Bonne salope séduit son patron au petit-déjeuner

Bonne salope séduit son patron au petit-déjeuner




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Bonne salope séduit son patron au petit-déjeuner
Voilà plusieurs jours que vos collègues vous envient et cela vous ravit. Mais à quelques heures de l'échéance, l'histoire n'est pas la même. Un déjeuner en tête-à-tête avec son patron , ce peut être l'accélérateur de votre carrière ou son coup de frein. Bref, c'est l'opportunité qui ne se présente pas tous les jours de vous faire remarquer auprès de lui et, si possible, dans le bon sens du terme.
En moins de deux heures, vous pouvez vous montrer à votre avantage, tout comme ruiner des mois ou des années de comportement exemplaire au bureau. Voici ce qu'il faut retenir pour qu'au restaurant , la mayonnaise prenne avec le chef .
Le match se joue dans les vestiaires, avant l'entrée sur le terrain. S'il ne s'agit ni d'un entretien de motivation ni d'une évaluation de vos compétences, ce déjeuner n'en reste pas moins un instant bref où une chance vous est donnée de valoriser votre carrière. Autant ne pas la gâcher.
Avant l'échéance, donc, préparez-vous en vous demandant précisément ce que vous espérez de cette rencontre avec votre patron : bilan sur votre parcours dans l'entreprise, perspectives d'évolution, partage de votre ressenti sur certaines questions... En une courte liste, coucher sur le papier les quelques thèmes à aborder absolument au cours du repas. Cela pourra aussi vous servir de filet de sécurité au cas où la conversation tournerait en rond.
Devant le restaurant, lorsque vous rejoignez votre patron, le premier contact augure, en général, l'ambiance du repas. Un premier conseil : arrivez bien à l'heure. Pour entamer la conversation, prenez les devants et posez-lui, vous, des questions. Cela montrera que, non, vous n'êtes pas aussi stressé qu'on pourrait le croire.
Attention à ne pas dépasser les limites entre sphères professionnelle et personnelle . Elles peuvent être rapidement franchies lorsque l'environnement s'y prête et, pour cela, rien de tel qu'un bon repas. Après tout, ce déjeuner est aussi l'occasion de nouer des liens avec votre patron. Mais, il vous revient de jouer l'équilibriste.
Le meilleur moyen de ne pas se tromper, c'est de ne pas attaquer sur le terrain de l'intime. Laissez-le faire (ou ne pas faire) dans ce domaine. S'il commence par engager la conversation sur un sujet personnel, alors, le feu passe au vert et vous pouvez embrayer la conversation sur un domaine autre. Sinon, l'abstention est de rigueur pour éviter la gaffe irréparable.
Une fois franchies les portes du restaurant, il est bon d'analyser rapidement la salle pour repérer le coin optimal pour ce déjeuner, à savoir la table qui favorisera au mieux votre échange. Choisissez un endroit suffisamment isolé pour que vous puissiez bavarder sans être contraint d'hausser la voix et de demander systématiquement à votre patron de se répéter.
Le moment de vous asseoir est déjà une première occasion de bien vous faire voir. Alors que vous lorgnez sur la banquette ou la place qui donne sur une vue agréable, résistez à la tentation et abandonnez-la à votre chef.
Un petit apéro, c'est toujours sympa et cela permet de détendre l'atmosphère. En revanche, ne le proposez que si vous pensez que l'occasion s'y prête, c'est-à-dire que votre patron est d'humeur à discuter et prendre son temps.
Là encore, l'apéritif est un moment où vous devrez prendre garde à ne pas dépasser les bornes . Vous n'êtes pas en soirée avec vos amis, votre patron n'est pas votre vieux copain. Alors pour garder la dose d'inhibition requise en présence de votre boss, veillez à modérer le taux d'alcoolémie que vous avez dans le sang. Ne forcez pas, contentez-vous d'un verre et, si possible, pas un shot à boire d'un trait. D'autant plus qu'un verre d'alcool fort avant d'enchaîner sur une après-midi de travail n'est pas du meilleur goût.
Pour faire efficace, faites simple. Au moment de choisir votre menu, ne risquez pas votre dignité en misant sur l'excentricité : évitez de commander des plats aux consonances exotiques sous prétexte de vouloir passer pour un original. Vous pourriez vous retrouver bouche bée devant votre assiette et ne pas savoir comment vous y prendre pour déguster un tel mets.
La commande n'est pas un jeu à qui prendra le plus de plats et vous n'épaterez pas votre patron par la prétendue taille de votre estomac. Surtout, s'il ne commande qu'un plat, vous risqueriez de l'agacer s'il doit patienter pendant que vous prenez le menu complet.
Si cela peut sembler évident à tout le monde, il n'est pas inutile de le rappeler: bien se tenir à table est l'une des règles à respecter en priorité auprès de relations professionnelles et d'autant plus lorsqu'il s'agit de votre patron. Coupez par exemple la sonnerie de votre téléphone portable pour ne pas perturber le déjeuner.
Quelques rappels de bonnes manières en repas d'affaires : la serviette se pose sur les genoux et ne se coince pas façon bavoir entre le nœud de cravate et le col de chemise. La bouche s'essuie à chaque fois que vous buvez et reste fermée pendant que vous mâchez. Et, comme on vous le répétait sans cesse quand vous étiez enfant : le dos bien droit et le menton à 25 centimètres minimum au-dessus de l'assiette.
Pendant que vous attendez le service, la balle est dans votre camp pour faire évoluer votre relation avec votre patron. Le moment est idéal pour le laisser parler et s'intéresser à lui, à un niveau plus proche du ton amical que professionnel.
Ayez à l'esprit que votre boss a pu, lui aussi, appréhender ce déjeuner. D'autant plus si déjeuner avec ses employés ne fait pas partie des usages de l'entreprise. Pour l'aider à se détendre, alternez les conversations professionnelles avec des sujets plus communs comme le sport ou le cinéma. Evidemment, oubliez les thématiques anxiogènes et polémiques.
Le vin, ce n'est pas automatique. Si vous avez déjà bu un apéritif, ne proposez pas d'enchaîner avec du vin. Vous risqueriez de passer pour l'accro à la boisson de la boîte alors que le costume du workaholic scierait davantage à vos objectifs de carrière. Attendez donc que votre boss vous offre d'en commander pour accompagner vos plats. S'il ne le fait pas, restez à l'eau.
En revanche, s'il en souhaite, il est de bon ton de l'accompagner dans la limite du raisonnable. Surtout, laissez votre patron choisir la bouteille. Vous feriez un geste symbolique tout en ne prenant pas le risque de vous tromper dans vos choix.
Tic tac... Vous voilà arrivé au milieu du repas et vous n'avez toujours pas abordé les thèmes que vous vouliez évoquer. Si la première partie du déjeuner s'est déroulé sur un ton plutôt léger, la seconde doit être synonyme d'efficacité. Il est temps de sortir votre liste d'objectifs et de passer à l'attaque. Le plat de résistance est idéal pour rentrer dans le vif du sujet.
En revanche, garder les pieds sur terre et évitez de les mettre dans le plat. Orientez subtilement la conversation vers les questions que vous souhaitez aborder plutôt que d'y aller de but en blanc. Imaginez l'effet que ferait une demande d' augmentation suivant un débat sur le dernier groupe de musique à la mode...
Relâcher vos efforts sur la fin du déjeuner pourrait laisser votre patron sur sa faim. Après une heure d'échanges, le match n'est toujours pas terminé et l'issue, toujours incertaine. C'est pourquoi il vous faut garder quelques cartes dans votre manche à abattre en cas de panne d'inspiration. Un fait d'actualité, le départ d'un collègue... Bref, tout ce qui vous permettrait de relancer la conversation intelligemment.
Toutefois, vous n'avez pas à craindre quelques blancs au cours de la discussion. Ils peuvent, au contraire, donner du répit à votre interlocuteur, voire même l'encourager à se confier.
N'hésitez pas à jouer les gourmands... avec votre patron. Le dessert, c'est le moment de rentabiliser ce déjeuner au maximum. Car après plus d'une heure de discussion tantôt professionnelle tantôt amicale, votre conversation peut évoluer vers des sphères plus intimes.
Peut-être pourriez-vous apprendre au détour d'un délice glacé ce qui vous manquait pour cartonner pleinement au travail. Qui sait ? Votre rival du 5e n'est peut-être pas aussi bien vu qu'il le laisse entendre dans les couloirs. Et le collègue à qui vous adorez vous confier n'arrive pas toujours à tenir sa langue. Votre patron est une mine d'informations. A vous d'en retirer quelques pépites.
La pause du midi est souvent prise rapidement par les chefs et pour cause. N'oubliez pas que le vôtre, aussi, a un agenda chargé. Si vous prenez un café, veillez à ce que cela ne la dérange pas et qu'il vous accompagne. Montrez-lui que vous souhaitez que ce soit rapide car vous vous souciez de sa charge de travail et voulez retourner au bureau dès que possible. Par exemple, renseignez-vous auprès du serveur au moment de commander pour savoir si l'attente sera longue avec le service.
Le déjeuner est un moment qui coupe la journée de travail. Si vous le faites durer sans raison particulière, cela pourrait renvoyer l'image d'un employé peu consciencieux , voire en sous-régime.
En règle générale, c'est votre patron qui vous a invité. C'est donc à lui de régler la note. Ne croyez pas qu'insister pour payer votre part vous fera paraître exceptionnel à ses yeux. Au contraire, vous risqueriez de le gêner en le mettant dans une position délicate en public.
Le moment de l' addition peut, contre toute attente, jouer en votre faveur. Considérez-la comme une ouverture pour remettre le couvert. Il vous suffit d'accepter l'invitation de votre patron en le remerciant et d'en profiter pour lui dire que, la prochaine fois, ce sera pour vous. L'occasion rêvée pour entrer dans ses petits papiers.

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Modifié le 27/01/2017
à 10h55


Encore une info signée Touche pas à mon poste : ce jeudi soir, Isabelle Morini-Bosc a fait une révélation sur… le pénis de Patrick Sébastien. La chroniqueuse l’a assuré, de ce qu’elle a vu, il est plutôt « impressionnant ».
À quasiment chaque émission, il arrive un moment où la bande de Touche pas à mon poste se met à parler de sexe. Et ce jeudi, c’est aux alentours de 20h30 qu’ils sont tous entrés dans le vif du sujet en parlant de taille de pénis. Estelle Denis a donné son avis ( « Trop petit, c’est trop petit » ), Enora Malagré aussi ( « Si c’est trop gros, c’est infaisable » ) et Isabelle Morini-Bosc a raconté une anecdote savoureuse à Cyril Hanouna . « Est-ce que vous avez déjà vu le zizi d’une star, à part moi ? » , lui a demandé l’animateur. Une précision utile, puisque toute l’équipe de l’émission l’a vu : il le met même sur l’épaule de sa secrétaire à certains entretiens d’embauche. La chroniqueuse s’est un peu creusé la tête et a sorti deux noms : Gérard Depardieu (mais on n’en saura malheureusement pas plus) et Patrick Sébastien.
Comme l’a précisé Thierry Moreau , elle n’est pas la seule : « Il le montre à tout le monde. » Mais d’après Isabelle Morini-Bosc, il n’a de toute façon pas besoin de le sortir : « Visuellement, même à travers un tissu, ça se voit , a-t-elle assuré à ses collègues. C’est impressionnant. » Et puis une fois, elle l’a vraiment vu. Un vrai choc : « Il se changeait , s’est-elle souvenue. J’ai regardé et j’ai constaté : si sa voiture tombe en panne, il n’a pas besoin de cric. » Attention quand même, ça peut être douloureux.

Confessions, séquences choc. . . le meilleur de la Télé.


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Jessica Hughes est une belle jeune femme âgée de 30 ans. Malgré le désaccord de son père, elle a choisi de devenir femme de ménage, mais avec un concept très particulier qui lui permets de très bien gagner sa vie. Elle gagne très bien sa vie, environ 160 euros de l’heure, pour faire le ménage chez de riches clients. Comment peut elle gagner autant en tant que femme de ménage ? Et bien il s’agit d’une femme de ménage un peu particulière. Elle fait le ménage en mini jupe. Et elle ne porte rien d’autre que sa mini jupe. Elle travaille pour la société Topless Maids. Cette société ne recrute que de belles jeunes femmes mais ces dernières doivent aussi savoir faire le ménage.
Jessica et son petit ami ont déménagé à Hollywood il y a 6 semaines et elle à déjà nettoyé 12 maisons depuis. Elle avoue que son père n’approuve pas ce qu’elle a choisi de faire pour gagner sa vie, mais ne compte pas changer de job tellement ce dernier est rentable. Il y a bien quelques hommes qui essaient de la toucher, mais à ce prix là, elle s’en fiche
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