Blonde et rousse font équipe

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Blonde et rousse font équipe
Publié
le 06/08/2007 à 00:00 , Mis à jour le 15/09/2020 à 07:33
... avec des portraits de Diane Kruger , un modèle d‘élégance, Julianne Moore , l'allure hollywoodienne, ou encore Vanessa Paradis , l'oiseau rare et Audrey Tautou et son allure mutine…
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Blondes, brunes, rousses ou blanches… Hissez les couleurs !
Hissez les couleurs ! Même si les psys nous confirment l'hégémonie des blondes et la séduction des brunes , têtes rousses ou blanches s'affichent dorénavant avec fierté . Si on coupait les cheveux en quatre ?
Question : pourquoi les blondes prennent-elles la pilule? Pour savoir quel jour on est. C'est irrépressible : l'histoire blonde a détrôné l'histoire belge. Capillaire, consensuelle, planétaire, la diatribe surfant sur la supposée bêtise crasse de la jolie décolorée fait un tabac. Depuis que la déferlante des blagues de blondes inonde les blogs, égaye les cours de récré, euphorise les dîners en ville, les brunes et les rousses feignent une indignation de principe, opposant une solidarité féminine de façade à ces attaques. Ne les croyez pas : elles sont secrètement ravies. Ces femmes jubilent. Enfin vengées de six siècles d'injuste hégémonie !
De la Renaissance en passant par l'impressionnisme et les "Contes" de Grimm où l'héroïne exhibe ses cheveux d'or sur un coeur palpitant, il n'y en a que pour elles. Les autres peuvent aller se brosser. Châtain, rousses, auburn, brunes : elles comptent pour des prunes. Et comme si cette humiliation millénaire ne suffisait pas, Howard Hawks en 1953 enfonce le clou : Les hommes préfèrent les blondes triomphent au box-office, érigeant en sex-symbol une Betty Boop platine adorable, burlesque, bêtifiante et irrésistible, l'icône majuscule de la blondeur fatale : Marilyn Monroe . Scrutons donc l'inconscient des intéressés. Éric, 6 ans, y va sans détour : "De toutes les filles de ma classe, ben, c'est Ninon que je préfère parce qu'elle a des cheveux tout dorés de princesse." Quelques années plus tard le discours se nuance mais la thèse perdure. Vincent, juriste, 35 ans : "Pour moi, toutes les femmes sont belles, la rousse promet la volupté, la brune est forcément pleine de peps." Deux ou trois généralités plus tard, le play-boy passe aux aveux : "Il est vrai que la blondeur est associée à la féminité idéale, à la douceur, à la séduction et à la rareté. Il y a très peu de vraies blondes, non?" Encore moins que très peu. Une femme sur quatre se décolore : du platine au miel, du blé au vénitien avec une préférence générationnelle pour le "blond californien", formule gagnante estampillée Jacques Dessange, connotée surf, peau bronzée et shopping à Santa Monica. Le célèbrecoiffeur coloriste des stars, Rodolphe, est d'ailleurs catégorique : "Le stéréotype de la blonde pulpeuse est un fantasme purement masculin. C'est une image douce qui appelle la tendresse, une idée glamour représentative de l'idéal social." Comment lutter, docteur? On ne peut pas. Le psychanalyste François Perlmutter relie même le désir de blondeur à la nostalgie de la mère aimante : "On ne choisit pas d'être blonde seulement pour plaire aux hommes. En redonnant à leurs cheveux la couleur de l'enfance, les femmes qui se décolorent cherchent à redevenir la fillette blonde aimée de sa maman", explique-t-il. Lors d'un colloque organisé par les produits Schwarzkopf, Patrick Lemire, directeur de l'agence de top-modèles Marilyn, rappelait l'édifiante histoire d' Eva Herzigova . Naturellement blonde, elle se métamorphosa en brune, croyant doper sa carrière, mais les photographes, les magazines et le public ne l'aimaient que dans sa couleur originelle. Elle retourna au bac, presto !
Hors jeu, la brunette ? Nenni. On ne l'a jamais oubliée. Cheveux noirs : la Joconde, Phèdre, Manon Lescaut, Madame Bovary, Marguerite Gautier, Carmen. Les grands romantiques ont pour elle les yeux de Chimène. Hugo, Stendhal, Flaubert ou Musset brossent le portrait d'une rêveuse au teint d'ivoire, assise au piano, vêtue de longues robes de satin grenat ou émeraude. Cette femme inaccessible repousse ses prétendants. Faut-il l'avouer ? Elle n'est pas facile, encline à la mélancolie. Les hommes de ce siècle en perdent la raison. Baudelaire s'éprend de sa "Chevelure" et lui consacre un blason immortel : "Cheveux bleus, pavillons de ténèbres tendues [...] Je m'enivre ardemment des senteurs confondues De l'huile de coco, du musc et du goudron." Son sort est scellé : la brune envoûte, captive, ensorcelle. Concentré de sensualité et de mystère, elle semble dire à sa rivale blonde, sur un air de Bizet : "Prends garde à toi !" Et tandis que Marilyn, Lana Turner, Grace Kelly, Kim Basinger, Sharon Stone, Scarlett Johansson et Kirsten Dunst pérennisent à l'écran l'éclat des belles peroxydées, surgit une armée de silhouettes parfaites, boucles sombres et carnation ad hoc. Leur mot d'ordre ? "Black is beautiful". À Hollywood, le vent tourne. Ava Gardner, gitane ou comtesse, les fait tous chavirer. Audrey Hepburn invente une nouvelle morphologie, longiligne, androgyne. Ses cheveux et sourcils charbon sur oeil de biche cachou signalent une féminité piquante, spirituelle, raffinée. À Paris, surenchère. Isabelle Adjani impose un revival romantique, visage de madone revisité par Turner et regard bleu d'aigue-marine. Monica Bellucci, néo-fellinienne, affiche une sensualité hors norme. Audrey Tautou coupe ses cheveux court, à la garçonne, validant l'archétype de la p'tite Parisienne gouailleuse et attirante. Les peaux mates sont sophistiquées et racées. Elles ne s'en laissent pas conter. Lio nous avait gentiment prévenues dans un flamenco-tube des années quatre-vingt : "Attention aux brunes !" Le match a toujours fait rage et les hommes comptent les points. Dans le clan des blondes : Alfred Hitchcock, indécrottable adepte de la femme fatale, réfrigérante, parfaite, insensible. Sous la glace, le feu, tel est son credo. Grace Kelly, Tippi Hedren ou Eva Marie Saint incarneront cette geste érotique. De l'autre côté : les grands Italiens, Roberto Rossellini, Federico Fellini, latinité oblige, mais aussi le Français François Truffaut, qui confia à l'élégante Fanny Ardant la réhabilitation des brunes pétillantes et intrépides.
Le dossier "roux" est plus délicat. On n'entre pas impunément dans ce temple de feu. Car au Moyen Âge, on envoyait au bûcher les femmes rousses en les traitant de sorcières. Elles ont gardé ce reliquat à travers les âges. Seuls Rubens et Botticelli firent beaucoup pour leur salut. À la Belle Époque, Sarah Bernhardt hissa son pavillon sur les scènes du monde entier. Saluons Proust qui vit en Odette de Crécy, boucles mousseuses auburn, la plus chavirante des cocottes, mais il faut attendre Rita Hayworth pour qu'arrive une authentique égérie à la chevelure flamboyante. Avec Gilda , film culte, la beauté qui tue prend une nuance cuivrée. Rita annonce une cohorte de divas à la peau laiteuse et aux taches de son mythiques. De Mylène Farmer en passant par Isabelle Huppert ou "Julianne Moore":http://madame.lefigaro.fr/celebrites/femmes-de-style/2-julianne-moore , le XXIe siècle cajole désormais ses rousses. Certes, on se méfie encore un peu de ces atypiques diaphanes à l'épiderme sucré depuis qu'une Desperate Housewife , Bree, alias Marcia Cross , passe la serpillière en robe du soir, mais, patiemment, elles gagnent du terrain. Au fond, chaque équipe capillaire possède ses détracteurs et ses supporters. Blondes, brunes ou rousses, elles font tourner les têtes. Et changent de reflet, capricieuses et décisionnaires. Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse.
Comment accepter d'afficher une chevelure blanche alors que tous les efforts de la gent féminine tendaient à masquer l'apparition de cet indice de vieillissement : le poil gris ? Après quarante ans, la traque commençait. Nos grand-mères possédaient leurs propres ruses. De mises en plis en Diacolor, elles ressortaient de cette épreuve avec ce reflet fuchsia bleu canard ou mauve qui leur donnait un air terriblement kitsch. Progressivement, l'arc-en-ciel improbable tomba en désuétude en même temps que l'indéfrisable. Le cheveu blanc arrivant de plus en plus tôt dans nos vies de femmes, il fallut trouver une parade. La coiffeuse proposait du platine aux blondes et de l'auburn aux brunes. Et puis, dans les années 80, surgit Marie Seznec. Ce top-modèle arborait une splendide chevelure neigeuse. Sur les podiums, on ne voyait qu'elle. Christian Lacroix en fit son égérie. Le blanc fut hissé. Chez les coiffeurs, le top consiste aujourd'hui à exhiber les filaments argentés, à transformer des blondes en blanches poudreuses, à la jouer courte, au carré et scintillante. La tendance se confirme et ce sont d'élégantes femmes politiques qui portent ce casque de charme. La ministre des Finances Christine Lagarde et la députée parisienne Françoise de Panafieu, contribuent à ce succès bleu-blanc-rouge.
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Je les consumes et elles me consomme. Comme un commun accord, elles sont mon plaisir du soir ou bien de ma pause déjeuner. Avec elles c'est un éphémère échappatoire qui n'en fini pas. Parfois il m'arrive de penser à elles toute une matinée, je ne peux me passer d'elle et elles ont besoin de moi pour bruler. Ensemble on va mieux. L'une me rappelle les côtes de la Virginie, légère et fluette, le reflet blond mais le regard profond. L'autre est Londonienne, plus accessible, elle courre les rues de son parfum frais et fait baver les adolescents qui se découvrent. On ne se sépares jamais mais je n'ai jamais les deux en même temps. Bien entendu je n'ai pas l'exclusivité, elles sont si volages ! Il arrive parfois qu'on me demande en fin de soirée ou dans un concert si l'une d'entre elles peut leur tenir le bras. Tout dépend du moment, mais j'avoue être un peu possessif, peut-être excessif surtout quand j'ai bu. Puis il y a eu ce jour où je n'ai pu voir ni l'une ni l'autre. Je me suis sentis irrité, impatient, puis anxieux. Puis au bout d'une semaine, j'ai commencé à être triste. Me manquaient-elles vraiment ? Des semaines sont passées sans que je ne veuille reprendre contact. Chaque fois que je sortais je les voyais, pendues aux lèvres d'autres hommes ou encore en terrasse d'un café, ici et là, au bar, au parc, dans la rue, devant ce ciné ou on s'était rencontrés en cachette à quatorze ans. Je les voyais partout. J'en devenais dingue. Un soir alors que je rentrais chez moi en titubant, j'ai cru voir mon Américaine au bout de la main d'un autre qui frissonnait en attendant son taxi. Il se faisait tard et ma tête me tournait, j'eu la gerbe alors j'ai pressé le pas. C'était trop, l'insolente elle me nargue ! Le lendemain matin je prenais un café avec ma Londonienne que j'étais venu chercher en bas de chez moi, son parfum embaumait mon dix mètres carrés et mes doigts. Encore raté. Finalement, je crois bien que c'est à elles que j'appartiens et non l'inverse.



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"À la recherche de la vérité"

Rien de bien sérieux mais pourtant du presque réel



Les doigts de Victoire, la petite ingénue, s'enfonçaient dans les touches telles les vagues déferlantes sur les côtes abruptes. Les marteaux alors tonnaient, déversant une langoureuse musique
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J'ai tiré une dernière taffe et j'ai écrasé le mégot sur le bitume. Le ciel était couvert de nuages noirs plus lourds que le chagrin. À perte de vue, la route n'était qu'un long ruban qui
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Bonjour,
Je vous suggère cet article que j'ai lu sur Biblond. Vous pouvez aussi le lire ici :
https://www.biblond.com/blondes-brunes-et-rousses-en-cuisine/

Bonne lecture !


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