Blonde délicieuse pour moi tout seul

Blonde délicieuse pour moi tout seul




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Blonde délicieuse pour moi tout seul
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Paramétrer les cookies Accepter et fermer


Se connecter







Rechercher sur le site











Elle


Psycho & Sexo


C’est mon histoire









Partager sur facebook









Partager sur twitter









Partager sur pinterest









Suivez-nous





Lien vers réseau social facebook








Lien vers réseau social twitter








Lien vers réseau social pinterest








Lien vers réseau social youtube








Lien vers réseau social instagram








Lien vers réseau social snapchat










Newsletter Psycho-Sexo
Je m'inscris


Contacts





Annonceurs




Abonnez-vous




La rédaction




Et depuis toujours, Elle s'efforce de vous proposer des articles de qualité, engagés et exclusifs. La publicité est un des moyens de nous soutenir. En acceptant ces cookies, vous nous permettez de maintenir cette exigence éditoriale.
Nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des données personnelles vous concernant comme celles liées à votre visite sur ce site. Nous pouvons également utiliser des traceurs exemptés du recueil du consentement pour le dépôt de cookies de mesure d’audience. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur 'Paramétrer' ou dans notre page 'Données personnelles et cookies' .
Leila vient d’un milieu puritain et, malgré l’amour de son compagnon, elle n’arrive jamais à atteindre l' orgasme . Jusqu’à ce qu’une amie lui donne des conseils.
Cet article issu de l’édition abonnées vous est exceptionnellement offert. Découvrez nos offres d’abonnement
Paula. Dans le café, tous les regards se sont tournés vers nous. Mais je me sentais (presque) bien. Pour la première fois, je venais de livrer mon plus lourd secret : « Non, Paula. J’ai 32 ans et je n’ai toujours pas eu d’orgasme. » C’était il y a neuf mois. Je me disais : « T’as pas eu d’orgasme, tu ne connais rien à la vie. » Toute la terre en a, des orgasmes ! Pourquoi pas moi ? Vers l’âge de 20 ans, une copine m’avait décrit le truc avec une telle intensité que ses mots ont résonné dans ma tête pendant des années : « C’est une sensation incroyable, tu sors de ton corps, c’est comme si tu allais mourir. » A cette époque, je ne savais pas que le sexe pouvait engendrer un tel plaisir. Dans mon esprit, «l’amour », c’était ce qu’il fallait faire lorsqu’on était amoureux. Point barre. « Cet orgasme m’arrivera bien un jour », j’avais songé, en sentant que ce n’était pas gagné. J’ai grandi dans un milieu bourgeois très catho qui ne m’a pas donné le goût pour la chose. A la maison, tout était écrit : « Tu te marieras à l’église et pour la vie, avec un homme de bonne famille, et tu feras des enfants. » Le plaisir ? Mon Dieu ! On n’en parlait pas. Avec mes amis, si le sujet était abordé, c’était pour pointer du doigt la nana qui avait couché avec tel ou tel gars. Le sexe était mal vu. Et moi, je ne voulais surtout pas être mal vue.
« Jusqu’à 25 ans, je n’ai éprouvé aucun plaisir »
Fille de parents libanais, j’étais cataloguée, dans toutes ces écoles privées, comme « l’Arabe », avec tous les a priori qui vont avec. On me disait que j’étais jolie mais je n’y croyais pas. Moi, je ne m’aimais pas. Du coup, j’essayais d’être quelqu’un d’autre. Autant dire que c’était un boulot à plein-temps et qu’il n’y avait pas de place pour penser au sexe. J’ai passé ma vie de jeune fille à mentir sur mes origines et à imiter les autres. C’est donc engoncée dans mes principes avec une image de moi déplorable que j’ai entamé ma sexualité. Cela ne m’a pas empêchée de vivre de vraies histoires, mais, jusqu’à 25 ans, je n’ai éprouvé aucun plaisir en faisant l’amour. Et mes partenaires, par pudeur ou maladresse, ne se sont jamais souciés de ce que je pouvais ressentir. Je ne les blâme pas, j’occultais moi même le sujet.
En fait, j’appréhendais le sexe comme une petite fille, trop complexée pour grandir. Alors il fallait être dans le noir ; ma bouche ne descendait jamais en dessous de la ceinture et, lorsque celle de mon amoureux souhaitait s’aventurer dans mon antre, il devait d’abord desserrer l’étau de fer que formaient mes jambes. Je n’avais pas de désir, mais je faisais l’amour quand même, c’était mon devoir. Au fond, je crois que c’était surtout pour que mes amants m’aiment davantage. Comme si, en leur donnant mon corps, je retrouverais un peu de ma propre estime. Oui, j’étais consciente d’avoir un blocage avec le sexe. Mais je balayais le problème par un : «C’est pas mon truc », convaincue d’être le pire coup du siècle.
« Mon désir demeurait très aléatoire »
Et puis j’ai rencontré Léo, un rayon de soleil. On est resté six ans ensemble. Il était simple, patient et curieux de moi, à l’opposé de mes précédents partenaires. Il passait des heures à regarder chaque partie de mon corps, comme si c’étaient des trésors. Sous ses yeux bienveillants, je reprenais confiance. J’arrivais à me trouver belle. Léo m’a appris que le sexe n’était pas une obligation, mais un plaisir qui devait se vivre à deux. Pour moi, c’était un scoop ! De nos premières nuits, je me souviens de cette délicieuse sensation de bien-être. Plus à l’aise, c’est à Léo que j’ai prodigué ma première fellation. J’avais 26 ans. Lorsqu’il a joui, une décharge de plaisir m’a parcourue. Ça m’a surprise. J’étais excitée, j’aurais voulu qu’il me prenne sur-le-champ. Ce n’est pas pour autant que j’ai réitéré l’opération souvent ; on ne chasse pas ses vieux démons si facilement. Mon désir demeurait très aléatoire et, lorsque je ne repoussais pas Léo, je le laissais toujours engager et mener la danse.
Un jour, alors que je cherchais des photos sur son ordi, je suis tombée sur des vidéos pornos. Le choc ! Je me suis dit : « Oui, je ne suis pas terrible au lit, mais aide-moi plutôt que de mater ces horreurs ! » Là, il m’a tout balancé, qu’il était frustré et que ces horreurs lui donnaient des idées pour tenter de me faire jouiiiir ! Car je n’étais pas livrée avec un mode d’emploi et qu’il en avait marre de vivre avec un glaçon qui attend que l’autre fasse tout ! Cet épisode fut un déclic. J’ai troqué mes culottes de grand-mère pour de jolis dessous en dentelle Aubade. Leçon numéro 16 : « Oser lui faire face. » Tu vas voir ! Ma libido piquée au vif se réveillait. Léo, aux anges, prenait mon orgasme comme un défi personnel. J’osais me lâcher, je me découvrais coquine et entreprenante. Mais j’ai réalisé que le plaisir était difficile à apprivoiser, qu’il demandait patience, assiduité et écoute de son corps.
Car, on a eu beau expérimenter le Kama-sutra dans tous les sens, je n’atteignais jamais cette sensation qui terrasse. Pas même cette nuit où nous l’avions fait dans sa Smart à deux pas des Champs-Elysées. Qu’on puisse nous surprendre m’avait pourtant rendue folle. Je m’étais même dit : « Ce doit être des mini-orgasmes. » Mais je voulais plus. Connaître aussi cet abandon total. Sauf que, Léo et moi, ça s’est fini. C’est là que je suis allée voir Paula, une amie à qui on peut tout dire, même qu’on est une attardée sexuelle. « Rassure-moi Leila, tu t’es déjà caressée ? » Non. J’ai découvert l’emplacement de mon clitoris il y a peu, alors, me caresser... « Comment veux-tu qu’un mec te donne du plaisir si toi-même tu ne sais pas ce qui te fait plaisir ? » Bonne question. C’est vrai que je n’avais jamais exploré mon sexe. Je n’y avais pas pensé, sûrement par culpabilité puritaine. « Se masturber, c’est normal, la plupart des femmes le font », insista-t-elle.
« Mon orgasme devenait le parcours du combattant »
Motivée par cette découverte, je suis donc partie en quête de moi-même et du plaisir solitaire. Paula m’avait donné quelques conseils techniques. Mais, rien,pas un frisson. « Imagine-toi des scènes excitantes », m’avait-elle précisé. Alors je recommençais, les yeux fermés sur mon canapé. Un soir, j’ai pensé à ce Grec qui m’avait prise en levrette l’été dernier, un tableau qui m’obsédait. Mieux. Mais pas d’orgasme. Découragée, j’ai « google-isé » : « Comment avoir un orgasme seule. » Je suis d’abord tombée sur un forum d’ados. J’y crois pas. A 13 ans, ils se posent déjà la question, ces morveux! Ensuite j’ai atterri sur des images olé olé de nanas en train de se faire du bien. Super, bravo les filles ! Puis j’ai cliqué sur « les bonnes astuces » : pommeau de douche, films lesbiens, vibrations de la machine à laver, contracter les abdos... un concombre ? J’ai vite refermé l’ordi. C’était trop. Mon orgasme devenait le parcours du combattant. Plus je chercherais à l’avoir, moins je l’aurais. C’est toujours comme ça. Alors j’ai arrêté ma fixette.
Et puis, un beau matin, dans un demi-sommeil, j’ai ressenti un truc dingue : une sensation d’extase dans tout le corps. Mmm... je voulais que ça dure toujours. Est-ce que j’aurais joui ? C’est bien ma veine, je ne prends du plaisir que dans mes rêves. Un vendredi, Léo m’a invitée à dîner, en bas de son nouveau chez-lui. On s’est raconté nos vies depuis la rupture. Puis il m’a proposé de venir visiter – en tout bien tout honneur – son appartement. On a fait l’amour toute la nuit. On transpirait, c’était fou. Je ne pensais plus à mon orgasme même si je sentais qu’il n’était pas loin. Au matin, encore excitée, je voulais recommencer. Mais Léo était parti chercher les croissants. Seule dans les draps, j’ai laissé ma main glisser entre mes jambes... et, d’un coup, ma respiration s’est accélérée, mon coeur s’est emballé, je ne contrôlais rien... waouuuh... mais oui... je l’ai eu !
Vous avez envie de raconter votre histoire ? Nos journalistes peuvent recueillir votre témoignage. Écrivez-nous à cmh@cmimedia.fr
C'est mon histoire : « J'ai découvert que j'étais enceinte à 7 mois et demi »
Podcast - C'est mon histoire : « Le jour où je suis devenue SM »
C'est mon histoire : « J'ai failli louper l'âme soeur d'un clic »
Podcast - C’est mon histoire : « Ma grossesse a fait de moi une bête de sexe »
« Il a fallu cet accident pour que je lâche prise »
« Son déni de grossesse a changé ma vie »
Dépression : 4 symptômes à surveiller
Faire l’amour dans l’eau, bonne ou mauvaise idée ?
5 positions sexuelles pour une pénétration jouissive
Mon histoire d’amour impossible : « J’étais amoureuse de l’ex-fiancé de ma meilleure amie »
Le Kama-Sutra de la semaine : 7 positions pour faire grimper la température
Et si vous étiez une dépensière émotionnelle ?
Charlène et Julien, en couple depuis 15 ans : « Je l’ai trompée parce que j’ai été con et faible »
Julien, divorcé sur les applis de rencontres : « Je me suis pris la réalité en pleine gueule »
Sud-Ouest, Nord, Paris… Voici l’accent régional le plus séduisant pour les Français
Une vie sexuelle satisfaisante permettrait de s’épanouir professionnellement
Comprendre les paralysies du sommeil : « J’allais au lit en ayant peur »
Podcast - C'est mon histoire : « Je l'ai fait fuir en moins de vingt-quatre heures »
Croyances et spiritualité, en quoi avez-vous foi ? 7 artistes nous répondent

© Poeme-France 1997 - 2022 Les textes publiés sont la propriété des auteurs ! Les cookies sont nécéssaire pour le fonctionnement. Webmaster : Sébastien GRAVIER Aidez le site avec un don:
Après la connexion a votre compte, vous pourrez publier des poèmes, proses, slams ou chanson avec le menu qui apparaitra ici.

Poeme : Les Blondes, Les Rousses, Les Brunes & Les Blanche


J’avais seize ans quand je me suis tapé ma première blonde. C’était une star étoilée que je portais du bout des doigts. Toi la jeune Louvaniste tu étais trop bien pour moi. Alors, je me suis tapé la capitale. Là, j’ai plongé dans une vie un peu amère, Mais délicieuse. Ce fut le tour d’une rousse bien wallonne. Toujours à l’ombre. Fallait bien faire attention au coup de soleil. J’aimais trop le soleil, alors d’un seul geste, la rousse je m’en suis débarrassé. Pour me payer une brune de la périphérie. Délicieuse, j’étais au septième ciel. Presque fidèle. Moi qui ne l’ai jamais vraiment été. J’ai dû un peu m’éloigner, je ne sais même plus si elle était Flamande ou Wallonne. Ne me demandez pas ci -elle était blonde, brune, rousse, je ne sais plus. Je suis tombé dans la trappe, sans vraiment me repentir. C’est sous l’ombre d’une vieille blanche, que je me suis réveillée. Me souvenant d’une seule chose. De toutes les bières, c’est bien la Belge la meilleure. OVERIJSE, vendredi 29 février 2008 Thierry MAFFEI.
ja=vais=sei=ze=ans=quand=je=me=suis=ta=pé=ma=pre=miè=re=blonde 16 cé=tait=u=ne=star=é=toi=lée=que=je=por=tais=du=bout=des=doigts 16 toi=la=jeu=ne=lou=va=nis=te=tu=é=tais=trop=bien=pour=moi 15 a=lors=je=me=suis=ta=pé=la=ca=pi=ta=le 12 là=jai=plon=gé=dans=u=ne=vie=un=peu=a=mè=re 13 mais=dé=li=cieu=se 5 ce=fut=le=tour=du=ne=rous=se=bien=wal=lon=ne 12 tou=jours=à=lombre=fal=lait=bien=faire=at=ten=tion=au=coup=de=so=leil 16 jai=mais=trop=le=so=leil=a=lors=dun=seul=ges=te=la=rous=se=je=men=suis=dé=bar=ras=sé 22 pour=me=pay=er=u=ne=bru=ne=de=la=pé=ri=phé=rie 14 dé=li=cieu=se=jé=tais=au=sep=ti=è=me=ciel 12 pres=que=fi=dè=le=moi=qui=ne=lai=ja=mais=vrai=ment=é=té 15 jai=dû=un=peu=mé=loi=gner=je=ne=sais=même=plus=si=elleé=tait=fla=man=de=ou=wal=lonne 21 ne=me=de=man=dez=pas=ci=elleé=tait=blonde=bru=ne=rous=se=je=ne=sais=plus 18 je=suis=tom=bé=dans=la=trap=pe=sans=vrai=ment=me=re=pen=tir 15 cest=sous=lom=bre=du=ne=viei=lle=blan=che=que=je=me=suis=ré=veillée 16 me=sou=ve=nant=du=ne=seu=le=cho=se 10 de=tou=tes=les=bi=è=res=cest=bien=la=bel=ge=la=meil=leu=re 16 o=ve=rij=se=ven=dre=di=vingt=neuf=fé=vrier=deux=mil=le=hu=it 16 thi=er=ry=maf=fei 5
ʒavε sεzə ɑ̃ kɑ̃ ʒə mə sɥi tape ma pʁəmjεʁə blɔ̃də. setε ynə staʁ etwale kə ʒə pɔʁtε dy bu dε dwa. twa la ʒənə luvanistə ty etε tʁo bjɛ̃ puʁ mwa. alɔʁ, ʒə mə sɥi tape la kapitalə. la, ʒε plɔ̃ʒe dɑ̃z- ynə vi œ̃ pø amεʁə, mε delisjøzə. sə fy lə tuʁ dynə ʁusə bjɛ̃ walɔnə. tuʒuʁz- a lɔ̃bʁə. falε bjɛ̃ fεʁə atɑ̃sjɔ̃ o ku də sɔlεj. ʒεmε tʁo lə sɔlεj, alɔʁ dœ̃ səl ʒεstə, la ʁusə ʒə mɑ̃ sɥi debaʁase. puʁ mə pεje ynə bʁynə də la peʁifeʁi. delisjøzə, ʒetεz- o sεtjεmə sjεl. pʁεskə fidεlə. mwa ki nə lε ʒamε vʁεmɑ̃ ete. ʒε dy œ̃ pø melwaɲe, ʒə nə sε mεmə plys si εllə etε flamɑ̃də u walɔnə. nə mə dəmɑ̃de pa si εllə etε blɔ̃də, bʁynə, ʁusə, ʒə nə sε plys. ʒə sɥi tɔ̃be dɑ̃ la tʁapə, sɑ̃ vʁεmɑ̃ mə ʁəpɑ̃tiʁ. sε su lɔ̃bʁə dynə vjεjə blɑ̃ʃə, kə ʒə mə sɥi ʁevεje. mə suvənɑ̃ dynə sələ ʃozə. də tutə lε bjεʁə, sε bjɛ̃ la bεlʒə la mεjəʁə. ɔvəʁiʒsə, vɑ̃dʁədi vɛ̃t- nəf fevʁje dø milə ɥit tjeʁi mafε.
ʒa=vε=sε=zə=ɑ̃=kɑ̃=ʒə=mə=sɥi=ta=pe=ma=pʁə=mjε=ʁə=blɔ̃də 16 se=tε=y=nə=staʁ=e=twa=le=kə=ʒə=pɔʁ=tε=dy=bu=dε=dwa 16 twa=la=ʒə=nə=lu=va=nis=tə=ty=e=tε=tʁo=bj=ɛ̃=puʁ=mwa 16 a=lɔʁ=ʒə=mə=sɥi=ta=pe=la=ka=pi=ta=lə 12 la=ʒε=plɔ̃=ʒe=dɑ̃=zy=nə=vi=œ̃=pø=a=mεʁ=ə 13 mε=de=li=sj=ø=zə 6 sə=fy=lə=tuʁ=dy=nə=ʁu=sə=bj=ɛ̃=wa=lɔ=nə 13 tu=ʒuʁ=zalɔ̃bʁə=fa=lε=bjɛ̃=fε=ʁə=a=tɑ̃=sjɔ̃=o=ku=də=sɔ=lεj 16 ʒε=mε=tʁolə=sɔ=lεj=a=lɔʁ=dœ̃=səl=ʒεs=tə=la=ʁu=sə=ʒə=mɑ̃=sɥi=de=ba=ʁase 20 puʁ=mə=pε=j=e=y=nə=bʁy=nə=də=la=pe=ʁi=fe=ʁi 15 de=li=sj=ø=zə=ʒe=tε=zo=sε=tj=ε=mə=sjεl 13 pʁεs=kə=fi=dε=lə=mwa=ki=nə=lε=ʒa=mε=vʁε=mɑ̃=e=te 15 ʒε=dy=œ̃=pø=me=lwa=ɲe=ʒə=nə=sε=mεmə=plys=si=εlləe=tε=fla=mɑ̃=də=u=wa=lɔnə 21 nə=mə=də=mɑ̃=de=pa=si=εlləe=tε=blɔ̃də=bʁy=nə=ʁu=sə=ʒə=nə=sε=plys 18 ʒə=sɥi=tɔ̃=be=dɑ̃=la=tʁa=pə=sɑ̃=vʁε=mɑ̃=mə=ʁə=pɑ̃=tiʁ 15 sε=su=lɔ̃bʁə=dy=nə=vjε=jə=blɑ̃=ʃə=kə=ʒə=mə=sɥi=ʁe=vε=je 16 mə=su=və=nɑ̃=dy=nə=sə=lə=ʃo=zə 10 də=tu=tə=lε=bj=ε=ʁə=sε=bjɛ̃=la=bεl=ʒə=la=mε=jə=ʁə 16 ɔ=və=ʁiʒ=sə=vɑ̃=dʁə=di=vɛ̃t=nəf=fe=vʁje=dø=mi=lə=ɥ=it 16 tj=e=ʁi=ma=fε 5
Pour mettre des commentaires vous devez être membre ou poète du site. Un simple inscription suffit pour le devenir.
L'écrit contient 195 mots qui sont répartis dans 8 strophes.
Toute ressemblance à ma personnalité ne pourrait être que pur hasard.
Elle n’a comme seul but de promouvoir la bonne bière belge.

Nos partenaires et nous-mêmes stockons et/ou accédons à des informations stockées sur un terminal, telles que les cookies, et traitons les données personnelles, telles que les identifiants uniques et les informations standards envoyées par chaque terminal pour diffuser des publicités et du contenu personnalisés, mesurer les performances des publicités et du contenu, obtenir des données d'audience, et développer et améliorer les produits. Avec votre permission, nos partenaires et nous-mêmes pouvons utiliser des données de géolocalisation précises et d’identification par analyse du terminal. En cliquant, vous pouvez consentir aux traitements décrits précédemment. Vous pouvez également accéder à des informations plus détaillées et modifier vos préférences avant de consentir ou pour refuser de donner votre consentement. Veuillez noter que certains traitements de vos données personnelles peuvent ne pas nécessiter votre consentement, mais vous avez le droit de vous y opposer. Vos préférences ne s'appliqueront qu’à ce site web. Vous pouvez modifier vos préférences à tout moment en revenant sur ce site web ou en consultant notre Politique de confidentialité.
Laura, prostituée confinée : « J’ai jamais vu autant de mecs mariés »
Entretien & Photos Benjamin Badache
ABONNEMENT


TECHNIKART Abonnement



45,00 € – 80,00 €


« En plein confinement, je ne vais pas faire l’escort le soir et aller bosser dans le médical après. Je prends des risques pour moi, c’est pas grave, mais pour les autres c’est hors de question. » Responsable, Laura a mis de côté son activité d’aide-soignante pour faire face à l’épidémie à sa manière. Escort depuis cinq ans près de Cannes, la jeune femme de 25 ans est passée de deux clients par jour à cinq. A l’origine, elle se prostituait occas
Double pénétration sauvage et anale
Jeunette bouffeuse de sperme
Mari et femme sont excités

Report Page