Boss a surprend la nounou et ella lui a fait un travail avec les pieds

🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

Boss a surprend la nounou et ella lui a fait un travail avec les pieds

Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Argent : combien d’euros nous faudrait-il pour vivre notre vie idéale ? 28/07/2022
Travail, loisirs, soins… Voici l’agenda des Français en image Modifié le 28/07/2022
Éjaculateurs précoces : des chercheurs découvrent la méthode pour durer plus longtemps au lit 26/07/2022
Le top 10 des villes les plus agréables au monde dévoilé 27/06/2022
9 pistes pour éliminer le plastique de son quotidien 05/05/2022
Rapport du GIEC : diviser les émissions de gaz à effet de serre par deux d’ici à 2030, c’est possible 05/04/2022
Les insultes seraient équivalentes à des mini gifles au visage 27/07/2022
Covid long : Une étude dresse les profils de Français concernés par la maladie 25/07/2022
Troubles du cycle menstruel : le vaccin anti-Covid en cause ? Modifié le 21/07/2022
L’anxiété serait héréditaire selon un facteur génétique particulier 26/07/2022
Les antidépresseurs inefficaces ? Une étude remet en cause « la théorie de la sérotonine » 25/07/2022
Dépression : cette vitamine serait capable de réduire l'anxiété 21/07/2022
Pourquoi il ne faut surtout pas dire à son enfant que le monde est dangereux 30/06/2022
Comment parler de la guerre en Ukraine aux enfants ? 01/03/2022
2 idées reçues des parents face à l’orientation 01/12/2021
Mad skills : quelles sont ces compétences « folles » qui séduisent les recruteurs ? 08/07/2022
Santé mentale au travail : une enquête dévoile des chiffres inquiétants 06/07/2022
J'ai remarqué que mon collègue va mal, que faire ? Modifié le 23/06/2022
Syndrome FOMO : Mettre son téléphone en mode silencieux augmenterait le niveau de stress 19/07/2022
Addiction au smartphone : abandonner les écrans ne serait pas la solution 05/07/2022
« Rien à foutre de ta dépression » : un Youtubeur fait polémique Modifié le 15/06/2022
7 romans incontournables pour les vacances d’été 24/06/2022
Mathou : « Le développement personnel m’a fait plus de mal que de bien » Modifié le 20/06/2022
Les éditions Nami, une fenêtre ouverte sur l’intime 16/05/2022
Sorties ciné : les films à ne pas rater en juillet 23/06/2022
Alzheimer : une fantaisie burlesque pour en parler au Festival d’Avignon 16/06/2022
Sorties ciné : les films à ne pas rater en juin 25/05/2022
Argent : combien d’euros nous faudrait-il pour vivre notre vie idéale ? 28/07/2022
Travail, loisirs, soins… Voici l’agenda des Français en image Modifié le 28/07/2022
Les insultes seraient équivalentes à des mini gifles au visage 27/07/2022
Problèmes psy Pervers narcissiques, manipulateurs : comment les reconnaître ?
Se connaître Lâcher prise, c’est accepter ses limites
Vie de couple Les signes de l'amour vrai
Crises / Divorce Couple : comment savoir s'il faut se quitter ?
Enfants Enfant précoce, surdoué : une richesse?
Enfants Qu'est-ce que la résilience ?
Développement personnel Les accords Toltèques
Prévention Ce que cache notre mal de dos
Santé Infection intestinale : comment détecter et soigner le SIBO
Corps Detox : 10 astuces pour éliminer les toxines naturellement
Beauté naturelle Beauté : les vertus du bicarbonate
Equilibre Nutrition : comment perdre nos kilos émotionnels ?
Equilibre Ces aliments qui boostent le cerveau
Les animaux et nous Leçons de sagesse du chat
Carrière Témoignages : ils ont décidé de ne plus travailler
Souffrance au travail Ennui au travail : les risques réels
Spiritualités 7 conseils pour méditer au quotidien
Savoirs Musique : la fréquence bien-être


Accueil
/

Planète
/

Vivre Ensemble
/

Articles et Dossiers
/

Ma nounou s'est voilée


Sommaire







Mon relativisme culturel à l'épreuve

Une amitié profonde

Tenter de comprendre

Face à mes propres préjugés

De nouvelles inquiétudes



On en parle sur le forum de Psychologies




“Convictions politiques...”




“Les vertes convictions”




“conscience musulmane”




“Lesbienne musulmane”




Nos dernières vidéos : Peut-on arrêter de manger ses émotions ? ❙ Psychologies
Peut-on arrêter de manger ses émotions ? ❙ Psychologies
Les 4 fausses idées sur l’alimentation ❙ Psychologies
Troubles alimentaires : Quels sont les 5 types de TCA et comment les reconnaître ?
TCA : il est plus important de s’aimer que de s’accepter ❙ Psychologies
À 17 ans, j’ai été internée en hôpital psychiatrique ❙ Psychologies
Pourquoi j'ai rêvé d'un serpent ? ❙ Psychologies

Apprendre à faire confiance à sa nounou

4 idées pour une déco bleue et jaune réussie
Comment réussir un intérieur de style campagne chic ?
4 livres pour découvrir la van life
Pervers narcissiques, manipulateurs : comment les reconnaître ?
Accords toltèques : 4 règles pour être
Après avoir vu un magnétiseur, je suis devenue suicidaire.
J'ai vécu des crises d'angoisse et j'aimerais vous redonner espoir...
Empathie, sympathie et compassion : quelles différences ?
La Relaxothérapie pour réduire l'anxiété et s'ouvrir à son monde intérieur
Le blurring : quand la journée de travail ne s'arrête pas
Fin de vie : de l’importance du plaisir
Je suis célibataire, est-ce de ma faute ?
Présenter son nouveau conjoint à ses enfants
J’ai choisi de ne pas avoir d’enfant
Préparer son accouchement avec l'acupuncture
Comment poser des limites aux enfants
Famille recomposée : gérer les disputes
Qu’est-ce qu’une bonne garde alternée ?
Frères-soeurs : pourquoi certains se détestent toujours
Mon psy et moi : une relation singulière
5 étapes pour interpréter vos rêves
Ces psys qui abusent de leurs patient(e)s
Découvrez votre héritage émotionnel
Quel sport pour apaiser ses émotions ?
Endométriose : des patientes incomprises
Gérer ses émotions avec les 38 fleurs de Bach
Mes petits secrets beauté : le miel
Le petit déjeuner, un grand moment de bonheur
Mon stage de survie en pleine nature
Etre reconnu au travail, un besoin vital
Management : 6 leçons des philosophes
Comment dire à mon boss que ça ne va pas ?
Cultiver son intelligence émotionnelle au travail
Mis à jour le 06 décembre 2010 à 18:05


Frédérique, 40 ans, confiait son fils à une nounou depuis deux ans lorsque celle-ci s’est mise à porter le hijab. Un choix qui l’a désemparée, mettant à l’épreuve ses propres convictions et leur profonde amitié.

Je n’ai d’abord pas reconnu la silhouette voilée qui venait à ma rencontre, tenant la main de mon petit garçon. Elle ne s’était pas contentée de poser un foulard sur ses cheveux. Elle l’avait choisi d’un noir d’encre, l’avait plaqué sur son front, en avait scrupuleusement resserré les pans autour de ses joues et de son cou. Ses avant-bras et ses mollets, qu’elle offrait d’ordinaire à la brise, avaient eux aussi disparu sous une tunique et un pantalon de Tergal d’une teinte lugubre. Je l’ai dévisagée, incrédule et vaguement oppressée, comme si elle venait d’enfiler une combinaison de plongée au plus chaud de l’été. Deux détails m’ont frappée. Ces épingles de couturière qui maintenaient fermement le tissu à la hauteur de ses tempes, pointes tournées vers la chair tendre de ses pommettes. Et ses yeux, plus maquillés qu’à l’accoutumée, qui semblaient espérer que l’on remarque encore la beauté qu’elle choisissait pourtant de dissimuler. “Mais, tu portes le voile ?” J’ai lu l’inquiétude dans son regard. “Est-ce que ça te dérange ?” Est-ce que cela me dérangeait ? Oui… Non… Je ne savais pas. Une certitude pourtant : “Je n’aimerais pas que quelqu’un t’oblige à le faire.” “Non, non ! s’est-elle défendue. C’est mon choix.” Je n’étais pas plus à l’aise avec cette réponse-là.

Ironie du sort, la veille de ce jour où Chadia, à 38 ans, décidait d’adopter le hijab, j’avais pris position, lors d’un dîner entre copines, en faveur de la nounou voilée à laquelle l’une d’elles refusait de confier sa fille. “Il est hors de question que ma gamine ait pour modèle une femme qui accepte ce symbole de soumission !” avait déclaré Elsa. J’avais argumenté : “Pourquoi ce modèle aurait-il plus d’influence que celui que tu lui proposes ?” M’étais emportée : “En fait de modèle, tu fais de l’ostracisme ! Tu crois que ta petite n’a rien à apprendre de femmes différentes de toi ?” Le voile ne m’a jamais gênée. Rectification : jusque-là, il ne me gênait pas. Ce relativisme culturel, qui hérisse à juste titre ceux qui se battent contre les violences faites aux femmes – excision et voile intégral en tête –, je l’ai fait mien au cours d’une enfance passée au Proche-Orient, où nous étions, ma famille et moi, “les étrangers”. Il faisait partie du paysage, sur fond de Méditerranée, comme les oliviers et les maisons blanches aux toits inachevés. Il était important pour moi que mes enfants connaissent quelque chose de mon éden. Lorsque Chadia m’a accueillie chez elle, la première fois, je me suis immédiatement sentie chez moi, dans ce chez-moi de mon enfance. J’avais auparavant rendu visite à plusieurs assistantes maternelles avec mon tout-petit blotti dans mes bras. J’étais ressortie de chacune de ces visites en larmes, convaincue de ne pouvoir laisser mon bébé à aucune d’elles. Entre Chadia et moi, le coup de foudre avait été immédiat.

Nous en étions à la troisième année d’une amitié profonde et inattendue – aurions-nous partagé la même tendresse, la même connivence, si nous n’avions pas chéri le même enfant ? – lorsque j’ai découvert Chadia tout de noir vêtue. J’ai subitement pensé que nous l’avions échappé belle : si je l’avais d’abord connue voilée, nos relations auraient probablement conservé une distance polie, comme si nous vivions dans deux mondes que ce bout de tissu rendait hermétiques l’un à l’autre. J’ai essayé de comprendre. “Pourquoi fais-tu ça, Chadia ? Tu m’as toujours raconté que tu portais des minijupes en Tunisie. Pourquoi te couvres-tu maintenant ?” “Je me sens prête, m’a-t-elle d’abord expliqué. C’est un chemin religieux.” Je ne me suis jamais cachée d’être athée. Elle sait, à l’inverse, que je respecte sa foi. Je la questionne avec intérêt, comme elle me questionne sur mes convictions et mes habitudes. Nous nous amusons beaucoup de nos bizarreries respectives. “Tu es une martienne.” “Non, c’est toi.”

Là, je n’avais pas le cœur à rire. Venue tenter l’aventure en France pour échapper au poids des conventions, elle s’y ralliait subitement. Je ne pouvais pas m’en réjouir. Je la sondai, dans l’espoir de la voir faire machine arrière : “En quoi le fait de te voiler fait-il de toi une meilleure personne ? Est-ce que tu n’es pas la même, avec ou sans voile ?” “Si, mais… les hommes ont des instincts, il ne faut pas les tenter.” “Un homme t’a embêtée ?” “Non !” “Mais alors, laisse-les à leurs responsabilités, ce n’est pas à toi de te cacher !” Elle a trouvé un autre argument : “Mon père, sur son lit de mort, m’a demandé de le faire. Je lui ai promis d’y réfléchir.” J’avais partagé son chagrin, je pouvais comprendre son besoin de rendre hommage à cet homme bon que j’avais connu. Mais quand bien même : “Il t’aimait sans voile…” C’est alors qu’elle m’a avoué “la vraie raison”, l’élément déclencheur. “Hier, j’ai vu une émission religieuse sur une chaîne arabe. L’imam disait que les femmes qui ne portaient pas le voile seraient immédiatement réduites en cendres lorsqu’elles se présenteraient devant Allah.” Elle en était tout effrayée. J’ai éclaté de rire, peut-être pour la rassurer : “Tu ne peux pas croire une chose pareille !” Bien sûr qu’elle le croyait. Pour preuve.

“Et ta nounou, tu l’as gardée ?” me demande-t-on parfois à ce stade de l’histoire. Bien sûr que je l’ai gardée, comme j’ai gardé ma grand-mère avec son missel, ma copine Chloé avec son pendule et ses tarots ou mon voisin Jonathan, à qui je descends parfois ouvrir la porte les jours de shabbat, sa religion lui interdisant d’actionner le digicode. Chadia aussi m’a gardée, bien qu’il m’arrive de dire à ses enfants que je ne crois ni à Dieu ni au diable et que j’aime le porc. Elle en rit d’indignation, et qui sait ce qu’elle raconte à ses amies de mes mœurs navrantes ? Mais elle me conserve son amitié. Et tant que ce dialogue complice perdure entre nous, pourquoi la rejeter pour ce que j’interprète, moi, comme de l’obscurantisme, et elle, comme une élévation spirituelle ? Bien sûr, dans un premier temps, j’ai redouté que son voile soit le signe d’un virage intégriste. Ce n’était pas d’elle que je me méfiais. Plutôt de son mari, que je connaissais moins. Et s’il tramait quelque chose ? S’il fréquentait des terroristes ? Si mon enfant était en danger ? J’ai eu toutes ces pensées, qu’il m’en excuse. Je faisais face, maintenant, à mes propres préjugés. Je m’en suis remise à la réalité de notre amitié. La réalité du regard doux du mari de Chadia lorsqu’il joue avec mon fils. La réalité de la générosité de Chadia, qui câline mon enfant comme les siens.

Reste que la prolifération du voile dans notre petite banlieue m’inquiète. Je sais bien, pour en avoir parlé avec mes amies tunisiennes sans qu’elles le formulent ainsi, à quel point le voile est aussi une riposte au mépris qu’elles subissent tous les jours. J’ai vu, par exemple, la responsable des assistantes maternelles du quartier les gronder (les gronder !) lorsqu’elles parlent arabe devant les enfants. Je vois, au guichet de la poste, à la Caisse d’allocations familiales ou dans certains commerces, comment le ton parfois se raidit. Mais la radicalisation identitaire – de part et d’autre – a sur le vivre-ensemble des effets qui me gênent. L’autre jour, nous étions au parc lorsque mon fils est venu nous dire : “Il y a des gens qui font l’amour !” Nous nous sommes retournées, Chadia et moi, pour voir un couple d’amoureux se bécoter sur un banc. Aussitôt, plusieurs nounous se sont levées pour les rappeler à l’ordre. Elles étaient toutes voilées de noir, une nuée de corbeaux. Il y a deux ans encore, leurs foulards étaient colorés. Je sens lentement la radicalisation religieuse empiéter sur l’insouciance et les libertés publiques. Je me surprends parfois à être moins à l’aise lorsque je sors épaules nues dans les rues de ma ville.

Je ne sais pas quoi penser d’une loi d’interdiction du voile qui rencontre mon envie de voir mes semblables jouir des mêmes libertés que moi, mais me fait redouter une exacerbation des affirmations identitaires dans les minorités mal accueillies chez nous. Puissent le dialogue et la sincérité préserver notre douceur de vivre. »
Institut de psychologie humaniste et...
Face à l’actualité toujours plus anxiogène, comment tenez-vous ?
Je n’y arrive pas du tout, je perds pied
Ne ratez plus aucun numéro de Psychologies Magazine, grâce à nos offres d'abonnement exceptionnelles.
Chaque mois, retrouvez votre magazine en version numérique



INFOS Coronavirus

Autotest covid
Omicron
Pass vaccinal
Vaccination enfant
Vaccin covid


Affaire avec la nounou... ça y est elle a été inspectée
Difficile justement d'avoir "trahi" la nounou mais bon je me dis que j'ai tenté plein de fois de lui expliquer notre position, elle n'a jamais fait d'efforts et surtout ce que je n'accepte pas, c'est que pour elle ce n'est pas du tout un probléme de laisser les enfants à garder à son mari, sans en avertir les parents. Aprés plusieurs discussions avec elle, et mur reflexion, il me semble que j'ai fait le bon choix. Malheureusement elle risque de perdre son agrément mais si je fais une faute grave à mon travail je le perd également.
tu en a discuter avec es autres parents de ces problemes? et eux ils en pense quoi? car faut ce dire que si tu pense a voir fait le bon choix et kil lui retire son agrements cest pas que toi qui na plus de nounou mais d'autres parents aussi . et que peut etre eux non malheureusement pas le choix que de mettre leur enfants chez elle.
Je n'ai pas tout lu mais effectivement, quand on choisit une nounou, je dirais qu'on choisit presqu'une famille. Et je trouve important d'avoir confiance en tous ses membres parce que tous seront amenés à s'occuper plus ou moins de nos enfants ou à être à leur contact. Comme Maloucel, ça ne me dérange pas que la fille de la nounou garde mon fils si la nounou a un RV. Mais j'ai une grande confiance en elle. J'ai déjà confié mon fils à la nounou pendant un week-end (pour l'enterrement de mon grand-père à 600 bornes de chez moi) et j'ai laissé Tudual en toute confiance, sachant qu'il allait être pris en charge par la famille entière. Et je trouve ça sympa. Maintenant, c'est davantage une question de transparence. Si la nounou ne prévient pas les parents, ça pose problème en effet. Ma nounou nous prévient systématiquement si elle doit s'absenter et que Tudual doit être gardé 1h ou 2h par sa fille ou sa belle-soeur (nounou elle-même qui habite en face et qui garde aussi le loulou pendant les congés de mon ass- mat-). J'espère que vous allez trouver un terrain d'entente. Ca doit être très chiant ces histoires. Bon courage.
Nicolas va à la crèche. Il adore être avec plein d'enfants. Il est super éveillé. Il est souvent malade. Il a souvent des bronchiolites asthmatiformes. Des enfants gardés par leur maman en ont aussi. Cela me réconforte car j'ai pas mal culpabilisé. Avant la réponse positive de la crèche j'ai vu au moins 8 nounou ass mat. Et aucune me faisait totalement confiance. Donc je suis super contente qu'il aille à la crèche.
Coucou Laety, je suis désolée que tu ne te sente pas
Ce jeune lascar baise sa tante lors d'un voyage en famille
Enfin j'ai pu baiser ma copine vierge
L’employé du moi est récompensé avec une jolie chatte