Bollywood ou rien

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(De Delhi) J’aime bien les chiffres. Il y un truc qui m’amuse toujours, c’est le compteur de pages du moteur de recherche Google. Mon nom a Ă©tĂ© citĂ© par le producteur indien d’un film en compĂ©tition Ă  Delhi le 15 juillet, au festival Osian’s Cinefan, et hop, me voilĂ  propulsĂ© sur 50 entrĂ©es et autant de sites indiens ! Le problĂšme c’est qu’il dit que j’ai adorĂ© son film et que j’ai donnĂ© un coup de pouce pour la sĂ©lection... Or, je viens seulement de voir le film en question : « Kabootar ». Quelle richesse cette vie sur la toile, mais aussi tant de conneries Ă©crites sans aucun contrĂŽle...
L’autre jour, j’ai lancĂ© une recherche sur Google pour comparer les stars de Bollywood Ă  celles de Hollywood. Victoire Ă©crasante pour Hollywood. Quatre des acteurs les plus connus en Inde font respectivement en nombre d’entrĂ©es : la star Shahrukh Kahn (voir la vidĂ©o ci-dessous), 2,6 millions ; L’ancien Amitabh, Bachchan, deux millions ; celui qui monte : Hritik Roshan, 1,6 million ; et la femme la plus connue mais aussi icĂŽne publicitaire Ă  l’étranger Ashuraya Rai, 5,7 millions.
Tandis que du cĂŽtĂ© de Hollywood, Angelina Jolie se pavane sur 36 millions d’entrĂ©es ! De Niro Ă  peine 7,6 millions, et George Clooney sur 17 millions, Ă  peine plus, pour changer de registre, que l’habitant du 35 rue du Faubourg St HonorĂ©, Ă  Paris. Quant Ă  Bush jr, il est hors compĂ©t. avec 42 millions. Normal.
Cela dit, une chose intĂ©ressante Ă  ce sondage maison : les stars Indiennes pensent que la planĂšte entiĂšre les connait alors qu’elles sont Ă  peine au dĂ©but de la globalisation. Cela provoque quelques situations cocasses et c’est un frein Ă  la circulation des films indiens, car les producteurs, forts de cette vision dĂ©formĂ©e, demandent des sommes hors de proportion avec la vraie valeur de ces acteurs sur les marchĂ©s Ă©trangers.
Je l’ai dĂ©jĂ  Ă©voquĂ© ailleurs, aujourd’hui on peut dire que le cinĂ©ma indien circule dans le monde, mais est cloisonnĂ© Ă  la diaspora indienne, communĂ©ment dĂ©nommĂ©e NRI (Non Resident Indian). Ces marchĂ©s sont d’abord les pays anglos-saxons, y compris l’Afrique du Sud et sa forte communautĂ©e indienne de Durban, lĂ -mĂȘme ou Gandhi Ă©tait avocat dans sa jeunesse.
L’afrique de l’Ouest et une partie du Maghreb, le Moyen Orient avec une explosion des compteurs Ă  Dubai, etc. L’Allemagne grĂące au travail trĂ©s pertinent du distributeur local Rapid Eye , a aujourd’hui un vrai public pour les films de Bollywood y compris Ă  la tĂ©lĂ©vision, chose encore innenvisageable en France, en dehors de quelques programmations exceptionnelles.
Je rappelle que l’Inde est un territoire vaste avec une vingtaine de langues officielles. Son industrie du cinĂ©ma produit prĂšs de 1000 films par an. Parmi ceux-ci, seulement 250 sont rĂ©alisĂ©s dans la ville de Bombay (aujourd’hui Mumbai) qui a donnĂ© l’appellation Bollywood. Le sud du pays tourne autour de 400 films par an, mais qui ne sont distribuĂ©s que... dans le sud ! Idem pour les autres rĂ©gions, mis Ă  part quelques cas isolĂ©s.
J’étais ce jour invitĂ© Ă  une confĂ©rence, en compagnie d’autres producteurs, indiens, Hongkongais, Malaysiens, pour parler de coproduction et des voies possibles pour le cinĂ©ma indĂ©pendant indien de circuler dans le monde. La conversation a vite tournĂ© vite court. Un producteur local nous citĂ© l’argent en circulation dans la profession et le manque d’oeuvres Ă  financer.
Autrement dit, il y plus d’argent disponible dans le systĂšme indien que de films Ă  faire. Cette Ă©tat de fait m’avait Ă©tĂ© rapportĂ© la veille par un producteur/rĂ©alisateur important (il rĂ©alisera Ă  la fin de l’annĂ©e le prochain film avec Shahrukh Kahn),il a signĂ© un accord avec un partenaire pour financer ses 12 prochains films, mais, pour l’instant, il n’a rĂ©ussi Ă  en faire que deux.
Dans ces moments je pense aux rĂ©alisateurs et producteurs suisse, portugais, israĂ©liens, palestiniens, tchĂšques, voire icelandais (300 000 habitants), qui se dĂ©battent dans des problĂšmes d’argent insurmontables car il ont un marchĂ© infime pour une industrie si coĂ»teuse. Il ne s’offre Ă  eux qu’une possibilité : faire des films universels.
PS : deux photos qui n’ont rien à voir...


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par Melanie Bonvard
Créé le 31/07/2018 à 11:45 , modifié le 31/07/2018 à 11:45


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Le cinĂ©ma bollywoodien semble parfois mĂ©connus chez nous alors qu'en Inde, c'est une industrie qui fait rĂȘver.
On entend souvent parler d' Hollywood , cette industrie cinématographique hyper populaire à travers le monde. Mais qu'en est-il des autres industries du cinéma populaire ? A l'occasion de la sortie de Baijirao Mastani , film bollywoodien à succÚs en Inde, on s'est penchés sur l'industrie de Bollywood . Et il semble qu'elle n'ait rien à envier aux autres productions. Cette industrie regorge de trésors et beaucoup sont les films venus d'Inde qui sont incontournables, bien qu'ils paraissent inconnus chez nous ! Si Bollywood est réputée pour ses superproductions colorées, travaillées, musicales et dansantes, elles regorgent de secrets dont on ne se doute pas forcément.
Alors pensez-vous tout connaĂźtre sur cette industrie de rĂȘve ? On vous fait dĂ©couvrir les choses Ă©tonnantes Ă  savoir sur Bollywood , l'industrie incroyable du cinĂ©ma indien Ă  l'occasion de la sortie du film Bajirao Mastani le 25 juillet prochain :
Reservoir Dogs , Madame Doubtfire , Le Parrain ... Beaucoup sont les classiques du cinéma américains qui ont leur version en Inde. Bollywood est une industrie pleine de surprise !
Pour info, c'est presque le double d'Hollywood. En effet, le cinéma indien est une énorme industrie trÚs peu connue en occident.
Devika Rani et son Ă©poux dans la vraie Himanshu Rai ont eu ce baiser dans le film Karma en 1933.
Ce chiffre Ă©quivaut Ă  1,4% de la population du pays.
L'Egypte, la Somalie, l'Ethiopie... Ces pays bénéficient d'une diffusion en masse de film en Hindi. Certains films tiennent l'affiche durant une décennie entiÚre.
TrÚs peu de films dépassent les 20 millions de dollars parmi les productions bollywoodiennes. Alors qu'à Hollywood, en moyenne, un film coûte 200 millions de dollars.
Parmi les films bollywoodiens les plus marquants, il y a Bajirao Mastani qui est sorti il y a trois ans au cinéma en Inde et qui sort enfin en France ce mercredi 25 juillet. Dans ce film, on suit un trio amoureux déchirant. Alors marié à Kashi Bai, le jeune Peshwa Bajirao rencontre une guerriÚre, Mastani, pour qui il éprouve un profond respect. Le film va conter leur triangle sentimental sur plusieurs années et ce long-métrage va s'avérer poser beaucoup de questions sur des sujets de société. Religion , responsabilité, famille... Bajiro Mastani est un film bollywoodien riche et trÚs bien interprété par son trio d'acteurs impressionnants.
Rendez-vous le mercredi 25 juillet dans les salles françaises !
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