Bon travail la dessus
đ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đđ»đđ»đđ»
Bon travail la dessus
Votre panier est vide pour le moment
Nos produits
Nos produits
CGV -
Mentions légales -
Vos données et vos droits -
Presse
© 2022 Lapeyre
Accueil >
Magazine >
Préparer mon projet >
Bien choisir son plan de travail
Menuiserie porte & fenĂȘtre Cuisines Salle de bains & WC PiĂšce de vie & Escalier ExtĂ©rieurs RevĂȘtement sol & mur Ăquipement & Outil
Conseil Ă domicile Conseil en magasin Atelier Financement Le paiement en plusieurs fois Le retrait des marchandises Livraison Pose Service aprĂšs-vente
Lapeyre depuis 1931 Fabrication française Engagements pour tous Développement durable Recrutement
Inspiration & Tendances Préparer mon projet Expertises & Tutoriels Outils de configuration Prise de rendez-vous Catalogue Lapeyre
Plusieurs paramĂštres interviennent dans la sĂ©lection dâun plan de travail . Sa forme et son esthĂ©tique bien sĂ»r, son prix, mais surtout sa rĂ©sistance. Car on est rarement tendre avec son plan de travail ! Pour faire le bon choix, posez-vous les bonnes questions.
Bien choisir son plan de travail , câest surtout choisir le matĂ©riau qui sera en parfaite harmonie avec le style et la couleur des meubles choisis. Quâil soit en bois, en stratifiĂ©, en inox, en verre, en matĂ©riaux de synthĂšse ou en cĂ©ramique. Il devra sâaccorder au mieux, renforcer lâintention de dĂ©part, se fondre dans le dĂ©cor ou au contraire contraster avec lâensemble.
Lumineux et intemporel, le plan de travail en bois sâaccordera pleinement Ă une cuisine de style authentique. Idem pour le granit ou la pierre naturelle. Ă lâaffĂ»t des tendances design, vous pouvez Ă©galement oser pour des plans de travail en quartz ou en verre trempĂ© . CĂŽtĂ© stratifiĂ©, exploitez la palette de couleurs et de dĂ©cors disponibles, des couleurs unies aux effets matiĂšres.
Enfin, notez que le plan de travail idĂ©al peut ĂȘtre agencĂ© sur mesure. Les ateliers Lapeyre vous proposent des plans de travail droits, en coin, des tables en sifflet ou encore des plans Ă carreler .
Bien que lâesthĂ©tisme soit un Ă©lĂ©ment important dans le choix de son plan de travail, la rĂ©sistance de ce dernier est Ă prendre en compte.
Pour une robustesse Ă toute Ă©preuve, privilĂ©giez un plan de travail en rĂ©sine non-poreuse (adieu les taches !) et dĂ©clinĂ©e Ă la forme de votre souhait. Idem pour le bois, Ă condition de parfaitement le protĂ©ger et de lâentretenir rĂ©guliĂšrement Ă lâaide dâune huile ou dâun vernis.
TrĂšs tendance, les plans de travail en inox sont les chouchous des cuisiniers professionnels, Ă qui ils assurent soliditĂ© et hygiĂšne. Les plans de travail en stratifiĂ© aussi ont la dent dure ! Ă contrario, sachez quâun plan de travail en marbre supporte mal les taches. Si vous tenez absolument Ă conserver cet effet, reportez-vous sur les modĂšles trĂšs rĂ©sistants en Quartz ou Dekton Ă impression marbre.
Enfin, le Corian, comme le verre, nâaiment pas les marques de couteaux⊠Sachez quâil nây a pas de bon ou de mauvais choix. Tout dĂ©pendra de vos habitudes culinaires, de votre façon de cuisiner, de la maniĂšre dont vous Ă©voluez dans votre cuisine. Au moment de faire votre choix, renseignez-vous bien sur les avantages et inconvĂ©nients de chacun.
Avant de vous laisser sĂ©duire par tel ou tel matĂ©riau, pensez Ă dĂ©finir lâenveloppe que vous souhaitez allouer Ă votre plan de travail. Pour les petits budgets, prĂ©fĂ©rez-le stratifiĂ©. Facile dâentretien et disponible dans de nombreuses finitions (coloris et effet).
Si vous prĂ©fĂ©rez des matiĂšres naturelles comme le bois, la pierre ou le marbre, attention, les tarifs sâenvolent. Idem pour les matĂ©riaux de synthĂšse comme le quartz, le dekton ou le corian⊠Ils peuvent mobiliser une part importante du prix de votre cuisine.
Pour finir, la finition aussi joue un rĂŽle important dans le prix final. Le choix dâune coupe arrondie sera plus cher quâune coupe de plan droit.
Dans le neuf ou la rénovation, comment bien choisir vos por...
Dressing sur-mesure : bien définir le modÚle fait pour moi
Enter your name or username to comment
Enter your email address to comment
Pour dĂ©marrer lâexpĂ©rience Leihia, vous devez disposer d'un ordinateur et du navigateur Google Chrome
Leihia fait peau neuve et vous retrouve dĂ©but janvier 2021. Bonnes fĂȘtes !
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expĂ©rience sur notre site web. Si vous continuez Ă utiliser ce site, nous supposerons que vous en ĂȘtes satisfait. Ok Non Politique de confidentialitĂ©
La question du sens au travail est au cĆur de la thĂ©matique de lâemploi. Et encore plus en situation de crise que nous traversons tous en ce moment.
Leihia veut permettre Ă tout le monde de rĂ©vĂ©ler ses talents et travailler sa quĂȘte de sens professionnelle en offrant Ă toute personne qui le souhaite le bilan de ses compĂ©tences doublĂ© dâun ou plusieurs entretiens avec des consultants certifiĂ©s par Leihia, des leihiens.
Que se passe-t-il ensuite ? Leihia vous met en relation avec les entreprises rĂ©ellement faites pour vous ! Câest par lâalignement de talents, de valeurs et dâexigences que nous pourrons crĂ©er le nouveau paradigme de lâemploi et du recrutement.
Nâattendez-plus et faites le test : www.leihia.com
En attendant, nous vous invitons à lire cet excellent article publié par Welcome to the jungle
Pourquoi vous levez-vous le matin ? Avez-vous envie dâenvoyer balader votre job et vos collĂšgues ou ĂȘtes-vous Ă©lectrisĂ© par vos challenges ? AdorĂ©, saoulant, frustrant, aimĂ© Ă nouveau⊠nous entretenons une relation bien compliquĂ©e avec notre boulot ! Pour la dĂ©mĂȘler, on a discutĂ© avec Jean-François Dortier, fondateur de la revue Sciences Humaines et pour le sociologue, notre motivation professionnelle est un savant cocktail qui Ă©volue au cours de nos vies.
La premiĂšre raison, la plus Ă©vidente, câest que lâon travaille pour gagner sa vie ! Ă de rares cas prĂšs, de gens trĂšs aisĂ©s, de personnes qui font le choix de vivre dâun minimum social ou de parents qui veulent prendre le temps dâĂ©lever leurs enfants, gagner de lâargent est nĂ©cessaire dans nos sociĂ©tĂ©s. Il faut avoir un toit au-dessus de sa tĂȘte, remplir son frigo, sâoccuper de sa famille, sâoffrir des loisirs⊠Câest donc la premiĂšre raison qui nous pousse Ă nous lever le matin, mĂȘme si parfois on nâen a pas envie ! La deuxiĂšme chose, câest que nous sommes des animaux sociaux qui avons besoin des autres pour nous sentir exister. Or le travail vous apporte Ă la fois un statut, une place dans la sociĂ©tĂ©, et des contacts humains. Câest pour cela que pour les gens privĂ©s de travail, la plus grande souffrance est souvent celle dâune perte dâidentitĂ© et dâun manque de lien social. Enfin, la troisiĂšme raison qui nous fait partir au boulot, câest le fait de faire des choses intĂ©ressantes : soigner, enseigner, sâoccuper dâenfants, Ă©crire des articles, etc. Il y a des dizaines dâactivitĂ©s humaines qui procurent un plaisir intrinsĂšque ! On comprend alors que certains continuent Ă exercer leur mĂ©tier, mĂȘme de façon bĂ©nĂ©vole aprĂšs leur retraite.
Pour les gens privĂ©s de travail, la plus grande souffrance est souvent celle dâune perte dâidentitĂ© et dâun manque de lien social.
Parce que chacune de ces raisons possĂšde aussi sa face sombre ! Gagner sa vie ? Si je considĂšre que je gagne trop peu, câest un motif de frustration. Exister socialement et ĂȘtre entourĂ© ? Mais parfois, lâenfer câest les autres ! On peut avoir un conflit interpersonnel avec un collĂšgue ou un supĂ©rieur hiĂ©rarchique et que cela envenime complĂštement notre quotidien, devienne une vĂ©ritable souffrance psychique jusquâĂ nous pousser Ă quitter le job quâon aime. Enfin, mĂȘme pour ceux qui adorent ce quâils font, le problĂšme est que tout nâest jamais passionnant dans une journĂ©e ! Pour chaque activitĂ©, il y a des tĂąches ingrates que lâon repousse sans cesse⊠La leçon Ă retenir de tout cela est que la motivation au travail est toujours un cocktail complexe, composĂ© de ces trois motivations et de leurs versants nĂ©gatifs. Câest un cocktail trĂšs personnel qui varie avec le temps.
La motivation au travail est toujours un cocktail complexe, composé de ces trois motivations et de leurs versants négatifs.
En effet, nous accordons tous une place bien diffĂ©rente Ă notre travail. Mais au cours de sa vie, lâindividu lui-mĂȘme voit ses prioritĂ©s changer. Lorsque vous ĂȘtes Ă©tudiant et que vous devez payer vos Ă©tudes, vous faites ce quâon appelle un job alimentaire ; si vous avez entre 20 et 35 ans, vous pouvez vivre dâun mĂ©tier de bohĂšme puis dĂ©cider de trouver un poste plus rĂ©munĂ©rateur le jour oĂč vous avez des enfants etc. Il y a une myriade de situations et de recomposition des prioritĂ©s au fil des annĂ©es. Toutefois, il est finalement rare que lâon travaille uniquement pour le meilleur salaire. Les enquĂȘtes montrent que 10% des actifs placent lâargent comme raison premiĂšre de leur activitĂ©.
Les enquĂȘtes montrent que 10% des actifs placent lâargent comme raison premiĂšre de leur activitĂ©.
Oui, et jâirais plus loin : le travail nâest pas que liĂ© Ă la nature humaine, il est liĂ© Ă la nature de certains animaux. De nombreux animaux travaillent : les castors construisent des barrages, les fourmis bĂątissent et rĂ©parent en permanence leurs fourmiliĂšres, les oiseaux sâoccupent de leurs nids⊠Leurs vies sont intimement liĂ©es Ă des activitĂ©s de fabrication. Câest la mĂȘme chose pour lâĂȘtre humain : depuis plus de 2,5 millions dâannĂ©es que le genre homo existe, nous travaillons. Nous avons dĂ» fabriquer des outils pour chasser, tailler des silex pour le feu, bĂątir un habitat, dĂ©couper des peaux pour se vĂȘtir : tout cela, ce sont des activitĂ©s de travail. Dâailleurs, il ne faut pas croire que les humains de la prĂ©histoire travaillaient plus que nous le faisons aujourdâhui ! ! Lâanthropologue Marshall Sahlins a calculĂ© que les adultes des sociĂ©tĂ©s de chasseur-cueilleurs passaient en moyenne cinq heures par jour Ă travailler⊠soit 35 heures par semaine ! Et toutes ces activitĂ©s, liĂ©es Ă notre nature dâĂȘtre fragile, ont toujours Ă©tĂ© Ă©minemment sociales. BĂątir une cabane ou maintenir le feu ne peut pas se faire seul, le travail est dĂšs le dĂ©part une activitĂ© de groupe ! De mĂȘme, les humains ont fait en sorte que leur travail ne soit pas simplement utile mais plaisant. Les homo erectus sâattachaient Ă faire de beaux outils, des pointes de silex trĂšs symĂ©triques, dont la perfection va au bien au-delĂ des nĂ©cessitĂ©s fonctionnelles.
Les adultes de certaines sociétés primitives passaient en moyenne cinq heures par jour à travailler⊠soit 35 heures par semaine !
Il est certain que se prĂ©senter en tant quâexpert-comptable ou que scientifique-explorateur ne procure pas le mĂȘme Ă©merveillement chez votre interlocuteur⊠Dans toutes les sociĂ©tĂ©s, des notions de statuts et de prestiges existent. Si vous allez en Inde vous y trouverez un cas extrĂȘme avec les castes de mĂ©tiers. Globalement, depuis lâAntiquitĂ©, on observe que les mĂ©tiers manuels ont Ă©tĂ© mĂ©prisĂ©s par les hautes sphĂšres par rapport aux exercices intellectuels. En France encore aujourdâhui nous sommes un pays oĂč le diplĂŽme compte beaucoup, tandis que les travaux manuels sont encore trop dĂ©prĂ©ciĂ©s⊠En Allemagne, par le biais de lâapprentissage, on peut commencer avec des travaux trĂšs pratiques et terminer ingĂ©nieur, ce qui est plus difficile en France.
De nombreux mĂ©tiers manuels sont revalorisĂ©s (âŠ) Mais la fiertĂ©Â du mĂ©tier nâest pas quâune affaire de regard extĂ©rieur.
Mais on note aussi des retournements de valeurs : des mĂ©tiers comme ceux dâenseignant ou de journaliste Ă©taient beaucoup plus prestigieux il y a un demi-siĂšcle, tandis que de nombreux mĂ©tiers manuels sont revalorisĂ©s, les mĂ©tiers de bouche par exemple. Surtout, la fiertĂ© du mĂ©tier nâest pas quâune affaire de regard extĂ©rieur. Au Moyen-Ăąge chaque corporations de mĂ©tiers cultivait sa propre estime. Le mĂ©tier dâagriculteur nâa pas un grand prestige social, mais pour ceux qui lâexercent, il a souvent une grande valeur et fait lâobjet de passion. Chaque mĂ©tier entretient en fait son propre prestige, mĂȘme sâil y a des hiĂ©rarchies selon une sociĂ©tĂ© ou un secteur donnĂ©.
Oui ! Cela a mĂȘme des effets pervers sur nos choix de carriĂšre. Certains jeunes se lancent dans des Ă©tudes sans mĂȘme connaĂźtre le mĂ©tier. Un bachelier qui veut devenir ingĂ©nieur parce que la carriĂšre est prestigieuse, ne sait absolument pas les milliers de rĂ©alitĂ©s que cela recoupe⊠Câest un drame de notre systĂšme Ă©ducatif : Ă 18 ans, les Ă©lĂšves sont invitĂ©s Ă choisir une voie alors que jusque-lĂ ils nâont rien vu du monde Ă part des enseignants et des tableaux noirs !
Et bien curieusement, pas tant que ça selon les Ă©tudes ! Ainsi, dans lâenquĂȘte Parlons travail, publiĂ©e en 2017 par la CFDT et rĂ©alisĂ©e auprĂšs de 200 000 salariĂ©s, 76% des dĂ©clarants affirmaient avoir choisi et aimer leur travail ! Finalement, ce qui est dur aujourdâhui, ce nâest pas tant le travail que lâon fait, ce sont les conditions dans lesquelles on lâexerce. Il y a une pression Ă©conomique telle, dans tous les secteurs et tous les types dâentreprises, que cela engendre beaucoup de stress et de pĂ©nibilitĂ©. Prenez les mĂ©tiers de la santĂ© ou de lâenseignement : les gens choisissent ces carriĂšres par vraie vocation. Pourtant, aprĂšs quelques annĂ©es Ă lâhĂŽpital ou en classes devant des Ă©lĂšves, beaucoup finissent par souffrir des conditions difficilesâŠ
Finalement, ce qui est dur aujourdâhui, ce nâest pas tant le travail que lâon fait, ce sont les conditions dans lesquelles on lâexerce.
Disons que la pĂ©nibilitĂ© au travail a changĂ© de nature. Il y a 40 ou 50 ans, la pĂ©nibilitĂ© Ă©tait physique, dĂ©sormais elle est psychique. Dâautre part, les gens choisissent davantage leur mĂ©tier, or le burn-out est une pathologie du sur-engagement. Nous sommes trĂšs investis dans ce que nous faisons, nous voulons faire au mieux et nous nây arrivons quâen travaillant de maniĂšre acharnĂ©e, sur-connectĂ©s , câest cela qui nous use ! Un autre trouble contemporain, câest ce que jâappelle le prix humain des relations humaines : nous communiquons beaucoup et travaillons en Ă©quipe, ce qui entraĂźne en permanence des rĂ©unions et des discussions, qui sont enrichissantes mais peuvent ĂȘtre pĂ©nibles parce que cela amĂšne Ă des nĂ©gociations et bras-de-fer permanents. Nos mĂ©tiers sont Ă©galement plus passionnants. GrĂące aux machines, il nây a presque plus dâouvriers spĂ©cialisĂ©s, qui devaient rĂ©pĂ©ter sans cesse la mĂȘme tĂąche comme Charlot dans les temps modernes. Partout on est plus qualifiĂ©s, plus responsables. Mais dĂšs lors que vous ĂȘtes responsable, vous avez une charge qui pĂšse sur vos Ă©paules et de nouvelles pathologies apparaissent, comme le manque de reconnaissance âŠ
Il y a 40 ou 50 ans, la pénibilité était physique, désormais elle est psychique.
Je ne suis pas certain que le besoin dâĂȘtre heureux au travail soit plus important aujourdâhui quâavant. Je pense plutĂŽt que tout ce mouvement est une rĂ©action aux tensions qui pĂšsent sur le travail contemporain. La situation Ă©conomique stressante, les heures de transports aux abords des grandes villes, les loyers qui explosent sans que nos salaires ne sâenvolent⊠Tout cela fait que nous aspirons dĂ©sormais Ă un retour au calme.
Aucun enfant nâest programmĂ© pour un seul mĂ©tier, il faut donc effectivement les accompagner : prĂ©senter trĂšs tĂŽt les nombreuses voies possibles, multiplier les stages immersifs, encourager les jeunes bacheliers Ă partir dĂ©couvrir le monde avant de sâengager dans des Ă©tudes et leur expliquer quâun choix est rarement dĂ©finitif. Nous avons tous plusieurs potentialitĂ©s, qui peuvent varier au cours de la vie, ce quâil faut câest donc faciliter les passerelles plutĂŽt que dâimaginer prĂ©dire trĂšs tĂŽt le cursus dâun enfant. Câest pour cela que la formation professionnelle, tout au long de la vie, est primordiale.
Nous avons tous plusieurs potentialitĂ©s, qui peuvent varier au cours de la vie, ce quâil faut câest donc faciliter les passerelles plutĂŽt que dâimaginer prĂ©dire trĂšs tĂŽt le cursus dâun enfant.
Bien sĂ»r ! Certains â et jâen fais partie ! â cochent toutes les cases, câest donc que câest possible. Par contre, il faut selon moi renoncer Ă un modĂšle idĂ©al, qui sâappliquerait Ă tous. Les entreprises libĂ©rĂ©es , le management bienveillant, la coopĂ©rative : certains tentent de nous vendre le bonheur au travail comme une formule magique. Mais chaque mode dâorganisation a ses aspects positifs et ses aspects nĂ©gatifs. Dans mon livre Travail, guide de survie , je mâappuie sur des exemples concrets pour montrer quâil existe des degrĂ©s de libertĂ©, Ă petite ou grande Ă©chelle, pour amĂ©liorer la vie professionnelle. Je dĂ©fends lâidĂ©e quâil faut faire des diagnostics de chaque cadre de travail et voir les degrĂ©s de libertĂ© possibles, Ă grande Ă©chelle ou Ă©chelle personnelle, pour rendre le travail plus vivable. Câest lâexemple du tĂ©lĂ©travail, qui permet Ă certains dâĂȘtre plus Ă©panouis ! Le bonheur au boulot, câest comme la bonne santĂ© : on ne pourra jamais Ă©radiquer toutes les maladies de la terre, mais on peut faire beaucoup pour que les gens se portent mieux !
Il faut selon moi renoncer Ă un modĂšle idĂ©al, qui sâappliquerait Ă tous. Les entreprises libĂ©rĂ©es, le management bienveillant, la coopĂ©rative : certains tentent de nous vendre le bonheur au travail comme une formule magique.
Pour en savoir plus : Travail, gu
Un n'est jamais assez
Elle Ă©tait avec moi tout le long
Excellent sexe hardcore amateur en extérieur