur ont demandé de choisir celle qui, selon eux, était la plus attirante. Résultat: huit hommes sur dix ont choisi la photo retouchée. Pourtant, lorsqu'il s'agit d'expliquer leur choix, ils en sont incapables, invoquant une ombre ou un vague sourire... Ce qu'ils ne formulent pas, c'est qu'ils ont perçu sans le savoir l'expression du désir sur le visage élu.
Dès l'instant de la découverte et de la séduction s'installe déjà un autre temps de la rencontre amoureuse: la complicité. A travers des signes de reconnaissance réciproque, presque implicite: échange de regards, ébauche de sourires, mains qui se frôlent, les corps se mettent en phase et se rapprochent. Comme pour la pupille, ces jeux, sans être conscients, sont parfaitement perçus entre les deux partenaires. «Regardez deux amoureux au restaurant, suggère Boris Cyrulnik: leur posture, leur attitude, tout repose sur une synchronisation de leurs mimiques et de leurs gestes. En fait, avant même de parler, beaucoup de choses ont déjà été pré-dites.»
Messages visuels, corporels, mais aussi messages olfactifs. La rencontre amoureuse se fait également à une échelle presque infinitésimale: ce sont les phéromones. Les scientifiques connaissent depuis longtemps ces substances chimiques caractéristiques émises par certains animaux. Chez les insectes, elles constituent même le seul mode de communication sexuelle: un papillon, le bombyx mâle, est ainsi capable de réagir à l'odeur d'une femelle émise à plusieurs dizaines de kilomètres de distance.
Et chez l'homme? Après tout, on sait bien qu'une mère est capable de reconnaître entre mille l'odeur de son enfant; on sait aussi qu'elle émet des signaux olfactifs que seul ce dernier perçoit, et que cette reconnaissance réciproque se poursuit au moins jusqu'à l'adolescence, selon Benoît Schaal, directeur du laboratoire du comportement de l'Inra (Institut national de la recherche agronomique) et du CNRS.
Si, donc, les phéromones interviennent dans les relations mère-enfant, pourquoi n'agiraient-elles pas dans les relations amoureuses? Aujourd'hui, les chercheurs tentent de vérifier expérimentalement l'existence de ces messages olfactifs entre adultes. De fait, une expérience menée à Birmingham (Angleterre) a donné des résultats troublants: dans une salle, les chercheurs ont vaporisé, avec des extraits contenant des hormones mâles, une chaise parmi une dizaine d'autres. Puis ils ont demandé à 840 femmes d'entrer dans la pièce et de s'asseoir où elles voulaient. Résultat: 810 d'entre elles se sont installées spontanément sur le siège vaporisé. Et aucun des 510 hommes observés. Sans le savoir, ces cobayes donnent tout leur sens à des expressions telles que «je l'ai dans la peau» ou «je ne peux pas le sentir»...
Serait-ce le premier pas vers la mise au point d'un véritable philtre d'amour qui affolerait les hommes et enflammerait les femmes? Sûrement pas, répond Benoît Schaal, agacé par le raccourci simplificateur: l'expérience de Birmingham n'est pas généralisable, fait-il observer. D'autres études montrent qu'une même odeur peut engendrer des réactions différentes, selon le contexte et le niveau de concentration - attractif à un certain degré, répulsif au-delà. En outre, ce serait ignorer «l'extraordinaire variabilité des réponses individuelles».
En revanche, il n'y a aucun doute sur cet «orage chimique» qui se produit lors d'une rencontre amoureuse, comme l'explique le neurobiologiste Jean-Didier Vincent dans sa Biologie des passions (Odile Jacob)
Une femme à gros seins écarte les jambes pour baiser
Une brune mignonne et punie
Française baisée sur une chaise