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Insémination « maison » : mode d’emploi L’insémination « naturelle » ou traditionnelle se fait via un rapport sexuel classique. L’insémination « artisanale » consiste à introduire le sperme du donneur dans le vagin à l’aide d’une seringue ou d’une pipette, sans rapport sexuel. Mais, sur plusieurs forums, cette pratique est réputée moins fiable que la méthode naturelle. L’insémination « semi-naturelle » ou « dépositoire » : l’homme se masturbe et pénètre la femme juste avant l’éjaculation.
Dernière mise à jour Dimanche 15 Septembre 2019, 8h56

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Enquête (CC BY-NC-ND) : François Corbiau
Via les réseaux sociaux, des hommes proposent « d’aider » des femmes seules ou en couple à réaliser une insémination artisanale. Un don de sperme plus rapide, moins coûteux mais moins sûr que la procédure via les centres de procréation. À mi-chemin entre don de soi et plan cul.
« On règle tous les détails par mail, puis on se retrouve dans une chambre d’hôtel. On ne va pas boire de verre. Je demande 20 euros pour l’essence avant. Je vais dans la salle de bains. Je fais ce qu’il faut, je donne le pot et je m’en vais. » Avec Yvo (tous les prénoms ont été changés), le modus operandi est réglé comme du papier à musique. C’est sa façon à lui de se protéger.
L’opération dure une dizaine de minutes, pas plus. « Il n’y a rien d’érotique ni de passionnant . C’est plutôt ennuyeux, comme une formalité à remplir avant de rentrer chez soi. »
À l’écouter, donner son sperme est un acte politique : « Avoir un enfant ne peut être réservé aux seuls couples hétéros ou aux femmes qui en ont les moyens. »
Lui ne pratique que le don de sperme sans pénétration. C’est la « méthode artisanale » (voir mode d’emploi ci-dessous). « Avec la méthode naturelle ou semi-naturelle, j’aurais l’impression d’être le “géniteur” et plus seulement le “donneur” , explique cet habitant de Flandre occidentale. Au moins comme ça, je ne risque pas d’attraper quelque chose. »
La quarantaine bien tapée, Yvo compte déjà plus de 80 dons à son actif. Selon ses dires, certaines femmes sont très prudentes, d’autres pas du tout. « C’est souvent le cas des femmes très jeunes, déjà trop contentes d’avoir trouvé un donneur à moindres frais. Parfois, elles ne demandent même pas les analyses pour les maladies sexu­ellement transmissibles (MST) . Elles sont prêtes à tout pour avoir un enfant. Certains donneurs l’ont très bien compris et exploitent cette détresse pour “tirer un coup”. »
« Attention, ceci n’est pas un site de rencontre hot ! Un enfant n’est pas un jeu ou un prétexte ! Soyez très vigilantes ! » Impossible de louper le message d’avertissement sur insemination.forumprod.com . Sur ce forum comme sur les réseaux sociaux, chaque nouvel inscrit, homme ou femme, doit montrer patte blanche et s’engager à respecter un code de bonne conduite. Tout propos déplacé ou comportement suspect est immédiatement dénoncé par ses membres. En tout, une vingtaine de groupes fermés francophones existent sur Facebook. Les plus connus comptent entre 2 000 et 4 000 membres. D’autres, plus modestes, s’appuient sur une communauté de 200 à 1 000 personnes actives. La plupart des demandes et des offrandes proviennent de France. Dans 15 à 20 % des cas, les échanges concernent une femme ou un donneur belges.
Judith a opté pour le forum insemination.forumprod.com . « Le de­sign est celui d’un site des années 90, mais il ne faut pas se fier aux apparences. Il y a beaucoup d’infos et tout le monde est là pour la même chose, ça réagit très vite. » D’autant que cette jeune Bruxelloise annonce d’emblée n’accepter que les dons « naturels ». « C’est quand même mieux que de faire ça avec une seringue dans la salle de bains » , s’amuse-t-elle.
Parmi la vingtaine de messages reçus, elle fait vite le tri . « Je vois rapidement à qui j’ai affaire, j’ai l’habitude avec les sites de rencontres. » En tout, elle contacte deux donneurs. « Le premier habitait Namur et se déplaçait à Bruxelles. On a fait l’amour mais ça n’a pas “matché”. Physiquement, il n’était pas ma tasse de thé. »
Avec le second, en revanche, le contact passe tout de suite. « Il était mignon, intelligent, attentionné. Au début, il a posé beaucoup de questions sur moi et mon entourage. Pourquoi je faisais ça ? Est-ce que ma famille me soutenait ? Puis rapidement, il est venu chez moi et on a fait l’amour. D’abord à des moments précis en fonction de mes ovulations et puis tout le temps. On est sorti du cadre. »
"Le premier habitait Namur et se déplaçait à Bruxelles. On a fait l’amour mais ça n’a pas "matché". Physiquement, il n’était pas ma tasse de thé."
Les banques de sperme et les centres de procréation médicalement assistée (CPMA), ce n’est pas son truc. « C’est long, compliqué et trop aseptisé. » Le récit de sa collègue, qui a tenté plusieurs inséminations artificielles, achèvera de la convaincre. « J’ai trouvé ça barbare. En plus, j’ai un problème avec l’idée de donner de l’argent pour du sperme. Je voulais faire l’amour avec le donneur et que mon enfant naisse d’un acte de tendresse » , sourit-elle en caressant son ventre rond . Dans son annonce, Lionel insiste sur la « beauté du moment et la tendresse de l’échange ». En quatre ans, ce Montois de 48 ans a donné son sperme à une douzaine de reprises. Il est le géniteur de six enfants, en Belgique et dans le nord de la France. Quand on lui demande pourquoi il propose son sperme, il parle de geste généreux, désintéressé. « Ma copine ne peut pas avoir d’enfants. Alors le don, c’est un geste pour aider ceux qui se trouvent dans la même situation. »
Sans mutuelle, une insémination via un centre de PMA, coûte facilement 1000 euros.
Lui prend toujours le temps de rencontrer les femmes avant. Après leur avoir montré les résultats de ses tests pour l’hépatite B, la syphilis, la chlamydia et le VIH, ils se mettent d’accord sur le type d’insémination. « Moi, je ne pratique que la méthode dite “naturelle” ou “semi-naturelle” mais pas l’artisanale. C’est mieux pour l’insémination » , se justifie-t-il.
La suite se passe généralement à l’hôtel, plus rarement chez les femmes elles-mêmes. « Elle se prépare dans la chambre et moi dans la salle de bain. Je me masturbe et, quand je sens que je suis “prêt”, je la rejoins. Si elle a opté pour la méthode semi-­naturelle, je la pénètre au dernier moment. »
Les choses sont un peu différentes avec les couples de lesbiennes. « On prend plus le temps, on discute davantage avant et au moment même. » Quand elles sont en couple, il arrive que Lionel reste avec elles dans la chambre. « Elles se caressent devant moi, c’est plus facile. Je les regarde et ça m’aide. Je suis un homme tout de même ! », insiste le donneur, sourire en coin.
Comme Yvo, Lionel met lui aussi en garde les femmes contre les autres donneurs. « Certains ne sont pas du tout respectueux. Ils font ça uniquement pour le sexe. Une femme m’a un jour montré les messages qu’elle recevait. C’était du genre “j’ai du bon sperme, t’en veux ? On baise quand tu veux !” Il y a aussi ceux qui disent qu’ils font ça gratuitement mais qui réclament de l’argent au dernier moment. »
"Je me masturbe et, quand je sens que je suis prêt, je la rejoins. Si elle veut la méthode semi-naturelle, je la pénètre au dernier moment."
Catherine Houba est gynécologue-obstétricienne au Centre de procréation médicalement assistée du Chirec à Braine-l’Alleud. Elle incite à la prudence. En soulignant l’importance des tests sanguins, par exemple. « C’est essentiel pour ne pas transmettre de MST. » Elle rappelle également que d’autres tests sont pratiqués dans les CPMA pour éviter les maladies génétiques. « Par exemple, on refuse systématiquement les dons de ceux qui souffrent de diabète, de schizophrénie, d’hypertension sévère ou encore de mucoviscidose. »
Autre risque : la consanguinité. D’après la loi belge, le sperme d’un même donneur ne peut conduire à des naissances chez plus de six femmes. Sur internet, il n’y a aucune limite. « Ma décision est prise, j’arrête… J’estime avoir fait du bon travail en tant que donneur avec plus de 65 grossesses », indiquait par exemple Francis David après avoir officié pendant plus de 10 ans sur le groupe Facebook « Don de sperme et soutien ».
En dépit de ces risques, qu’est-ce qui pousse des femmes à se tourner vers le don « sauvage » de sperme ? Pour le Dr Houba, c’est avant tout une question de délais. Un moyen de ne pas devoir attendre six mois à un an avant d’obtenir un rendez-vous dans un CPMA. Elle évoque aussi le coût. « Sans mutuelle en Belgique, il faut compter environ 300 euros pour l’insémination et 225 euros pour la paille de sperme. À cela s’ajoutent le suivi de cycle, les prises de sang et les analyses qui les accompagnent. En tout, le budget atteint facilement plus de 1 000 euros, 450 avec une mutuelle. »
Yvo avance une autre piste : certaines femmes optent pour le don sauvage de sperme parce qu’elles veulent à tout prix rencontrer le géniteur de leur enfant. « Elles souhaitent se faire une idée de la personne, se rassurer plutôt que de tomber enceinte d’un donneur anonyme. » Yvo a même créé une adresse mail spécifique pour permettre aux enfants nés de ses dons de le contacter à leur majorité. « Parce qu’une seule rencontre, plus tard, dans un lieu neutre où je lui explique qui je suis et ma démarche peut permettre d’éviter bien des souffrances. Un enfant a le droit de connaître ses racines. »
Ce n’est que dans un second temps que le donneur signe généralement un document dans lequel il s’engage à ne jouer aucun rôle dans la vie future de l’enfant. Pour les donneurs, c’est une façon de se protéger contre une demande de reconnaissance en paternité. Pourtant, comme le rappelle le Dr Houba, un tel document n’a aucune valeur juridique. « Un juge pourrait très bien décider, dans l’intérêt de l’enfant, d’imposer un test de paternité. » Yvo est parfaitement conscient des risques qu’il prend. C’est pour cela qu’il ne signe jamais aucun document. « Pour moi, ce serait comme signer mon crime. »
Ça s’est passé à Dortmund, du 1er au 31 mars 2017. Sur le site de la rédaction allemande de Correctiv . Plus de 520 parents, étudiants et enseignants se sont mobilisés pour documenter une question simple qui les préoccupait : l’absentéisme des profs. Chacun y a enregistré, dans une base …
Faire relire une interview ou un article avant sa publication : de grandes institutions en font de plus en plus la demande. Un vrai casse-tête pour les journalistes.
À quoi ressemble la société qu’on dépeint dans Médor ? Elle est blanche et les hommes des catégories socioprofessionnelles supérieures y ont le pouvoir. C’est ce qui ressort de notre premier « baromètre diversité ».
Séances de lecture féministe décoloniale le jour, DJ-set rap vénère la nuit. Rigolo, ambitieux, tout-terrain, le collectif Bledarte fait place aux minorités sur la scène culturelle.
C’est l’histoire d’un banal village ardennais. Un hameau de la Famenne d’une centaine de chaumières à flanc de colline. C’est l’histoire de l’exode rural, des jeunes qui disparaissent, des liens sociaux qui se défont et du tourisme résidentiel qui, en un demi-siècle, a modifié le visage du sud-est de la…


De Ayasta - Posté le 27 juin 2014 à 10h44 dans Insolite


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Chine : un hôpital installe une machine à branlette pour les dons de sperme

On vous avait déjà parlé d' Autoblow 2, la machine à fellation . Aujourd'hui, on va vous parler d'une machine qui a été installée dans deux hôpitaux chinois pour faciliter les dons de sperme.
Les hôpitaux en question se trouvent à Nanjing et Zhengzhou, au cas où vous auriez envie d'aller essayer cette avancée technologique révolutionnaire. À quoi elle sert ? Et bien c'est un peu le kit mains libres de la branlette. Il s'agit plus précisément d'une machine pour automatiquement extraire et récolter du sperme lorsque ces messieurs viennent faire des dons.
S'inspirant des tireuses de lait pour vaches, elle permet de faciliter la tâche aux donneurs de sperme qui ont parfois du mal à se forcer, surtout dans un hôpital. Le donneur se fait donc aspirer l'engin, par la machine, et peut régler la hauteur, la vitesse, la fréquence, l'amplitude et la température... Bref, choisir les conditions optimales pour atteindre l'éjaculation. Il y a même un écran pour ceux qui ont besoin de plus que la sensation et l'imagination. Par contre, on espère qu'elle n'est pas VRAIMENT installée dans le couloir.
Zhu Guoxin, le directeur du département d'urologie de l'hôpital de Zhengzhou, a indiqué que la machine est également très utile pour soigner les patients atteints d'infertilité ou ceux ayant des difficultés permanentes pour éjaculer . Il ajoute aussi que la machine permet de conserver la qualité du sperme, en plus d'assurer une bon hygiène grâce à une gaine individuelle pour chaque patient. Dans le cas où vous voudriez vous procurer une de ces machines, petits coquinous, j'espère que vous avez une bourse bien remplie. Euh non, un portefeuille bien garni. Parce que quand on apprend que la machine coûte 2 800 dollars, la pilule est dure à avaler. 
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Venez rebondir sur des seins à New York

Miami : une nouvelle box Bouygues sous Android TV débarque !
Se faire pétrir le goujon par un distributeur de M&Ms, ça donne donne tout de suite envie.

Et moi qui venait de réserver un vol pour New-York
http://hitek.fr/actualite/…

Changement de plan, Robin, direction la Chine.

To the fap machine !

Par Toto , il y a 8 ans (en réponse à camille ):


Par Daill , il y a 8 ans (en réponse à camille ):

C'est mieux qu'un vélo d'appart pour brûler des calories !

Par Killian , il y a 8 ans (en réponse à Daill ):

Ta du feu au moins pour brûler tes calories ?

Par Cuistot , il y a 8 ans (en réponse à Manju-man ):

C'est à moi de le dire, je pense...

Batman disapproves this post.

Par Killian , il y a 8 ans (en réponse à Cuistot ):

2800 $, au moins c'est plus rentable qu'une femme !
2800$, c'est moins cher qu'une femme à long terme. Et justement, pas de pilule à avaler !
En plus en soirée, c'est convivial:
-Tu regardes quoi sur la machine?
-Clara Morgane et toi ?
-Un documentaire sur les Rhinocéros.
-Envoie !

Par Kiyoshi , il y a 8 ans (en réponse à Jak-Altair ):


Par Alix Eisenhardt , il y a 8 ans (en réponse à Jak-Altair ):

Je suis sur que tu auras des photos de ta grand mère toi !
Juste une question.... POURQUOI ?
C'est pas comme si en Chine, ils etaient en surpopulation non plus hein ._.
Et a l'heure actuel un chinoise n'a que l’embarras du choix vu qu'il doit y avoir 3 voir 4 mecs pour 1 nana selon les estimations de la population chinoise... C'est chaud

Par MBlanquette , il y a 8 ans (en réponse à Norss ):

Pour le fric. La Chine n'est plus communiste on a le droit de se faire du fric avec le don de sperme destiné aux infertiles. Tant que ça respecte la politque de l'enfant unique, aucun problème.

Par Cryincat , il y a 8 ans (en réponse à MBlanquette ):

Pour info la loi de l'enfant unique a été abrogée !

Par Reenal , il y a 8 ans (en réponse à Cryincat ):

je me dépêche d'aller me coucher moins con !

Par Eoniz , il y a 8 ans (en réponse à Cryincat ):

Elle n'est pas abrogée. Dans le cas où tu as eu une fille, tu as le droit de refaire un enfant. C'est une sorte de "Continue" en cas de "Game Over" :) .

Par FearSlow , il y a 8 ans (en réponse à Eoniz ):

j'aime beaucoup ta facon de penser =3
J'espère qu'il change l’embout et les tubes à chaque utilisation, autrement bonjour les MST !

Par Amenadiel , il y a 8 ans (en réponse à Mralexfamas ):

"en plus d'assurer une bon hygiène grâce à une gaine individuelle pour chaque patient."

Je suppose que tu n'as pas tout lu?

Par lulu_twenty one , il y a 8 ans :

Je pense pas qu'elle soit installée dans le couloir, ça ma plutôt l'air d'être une sorte de porte ouverte ou un truc du genre.

Par Patalicornette , il y a 8 ans :

Mais il n'y a pas de risque de contamination de sida ? Parce que si les hommes passent les uns après les autre Oo

Par Dr. Tesla , il y a 8 ans (en réponse à Patalicornette ):

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