Bonne fellation avec une fille Argentine

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Publié le

01/12/2021 à 6:00


En pleine Movida espagnole, dans les années 80, un jeune réalisateur plein d’ambition cherche à retrouver la trace de son amour d’enfance, un jeune garçon de son âge qu’il a rencontré dans un pensionnat catholique et sur lequel un prêtre avait des vues. Sans doute l’une des oeuvres les plus abouties et les plus inspirées d’Almodóvar, tant sur le plan du style avec ses couleurs débridées que de l’histoire, qui mêle manipulation et passion, la Mauvaise éducation représente un véritable choc esthétique et visuel.
Inspiré tout à la fois de La ville dont le prince est un enfant de Montherlant et des Amitiés particulières de Peyrefitte, et avec une bonne dose d’inspiration autobiographique quand même, ce film puissant incarne une synthèse de l’œuvre et des obsessions de son auteur : la Movida, la sexualité débridée et la drogue, le parfum d’interdit dans l’Espagne conservatrice des années 60…
Après la mort de son fils de 17 ans dans un accident de la route, une infirmière argentine qui vit depuis des années à Madrid part à Barcelone sur les traces du père de son enfant. L’occasion pour elle de retrouver les personnages emblématiques de sa jeunesse et de reprendre progressivement goût à la vie.
Avec ce film tendre-amer sur transmission et la résilience, Almodovar signe un nouveau chef-d’œuvre qui vaut aussi pour sa galerie de personnages avec lesquels, comme à son habitude, le réalisateur s’amuse à ridiculiser le poids de la religion et le sexisme de l’Espagne : une nonne séropositive, une femme transgenre et macho ou un ex-camionneur devenu prostitué.
Les relations conflictuelles d’une mère, célèbre chanteuse, et de sa fille journaliste – brillamment interprété par Victoria Abril – qui fait tout pour se faire aimer et accepter d’elle. À sa sortie en 1991, Talons aiguilles fait une entrée fracassante dans le cinéma européen et international et marque symboliquement dans la carrière de l’auteur le passage de l’expérimental des années 80 et de la Movida à un cinéma plus profond, plus mûr.
Le style Almodóvar, avec ses tons criards, son rouge caractéristique, ses personnages baroques – un juge transformiste – et ses thèmes fétiches – l’amour, la passion, la mort, la démesure – s’impose et devient alors à la mode. L’œuvre puise directement aux références d’Almodóvar, comme Sonate d’automne d’Ingmar Bergman, cité dans le film qui s’en inspire largement, notamment avec une scène de confrontation mère-fille particulièrement dure. Bonus : la superbe chanson de Luz Casal, Piensa en mi , devenue depuis un classique et interprétée sur scène dans le film par une autre actrice fétiche du réalisateur : Marisa Paredes.
Adaptation très libre de Mygale , un polar du Français Thierry Jonquet, La piel que habito décrit l’étrange relation qui unit un médecin mégalomane et cruel et une jeune femme qui lui sert de cobaye et vit enfermée dans sa villa.
Almodóvar ne serait pas Almodóvar s’il n’y ajoutait pas une bonne dose de gothique et de sexe, entre expérience de transhumanisme, amant déguisé en léopard et drame familial. Cette œuvre baroque et hors-norme, qui flirte sans arrêt avec les limites de la moralité ou de la sexualité, confirme l’exceptionnelle maîtrise du réalisateur espagnol dans sa capacité à mettre en scène des personnages ambigus et une histoire narrée sur le fil du rasoir.
La cinquantaine venant, un réalisateur, sorte de double d’Almodóvar, se laisse bercer par le doux flot de la dépression. Quand on lui demande ce qu’il va faire maintenant, il répond simplement : « Je ne sais pas, vivre peut-être ». Ce passage à vide devient alors pour lui l'occasion de faire le point sur sa vie, de retrouver un ancien amant toxicomane ou de se remémorer cette enfance solitaire auprès d’une mère dure mais tendre.
Le maître espagnol livre ici sans doute son film le plus autobiographique et intime, qui balaye d’un seul coup tous les thèmes chers qui irriguent son œuvre : la découverte de la sexualité, l’Espagne franquiste des années 60, les mères-courages, la drogue, la passion destructrice. Mais il réussit le pari non moins difficile de le faire sans narcissisme, avec beaucoup de tendresse et de pudeur. Du grand Almodóvar, sans fioritures et sans excès cette fois-ci, tout en délicatesse et en maîtrise.
Deux sœurs, Raimunda et Sole, vont se retrouver par le biais des circonstances – un meurtre, en l’occurrence, pour Raimunda – à revenir (« volver » en espagnol) sur les traces de leur mère disparue dans un incendie.
Cet avis va peut-être en agacer certains mais Volver , pénible et poussive chronique familiale seulement portée par Penélope Cruz, ennuie plus qu’il convainc. Almodóvar se raccroche aux branches et force le trait avec sa façon de filmer les femmes dans leur intimité ou d’insister sur sa marque de fabrique (l’omniprésence du rouge et des couleurs vives). La présence de Penélope Cruz, rejointe par d’autres actrices fétiches du réalisateur (Carmen Maura, Chus Lampreave, Lola Dueñas) ne suffit pas à racheter ce film de second rang qui pèche par sa confusion et son manque d’envergure.
Cela fait d’autant plus de mal de le reconnaître que Pepi, Luci, Bom et autres filles du quartier a le charme des débuts sur grand écran, souvent un peu maladroits malgré leurs bonnes intentions. Avec son tout premier film, joyeusement absurde et obscène, sorti en 1980, Almodóvar entendait rendre hommage à cette génération de Madrilènes désinvoltes arrivée à l’âge adulte après la dictature de Franco et qui ressemblaient eux-mêmes à des personnages de fiction : une jeune femme qui fait pousser de l’herbe sur sa terrasse et veut monnayer sa virginité ou une chanteuse punk aux tendances sadiques, entre autres.
Las. Almodóvar ne convainc ni avec sa galerie de personnages aussi caricaturaux que superficiels comme la femme de flic atteinte de pulsions sadomasochistes, que par ses prodiges de vulgarité comme ce moment où le gagnant des « Érections générales » – un concours de taille de pénis – se voit offrir une fellation par la femme du flic en question. Seule chose à sauver : la révélation Carmen Maura, qui deviendra par la suite l’une des actrices fétiches du réalisateur dans sa période années 80/Movida espagnole.
Clairement pas son meilleur film, de l’aveu même du réalisateur, qui reconnaîtra bien des années plus tard dans une interview n’avoir pas réussi à tirer grand-chose des deux principaux acteurs masculins. Kika, maquilleuse de télévision, vit avec Ramon, un homme torturé, avant de faire une rencontre qui débouche sur un viol qu'Adlomodvar réussit à rendre grotesque. Malheureusement, les mésaventures de cette jeune femme ingénue et pleine de vie qui accumule les déconvenues sans jamais perdre son optimisme, nous ennuient assez vite en dépit de la fraîcheur de son interprète principale.
En introduisant le personnage d'Andrea Caracortada, une présentatrice sans scrupule vêtue d'un costume improbable incarnée par Victoria Abril, Pedro Almodóvar se permet au passage une critique acide de la tele-basura (télé-poubelle) espagnole et de son voyeurisme. C'était bien la seule trouvaille de ce navet qui ne fera clairement pas date dans la filmographie du réalisateur.
Qu’y a-t-il de pire que les réalisateurs qui se croient assez installés dans le paysage pour s’auto-référencer et faire des films qui ne parlent qu’aux initiés à leur œuvre, et encore ? Avec Étreintes brisées , Pedro Almodóvar se livre à un exercice assez particulier, entre autofiction et la mise en abyme : un réalisateur devenu aveugle à la suite d’un accident revient sur les évènements qui l’ont conduit à perdre à la fois la vue et l’amour de sa vie.
Il finira par comprendre que son œuvre la plus acclamée – une comédie qui ressemble furieusement à Femmes au bord de la crise de nerfs – a été complètement massacrée par le mari de sa maîtresse. Il désirera alors remonter son film, comme une façon de ressusciter son amante disparue.
Narcissique, vain, dépourvu du grain de folie qui faisait la spécificité d'Almodóvar, cet exercice de style ennuyeux, avec sa galerie de personnages tous plus insupportables les uns que les autres – le fils à papa incompétent, la matrone fidèle – sonne creux et ne tient, là aussi, que sur l’interprétation de Penélope Cruz.
C’est drôle mais c’est nul. Confortablement installés dans un avion qui tourne en rond au-dessus de l'aéroport de Madrid, passagers et personnels navigants s’abandonnent à leurs fantasmes. Métaphore d’une Espagne plongée en pleine crise financière et qui se réfugie dans le sexe parce qu’elle ne sait littéralement pas où elle va, les Amants passagers , s’il nous amuse un moment, lasse finalement assez rapidement et s’oublie dès la sortie de la salle de cinéma franchie.
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