Bonne fille reçoit sa récompense

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Bonne fille reçoit sa récompense

Catherine Handfield et Alexandre Vigneault
LA PRESSE

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Dans les écoles comme en pratique privée, des professionnels proposent des systèmes de récompense pour aider à modifier les comportements difficiles des enfants. Nombre de parents les utilisent pour motiver les leurs à accomplir des tâches ménagères. On les adopte ou on les évite? Tout dépend de l'école de pensée.
Un enfant de 2 ans qui pousse les amis. Un enfant de 6 ans qui se tient mal à table. Un préado de 11 ans avec qui il faut se battre chaque semaine pour qu'il accomplisse ses tâches ménagères.
À tout âge, les enfants ont des comportements que les adultes voudraient bien voir changer. Dans les écoles comme en pratique privée, plusieurs éducateurs et psychologues utilisent des systèmes de récompense pour les aider à y parvenir.
Les systèmes de récompense peuvent prendre différentes formes: tableau de motivation, sacs de jetons, techniques de renforcement... Au lieu d'ajouter une récompense, des approches misent plutôt sur le retrait d'un privilège. Un exemple: l'enfant qui ne fait pas ses tâches ménagères doit redonner à ses parents sa paie hebdomadaire.
La psychoéducatrice Amélie Meeschaert inclut à l'occasion des systèmes de récompense à ses plans d'intervention. Ils peuvent être utiles pour faciliter l'apprentissage de nouveaux comportements (comme la propreté) ou encore pour modifier des comportements difficiles. Leur but: amplifier la répercussion d'un comportement.
Parce que pour un enfant, souligne Amélie Meeschaert, ces répercussions ne sont pas toujours tangibles.
«En général, nos comportements ont une répercussion sur l'environnement et l'environnement nous envoie une réponse. Si je pousse mon frère, il risque de pleurer et de me pousser en retour. Pour certains comportements [comme traîner le matin ou ne pas ranger ses jouets], la conséquence immédiate n'est pas nécessairement si flagrante que ça», explique-t-elle.
Pour établir un système de récompense, pas besoin de courir au magasin: il est même conseillé de privilégier des activités avec papa ou maman. On peut préalablement choisir, avec l'enfant, une liste d'activités qui lui plaisent: chanter une chanson, lire une deuxième histoire, le soir, aller au parc, faire des muffins...
«C'est une belle occasion de renforcer son lien affectif avec son enfant», souligne Hélène Fagnan, coach familiale et éducatrice en petite enfance de formation, qui propose un tableau de renforcement sur le site de Nanny secours, un réseau de coachs familiaux qu'elle a fondé.
Quand c'est possible, note Amélie Meeschaert, les répercussions (positives comme négatives) devraient être liées au comportement qu'on souhaite modifier. Par exemple, il serait logique qu'un enfant perde son droit de télévision le matin parce qu'il a trop traîné.
Le psychologue Gervais Richard, pour sa part, estime qu'on ne devrait tout simplement pas «aller chercher la punition ou le renforcement ailleurs que dans l'événement», comme c'est le cas dans plusieurs systèmes de récompense.
Gervais Richard constate que ces techniques de renforcement sont populaires dans les écoles depuis une vingtaine d'années. En psychologie, dit-il, ils s'inscrivent dans l'approche béhavioriste ou cognitive-comportementale.
«Ce n'est pas ma tasse de thé», résume M. Richard, qui travaille avec l'approche psychanalytique et humaniste (la «vieille école», selon ses mots).
D'abord, souligne-t-il, les structures comportementales qu'on souhaite modifier chez l'enfant ont été apprises. Il donne l'exemple de l'enfant qui insiste pour avoir un popsicle , qui fait une crise, qui frappe sa mère... et qui finit par obtenir ledit popsicle.
«C'est souvent avec les parents qu'il faut travailler à ne plus renforcer les comportements avec lesquels ils ne veulent pas composer.»
Par ailleurs, beaucoup de parents n'osent pas donner un ordre lorsqu'il le faut. Les adultes auraient aussi intérêt, croit-il, à se questionner sur le bien-fondé de leurs attentes envers les enfants, qui sont tous différents. Est-ce nécessaire qu'il reste assis bien droit pendant toute la durée du repas? Dans une société où règne la quête de la performance, on en demande beaucoup à nos petits, dit-il.
Enfin, croit Gervais Richard, il faut aussi donner le temps aux enfants de comprendre eux-mêmes les conséquences de leurs comportements.
Amélie Meeschaert convient qu'avant d'établir un système de récompense, il faut montrer l'exemple à son enfant, nommer ses attentes envers lui et lui enseigner ce qu'il peut faire à la place du comportement difficile.
Parfois, note-t-elle, cela ne suffit pas.
Et pour un parent, il n'est pas toujours évident de comprendre le contexte qui mène son enfant à adopter tel ou tel comportement. Le système de récompense est une façon simple et rapide d'y arriver, dit-elle, soulignant qu'au bout du compte, l'objectif est d'abord le bien-être de l'enfant.
«La vie de l'enfant est faite de récompenses et de punitions», rappelle Amélie Meeschaert, qui donne l'exemple du sourire que reçoit un enfant quand il donne un dessin à un ami.
Amélie Meeschaert et Hélène Fagnan s'entendent: tout système de renforcement devrait être temporaire, utilisé lorsque le besoin est réel (et non à toutes les sauces), conçu en tenant compte du contexte et accompagné de renforcement positif verbal.
En faisant du renforcement positif, note Hélène Fagnan, l'enfant en tire une fierté, une motivation interne. Et à long terme, dit-elle, cette motivation intrinsèque vaut beaucoup plus que la motivation externe associée aux systèmes de récompense.
- Fixer un objectif raisonnable pour que l'enfant vive des réussites. - Faire preuve de rigueur dans l'application du système.
- Savoir ajuster le système en fonction des besoins et de l'évolution de l'enfant.
- Établir des conséquences rapprochées dans le temps pour assurer la compréhension de l'enfant.
- Établir des balises claires. - Faire preuve de patience. - Accompagner le système d'un soutien visuel attrayant (si possible).
Votre enfant a un comportement difficile? Voici quelques systèmes de récompense à appliquer dans diverses situations.
Les matins de semaine peuvent être stressants, encore plus quand les enfants rechignent à se préparer, trop occupés à jouer ou à regarder la télévision. Pour éviter de devoir répéter, la psychoéducatrice Amélie Meeschaert suggère d'instaurer le système du retrait de privilège. L'enfant a droit à 20 minutes d'iPad ou de télévision... sauf s'il ne s'est pas préparé comme il faut et dans un délai raisonnable. En plus, la conséquence est logique. «Perdre quelque chose qui nous appartient ou auquel on croit avoir droit est plus frustrant que de ne pas obtenir quelque chose d'additionnel», souligne-t-elle.
Quand un enfant a un comportement inconvenant à table (il se relève, se met à genoux, met ses pieds sur la table, etc.), il n'est pas réaliste d'exiger de lui un bon comportement pendant toute la durée du repas. Pour qu'il vive de petites réussites, on peut diviser la période du repas en courtes périodes (cinq périodes de deux minutes, par exemple). Quand un enfant se comporte bien pendant deux minutes, on lui dessine (ou il se dessine) un bonhomme sourire sur une feuille. S'il obtient un minimum de bonhommes sourire, il a le droit de choisir ou de piger un petit moment spécial - un jeu avec papa ou maman, une histoire ou une chanson supplémentaire, un massage, etc. «On peut ensuite étirer les périodes de deux minutes à cinq minutes, à dix minutes et, éventuellement, à toute la durée du repas», explique Amélie Meeschaert.
VISITE SPÉCIALE Âge: 2 ans et demi et plus
L'heure du coucher s'étire parfois éternellement: un dernier bisou, un toutou qui manque, un énième pipi... Dans ce cas, Amélie Meeschaert propose de donner chaque soir deux jetons à l'enfant qu'il peut utiliser comme des «droits de se relever». S'il se limite à ses deux jetons, il aura droit, pendant la nuit, à une visite de la «fée des rêves» qui lui laissera une petite surprise ou un message magique. «Parfois, juste le fait d'avoir ces jetons-là fait en sorte qu'il ne se relève pas parce qu'il sait qu'il a toujours la possibilité de le faire s'il le veut», explique Amélie Meeschaert, qui souligne que cette technique permet à l'enfant de sentir qu'il a du contrôle.
TABLEAU DE MOTIVATION Âge: 2 à 7 ans
On peut utiliser un tableau de motivation pour changer un comportement difficile et récurrent que l'enfant maintient malgré le renforcement positif verbal. On affiche un tableau au mur, à un endroit où on peut le voir. Chaque fois que l'enfant réussit l'objectif (par exemple, accrocher son manteau au mur en rentrant de la garderie), on met un collant sur la case correspondante. «À la fin de la semaine, si l'enfant a eu trois collants sur cinq, il aura droit à une surprise», dit Hélène Fagnan, fondatrice du réseau Nanny secours. Elle conseille de privilégier les récompenses non matérielles. Après trois semaines de réussite, on augmente la difficulté (4 réussites sur 5, 5 réussites sur 5, un défi sur deux semaines...). On peut faire le tableau soi-même. Hélène Fagnan propose une version numérique.
Il existe évidemment des applications pour rendre le partage des tâches plus amusant à la maison. ChoreMonster en est une. Les parents établissent une liste de tâches et associent un nombre de points à chacune d'entre elles. Ils déterminent également le nombre de points nécessaires pour obtenir des récompenses. Puisque c'est un jeu et que les enfants peuvent gagner des prix (notamment de nouveaux monstres), cet outil permet d'ajouter un côté ludique au partage des tâches.
Des collègues de La Presse ont aussi pris le temps de personnaliser le système ClassCraft, conçu pour les enseignants. Chaque enfant choisit son personnage (guerrier, guérisseur, etc.) doté de certains pouvoirs et remporte (ou perd) des points lorsqu'il fait (ou pas) les tâches qui lui sont assignées. Les parents sont, bien entendu, les maîtres du jeu !
Mis au point par un papa qui travaille dans le domaine du marketing, ce système repose sur l'idée que la simple possibilité de gagner un privilège constitue un puissant motivateur. Son matériel: un sac et des jetons de couleur. Chaque jour, son enfant reçoit un jeton rouge. Peu importe ce qui arrive. À la fin de chaque journée, si toutes les tâches de la liste ont été accomplies (faire le lit, être polie, ne pas oublier son Epipen, etc.), l'enfant reçoit un jeton vert. Au bout de sept jours: tirage parmi ses jetons!
Si un jeton rouge est pigé, c'est «meilleure chance la prochaine fois». Si c'est un vert: un deuxième tirage est effectué pour savoir si l'enfant a droit à un prix ordinaire (chanson du iPod, une revue, un jeu en famille, etc.) ou « Premium » (choisir le souper, un billet de cinéma, etc.).
Un jeton boni peut aussi être ajouté lors d'efforts jugés «exceptionnels» par les adultes.
La méthode de Jacinthe Barabé n'est «pas si originale, mais efficace», selon elle. Ses deux fils (10 et 8 ans) et elle ont fait un tableau à l'ordinateur où sont inscrites toutes les tâches à faire. La maman a tenu à ce que ses garçons participent à l'élaboration de la liste afin de prendre conscience de ce qu'il y avait à faire. «Puis, chacun a choisi les tâches qu'il voulait», précise-t-elle. Le plan a été affiché dans la cuisine. Jacinthe a aussi mis les tâches qu'elle fait, elle, «pour qu'ils voient qu'il s'agit d'un partage et non pas maman qui décide toute seule qui fait quoi». Le plan a déjà été modifié une fois, car les garçons avaient choisi des tâches qu'ils n'aimaient pas. Des ajustements peuvent donc être faits et la maman a gardé un droit de veto. «Je dois leur rappeler de faire leurs tâches, mais ils les font. J'aurais dû penser à ça avant!»
Il y a des parents qui rechignent à payer leurs enfants pour qu'ils accomplissent des tâches ménagères. Sébastien estime plutôt que c'est une façon de responsabiliser et d'éduquer ses filles (16 et 13 ans) par rapport à l'argent. «Il y a des tâches et un calendrier sur le mur. Les filles reçoivent un dollar pour chacune des tâches qu'elles font, explique-t-il. Ce sont des tâches à faire quotidiennement, alors il y a un bon potentiel pour elles de ramasser de l'argent.» Il arrive parfois que, pour les plus grosses corvées, les parents proposent une somme forfaitaire pour la journée. Sébastien dit que, en général, ses filles amassent environ 25 $ chacune par mois. «Ça fonctionne très bien», assure le papa.
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