Blonde étonnante donne du plaisir oral

Blonde étonnante donne du plaisir oral




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Blonde étonnante donne du plaisir oral
Site média indépendant et sans complexe
Une mère rentre chez sa fille et entend un drôle de bruit provenant de la chambre.Elle ouvre la porte et surprend sa fille en train de se donner du plaisir avec un objet intime.
Elle ouvre la porte et surprend sa fille qui été en train de se donner du plaisir avec un objet intime.
Elle lui demande: Pour l’amour du ciel, qu’est-ce que tu fais là ?
Sa fille lui répond alors : Maman, j’ai 20 ans, pas mariée et ceci est la chose que j’ai trouvée qui se rapproche le plus d’un mari. Alors sors d’ici et laisse-moi seule.
Le lendemain le père entre dans la maison et entend le même bruit provenant de la chambre de sa fille.
Il ouvre la porte et surprend sa fille en train de se donner du plaisir passionnément avec son objet intime.
Il lui demande ce qu’elle fait là. Elle répond : Papa, j’ai 20 ans, pas mariée et c’est la seule chose que j’ai trouvée qui se rapproche le plus d’un mari. Alors sors d’ici et laisse-moi seule.
Quelques jours plus tard, la mère entre dans la maison avec ses provisions qu’elle place sur la table de la cuisine quand elle entend le même bruit, mais cette fois-ci venant du salon.
Elle entre alors dans le salon et voit son mari étendu sur le sofa, buvant une bière froide et regardant la télévision. L’objet intime est à côté de lui sur le sofa et vibre comme un fou.
Sa femme lui demande alors : Pour l’amour du ciel, qu’est-ce que tu fais là ?
Son mari répond : « Je regarde le foot avec mon gendre »



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Elle lui demande: Pour l’amour du ciel, qu’est-ce que tu fais là ?
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Son mari répond : « Je regarde le foot avec mon gendre »



Chez les Canelas d'Amazonie, une générosité sexuelle quasiment sans limite se pratique, ou tout du moins se pratiquait avant le contact avec "la civilisation". En plus de partager leur gibier et leurs baies, les chasseurs-cueilleurs se prêtaient leurs femmes. Une pratique de sociabilité, mais aussi censée favoriser la bonne formation des futurs bébés, via une "mutualisation" de la semence masculine , rapporte Le Point qui a réalisé en 2017 un dossier spécial sur ces rites sexuels et amoureux à travers le monde.
La tribu des Wodaabe, sahélienne et peule, pratique le commerce et l'élevage. Jusque-là, rien de très insolite. Mais il faut savoir que la mariages sont nombreux au cours d'une vie, un premier mariage "arrangé" étant décidé par les parents dès l'enfance, avant que la femme (et elle seule) puisse décider de rompre et de se remarier. Autre particularité : les Wodaabe se maquillent, dansent et poussent la chansonnette à la manière de pin-up…
Et ce n'est pas tout... Connus pour leur beauté hors norme, les hommes et les femmes wodaabe se mettent encore plus en valeur au cours de somptueuses cérémonies. Lors de la Geerewol, une célébration de la pluie qui dure six jours et six nuits, les hommes s'affrontent via un spectaculaire concours de beauté et de danse. Le jury se compose à 100% de femmes, les plus belles... Circulant traditionnellement entre Tchad, Nigeria, Cameroun et Niger, les Wodaabe suivent depuis le 16e siècle les préceptes de l'islam.
Chez les Bashilele (ou Lele) du Kasaï occidental, une province de la République démocratique du Congo, une tribu bantoue pratiquant chasse, pêche, culture du maïs et du manioc, les jeunes travaillent d'arrache-pied pour pouvoir "acheter" une femme. En attendant, ils s'en procurent une en commun en compagnie de leur classe d'âge, la "femme collective". Pendant six mois à deux ans, elle satisfait sexuellement une trentaine de jeunes hommes au total qui, en échange, la nourrissent, effectuent ses tâches ménagères, doivent l'amuser, la séduire...
Une fois l'argent de la dot (300 bandes de raphia pour une épouse collective versus 150 pour une épouse monogame) réuni par les frères d'âge vivant dans un même carré du village appelé "kumbu", et remis aux parents de la femme collective, l'épouse choisit les cinq hommes qui lui plaisent le plus pour qu'ils deviennent ses époux permanents. Dans une hutte indépendante, elle cuisine pour eux, lave leurs affaire, a des relations sexuelles avec eux à tour de rôle... jusqu'à ce qu'ils puissent payer leur dot seuls et s'acheter une "épouse personnelle". Ils pourront pour autant continuer à aller voir leur épouse collective s'ils le souhaitent. Les femmes de ce statut jouent aussi le rôle de médiatrices en cas de conflits entre tribus. La tradition de la femme collective a presque disparu aujourd'hui.
Tribu du Cambodge, les Kreungs vivent dans des hameaux dispatchés dans la jungle montagneuse du Nord-Est du pays. Ils cultivent le riz (sur brûlis, une technique agricole de défrichement par le feu) et pratiquent la chasse et la pêche, mais aussi des sacrifices d'animaux afin de favoriser la guérison des maladies. Ils croient aussi aux "Alaks", des esprits protecteurs peuplant la forêt. Et perpétuent une autre tradition étonnante aux yeux des occidentaux, sexuelle cette fois-ci : les adolescentes testent leurs prétendants sexuellement dès 13 ans… avec la bénédiction des parents.
Cette concrétisation des relations sexuelles avec ses prétendants, vécue par la fillette Kreungs à peine entrée dans l'adolescence, a lieu dans une hutte bâtie par ses parents. Pour garantir à leurs filles de trouver "le bon" époux, sur les plans intellectuel comme sexuel et d'être heureuses , relève le grand reporter au Point Frédéric Lewino, les parents Kreungs se mettent donc à la construction de ces "chambres d'amour" aux 13 ou 14 ans de leurs filles, lorsqu'elles atteignent l'âge de la puberté.
Les papous Sambia vivent d'agriculture et de chasse en Papouasie-Nouvelle-Guinée. L'anthropologue américain Gilbert Herdt a passé de long moments auprès d'eux dans les années 70. Il raconte que les jeunes garçons y sont initiés à devenir des hommes à partir de l'âge de 6-10 ans, à travers des rites prolongés à la connotation sexuelle marquée. En effet, une fois séparés de leur mère et intégrés à des maisons communes où ils vivent ensemble, on inculque aux garçonnets la peur des femmes et on leur fait boire du "lait masculin", autrement dit du sperme.
Les jeunes papous Sambia de Papouasie-Nouvelle-Guinée boivent plus précisément le sperme de leur aînés. Sur un terrain d'initiation situé très loin du village, les adolescents sont confrontés à 18 rituels, dont la cérémonie du "manger de pénis", qui consiste précisément à boire du sperme, seule façon pour les Sambias de devenir virils et se libérer de leur part de féminité. Celui qui donne son sperme est jeune aussi, mais a presque achevé sa (longue) initiation. Le guerrier en début d'initiation lui fait une fellation dans les buissons, qui peut avoir lieu plusieurs fois pendant la cérémonie.
Quelques mois après la cérémonie du "manger de pénis" décrite plus avant, la même cérémonie a lieu mais avec l'objectif pour les jeunes apprentis-guerriers de boire cette fois le plus de sperme possible, pour accroître leur courage futur. Toujours pendant leur puberté, une troisième cérémonie leur donne, enfin, le statut de "bachelier", ou jeune guerrier en fin d'initiation… les faisant passer de buveurs de sperme à donateurs. Ils sont aussi battus et fouettés sans ménagement pour les rendre encore plus valeureux, jusqu'à ce que leur nez saigne abondamment, un symbole pour les papous Sambia de "purification de toute contamination féminine".
Après avoir été "buveurs" puis "donateurs" de sperme fortifiant, avoir été battus, éloignés de leur famille... on pourrait espérer que les jeunes papous Sambia ont acquis le statut d'homme et que le supplice s'arrête. Toutefois, il leur faut encore capturer une femme ennemie, et faire ingurgiter sa propre semence à un guerrier étranger avant de le tuer. C'est seulement après ces "faits d'arme" qu'ils pourront chacun épouser une jeune fille, qui doit être à peine pubère. Au cours des premières années du mariage, faire l'amour n'est pas permis au jeune couple, qui peut uniquement pratiquer la fellation pour, cette fois, améliorer la production de lait de l'épouse à la suite de ses futurs accouchements.
Si la tradition du sperme virilisant a presque disparu aujourd'hui sous l'influence des missionnaires étrangers qui ont évangélisé la Papouasie-Nouvelle-Guinée dès le milieu du 19e siècle, elle reste de mise dans quelques populations isolées. Les papous Sambia n'étaient pas les seuls à la pratiquer puisque 20 à 30% des tribus de Papouasie-Nouvelle-Guinée l'honorait. L'initiation des jeunes avec le sperme se faisait aussi autrefois par sodomie. Le donateur de semence pouvait être surnommé "père-anus". Une insémination orale ou anale sans laquelle le jeune garçon n'était pas capable de libérer sa première semence , selon les croyances de certaines tribus.
De nombreuses croyances entourent le sexe de la femme chez les papous Sambia. A partir du moment où il peut avoir des relations sexuelles avec son épouse, le jeune Sambia doit éviter tout contact avec l'odeur génitale de sa dulcinée, sous peine, selon la croyance ancestrale, de tomber malade. Feuilles de menthe pour se boucher le nez, extrémité du pénis seulement introduite dans le vagin… tout est bon pour ne pas se confronter à l'odeur en question. Lors de chacune des menstruations de sa partenaire, l'homme Sambia doit aussi se faire saigner du nez afin d'éviter d'être "pollué" par le sang menstruel.
Une fois pubères, les femmes des villages papous vivent séparées des hommes. Elles les retrouvent au moment du mariage. Pour autant, quand leur époux se mue en un "homme pour de bon", alias guerrier à part entière, en devenant père pour la première fois, il doit s'abstenir de fréquenter son épouse pendant trois ou quatre ans, jusqu'au sevrage de l'enfant . Mais pourquoi les enfants mâles des tribus papous sont-ils élevés et initiés dans la peur des femmes ? Pour certains ethnologues, un lien est à y voir avec l'âge en général bien plus avancé des époux par rapport à leurs conjointes, qui leur ferait craindre des infidélités de celles-ci avec de vigoureux jeunes gens pour combler leurs besoins sexuels. D'où la stratégie de la peur.
Du point de vue occidental, les vahinés, ou femmes tahitiennes, sont des femmes libérées célébrant l'amour comme un culte, voire "se donnant sur le sable à n'importe quel étranger. Le tout sous le regard bienveillant de leur époux", décrypte le grand reporter du Point Frédéric Lewino. Sauf que ce malentendu prendrait tout simplement pour origine la première visite d'Occidentaux à Tahiti, relève le journaliste spécialisé. Le 2 avril 1768, l'officier de marine, navigateur et explorateur français Bougainville, qui effectuait alors le premier tour du monde officiel français sur trois ans, amarre la Boudeuse devant Tahiti, découverte l'année d'avant par un Anglais. "En s'offrant aux marins, les jeunes filles le firent moins par appétit sexuel que par obéissance aux chefs , qui prenaient les Blancs pour des envoyés des dieux".
Avant l'arrivée des Blancs, les Hawaïens vénéraient leurs organes génitaux, féminins comme masculins. Ils dansaient et chantaient pour ces fournisseurs de plaisir et de vie, allant jusqu'à remodeler lesdits organes dès la petite enfance. Selon le Dr Amy Marsh dans une étude sur les pratiques sexuelles dans l'ancienne Hawaï , les petites lèvres des fillettes étaient massées longuement à l'aide de lait maternel introduit à l'intérieur du vagin et de l'huile de coco appliquée sur la vulve, pour qu'elles deviennent "compactes et inséparables". Une étonnante pratique en rapport avec "l'hygiène" et le "renforcement du plaisir à venir".
Toujours dans le Hawaï ancien, au 18e siècle, le sexe des petits garçons était lui aussi redessiné d'une manière bien particulière. Vers l'âge de 6 ou 7 ans, ces derniers faisaient l'objet d'une "subincision" du pénis. Cette mutilation génitale consiste à fendre la verge en-dessous de sa partie inférieure. L'incision va de l'extrémité du gland à la moitié de l'organe. En amont de l'opération, les mères soufflent pendant plusieurs mois dans le prépuce de leur enfant pour faciliter son décollement le moment venu. Après la subincision, le plaisir de l'homme pendant l'acte sexuel est augmenté, puisque la partie désormais ouverte de l'urètre est fortement innervée. Le plaisir de la future partenaire sexuelle est également amélioré, avec un gland qui s'étale davantage sur le clitoris en s'ouvrant.
Une fois leurs organes remodelés, les petits Hawaïens suivaient, afin d'en tirer parti au mieux, des cours d'éducation sexuelle. Ces derniers étaient majoritairement dispensés par leurs grands-parents. A l'adolescence, si filles et garçons peuvent sortir ensemble, les jeunes filles devaient toutefois attendre leurs premières règles pour pouvoir faire l'amour. Leurs grands-mères leur donnaient de nombreux conseils, comme la technique de contraction du pelvis permettant de ressentir plus de plaisir , comment bouger les hanches, se masturber... Les aïeules allaient même jusqu'à rompre elles-mêmes les hymens de leurs petite-fille pour que leur première expérience sexuelle soit moins douloureuse ou traumatisante.
Dans l'ouest de l'océan Pacifique, dans les Iles Carolines, les hommes soulèvent en pleine nuit les jupes des filles assoupies pour les sélectionner à l'avance selon l'apparence de leurs grandes et petites lèvres. Ils se mettent en couple avec celle dont ils trouvent le sexe le plus beau. Dans l'archipel situé au nord-est de la Nouvelle Guinée, les partenaires ont ensuite une manière bien à eux de faire l'amour : l'homme frappe son pénis contre le clitoris de sa compagne jusqu'à ce que le couple atteigne un orgasme simultané.
Les reporters Anne-Julie Martin et Andrada Noaghiu ont réalisé un documentaire intitulé "Polyandrie et femmes polygames" après avoir passé du temps au Népal, chez les Nyinba, un peuple de culture tibétaine. Dans leur village de Bargaun perché à 3 000 mètres d'altitude dans l'Himalaya, près du Tibet, se pratique la polyandrie (une seule femme pour plusieurs hommes) également retrouvée en Chine ou en Inde : les Nyinba s'adonnent plus précisément à la "polyandrie" fraternelle, qui consiste à unir la même femme à plusieurs frères. C'est la forme de polyandrie la plus typique, rapporte France Culture. Attention, n'imaginez ni un "harem d'hommes", ni des femmes toutes-puissantes et indépendantes détenant l'autorité...
L'objectif de ces "unions multiples" entre femme et fratries est notamment économique : limiter la division du patrimoine , puisque "partager sa femme" permet de créer moins de familles, d'où moins de terre à partager entre les différentes familles et au bout du compte de plus grandes parcelles agricoles pour chaque foyer. Le partage du travail et des déplacements est un autre facteur, témoignent les auteures du webdoc auprès de Mediapart , "les frères peuvent s'éloigner pendant des mois : l'un partir en pâturage avec du bétail, l'autre en caravanage par exemple pour le commerce du sel entre le Tibet et l'Inde (...) ils contribuent tous à l'économie du foyer [et à un meilleur niveau de vie global]".
Et côté sexuel, comment fonctionne la polyandrie ? L'épouse partage ses faveurs entre ses différents maris, en fonction de qui est à la maison ou pas. Le frère aîné est le chef de famille, tous les enfants le considérant comme leur père, et les autres frères comme des "pères-frères". Les enfants issus des différents pères vivent tous ensemble et sont traités de manière égale. Aujourd'hui, ce modèle familial a tendance à disparaître, simultanément au caravanage, et à être remplacé par de la monogamie.
Dans les tribus localisées dans le Nord de la Nouvelle-Guinée, un catalogue contenant 70 programmes amoureux et sensuels se transmet oralement aux couples depuis la nuit des temps. Objectif de l'ouvrage oral érotique : pimenter l'intimité des amants. Avant tout passage à la pratique, les deux amoureux doivent se mettre d'accord sur le fameux programme et se l'approprier, au cours d'échanges pouvant durer plusieurs jours voire semaines. Plus tard, après avoir testé le programme, hommes et femmes peuvent s'octroyer des parenthèses d'infidélité en effectuant des pratiques différentes de celles du "catalogue", pourquoi pas avec plusieurs partenaires. Tout un programme !
Chez les Noubas, au Sud du Soudan, une danse rituelle est organisée chaque année par la tribu, lors de la laquelle des jeunes femmes désignent leur bien-aimé. Vêtues d'une ceinture tressée, elles se dirigent vers lui et posent leur jambe sur l'épaule de l'élu de leur coeur. Une manière de titiller l'odorat de ce dernier et de lui faire savoir leur intérêt. L'homme doit pour sa part s'abstenir de porter son regard sur la jeune femme. Les couples rassemblés à cette occasion se retrouvent ensuite pour faire l'amour, qu'ils soient mariés ou pas.
En Nouvelle-Guinée, dans la tribu des Mendis, c'est dans une ambiance toute particulière que les couples s'adonnent aux joies du sexe. Leur tête-à-tête se révèle en effet à la fois musical et végétal. Les deux partenaires se retrouvent à l'intérieur d'une case dont le sol a préalablement été recouvert de flocons de canne à sucre mâchée. Une fois installés sur le tapis végétal, les tourtereaux se frôlent délicatement en chantant . A mesure que le rythme des chants s'accélère, ils se rapprochent l'un de l'autre jusqu'à s'enlacer et plus si affinités.
National Geographic s'est récemment intéressé aux Moso, l'une des toutes dernières sociétés matriarcales. Ce peuple vit dans les montagnes d'Himalaya, près du lac Lugu et des provinces chinoises du Yunnan et du Sichuan. Depuis des générations, les femmes y constituent le coeur des foyers : elles transmettent à leurs enfants leur nom, leurs propriétés et leurs traditions. Les enfants Moso sont reliés exclusivement à leur mère, qui peut changer de partenaires autant de fois qu'elle le veut. Les hommes ne vivent ni avec elles ni avec leur progéniture : ils peuvent uniquement rendre visite aux femmes Moso la nuit, une tradition d'union libre encore valable aujourd'hui.

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