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litteratureportesouvertes a posté le 21 novembre 2016 à 19h48
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jo_le_bouffon a posté le 21 novembre 2016 à 19h48
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elza_vir a posté le 21 novembre 2016 à 19h48
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elza_vir a posté le 21 novembre 2016 à 19h48
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philippe_auguste5 a posté le 21 novembre 2016 à 19h48
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A 18 ans, Joe s’est mise avec un homme de 48 ans. Aujourd’hui, elle a couché avec plus de 25 hommes et se fixe des limites. « Après 35 ans. Je trouve que ça fait un peu trop. »
Joe (c’est un pseudo) a des yeux de chat. Elle les habille d’un élégant trait d’eye liner. Elle est jolie. De ces beautés intelligentes, vives, espiègles. Ses cheveux courts, son rire léger et franc, sa façon de rouler ses cigarettes en déroulant ses idées, de répondre franchement aux questions, sans se dérober. Son assurance, en fait. Tout cela la rend belle.
Elle aime séduire, c’est d’ailleurs pour cela qu’elle nous a écrit. C’était il y a un an, elle avait alors 19 ans :
A 20 ans aujourd’hui, elle a déjà eu plus de 25 partenaires. Mais elle ne juge pas sa sexualité « frivole » :
Joe est d’une maturité étonnante. On pourrait la croire plus vieille si l’enveloppe n’était pas celle de son âge. Elle réfléchit beaucoup et a pris l’habitude de coucher avec des hommes plus vieux, mais pas trop non plus.
Etudiante, elle évolue dans des milieux d’extrême gauche, participe à différentes initiatives, mouvements. Sa sexualité en est marquée même si elle refuse justement de la définir :
J’ai commencé à me masturber assez tard , à 15 ans. J’avais même déjà fait l’amour. J’ai une histoire assez particulière avec la pornographie. J’ai commencé à en regarder très très tôt mais sans me masturber. Je n’avais pas ce réflexe de dire « je vais me toucher ». Au début, c’était par curiosité. Je devais être en primaire. Tu sais, tu commences à découvrir Internet... On est une génération Internet et je pense que ça joue beaucoup dans notre sexualité !
Une fois, mon père nous a grillés avec mes cousins (on avait regardé des films pornos). Il nous a fait une leçon de morale en disant que c’était une dégradation de la femme, une soumission, des rapports faussés. J’étais d’accord mais encore aujourd’hui, j’ai du mal à me raisonner. Et je ne regarde pas la pornographie la plus féministe du monde.
La première fois que j’ai fait l’amour , j’avais donc 15 ans. C’était mon premier copain. On était très, très amoureux. C’était bien, enfin, c’était pas... Heu, non… C’était pas génial.

C’était très bizarre en fait, ça faisait plusieurs mois qu’on faisait plein de trucs alors je pensais qu’il y aurait quelque chose de spécial. Je pensais que je ressentirais le fait de ne plus être vierge. Je me suis mise à pleurer. Mais j’étais très amoureuse de ce mec-là. C’était une belle histoire.
Avec mon deuxième copain, on a fait des trucs fous. On se lançait des défis. J’avais 17 ans et on a fait deux fois l’amour en haut d’une grue. On rentrait dans des chantiers, on montait dans des grues, et on baisait dans la cabine du conducteur. Ou sur des toits, plein de fois.
Je me suis mise à être attirée par les gens vraiment beaucoup plus vieux. Quand ça s’est fini avec ce copain-là, j’ai eu envie de découvrir ce que c’était que d’être avec des adultes. Je n’étais réellement qu’attirée par eux, d’abord socialement. Ce n’est pas étonnant, à 13 ans, je sentais que passer un dîner avec mon père ou aller à ses réunions politiques, c’était plus enrichissant intellectuellement, plus stimulant que d’être avec des gens de mon âge. D’ailleurs, au collège et au lycée, je n’avais pas vraiment d’amis.
A 18 ans, je me suis mise avec un mec de 48 ans . C’était une histoire un peu étrange. Il fréquentait le bar à côté de chez moi où j’allais beaucoup, il était dans la vie du quartier. Je l’ai apostrophé. Il y avait un truc clair, une attirance réciproque. J’ai fait en sorte de me retrouver chez lui un soir et voilà, on a couché ensemble.
On est restés six mois ensemble sans que je ne me sente vraiment amoureuse. J’étais très dévouée mais pas amoureuse. Il allait très mal. C’était un mec d’un milieu hyper défavorisé, ancien tox’, passionné de motos. Il était là par la force des choses.
Ça s’est mal fini. Il a fini par être extrêmement jaloux. C’était devenu invivable. Il habitait en face de chez moi, du coup quand j’étais chez moi avec d’autres gens, je me sentais surveillée.
En ce moment, je considère que je suis amoureuse d’un mec qui a 32 ans, mais je vois difficilement comment ça pourrait être réciproque, durer, et qu’il s’en satisfasse. La différence d’âge est trop marquée, même si on est vraiment copains.
A posteriori, je sais que les histoires sérieuses ne peuvent se construire qu’avec des gens proches de mon âge ou des différences d’âge moins grandes. Je trouve bizarre qu’un mec de 40 ans, s’il a mes exigences intellectuelles, en soit toujours à vouloir quelqu’un de mon âge. J’espère qu’à 40 ans, je ne sortirai pas avec des mecs de vingt ans de moins parce que sinon, il y aura un gros décalage !
Je ne veux pas préjuger de ce que peut être l’intelligence. Pour moi, le fait d’être cultivé ou le milieu social ne font pas l’intelligence. Un menuisier peut être aussi intelligent qu’un intellectuel. Ce qui m’intéresse, c’est une forme d’intelligence.
La dernière fois que j’ai eu une relation sexuelle... On est quel jour  ? C’était y a deux jours  ! Avec un mec qui fréquente les mêmes milieux politiques d’extrême gauche que moi.
En ce moment, c’est un peu plus tranquille, je sors d’une histoire. Quand je vous ai écrit, je pouvais monter jusqu’à quatre mecs différents par semaine. Je suis moins dans un besoin frénétique. Ce truc compulsif de vouloir séduire et être avec des gens juste une nuit, j’ai compris que je n’en retirais pas forcément grand-chose, même si ça m’arrive encore.
A ce moment-là, ça m’arrivait d’aller apostropher des gars dans la rue. Je me rappelle d’une sortie de terrain avec la fac, je vois un jeune mec, un marinier sur un bateau qui était TROP beau [elle insiste sur le trop, ndlr]. Je suis allée le voir en lui disant que ça m’intéresserait de discuter avec lui. Je savais pertinemment ce que je faisais et ça a marché. Je suis aussi allée brancher un gars sur un chantier ou un camionneur. J’ai blablaté deux minutes avec lui, puis je lui ai dit : « Vas-y, je prends ton numéro. »
Les mecs sont plutôt surpris. Ils n’ont pas l’habitude que ça se passe comme ça, qu’une fille blanche, classe moyenne, vienne les apostropher en leur disant « Tu m’intéresses, viens on passe la nuit ensemble ». Surtout quand ils viennent d’un milieu prolo.
La question politique du féminisme m’a beaucoup travaillée. On peut être des objets de désir, mais on peut aussi se demander si on parle d’objets ou de sujets. Dans l’état actuel des choses, où on se fait siffler et brancher dans la rue, répondre à un moment donné « OK, vas-y, viens on y va », ou alors siffler soi-même, c’est affirmer quelque chose.
Je ne dis pas ce que soit sain. C’est un rapport consommateur de dire « Moi, je vais baiser ce soir ». Pour moi, faire ça, ce n’est pas nécessairement politique mais c’est la possibilité de dire que les meufs sont capables d’autre chose que d’être passives.
Ma sexualité changera le jour où j’arriverai à avoir un orgasme avec un mec. J’ai déjà senti que je pouvais y arriver mais ça me demande un gros effort de concentration.
Ce n’est pas grave ! Mon excitation n’est pas amoindrie par l’absence d’orgasme. Je peux faire l’amour trois fois de suite avec un mec parce qu’il m’excite trop mais j’aurai pas d’orgasme. La pénétration, c’est un truc que j’adore. Je peux zapper les préliminaires pour le faire. Après, effectivement, il n’y a pas ce pic de l’orgasme.
Quand je suis seule, j’en ai. J’ai essayé de reproduire les gestes, de me masturber pendant une relation, mais ça ne marche pas. C’est un truc de concentration, je n’y arrive pas. C’est étrange, hein ?
Pour moi, il n’y a pas de malaise, de manque dans ma sexualité, à part celui-ci qui naît aussi de cette injonction à l’orgasme qui existe aussi. Mais bon, j’ai quand même envie de voir ce que ça fait.
Pour ce qui est de ma contraception , j’ai fait beaucoup de conneries. Je me suis fait bien engueuler par ma mère. J’ai longtemps fait comme si ces questions étaient taboues alors qu’elle n’a jamais eu de problème à en parler. Sur la contraception, elle voyait que je ne rentrais pas trop le soir et elle me disait : « Mais t’étais avec qui ? » Je répondais un nouveau prénom à chaque fois, elle comprenait pas trop. Quand elle a capté qu’il m’arrivait de ne pas me protéger, elle m’a dit :
Une fois, j’ai couché avec deux mecs différents deux soirs d’affilée et je me suis dit : « Ouaaaah, là, t’as fait n’importe quoi. » Il se trouve qu’au moment où j’ai reçu mes résultats, j’avais des ganglions... J’étais persuadée que j’avais le sida (ne jamais aller voir sur Internet).
Ce que je préfère dans le sexe ? Je n’ai pas de préférence à proprement parler. Ça dépend du mec avec qui je suis. Y a des trucs qui m’excitent beaucoup avec des mecs avec qui je suis en confiance. Une main autour du cou pour un petit étranglement, ça peut me faire partir en vrille.
Alors que si un mec que je ne connais pas me met une fessée, je vais lui dire :
Dans les milieux politiques dans lesquels je suis, si un mec fait un truc de ce genre, je trouve ça excitant parce que je sais que c’est une forme de transgression, alors que si un mec que j’ai rencontré dans la rue me fait ça, je sais que ça peut être du sexisme de base. Une fois, j’ai même mis une claque à un mec qui avait joui sur mon ventre. Il était un peu dérouté, il faisait vraiment moins le malin.
Mes limites... Je n’accepte pas qu’on me traite de salope. Même la fessée, j’ai du mal. En fait, je n’ai pas envie d’associer ce que que je vois dans la pornographie, qui pour moi est le summum du crade dans les rapports mecs-meufs, à ce que moi je pratique ou que j’ai envie de pratiquer dans ma sexualité. Les mecs le sentent en général.
Ç a a dû m’arriver de me forcer un peu en me disant « je peux continuer » parce que je voulais pas être blessante. Mais si je ne me sens pas bien, je le dis tout de suite.

La sexualité qui me dégoûte, c’est celle qui repose sur des jeux d’influence de suggestion mais très forte, où tu te retrouves à moyennement avoir envie. Ce qui me préoccupe, c’est la question du consentement, or elle dépasse largement cette seule question de dire oui ou non. C’est aussi une bienveillance, une attention à l’autre.
Il y a plein de choses que je ne fais jamais. Les pratiques un peu violentes, moi, ça ne m’excite pas. La sodomie ne me pose pas de problème, ça m’excite un peu dans l’absolu mais je ne le fais pas trop, ça fait un peu mal. Je n’aime pas avoir mal.
Les zones érogènes, ça dépend du mec et du désir que j’ai de son désir. Un mec hyper dans l’affirmation de son désir, ça me plaît moyen. Un mec qui n’a pas l’air intéressé et qui, tout d’un coup, manifeste une envie de ouf, ça me rend malade. Par exemple, il y a eu ce mec dont j’étais folle amoureuse l’année dernière. Il ne manifestait rien pour moi mais quand on couchait ensemble, ça se révélait d’un coup et j’avais cette sensation de quelque chose d’un peu exceptionnel.
Les mots... Le plus souvent, je dis que je couche avec une personne, mais si c’est juste pour en parler à la légère, je peux dire « ken » [niquer en verlan, ndlr].
Mes parents se sont séparés quand j’avais 2 ans. J’ai eu beaucoup de mal à accepter que ma mère couche avec ses copains. Je devais avoir une dizaine d’années quand j’ai découvert ça. L’horreur... Mon père est avec ma belle-mère depuis des années, j’ai cru comprendre que leur vie sexuelle était satisfaisante en parlant avec elle.
Je n’ai pas de regrets car j’ai justement un peu un principe de vie qui est de ne jamais regretter. Ceci-dit, je me suis déjà retrouvée dans des situations où je me disais : « Waouh, qu’est-ce que je fais là ? ».
Genre, un soir, je suis rentrée avec le serveur d’un bar. Il était plutôt pas mal. En parlant plus avec lui, je découvre qu’il n’avait pas 30 et quelques comme je le croyais, mais 43... Il ne voulait pas trop qu’on aille chez lui, mais on s’y retrouve quand même. C’était tellement immonde... J’ai jamais vu ça. C’était un no man’s land, abusé. Du coup, quand on a fini, je me suis dit : « Bon, bah je vais rentrer chez moi, c’est trop dégueulasse ici. » Je ne lui ai certainement pas laissé mon numéro. En plus, il était trop bizarre, il répétait toutes les trois secondes  : « T’es belle comme le jour. »
Pour regarder du porno, je vais sur Red Tube . J’ai pas vraiment de tag. Souvent, il s’agit de trucs très conventionnels avec des meufs américaines bonnes. C’est un peu bizarre, hein  ? C’est juste qu’il ne faut vraiment pas que je m’identifie à l’actrice pour que ça m’excite. Dans le porno féministe, il y a des choses que je trouve intéressantes dans la démarche mais rien que de voir une fille avec des tatouages, ça me rebute un peu. Tout de suite, ça l’identifie à un monde trop proche du mien. Or, pour moi, le porno, il faut vraiment que ce soit fantasmatique.
C’est ça qui complexifie mon rapport à l’orgasme : il est tellement identifié à un espace défini, fictif, que je n’arrive plus à le mélanger à ma vie à moi. Après, dans le porno, j’ai aussi des limites. Quand les meufs sont trop soumises, je n’y arrive pas. Je pense à ce qu’elles vivent dans la réalité, à ce moment-là.
Je regarde ça plutôt en journée. Le soir, je préfère lire un livre, faire des choses utiles, je suis plus posée. La pornographie, pour moi, c’est un truc d’efficacité.
Je me masturbe 90% des fois avec du porno, malheureusement. Je le vis vraiment avec une forme de culpabilité. Parfois, je me force à me toucher sans support. En tout cas, quand je me masturbe sans support, je ne pense à rien. Je me concentre vraiment sur mon corps, c’est rare que j’imagine des choses et en général, ça me déconcentre plus qu’autre chose. Là, c’est plutôt le soir du coup.
Je n’ai pas de smartphone et je déteste le rapport que ça crée, ces applis, ce geste qui balaye les gens, ce « next ». Quand je couche avec des mecs, je recherche un échange. Je n’ai pas envie de le réduire à ça. Je trouve assez malsain ce que ça crée comme rapport. Ce mouvement du pouce, là, c’est le triomphe du consumérisme.
Vous extrapolez. Il est évident que la rédaction va sélectionner les histoires un peu hors-normes. De façon générale, il n’y a rien de moins intéressant que la vie sexuelle des autres. Alors ils sont bien obligés de pimenter un peu.

... tellement que plus personne pouvait le piffer en 81

« Je lui donne mes seins malgré lui. »

Elle a l’appli Gère Honte ?

Surtout qu’in fine la catho pratiquante a bien plus de chance d’être réellement une belle cochonne au pieu que cette bobo qui pète un cable pour une petite fessée par dogme, et qui a surtout l’air de se complaire dans sa masturbation intellectuelle, rien de plus chiant au lit...

Remember me
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Être attirée par des mecs plus âgés?









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7 yr


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ne touchez pas à mon Edward :mad::D
Je suis sur et certain même que les rues algérienne sont remplies de mecs comme ceux que tu as cité :D....
:mdr: oui il est disponible sur le marché algérien, il est bon marché :mdr:
I totally agree witb you :rolleyes:
.......... comme les algériennes :D
:D:D:D comme dirait ma grand meme awinouness3i ennif awer athidyef lekhrif :D
Kif kif nous somme dans le même bateau :cool:........



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By

Guest Padawan,
February 27, 2015 in Entre Femmes




C'est un défaut de l'être? Une symbolique freudienne derrière?

Plus âgés mais sans ventre bien sûr!

C'est un défaut de l'être? Une symbolique freudienne derrière?

Plus âgés mais sans ventre bien sûr!

j'allais te faire la remarque lorsque tu as dit que tu aimais Christoph Waltz :confused:

Moi personnellement j'aime pas :rolleyes:

ça peut venir d'un manque affectif d'un père absent ou inattentionné, à savoir si c'est le cas pour toi :rolleyes:

Non, même chez les plus âgés je filtre!

En plus, ils sont beaucoup, beaucoup plus âgés!

Moi quand je dis âgés c'est du genre 40-50 ans.

@Tata Crazy : Mark Wahlberg? Tu as choisis le quel je supporte le moins. Colin Farrell est trop immature! :D
Edouard Norton tani rah ykbar w yezyane! :o

Non, même chez les plus âgés je filtre!

En plus, ils sont beaucoup, beaucoup plus âgés!

Moi quand je dis âgés c'est du genre 40-50 ans.

@Tata Crazy : Mark Wahlberg? Tu as choisis le quel je supporte le moins. Colin Farrell est trop immature! :D

Ah oui 47 maximum ;) et puis les célébrités se conservent tellement bien :D

Ohhh moi je l'adore en tant qu'acteur et bien sur pour sa beauté :04: colin farrell est un playboy mais beau gosse :D

Oh Edward Norton Zine :crazy: et aussi jonny Depp aussi :rolleyes:
ne touchez pas à mon Edward :mad::D

Ze3ma il est à notre disposition :mdr:

Ze3ma il est à notre disposition :mdr:

Ohhh moi je l'adore en tant qu'acteur et bien sur pour sa beauté :04: colin farrell est un playboy mais beau gosse :D

Oh Edward Norton Zine :crazy: et aussi jonny Depp aussi :rolleyes:

Je suis sur et certain même que les rues algérienne sont remplies de mecs comme ceux que tu as cité :D....

Tu sais quoi wallah c'est vrai mais ils sont pas célèbres :mdr:

Cette dernière semainej'ai vu un qui ressemble à Shia laboeuf un autre à Mark Wahlberg :confused: et un autre à Ettan Suplee : Randy le frère de Earl dans My name is Earl :04:
Moi peu importe le maximum toléré est 6 ans !

A vrai dire tant que le monsieur est mature et responsable ( il s'assume , débrouillard , pas un mec gaga incapable et fainéant ) j'ai une allergie aux immatures et irresponsables ;)

Cette dernière semainej'ai vu un qui ressemble à Shia laboeuf un autre à Mark Wahlberg :confused: et un autre à Ettan Suplee : Randy le frère de Earl dans My name is Earl :04:

:mdr: oui il est disponible sur le marché algérien, il est bon marché :mdr:

A vrai dire tant que le monsieur est mature et responsable ( il s'assume , débrouillard , pas un mec gaga incapable et fainéant ) j'ai une allergie aux immatures et irresponsables ;)

I totally agree witb you :rolleyes:

:D:D:D comme dirait ma grand meme a
Latina danse sur une grosse bite
Vidéo subjective amateur avec deux filles
Un couple indien très sexy