Blog De Larry Le Pervers

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Blog De Larry Le Pervers

Ce bolg n'est pas un bolg sur le cyclimse. Merci de votre compréhension.


C'était vraiment trÚs intéressant. ThÚme Simple. Images de thÚmes de enot-poloskun . Fourni par Blogger .

« Quelle autre échappatoire que le rire, sinon le suicide, poil aux rides ? » Pierre Desproges
L'auteur de ce blog se réserve le droit de supprimer sans la moindre pitié les commentaires insultants et/ou offensants, le spam, les trolls, les messages trop mal écrits ainsi que les adorateurs d'Alain Delon. Le second degré est -de toute évidence- accepté, mais pas autant que les cartes VISA.
Larry Laffer, toujours Ă  son avantage.
Ben, c'est toujours mieux que de faire le trajet Ă  la nage.
Ça, mĂȘme dans le contexte, ça reste incomprĂ©hensible.
Oui, Larry est à poil sur DEUX images d'affilée, qu'est-ce que vous dites de ça ?
Attention de ne pas dépasser la dose quotidienne maximale.
Qu'est-ce qu'il fout lĂ , celui-lĂ  ?
Tiens, je vais mĂȘme pas lĂ©gender celle-ci.

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2 novembre 2017
4
02
/ 11
/ novembre
/ 2017
08:49


Published by Pierre de Chocqueuse

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N ovembre. Deux mois avant les fĂȘtes, les piles de CD(s) atteignent des hauteurs vertigineuses chez les journalistes qui les reçoivent. Les Ă©couter tous est bien sĂ»r impossible. Pourquoi tant de musiciens inconnus qui peinent Ă  survivre s’obstinent-ils Ă  faire des disques qui peinent Ă  se vendre ?  
L e musicien les vend aux rares concerts qu’il parvient Ă  donner. Pour ce faire, il lui faut avoir enregistrĂ© un album qui est davantage distribuĂ© Ă  la presse que vendu dans les rares magasins qui existent. Car le systĂšme est pour le moins pervers : pas de disques, pas de concerts et rĂ©ciproquement. Fabriquer un disque n’est pourtant pas gratuit. Le studio, la maquette du livret ou de la pochette, le pressage, les taxes nĂ©cessitent un budget. Certains trouvent un distributeur ce qui restreint d’hypothĂ©tiques bĂ©nĂ©fices mais permet une meilleure visibilitĂ© de l’album. Pourtant, son disque noyĂ© au sein de milliers de rĂ©fĂ©rences, le musicien de jazz n’a guĂšre de chance de rĂ©cupĂ©rer sa mise, mĂȘme avec une presse dithyrambique. Avoir des Ă©lĂšves lui permet Ă  peu prĂšs de gagner sa vie, mais il est musicien et tient aussi Ă  jouer et Ă  faire connaĂźtre sa musique.
P our y parvenir, il peut essayer de la vendre dĂ©matĂ©rialisĂ©e sur le net aprĂšs l'avoir enregistrĂ©e mais dans ce cas comment la promouvoir et trouver des concerts ? Car s’il n'envoie pas son disque aux mĂ©dias, il n'aura pas d’articles pour lĂ©gitimer sa musique et la faire connaĂźtre. Quant Ă  l’amateur de jazz, qu’il soit ou non journaliste, il n’est pas prĂȘt d’accepter cette dĂ©matĂ©rialisation. Les bacs des disquaires se remplissent Ă  nouveau de vinyles, ce qui tĂ©moigne de son attachement Ă  un support qui n’est pas prĂȘt de disparaĂźtre. Alors, on s’organise, on tĂąche d’obtenir des aides financiĂšres auprĂšs des sociĂ©tĂ©s civiles (SACEM, SCPP, FCM, ADAMI, SPEDIDAM...). Il y a aussi le mĂ©cĂ©nat privĂ©, la Fondation BNP Paribas qui a beaucoup aidĂ© les jazzmen ces derniĂšres annĂ©es. On compte aussi sur ses amis, ses relations pour financer son disque. Le crowdfunding le permet. Financement participatif, il s’adresse Ă  tous et permet au musicien de limiter la casse. « Vous aimez ma musique, participez Ă  la hauteur de vos possibilitĂ©s et vous pourrez l’écouter chez vous ». Une forme moderne de troc qui rĂ©unit des gens autour d’un projet, des journalistes qui croient au musicien, des musiciens amis. Quant elle le peut, la famille donne un coup de main, l’artiste Ă©tablissant une relation directe avec ceux qui l’écoutent. DistribuĂ© par Pias, le label Jazz&People existe sur ce mode Ă©conomique. L’argent rĂ©coltĂ© sert Ă  payer le pressage, le graphiste, l’imprimeur et l’attachĂ© de presse. Reste Ă  vendre tous ces disques. Si vous avez une idĂ©e ?
-A prĂšs le Duc des Lombards en fĂ©vrier, c’est au Sunside qu’est attendu le 3 et le 4 novembre le trio rĂ©unissant Antonio FaraĂČ (piano), StĂ©phane Kerecki (contrebasse) et Daniel Humair (batterie). S’il harmonise avec finesse et sensibilitĂ© une musique souvent modale, le pianiste peut Ă  tout moment surprendre par des notes Ă©nergiques. Ralentir le rythme harmonique, c’est aussi laisser beaucoup d’espace aux musiciens. Sa section rythmique en bĂ©nĂ©ficie, la musique trĂšs ouverte leur laissant beaucoup d’initiative. Poser les bons tempos sur des harmonies raffinĂ©es n’exclut pas une prise de risque collective et des moments inattendus.
- Ambrose Akinmusire au New Morning le 6. La scĂšne est pour lui et ses musiciens – Sam Harris (piano), Harish Raghavan (contrebasse) et Justin Brown (batterie) – un laboratoire qui lui permet d’inventer en temps rĂ©el sa musique. PortĂ©s par une section rythmique adoptant des tempos fluctuants, ses thĂšmes gĂ©nĂšrent de longues improvisations souvent inventives, une musique labyrinthique et spontanĂ©e qui se dĂ©veloppe naturellement, s’organise collectivement au fur et Ă  mesure qu’elle se dĂ©roule. Les notes y coulent plus ou moins vite selon l’humeur du trompettiste qui occupe beaucoup l’espace sonore et joue des lignes mĂ©lodiques souvent inattendues.
-Dee Dee Bridgewater Ă  la Cigale le 7 et le 8. Coproduit par le saxophoniste Kirk Whalum et intitulĂ© “Memphis” (Okeh / Sony Music), son nouvel album relĂšve de la soul. Dee Dee en Ă©couta beaucoup dans cette ville du Tennessee. Une radio locale, WDIA y diffusait exclusivement de la musique afro-amĂ©ricaine et son pĂšre y travaillait comme D.J. sous le nom de Matt the Platter Cat . Sur scĂšne : Curtis Pulliam (trompette), Bryant Lockhart (saxophones), Frarindell "Dell" Smith (orgue, piano et direction musicale), Charlton Johnson (guitare), Barry Campbell (basse) et Carlos Sargeent (batterie). Shontelle Norman-Beatty et Monet Owns assurent avec Dee Dee les parties vocales.
- En trio avec Blake Meister (contrebasse) et Eric Kennedy (batterie), le pianiste Larry Willis revient jouer au Duc des Lombards le 13 et le 14. Sa prĂ©sence au sein du sextet de Carla Bley dans la seconde moitiĂ© des annĂ©es 80 le fit connaĂźtre Ă  un large public, mais Willis, nĂ© en 1940, commença bien plus tĂŽt sa carriĂšre. DĂšs l’ñge de dix-sept ans, il joue dans les clubs de New York avec Eddie Gomez et Al Foster . EngagĂ© par le saxophoniste Jackie McLean , il tient le piano dans “Right Now !” (Blue Note 1965), sa premiĂšre apparition sur un disque. Plus de 300 albums suivront. ApprĂ©ciĂ© pour ses voicings et ses combinaisons harmoniques, il peut tout jouer et a pratiquĂ© bien des genres tout en n’oubliant jamais le swing.
-Ahmad Jamal au Palais des CongrĂšs le 14 avec ses musiciens habituels, James Cammack Ă  la contrebasse, Manolo Badrena aux percussions et Herlin Riley Ă  la batterie. Ce n’est que rĂ©cemment que m’est parvenu son dern
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