Bonne black prise par le chauffeur de taxi

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Mis à jour le 20 octobre 2013 à 22:00
FIABILITE : les notes des chauffeurs de taxis
Par Sandrine Darré, avec Chahine Benabadji et Benjamin Lyonnet
GROUPE VW : LA PASSAT SURNAGE, MAIS…
Jean-Marc, patron d’une société de taxis-relais* en Ile-de-France
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Bien sûr, aucune citadine ici, les pros privilégiant les berlines, breaks, monospaces et crossovers pour l’espace à bord. Et ce, en versions diesel ou hybride. Mais quelles autos plébiscitent-ils pour échapper aux pannes ?
Les taxis mériteraient une commission pour la pub qu’ils font à la Prius ! A l’unanimité, ils décrivent l’hybride star comme quasi infaillible mécaniquement (unique incident relevé : une batterie à changer à 150 000 km, prise en charge hors garantie) et très économique à entretenir (lire p. 58). Même succès pour le RAV 4, enfin fiabilisé. Seul le Verso est à la traîne, à cause de pannes isolées (boîte auto., volant moteur…).
Encore rares sur le marché du taxi, les Audi A 6 et BMW Série 5 font bonne impression à ce jour… mais pas plus que les Ford Mondeo ou Hyundai i 40 ! Les exemplaires récents (1 à 3 ans) semblent pour l’instant peu touchés par les avaries graves (volant moteur, turbo, etc.) qui ont bien terni l’image des allemandes ces dernières années.
Les Citroën C 5 et DS5, ainsi que la Peugeot 508 et le monospace 5008 ne plaisent pas seulement pour leur design. Hormis de rares problèmes de boîte auto. jusqu’ici, leur solidité fait dire à beaucoup de chauffeurs que les français ont progressé sur ce point. Un avis moins partagé pour les Citroën C 3 Picasso et Peugeot 3008…
La Renault Laguna 3 et le Scénic 3 commencent à faire oublier les tares des opus 2. La fiabilité est globalement au rendez-vous, mais quelques faiblesses ici ou là (une boîte EDC HS à 100 000 km, un embrayage changé à 110 000 km sans participation, etc.) déçoivent certains pros. Du coup, le « cousin » Dacia Logan MCV, à la mécanique robuste car éprouvée, leur passe devant, et les Duster et Lodgy ne sont pas loin !
Récemment engagées dans la « course », les Hyundai se hissent au sommet, tandis que la carrière plus longue de la Kia Cee’d auprès des taxis lui vaut forcément un peu plus de critiques, notamment sur son embrayage. Mais dans l’ensemble, elle assure encore, au moins pendant les 3 ans de garantie (contre 7 ans pour les particuliers) …
Jusqu’alors encensés pour leur fiabilité, Volkswagen et ses marques sœurs font des mécontents. La « meilleure » de la famille, la Passat, pâtit d’avaries de boîte DSG 6 et 7 (parfois dès 20 000 km !) et de volant moteur… Mais elles sont plus fréquentes sur le Sharan, et plus encore sur les Tour an, Seat Alhambra et Skoda Octavia, mal notés.
Mercedes a, comme VW, perdu de sa superbe auprès des chauffeurs. Si l’Etoile conserve de très nombreux inconditionnels (en particulier de la Classe C), beaucoup ne digèrent pas les défaillances chroniques de véhicules dont ils attendent bien mieux. Ainsi, les injecteurs, que l’on croyait fiabilisés, continuent de lâcher dès 50 000 km (et parfois à plusieurs reprises) et les bugs de boîte auto. sont courants.
Au vu de la liste de défauts (avaries de turbo, d’embrayage, de volant moteur, finition médiocre…) que nous avons dressée au fil des ans depuis la sortie du C 4 Picasso, sa mauvaise note n’est pas surprenante. Ce qui l’est plus, c’est que les « vieux » exemplaires du Xsara Picasso, aux kilométrages très élevés, sont mieux jugés !
« Nos principaux clients pour cause de panne? Ceux qui roulent en allemandes… Moi, je n’ai que des Renault et pas de souci ! »
Parmi les chauffeurs qui nous louent un véhicule de remplacement quand le leur est au garage, beaucoup roulent en BMW ou en Volkswagen. Chez BMW, on entend souvent parler de problèmes de chaîne de distribution, qui casse autour de 100000 km, notamment sur des 320d âgées de moins de 5 ans. Chez VW, le fléau, ce sont les avaries des boîtes DSG.
Pour ma part, je n‘achète que des Renault d‘occasion, surtout des Laguna 3 dont la cote reste basse en seconde main. Et j‘y trouve mon compte puisque, depuis la disparition du 2.2 dCi qui a tant posé problème, les 1.5 et 2.0 dCi se révèlent bien plus fiables à ce jour. Pour l‘instant, je n‘ai subi aucune panne, et j’ai pas mal de collègues qui font à nouveau confiance à Renault.
* Entreprise qui loue des véhicules aménagés aux chauffeurs de taxis lorsque leur auto est immobilisée pour une panne ou un accident.
Toyota Prius +. Existe-t-il chauffeur plus comblé que celui qui roule en Prius ? Oui, celui qui a une Prius +, toujours aussi fiable, mais avec plus de coffre !
Audi A 6. Heureux, le conducteur de cette A 6 Avant ?
Côté fiabilité, il n’a certes rien à redire. Mais pour avoir la même sérénité sans un budget carburant « premium », il la remplacerait bien par… une Prius !
Après avoir cumulé les soucis avec un Citroën C 4 Picasso, cet artisan est ravi d’être passé au 5008. En deux ans et 110 000 km, il n’a connu aucun ennui et est prêt à racheter le même.
Renault Laguna et Scénic. La plupart des chauffeurs sont contents des derniers modèles du Losange. Celui-ci en est à son 5 Scénic et est partant pour un 6.
Kia Cee’d. Deux Cee’d (l’actuelle a 60 000 km), deux soucis d’embrayage (un classique pour les taxis…). Mais ce conducteur reste satisfait du rapport qualité/ prix et de la solidité des Kia.
VW Passat. Avec sa CC 2. 0 TDI 140, Bruno est tombé sur un mauvais numéro et a cumulé les pannes : injecteurs HS à 38 000 km, boîte DSG 6 à 53 000 km, volant moteur à 67 000 km et pompe à eau à 123 000 km.
Mercedes Classe B. A 19 000 km à peine, cette B 200 CDI de 2013 n’a eu aucun ennui. Mais pour des modèles plus âgés (2009- 2010), le bilan est moins bon…
Même pour des problèmes bien connus, le SAV Citroën rechigne à assumer les frais induits. Quand s’ajoute à cela la perte d’activité lors du passage au garage, les taxis voient rouge…

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LEUR TECHNIQUE consistait à se faire
déposer dans les Yvelines par un chauffeur de taxi avant de le dépouiller de son véhicule et
de sa recette du jour. Maxime, 26 ans, Malik, 24 ans, et Kevin, 17 ans, ont été interpellés
par les enquêteurs de la sûreté départementale des Yvelines. Tous trois sont impliqués dans
cinq braquages de chauffeurs de taxi commis au mois d'avril et début mai.
proximité de son appartement parisien, rue Jean-Cottin, dans le XVIII
a été identifié comme étant l'instigateur de ces attaques, parfois violentes
au cours desquelles les chauffeurs étaient menacés avec un pistolet avant d'être dévalisés.
Placé en garde à vue, il est rapidement passé aux aveux. Avec l'aide d'un complice, il a reconnu
avoir participé à deux braquages et avoir fourni tout le matériel nécessaire pour les trois
autres. Mis en examen pour « vols en bande organisée avec arme », « séquestration et extorsion
en bande organisée », il a été écroué à la maison d'arrêt de Bois-d'Arcy. Ses deux complices
ont, eux, été accrochés par les policiers en début de semaine à Paris, dans le XVII
arrondissement, avant d'être déférés, hier, au parquet de Versailles. Tout commence, le 9 avril
à la nuit tombée. Maxime et Malik hèlent un taxi porte de la Chapelle. Les deux s'engouffrent
dans une Peugeot 406 et indiquent au chauffeur la direction de Poissy, cité de la Coudraie.
Pour tromper sa vigilance, les deux malfrats se sont équipés d'une valise à roulettes dans laquelle
ils ont entassé une couette pour la forme et des haltères pour le poids. Arrivés à l'entrée
de la cité, les deux descendent du véhicule et ordonnent au conducteur sous la menace d'une
arme de poing d'en faire autant. Ce dernier s'exécute et voit repartir les deux braqueurs au
les deux voyous repassent à l'action. Cette fois-ci, ils sont gare de l'Est quand ils font signe
au conducteur d'une Citroën C5. La victime aura droit à un traitement « spécial » de la part
de ses agresseurs. Devant l'entrée de la Coudraie à Poissy, il est forcé à monter dans le coffre
de son taxi avant d'être conduit dans un box à Paris. Là, il est menacé pendant une bonne partie
de la nuit. Ces kidnappeurs ont besoin d'argent et vite. Au matin, il est contraint à se rendre
dans des agences bancaires de l'Essonne où il procède à deux importants prélèvements d'argent
pour un montant total de 3 600 avant d'être abandonné à Neuilly-Plaisance (Seine-Saint-Denis).
Toujours déterminée, la bande de malfrats s'en prend quelques jours plus tard à un autre taxi.
Mais cette fois-ci, leur coup échoue. En prenant la fuite, le chauffeur visé emporte avec lui
l'arme de ses agresseurs, un pistolet gomme-cogne à balles en caoutchouc ainsi que leur précieuse
Malik et Kevin auront encore le temps d'attirer deux autres chauffeurs à Buc pour leur
voler une Renault Laguna et une Mercedes avant d'être interpellés. Kevin le sera d'ailleurs
au volant de la Laguna. Mis en examen, hier, ils ont également été incarcérés dans la foulée.
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Dans un taxi parisien, en 2010 - ERIC PIERMONT/AFP
Mal au dos, aux lombaires : les douleurs de Vincent
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bernardo_z a posté le 24 janvier 2017 à 23h55
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waldeck a posté le 24 janvier 2017 à 23h55
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lecteur_lambda a posté le 24 janvier 2017 à 23h55
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egide a posté le 24 janvier 2017 à 23h55
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elsa_ferreira a posté le 24 janvier 2017 à 23h55
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Pour tenir les longues heures au volant de son taxi, le secret de Vincent Grégoire, c’est un régime de sportif. Pas d’alcool, ni de repas gargantuesques : son truc, c’est le thé.
Les problèmes, il « les laisse à la maison ». Jambes près des pédales, bras tendus sur le volant et mains à midi ; Vincent met le compteur en marche. Et se concentre.
Avant d’ouvrir son entreprise de transport, dans le Vaucluse, il était cadre commercial dans le matériel électronique. Déjà, il enfilait les kilomètres.
Aujourd’hui, quand il est fatigué, il va simplement se coucher ; et si le téléphone sonne, « pas sûr que vous allez réussir à me réveiller », dit-il.
Son mental, sa concentration, sont pourtant mis à rude épreuve ces derniers mois. Une réforme, « passée en loucedé » – en douce – se plaint le chef d’entreprise, menace la moitié de ses activités. Car Vincent ne transporte pas que des clients en forme, il conduit aussi des malades qui représentent environ 50% de sa clientèle, indispensable lors des périodes creuses.
Si la mesure est mise en place, c’est son fonds de commerce qui est en danger :
Je suis artisan, patron d’une petite entreprise que j’ai créée en 2004.
On vit perpétuellement avec le stress d’avoir des clients pour pouvoir payer les taxes, les salaires, ramener à manger à la maison.
Les charges sont lourdes, le prix du carburant est élevé, la TVA augmente. Le législateur pense qu’on peut faire supporter ces hausses aux clients, mais ce n’est pas vrai. A un moment, le client ne va plus prendre le taxi  : il va prendre une voiture de location ou il ne va plus venir.
Le stress, je vis avec, je m’y suis habitué. J’ai de la chance d’être en bonne santé, j’ai ma fille, une maison, un métier que j’ai choisi... je pense que je ne suis pas le plus malheureux de la planète.
C’est variable, mais en moyenne je gagne 17 000 ou 18 000 euros par an [soit environ 1 450 euros par mois, ndlr]. Par rapport aux contraintes de ce métier, c’est un salaire très faible, il faut avoir vraiment envie. On travaille beaucoup, de jour ou de nuit, et on est responsable de la sécurité de nos clients.
Etre patron, ça ne fait pas une grande différence dans mon entreprise  ; on est à peu près tous logés à la même enseigne. Si ce n’est que j’ai certainement plus de travail et de soucis que les autres. Mais le fonds de commerce est à moi. Même si, à mon avis, les fonds de commerce de taxi ont peu d’avenir avec les politiques actuelles...
C’est très variable, on essaie d’être souple. En moyenne, une journée dure douze heures, treize heures.
En général, je commence a 7h30 par une tournée en car de ramassage scolaire. Puis on travaille avec des entreprises, des particuliers, des touristes, des malades...
Je termine après le souper par des communications avec des confrères, avec des chiffrages, des devis. Entre 18 heures et 21h30, je réserve un créneau horaire pour être avec ma fille de 11 ans.
Quand on finit de nettoyer la voiture. On quitte notre tenue de travail le plus vite possible parce qu’on sait que la journée du lendemain va arriver rapidement.
Il n’y a pas de tenue imposée, il faut simplement porter une tenue adaptée. Pour les mariages, on met une cravate. Pour l’autocar, on porte un pantalon sombre, une chemise claire et une cravate. Mais ce n’est pas vraiment un uniforme.
Artisan, c’est très varié. J’ai le rôle de petit chef d’entreprise qui est aussi sur le terrain. Je joue le rôle de commercial, de responsable du personnel, d’acheteur et de médiateur.
Dans la boutique, c’est comme une famille. Il y a un patron parce qu’il faut une direction, mais il n’y a pas vraiment de hiérarchie.
Ça peut arriver que quelqu’un parte, mais on le fait en s’expliquant calmement et j’ai toujours de bonnes relations avec mes anciens salariés. C’est d’ailleurs souvent un soulagement parce qu’on était dans une relation pesante pour tout le monde, où je demandais à un chauffeur de faire un travail qu’il n’aimait pas.
Ce n’est pas vraiment un métier physique. Faire le ménage dans l’autocar peut l’être un petit peu, ou porter les bagages des clients.
Il n’y a pas longtemps, j’ai conduit un groupe qui allait au ski. On s’est arrêté devant l’hébergement qui était au premier étage et j’ai déballé toutes les valises. A la fin, j’avais mal au dos. Mais il faut relativiser... dans un taxi, il y a trois ou quatre valises maximum.
C’est surtout de la concentration. On fait plein de choses à la fois  : il faut penser à la course d’après, avoir une conduite souple, surveiller de ne pas dépasser la vitesse autorisée, rester attentif à ce que quelqu’un ne nous fasse pas une queue de poisson, tout en gardant le sourire et en parlant à la personne qui est à côté de nous.
Ça demande une très grande attention qui peut être fatigante. Mais en moyenne on conduit 150 000 kilomètres par an, on a l’habitude.
Quand je conduis un car de tourisme, je vais marcher pendant que les clients visitent. Ça me vide l’esprit et c’est une bonne fatigue. Dans ce boulot on est assis tout le temps, et je trouve qu’on dors mieux quand on est fatiguée physiquement plutôt que moralement.
On va avoir un petit peu mal au dos, mais on a de bonnes voitures qui ont toujours moins de deux ans.
Les courses plus courtes sont moins douloureuses pour le dos, parce que je peux me lever et me dégourdir les jambes.

Je vais parfois avoir mal aux lombaires ou un petit peu mal aux cervicales à cause des positions de conduite. Un bain chaud, c’est une bonne solution. Si c’est très douloureux – c’est rare, ça doit arriver une fois par an – je prend un anti-inflammatoire et je dors dans une bonne position.
Les traces sont surtout dans la vie de tous les jours. Les horaires de notre métier, c’est notre vie privée qui en subit les conséquences. De ce côté-là, ce n’est pas rare qu’il y ait une petite baisse de moral. Mais on continue... et le lendemain on se rend compte que ce n’est pas si mal que ça.
Oui. Je fais beaucoup d’effort pour ça.
Je suis perfectionniste et je crois que mon équipe l’est autant que moi. On fait du mieux possible mais on ne fait pas toujours tout bien. Les clients ne savent pas que parfois on a quinze heures de taxi dans les pattes  ; on aurait fait mieux avec seulement quatre ou cinq heures. C’est des petits détails  : ça peut être un petit coup brusque sur le volant, on est moins attentif, on fait moins attention aux limitations de vitesse.
Sur le travail que nous faisons, je mettrais 15 ou 16, facilement.
Je suis très content de fréquenter les copains qui travaillent avec moi, je suis très content de mes clients  ; on se marre bien. Je vis ma région et mes objectifs personnels sont atteints puisque je peux m’occuper de ma famille.
Mais la note sera atténuée parce qu’il y a beaucoup de difficultés. Il y a une grande part d’inquiétude et d’incertitude. Quel mauvais coup va nous faire le gouvernement  ? Est-ce qu’on va continuer à s’enfermer dans cette crise, est-ce qu’on va pouvoir continuer notre métier  ?
vous pourriez profiter du service et vous déplacer sans polluer...

Attention, ça accroche ! ( copie de Scopitone certainement ) .

Quand on connait le prix d’une licence de taxi, on se doute bien que ce n’est pas avec 1 450 €/mois que l’on peut se payer ça, en plus d’une maison.
Il a dû un peu se tromper dans ce qu’il raconte le brave Vincent.
Si les licences valent si cher, c’est que la demande est forte, et pourquo
Une anale spéciale
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