Bonnie et ses copines

Bonnie et ses copines




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Bonnie et ses copines

Souvenez vous... Ils avaient une
grande gueule, vous Ă©tiez timide. Ils passaient leur samedi Ă  faire des trucs
cools, vous passiez le vĂŽtre Ă  faire votre devoir de maths. Ils Ă©taient
respectés et aimés de tous, alors que l'on balançait réguliÚrement le contenu
de votre trousse par la fenĂȘtre. Ils Ă©taient populaires, vous n'Ă©tiez rien. Or,
dix ans, vingt ans plus tard, vous constatez avec bonheur que la tendance s'est
quelques peu inversée.

DĂ©finissons tout d'abord QUI
étaient ces fameuses stars du collÚge. 

Pour les mecs, en général, il
s'agissait, d'une part, des plus beaux (enfin, beaux selon nos critĂšres de
l'Ă©poque qui, en somme, Ă©taient assez pourraves), et d'autre part, de ceux qui
faisaient du sport (entendez par lĂ  les sports populaires, du foot ou du
basket, donc).

Du cÎté des filles, ce n'est pas
par jalousie, mais reconnaissez qu'il s'agissait quand mĂȘme trĂšs souvent des
plus vulgaires. Maquillées à la truelle, elles portaient des décolletés
provoquants et des jeans ultra-moulants (mais les assumaient Ă  fond), elles
avaient la voix cassée des filles qui passent leur journée à brailler et à rire
trop fort, elles draguaient les profs et, bien entendu, sortaient avec des
tas de mecs.

Et dans les deux cas, ces
personnes avaient trĂšs souvent une certaine propension Ă  la ramener en toute
circonstance, Ă  foutre le bordel en cours, Ă  participer Ă  des "teufs", et, bien
entendu, Ă  vous pourrir la vie.

Vous les admiriez parfois, les
respectiez souvent et, plus que tout, vous les enviiez terriblement.

En ce qui vous concerne, vous
n'avez peut-ĂȘtre pas encore dĂ©crochĂ© le job de vos rĂȘves, certes, mais vous
avez Ă©tudiĂ© et obtenu des diplĂŽmes, vous ĂȘtes cultivĂ©e et intĂ©ressĂ©e par des
tas de choses, et, que vous soyez une super-battante ou non, vous avez un
minimum d'ambition et finirez forcément par faire des tas de trucs
super intéressants.

Vous avez certainement de
chouettes amis et amours, en tout cas autant que n'importe qui. Vous faites la
fĂȘte, sortez dans les bars, Ă  des concerts ou au cinĂ©ma, vous savez
dĂ©finitivement comment bien vous amuser. Vous ĂȘtes une fille sympa, drĂŽle et
intelligente, et on ne peut que vous apprécier.

Et c'est lĂ  oĂč vous dĂ©barquez, un
peu par hasard, sur le facebook de Vanessa, cette connasse qui avait écrit "Intello de merde" au marqueur indélébile sur votre sac.

Vous découvrez alors avec stupeur
que Vanessa est déjà maman, car elle a publié, dans un premier temps, des
photos immondes de son gros ventre enceinte, et dans un deuxiÚme, de son bébé
moche qu'elle a eu la présence d'esprit de nommer Angel.

Là-dessus, vous jetez un Ɠil aux commentaires ponctuant ces tristes
images. Nouvelle stupeur : les copines de Vanessa sont visiblement restées
Ă  l'Ăšre des grandes heures de MSN. "Trop bo, pl1 de boneur a la ptite
famille !" et autre "kom il te resemble, c 1 truc 2
ouf !" vous laissent à penser qu'il s'agit là de commentaires
laissées par quelques ados version Tokyo Hotel, mais non, il n'en est
rien : il s'agit bien de jeunes femmes, mamans elles aussi, avec leur bébé
et leur gros bide en photo de profil.

Mais il n'y a pas que la
maternité, dans la triste vie adulte de Vanessa : il y a aussi son homme.
Il est barraque, tatoué, paré d'un élégant diamant à l'oreille, et il tire une
gueule laissant Ă  imaginer qu'il sort tout juste de taule et qu'il doit, de
temps en temps, taper un petit peu sur Vanessa (ou sur d'autres filles, au
choix).

Quant à son travail, hélas, son
Facebook ne nous le dit pas. Mais juste pour le plaisir, on va dire qu'elle est
vendeuse chez Jennyfer. Entre nous, on ne devrait pas tomber trĂšs loin de la
réalité.

Et que sont donc devenus Jordan
et Anthony ? Pour les messieurs, c'est moins évident, vu qu'en général, ils
ne mettent pas de photos de leur gamin sur Internet. De notre propore
expérience, nous en avons connus qui avaient fait de la prison, d'autres qui
squattaient toujours chez leurs parents et passaient la journée à glander sur
leur scooter. En général, ils n'étaient plus du tout beaux gosses.

Que leur est-il donc arrivé, eux
pour qui tout semblait si facile ? Disons qu'ils sont sans doute restés
coincĂ©s Ă  leur Ă©poque de gloire... Qu'ils n'ont peut-ĂȘtre pas assez appris Ă 
faire des efforts pour se faire une place dans la vie...

Ou disons tout simplement, sans
honte aucune, que c'est juste bien fait pour leur gueule.

Nous nous adressons donc ici Ă 
toutes celles pour qui ces années collÚge ont été un enfer, à toutes les
timides, les petites grosses, les premiÚres de la classe, les garçons manqués,
Ă  celles qui ne portaient pas de marques, celles qui mangeaient seules Ă  la
cantine, celles que l'on affublait d'un surnom ridicule, celles qui n'Ă©taient
pas invitées aux boums... Celle qui étaient trop gentilles et trop connes, et
qui pleuraient en rentrant des cours...

Mesdames, réjouissez-vous :
vous avez gagné !

Vous l’avez bien compris depuis le temps : une photo, ce n’est dĂ©finitivement pas le reflet de la rĂ©alitĂ©. Non, ce n’est pas parce qu’une famille paraĂźt heureuse dessus et que chaque membre y affiche un sourire de malade que ces gens nagent forcĂ©ment dans le bonheur. Vous le savez bien et on vous le rĂ©pĂšte : la photo est un mensonge, une illusion, un gros fake. Et pourtant, en feuilletant vos vieux albums, vous ne pouvez pas empĂȘcher votre amour propre de se casser littĂ©ralement la gueule au visionnage de certaines photos bien fourbes et bien cruelles envers votre physique. Petit panel de ces vĂ©ritables tortures picturales.

On a tendance Ă  penser que la photo de vacances, c’est un peu la photo gagnante. Vous ĂȘtes bien, dĂ©tendue, reposĂ©e, avec en prime un beau teint hĂąlĂ©e et un paysage idyllique en toile de fond, bref, c’est LA photo qui envoie du rĂȘve par excellence (et qui finira immanquablement sur vos profil Facebook, Twitter et partout oĂč l’on peut afficher sa tĂȘte). Mais il est une catĂ©gorie Ă  Ă©viter, si vous ne voulez pas que tout ce bonheur sur papier glacĂ© ne soit rĂ©duit en bouillabaisse, c’est la photo de plage. Celle oĂč vous avez cru prendre une pause de pin-up soigneusement sexy sur votre serviette, ou bien celle oĂč vous Ă©mergez des flots façon Ursula Andres, ou encore celle oĂč vous exĂ©cutez une passe de volley toute en grĂące et en agilité  HĂ©las, un coup d’Ɠil sur l’écran de l’appareil suffira Ă  vous anĂ©antir.

Car dĂ©jĂ , vous ĂȘtes grosse. Vous ne l’ĂȘtes peut-ĂȘtre pas dans la vraie vie, lĂ  n’est pas la question, mais ce que vous avez, lĂ , sous vos yeux effarĂ©s, vous paraĂźt ĂȘtre le summum de la chaire molle et du capiton capiteux. Ensuite, vous aviez bien Ă©videmment le soleil dans la gueule et les cheveux mouillĂ©s-plaquĂ©s sur le crĂąne, ce qui vous donne une tĂȘte grimaçante et difforme. Et enfin, coup de grĂące, vous vous payez un coup de soleil de la mort, et vos Ă©paules sont parĂ©es d’une douce teinte homard, quand ce n’est pas votre nez qui pĂšle (en cas de photos en gros-plan, pour les plus tĂ©mĂ©raires). Vous l’aurez compris, la photo de plage, en dĂ©pit de toutes ses promesses, ne sera que dĂ©ception, dĂ©ception, dĂ©ception


Que vous preniez la pause ou non, la photo en pleine rando se veut porteuse d’air pur et d’aventure, vous renvoyant l’image naturelle et dĂ©contractĂ©e d’une nana sportive, toujours fraĂźche et en pleine forme. HĂ©las, tenez vous le pour dit une bonne fois pour toute : seule Lara Croft est capable de rester sexy tout en s’enquillant des heures d’effort physique dans des conditions extrĂȘmes. Dans votre cas, la grimpette aura eu raison de votre fiĂšre allure : vous avez les joues rouges, le visage dĂ©goulinant de sueur et vos cheveux ont depuis longtemps capitulĂ© face au vent d’enfoirĂ© qui les malmĂšne depuis deux heures. Quant Ă  votre look, vous aviez zappĂ© au moment de sourire mais, en gĂ©nĂ©ral en rando, on porte ses fringues les moins salissantes et les plus moches. VoilĂ .

La bonne nouvelle, c’est qu’a priori, tout le monde sur la photo est grosso-modo dans le mĂȘme cas que vous. Ça attĂ©nue lĂ©gĂšrement votre douleur, ça ne veut pas dire pour autant que la photo doit ĂȘtre prise.

Bon, lĂ , vous pouvez encore vous la jouer finaude en tablant sur la photo de DEBUT de soirĂ©e. Celle oĂč vous venez d’arriver, en mode la-plus-belle-pour-aller-danser, chic, pimpante et bien maquillĂ©e. C’est Ă  ce moment, et Ă  ce moment prĂ©cis, qu’il faut mitrailler. Pas aprĂšs trois verres de rouge, quand vos lĂšvres ont revĂȘtu une charmante croĂ»te violacĂ©e. Pas aprĂšs une heure de dancefloor, quand la sueur fait dĂ©gouliner votre maquillage noir. Et jamais, au grand jamais, en toute fin de soirĂ©e, quand vos yeux partent en vrille, que vous chantez des paillardes Ă  tue-tĂȘte en ouvrant grand la bouche ou que vous montrez allĂšgrement votre petite-culotte au tout venant. Ces photos-lĂ , elles ne pardonnent pas, jamais.

Citons, en bonus, la soirĂ©e dĂ©guisĂ©e. Vous savez, celle oĂč vous vous ĂȘtes ramenĂ©e en combine de ski fluo, en playmate ou en nĂ©o-gothique. Celle donc, d’oĂč dĂ©coulera un nombre inimaginables de photo oĂč vous aurez l’air d’une lycĂ©enne trop maquillĂ©e qui prend sa premiĂšre cuite, et qui finiront taguĂ©es-likĂ©es Ă  outrance sur Facebook. Et vous dĂ©crĂ©dibiliserons Ă  VIE de la plus infime tentative de comportement adulte et respectable.

Et enfin, sur-bonus : la soirĂ©e oĂč les gens dorment sur place. En effet, sachez que vos batards de pseudo-amis se feront une joie de vous immortaliser au summum de votre sex-appeal, en mode cheveux hirsutes, yeux dĂ©foncĂ©s et sac de couchage entortillĂ©. A ce moment-lĂ , il n’est plus de finauderie qui tienne : ne laissez rien passer et arrachez-leur des mains leur foutu i-phone. Voire cassez-le carrĂ©ment.

Bref, vous l’aurez compris, il peut ĂȘtre prĂ©fĂ©rable pour votre ego d’éviter certaines de ces pauses et situations malĂ©fiques. Cela dit, il est bon de rappeler, une fois encore, que cette photo qui vous fait pleurer de rage n’est qu’une image immobile et dĂ©personnalisĂ©e. En vrai, vous Ă©tiez trĂšs sensuelle, alanguie sur votre serviette et balayĂ©e par le sable chaud. Et vous aviez fiĂšre allure, Ă  affronter la rudesse des montagnes. Et vous Ă©tiez criante de naturel et d’énergie, Ă  entonner joyeusement « Jeanneton prend sa faucille »  Vous Ă©tiez vous, vous Ă©tiez bien, vous Ă©tiez BELLE. C’est promis.

Arrivée du printemps oblige, voici venu le temps des célébrations
amoureuses, des banquets ultra-chicos, du lancer de riz et de gerbes de
fleur, du classieux mettage de mine au champagne et du non moins
classieux gavage aux choux Ă  la crĂšme. C’est cette heureuse cĂ©lĂ©bration
de l’amour et du bonheur, c’est la grande palette d’émotions fortes et
la dĂ©ferlante de belles promesses bien niaises. Et c’est aussi la course
ultime Ă  qui, en plus d’arriver Ă  pĂ©cho le bouquet, arborera la robe la
plus cool, la plus trendy, la plus IN, qui mettra toutes les autres au
tapis et les fera crever de jalousie. Mesdames, sortez vos mouchoirs,
serrez le ventre et dĂ©gainez votre CB : c’est la saison des MARIAGES !

Vous n’avez de cesse de vous le rĂ©pĂ©ter : sur ce coup-lĂ , il ne faut pas se craquer. En effet, Ă  moins que le mariage en question soit plutĂŽt en mode bonne franquette, il va s’agir de concurrencer une horde de jeunes nanas toutes plus belles et plus apprĂȘtĂ©es les unes que les autres, tout en gardant une allure nature et dĂ©contract’ et en tenant compte des fĂącheux dĂ©sagrĂ©ments occasionnĂ©s par le combo bouffe-picole-dancefloor (entre autres : les aurĂ©oles sous les bras, le verre qui gicle et le canapĂ©-saumon qui se fait la malle). Le tout en se sentant Ă  l’aise, joyeuse et photogĂ©nique, car rappelons-le, le mariage, c’est aussi le gros festival de la photo.

Inutile de vous dire, donc, que le dĂ©fi est de taille et que vous allez galĂ©rer un max. MĂȘme si, de prime abord, vous n’ĂȘtes pas bien compliquĂ©e : pour vous, une petite robe unie, toute simple et bien coupĂ©e, du genre qu’on trouve dans le premier Etam venu, fera parfaitement l’affaire. DĂ©trompez-vous. Car pour une raison qui reste Ă  ce jour totalement mystĂ©rieuse, aucune, mais alors aucune, des tenues que vous allez essayer dans votre quĂȘte de l’élĂ©gance ultime ne va vous convenir. Soudain, comme par enchantement (et quel enchantement), toutes ces robes hier si prometteuses s’avĂšrent aujourd’hui parfaitement inmettables. C’est inexplicable mais c’est comme ça.

Bien sĂ»r, vous trouverez quand mĂȘme. En fin d’aprĂšs-midi, dĂ©goulinante de sueur, le cerveau engourdi par la foule et la musique de merde des magasins, le nez et les yeux complĂštement flinguĂ©s par les pots d’échappement, vous allez enfin vous dire, en vous mattant dans le miroir de la cabine, que lĂ , y a pas Ă  dire, c’est pas mal. Vous n’ĂȘtes pas totalement convaincue, mais votre journĂ©e shopping a Ă©tĂ© un tel Ă©chec tout du long que vous n’avez plus d’autre choix que celui de vous montrer indulgente avec vous-mĂȘme et votre allure. Alors oui, la robe coĂ»te une blinde (de dĂ©pit, vous vous ĂȘtes spontanĂ©ment tournĂ©e vers les enseignes de bourges, on ne peut pas vous en vouloir), elle est un poil trop courte, ou trop dĂ©colletĂ©e, et vous n’ĂȘtes pas super-emballĂ©e par la couleur. Mais tant pis, vous direz-vous. Cette journĂ©e horrible est finie, et pour l’heure, c’est tout ce qui compte.

Reste Ă©videmment la solution des feignasses (ou des fauchĂ©es, c’est selon), Ă  savoir ressortir sa bonne vieille robe du fond de l’armoire, qui a dĂ©jĂ  fait ses preuves Ă  moult mariages et autres festivals du paraĂźtre. Un peu frustrant comme technique, certes, mais qui vous Ă©vitera bien des tourments (et vous laissera peut-ĂȘtre le temps de vous concentrer sur des vrais problĂšmes de la vie, aussi).

Quoiqu’il en soit, rappelez-vous bien que, contrairement Ă  ce que veut nous faire croire cette gourdasse de Cendrillon, la robe ne fait pas tout (sans blague). Alors, ne vous prenez pas TROP la tĂȘte non plus, et allez de ce pas vous enfiler vingt coupes de champagne le cƓur lĂ©ger !

Et puis, gardez toujours Ă  l’esprit que, quelques soit l’issu de votre quĂȘte, la star incontestĂ©e de cette journĂ©e fĂ©Ă©rique ne sera de toute façon pas vous, mais, dĂ©finitivement, la mariĂ©e et sa foutue robe blanche. Vous savez, celle qui lui a coĂ»tĂ© une blinde (genre mille fois plus que la vĂŽtre) et qu’elle a mis des mois Ă  choisir, Ă  grand renfort d’essayages fĂ©briles et de crises de nerfs, tout ça pour ne la porter qu’une seule fois. Et celle-lĂ , dĂ©solĂ©e de vous l’apprendre, les filles, mais elle est inconcurençable.
Conseils et cafardages Ă  l'usage de toutes celles qui souffrent de...
et qui n'arrivent pas Ă ...



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My name is Marina Ziolkowski, the founder and designer of Bonnie & Tess.

I’m not a model, not an influencer, just a girl next door. Crazy about fashion but always in tears in the fitting room.

When I was a size 6, my big boobs never fit into anything. As a teenager, I was the only one who could never borrow my girlfriends’ dresses.

So when I reached a size 16, things turned dramatic. I discovered the world of plus sizes. There was nothing to try on in stores, nothing between fast fashion and high-price designers.

Being French and American, I never wanted to chose between elegance and comfiness. Shopping became an impossible mission. I couldn’t find simple well-tailored quality essentials. I’ve often felt in disguise, squeezed, uncomfortable and cheap. So when I find a garment that fits, I buy the whole stock !

That’s why I created Bonnie & Tess: a timeless wardrobe, the one I always dreamed of, perfect pieces inspired by Parisian elegance and Los Angeles lifestyle. Luxury staples for women with shapes, whether they’re a size 6 or a size 28.

I finally feel chic, comfortable and happy. And I want other women to feel just like I do !
We make clothes for you. Because all women should dress without worrying about their size, just about their style. ​



Our collection is made up of timeless well-thought-out and well-designed pieces available year-round to adapt to your style.

Our clothes are dual nationals: chic like Parisian women’s suits and comfortable like California women’s yoga pants.
Our fabrics have been seleced from the best French, Italian, Spanish and Japanese suppliers. If you treat your Bonnie & Tess garments gently, they’ll squat your wardrobe for years to come.

Ready-to-waste fashion isn’t our cup of tea. We’ve created a wardrobe designed to last a long time. We give more importance to style than to trends, quality to short-lived wear. We believe in a more responsible way to consume: sustainable fashion.
Our clothes are designed to dress women with breasts, hips, behinds and lots of other qualities.
Because style has no size, all our clothes are available from size 6 to size 28.
I’m just like you. And so are the women who work with me. We share your wishes, that's why we are doing everything to provide you with the best.
We’re curious about your size, your feedback and those essentials you’d like to see in your wardrobe. Don’t hesitate to write directly to our founder: hello@bonnieandtess.com .
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