Bombasses européennes joueuses de foot

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Bombasses européennes joueuses de foot
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Ça ne mange pas de pain de balancer quelques vidéos sur l’ Euro 2012 , alors en voilà une autre qui nous a bien fait rire. Vu le nombre de fanion, écharpes et drapeau rouge et blanc estampillés Pologne, on se doute qu’il s’agit d’une cuvée locale. La vidéo s’efforce donc d’assumer son titre, « Welcome to Poland – Euro 2012 « , en mettant en avant les filles les plus canons que l’on puisse croiser dans les tribunes d’un stade de football… Les Polonaises sont jolies donc ? On verra ça en juin
La célèbre agression de nigel de Jong pendant la coupe du monde a ses quelques secondes de gloire dans cette vidéo qui oscille entre douceur du public féminin et rugosité du crampon…
Par contre, vu le contenu du reste de la vidéo, fait de football-boucherie et de tacle à la jugulaire, on ne comprend plus trop « Welcome to Poland – Euro 2012 « . Football en Pologne , football qui cogne comme disait mon arrière grand-père, illustre fan de Jacek Bak s’il en est… Bref, on s’amuse quand même à revoir certaines légendes du football cracra : la main de Titi Henry, l’auto agression avec la main de son adversaire, le tacle au niveau de la carotide copyrighté ©Nigel de Jong, le plus beau pénalty de l’année avec effet rétro pendant que le gardien se paluche pour l’avoir arrêté… Bref, quelques bons souvenirs, au milieu des bombasses de la planète football et sur un son qui sent bon le « Welcome home football »… Avec tout ça, on imagine ô combien les Polonais sont heureux d’accueillir l’événement.
Bon on est désolé. La vidéo est devenue privée… Il vous reste l’image présentation. Qui est pas dégueu d’ailleurs !
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Édité par Rozenn Auteur parrainé par audebaron
Sabina Altynbekova lors d'un match de son équipe, le Kazakhstan, contre l'Inde (capture Instagram)
Sabina Altynbekova est une star en Asie. Volleyeuse kazakhe de 17 ans, elle participait en juillet au Championnat d’Asie et d’Océanie au sein de son équipe nationale Espoir. Jusque-là, rien d’exceptionnel.
Sauf que, la plupart du temps remplaçante, la jeune fille est devenue un boulet pour son entraîneur en raison de son physique : harcelée par des milliers de fans subjugués par sa beauté, elle fragilise l’équilibre du groupe . La joueuse subit en effet de plein fouet le machisme du monde sportif, un milieu où le sexisme est toujours érigé en règle.
Devenue, à ses dépens, une immense star sur internet , Altynbekova symbolise non seulement la perpétuation d’un regard condescendant sur le sport féminin mais aussi et surtout cet énième exemple que le sport reste encore et toujours un bastion où sexisme est roi.
Montrer son cul plutôt que ses bras
Si la Kazakhe subit de telles conséquences à son insu, c’est que dans l’imaginaire, sport et féminité ne semblent toujours pas faire bon ménage. Pensé à l’origine pour et par des hommes, le sport, outre son intention hygiéniste, avait pour but de forger un caractère et rendre fort, critères formant une bonne virilité.
"Depuis le XIXe siècle, le sport a été pensé et organisé pour former les hommes à la masculinité et à la virilité, pour qu’ils deviennent, entre guillemets, de 'vrais hommes' et sachent gérer des équipes. […] Les différences femmes-hommes, entre autres morphologiques, sont pensées et même incorporées comme une infériorité naturelle, alors qu’il s’agit d’une construction culturelle, sociale, alimentant des représentations… Ce n’est pas parce que l’on est différents, que l’on doit être inégaux !", expliquait la sociologue Catherine Louveau.
D’ailleurs, c’est bien connu, les filles, ça ne s’intéresse pas au sport. Donc, quand la Coupe du monde de foot passe à la télé, il faut bien essayer d’ occuper ces bécasses ... Plus que jamais, le sport, un milieu déjà bien homophobe , reflète ainsi le sexisme de la société .
Quand les hommes sont jugés sur leur performance, ne reste aux femmes bien souvent que le physique pour se démarquer, le tout la plupart du temps sous l’impulsion des fédérations qui cherchent à médiatiser, et donc monétiser, leur discipline :
- Au badminton, le port de la jupe est ainsi obligatoire pour les joueuses, mais attention, pas de sexisme là-dedans, non non non, juste dans un souci de " style et d’esthétique ". Du foutage de gueule complet. Elles se sont rebellées et la Fédération internationale a fait marche arrière .
- Au beach handball, même son de cloche : bikini obligatoire pour les dames ! Il n’y a qu’en Espagne où, après de récentes protestations, la Fédération a autorisé les joueuses à s’habiller comme elles le souhaitaient. Elle a peut-être suivi l’avis de la Fédération internationale de volley-ball qui, en mars dernier seulement, a levé l’interdiction pour les filles de porter des bikinis, alors qu’elle allait jusqu’à réglementer la largeur maximale d’un short à 7 cm ! Ce qui n’empêche pas aux beaufs libidineux de s’astiquer devant certaines images clichées .
- Et le clou du spectacle va à… la Legends Football League. Cette association sportive regroupe des équipes féminines de football américain avec des joueuses en petite culotte et en soutif’ . Au delà de la dangerosité de ne porter si peu de protection face à un sport des plus violents, je pense qu’on n’a pas fait plus sexiste (et con) depuis l’invention des combats de boue .
Et sinon, reste la pub qui se chargera de vous coller à la peau une image préconçue d’un idéal fantasmé : comme par exemple le surf et ses bombasses qu’on s’imagine toutes gaulées comme Pamela Anderson.
Imagine-t-on un instant, à l’instar de l’ anaconda de Candeloro , une commentatrice parler de la langue de Federer qui serait parfaite pour la faire parvenir au septième ciel ? Le ptit cul de Ronaldo qui mériterait quelques petites fessées ? Les abdos de Tiger Woods sur lesquels on viendrait volontiers lécher de la chantilly ?
À vrai dire, commenter le physique des joueuses n’est pas forcément un problème en soi, sauf si c’est réducteur et qu’on ne parle pas de la performance. Mais dans ce cas, il ne faut pas que ce traitement soit réservé aux femmes !
Nico Rosberg est un beau gosse ? Ne nous privons pas de le rappeler alors ! Pourquoi n’entend aucun commentateur, ni même commentatrice (le peu qui existent…) déblatérer sur la plastique des mecs alors que le physique des joueuses apparaît comme le critère principal d’intérêt ? Ah oui, la peur d’heurter le public hétéro masculin…
À défaut de trouver une crédibilité au niveau de la performance sportive, certaines préfèrent alors miser d’elles-mêmes sur leur physique en sexualisant au maximum leurs apparitions. Sans se rendre compte que le phénomène ne peut mener qu’à une impasse et un terrible cercle vicieux.
La tenniswomen russe Anna Kournikova, joueuse moyenne n’ayant jamais remporté un tournoi en individuel, a révolutionné les courts dans les années 90 en devenant une véritable icône marketing, jusqu’à oublier que son métier était avant tout… de tenir une raquette.
Son mérite, comme le rappelle cet excellent article de Yannick Cochennec, aura été de rameuter les sponsors dans ce sport, et dans d’autres, à la recherche de la future créature plantureuse prête à mouiller – et surtout faire mouiller – le maillot et pouvant rapporter très gros en marchandising. Le ver est dans la pomme. Dès lors, à partir du moment où vous sortez des standards physiques recherchés, difficile de vous faire une place.
C’est par exemple le triste sort qui fut réservé à Marion Bartoli .
Brillante vainqueur du tournoi de Wimbledon en 2013, la française n’a pas réellement reçu les honneurs de la presse. Ne correspondant pas au cliché de la blonde, mince et à forte poitrine, la première à remporter une victoire majeure sur le circuit féminin depuis 2006 et le sacre, sur la même pelouse, d’Amélie Mauresmo (alors que chez les hommes, que dalle depuis 83 et Noah !), Marion n’en a finalement que pris plein sa gueule, elle et son " physique atypique ".
Marion Bartoli a remporté le tournoi de Wimbledon le 6 juillet 2013 (T.JENKIS/SIPA)
"Le sexisme prend de multiples formes : sous-médiatisation, écarts de rémunération, sous-représentation aux postes d'encadrement et d'entraîneuses...", rappelait la journaliste Fabienne Broucaret, auteure du blog Sportissima et du livre très complet et documenté Le sport, dernier bastion du sexisme ?
Vous saviez par exemple qu’une Coupe du monde de rugby féminin avait lieu en ce moment ? Qui plus est… en France ?
D’ailleurs, les filles ont remporté le Grand Chelem cette année, contrairement aux Bleus. Presque à huis clos, les rencontres vont se dérouler à Marcoussis dans l’Essonne avant d’avoir le droit d’entrer à la capitale à partir des demi-finales. Mais pas au Stade de France, faut pas abuser non plus, au stade Jean Bouin. C’est vrai que les rugbywomen n’ont que peu à voir avec des Ana Ivanovic, Yelena Insinbaeva, Lindsey Vonn, Sabina Altynbekova et consorts.
Moins sexy donc moins médiatisées, coïncidence ?
Quant à la Coupe du monde de foot féminine de 2011, et malgré une demi-finale de haute volée des Françaises, il n'y eu que peu d’intérêt dans l’hexagone et les rencontres étaient seulement diffusées sur Direct 8.
Outre le besoin de battre en brèche les clichés dès le plus jeune âge, notamment à l’école avec des cours d’éducation physique plus paritaires et moins excluant (je me rappelle encore des cours de foot où les garçons jouaient dans leur coin pendant que les filles ne faisaient que regarder) et des cours invitant à l’éveil face aux discriminations de sexe et de genre (en gros, ne pas reculer une fois de plus face aux réac’ qui ont peur de l'affreux gender), il faut montrer l’exemple dans les fédérations.
À l’instar de Corinne Diacre, première entraîneuse de foot dans un club pro , ou d’Amélie Mauresmo qui encadre Andy Murray , il est nécessaire que les femmes investissent davantage les postes d’encadrement sportifs. En revanche, dans une société patriarcale et qui plus est dans un milieu bourré de testostérone, on ne pardonne pas à ces personnes, le moindre faux pas et leurs résultats seront scrutés à la loupe, du moins pour les pionnières.
C’est le cas pour cette première qui se plaint de devoir répondre "toujours aux mêmes questions" des journalistes qui remettent en cause ses compétences.
Dernier exemple : le titre (très subtil) du Huffington Post "Corinne Diacre: première défaite avec Clermont Foot pour la première femme entraîneure d'un club professionnel", où l’on apprend quelques lignes plus loin que cette défaite "n'a que relativement peu d'importance". Alors pourquoi vous la faites chier en lui réservant un traitement différent d’un homme ?!?
Avec toute la pression foutue sur les épaules et finalement perdre 2-1 à l’extérieur, chez un gros du championnat et ancien pensionnaire de Ligue 1, c’est même une belle surprise !
Féminiser l’encadrement aura pour but d’une de changer les mentalités mais aussi d’apporter de nouveaux savoirs et en définitives parvenir à de meilleurs résultats. Ce n’est qu’ainsi qu’on pourra donner envie à des petites filles et à leurs parents de s’inscrire dans un sport typé masculin sans avoir la frousse d’être stigmatisée comme un "garçon manqué".
Enfin, il est primordial de dénoncer toutes les discriminations et d’agir, s’il le faut par la loi pour marquer les esprits, afin que les rois de la beaufitude comme Monfort, Candeloro ou Mènes ne squattent plus le petit écran pour déverser leurs inepties en tout genre.
En parallèle, chasser toute information à connotation sexiste dans les médias sportifs, que ce soit le classement de " la sportive la plus sexy ", de " l’hôtesse la plus charmante du Tour de France " ou des petites phrases censées être anodines mais à l’impact destructeur et dont l’intérêt sportif est… disons plus que limité.
"Depuis le XIXe siècle, le sport a été pensé et organisé pour former les hommes à la masculinité et à la virilité, pour qu’ils deviennent, entre guillemets, de 'vrais hommes' et sachent gérer des équipes. […] Les différences femmes-hommes, entre autres morphologiques, sont pensées et même incorporées comme une infériorité naturelle, alors qu’il s’agit d’une construction culturelle, sociale, alimentant des représentations… Ce n’est pas parce que l’on est différents, que l’on doit être inégaux !"

Mais oui ma cocotte... La supériorité physique des hommes par rapport aux femmes, ce n'est rien qu'une construction culturelle, sociale, bla bla bla.

Le gender est réellement une idéologie totalement délirante.
Vite, une loi pour imposer un Tour de France cycliste mixte !
Avec obligation de parité dans le recrutement des équipes, bien sûr.
Et obligation pour France 2 de retransmettre l'arrivée des dernières concurrentes, euh… des derniers concurrents OU des dernières concurrentes, pardon !

Et le premier spectateur masculin qui se permet un commentaire déplacé sur les jambes d'une compétitrice, en taule (l'inverse étant autorisé au nom de la légitime revanche historique) !
Rassurons nous, pour ne pas heurter la sensibilité de certains religieux fondamentalistes,,elles seront bientôt toutes obligées de jouer en burka
Delfino, et les fondamentalistes juifs , ils ne vous dérangent pas ?
Vous refusez aux autres le droit de s'indigner contre les agissements d'un état voyou sous prétexte qu'il y a en d'autres qui peuvent agir sans attirer l'attention des indignés. Appliquez vous donc ce principe si vous en faites état.
On est en France , pas au proche orient.
Faut-il rappeler que le sport a toujours été l'occasion d'exalter le corps, notamment chez les Grecs anciens où les sportif étaient nus. Bref, l'art et la manière d'inventer de faux sujets.
sauf qu'ici il ne s'agit pas uniquement de représentations (bizarrement, les sportives sont plus souvent dévêtues que leurs homologues masculins) mais aussi et surtout de la manière d'en parler: trop souvent commenter la forme (physique) plutôt que le fond (performance).
David, tu es gentil, mais tu devrais poursuivre ta logique jusqu'au bout: pourquoi ne pas intégrer hommes et femmes dans les mêmes compétitions. Des championnats et des équipes mixtes. Ainsi, plus de discrimination médiatique. Et les affreux spectateurs machos seraient obligés de les regarder en même temps !

Qui a peur du résultat ?
La soi-disant "logique" que vous comprenez, Monsieur, n'est pas celle que je défends. Vous confondez justement "égalité" et "uniformité". D'ailleurs votre demande a déjà fait l'objet d'interrogations, jusqu'à présent laissées lettre morte:

http://www.lemonde.fr/sport/article/2012/11/05/l-egalite-des-sexes-est-un-sport-pour-tous_1786024_3242.html
Y'a pas le feu....Et si le problème était pris à l'envers. Pourquoi vouloir à tout prix pour les autres (les femmes) ce qu'elles conquièrent à leur rythme. Comment ne pas penser qu'il y a volonté d'uniformisation au delà d'une nécessaire démarche égalitaire leur offrant les mêmes possibilités, y compris celle de séduire un public par leur talent plutôt que par décret.
J'ai regardé la rugby féminin, c'était très bien. L'athlétisme masculin comme féminin de la coupe d'Europe, et la natation ces jours-ci.
Pour ce qui est du sexisme, Yoan Gourcuff n'en a t-il pas été victime, alors qu'un David Beckam en a tiré profit ?
La "marchandisation" du corps ne semble plus être une spécificité féminine, non ?
Oui... oui.... disons le haut et clair! c'est un scandale inadmissible ! faut faire des efforts !! (mais pas trop quand-même).
L art de créer des problèmes la ou il n y en a pas.
Vous énoncez un certain nombre de vérités, mais certaines sont, à mon avis, amplifiées et vous posez parfois le problème à l’envers :
- Si la jeune volleyeuse Russe est devenue un « boulet » pour son coach, c’est en grande partie du au fait que l’immense majorité du public est masculin. On a également vu beaucoup de femmes « hystériques » à la vue de Cristiano Ronaldo, par exemple. Seulement, elles sont beaucoup moins nombreuses à s’y intéresser donc le joueur en question n’est pas assaillie comme l’a pu l’être cette volleyeuse. Mais il y a fort à parier que si les femmes s’intéressaient « en masse » au sport, on assisterait aux mêmes scènes d’hystéries de la part de femmes.
- Ensuite, si ce sexisme est si « apparent », c’est également une conséquence de présence quasi perpétuelle d’hommes en tant que commentateurs ou consultants. On voit mal un commentateur homme s’extasier devant le fessier d’un sportif homme (quoique cela viendra surement). A l’inverse, il arrive de voir des femmes commenter le physique d’un sportif, avec probablement plus de classe que les Candeloro ou Montfort (qui selon moi, ont autant leur place derrière un micro qu’un ado libidineux qui rentre de soirée), mais cela arrive. C’est un autre problème.
« Quand les hommes sont jugés sur leur performance, ne reste aux femmes bien souvent que le physique pour se démarquer ».
C’est faux, ce qu’il manque au sport féminin, ce sont des
(suite)
C’est faux, ce qu’il manque au sport féminin, ce sont des « stars », de joueuses étant capables de faire évoluer leur sport, d’en repousser les limites.
Le meilleur exemple reste pour moi le tennis, ou des joueurs comme mc enroe, edberg, borg, sampras, et aujourd’hui Federer puis Nadal, ont changé leur sport. Alors que le tennis féminin souffre d’un véritable creux depuis 10 ans, ou toutes les joueuses ont le même jeu stéréotypé, sans qu’aucune ou presque, sorte du lot (Et ce même si on assiste à une diversification du jeu depuis 2 ans).
Mais le tennis est clairement moins attractif qu’à l’époque des Hénin, Clijsters, Mauresmo, Williams & Williams, époque ou on assistait à de véritables oppositions de style entre championnes.
- « Au badminton, le port de la jupe est ainsi obligatoire pour les joueuses »
Ce ne plus le cas depuis 2011.
On ne peut être que d’accord avec vous concernant la Legends Football League, même s’il me parait hasardeux de ranger « ça » au sein des sports. M’enfin …
« Si les sportives sont le plus souvent ramenées à leur physique, c’est en grande partie à cause des journalistes qui se croient tout permis. »
Tout est résumé ici, et comme les journalistes sont en grande partie des hommes, leurs commentaires concernent souvent les femmes …
A votre exemple sur Anna Kournikova, j’évoquerai celui de David Beckam qui, sur la fin de sa carrière (je précise), était b
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