Blaire Ivory Photos et Vidéos

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Prix du Jury Prix du Jury pour la Meilleure Mise en scène Étoile d’or – Grand Prix Prix d’Interprétation féminine Prix d’Interprétation masculine
JUBILÉ D’OR DU CINÉMA MAROCAIN ET LANCEMENT DU CINÉMA EN AUDIO-DESCRIPTION POUR MALVOYANTS.
La 8ème Edition du Festival de Marrakech a été marquée par l’hommage rendu au cinéma britannique, en présence d’une forte délégation de réalisateurs, comédiens et artistes venus de Grande Bretagne. L’année 2008 a également constitué une date symbolique puisqu’elle commémore le Jubilé d’or du cinéma marocain, une occasion de célébrer le 7ème Art national de manière significative.
Le Festival de Marrakech a donc fêté dignement les 50 ans du cinéma marocain lors de cette 8ème édition. Il a également rendu hommage à Mohamed Ousfour (décédé en 2005), un autodidacte, considéré comme le doyen des cinéastes marocains avec son film “Le Fils Maudit” réalisé en 1958.
Le Jury Long Métrage a été présidé par Barry Levinson, réalisateur, scénariste et producteur américain, et comme à l’accoutumée, plusieurs hommages ont eu lieu tout au long du Festival. Cette année, Marrakech a notamment célébré l’actrice américaine Sigourney Weaver et rendu un hommage posthume à Youssef Chahine.
Pour la première fois depuis sa création, le Festival de Marrakech a intégré le cinéma en audio-description dans sa programmation. Cette première expérience a été réalisée grâce à un partenariat avec la chaîne allemande Arte. A cette occasion, des projections de films internationaux audio décrits ont été organisés pour des cinéphiles non et malvoyants que le Festival a fait venir de tous les coins du Royaume.
PRÉSIDENT DE LA FONDATION DU FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM DE MARRAKECH
Pour cette huitième édition du Festival International du Film de Marrakech (FIFM), je voudrais insister sur le devoir que nous nous faisons à la Fondation du FIFM d’honorer la mémoire de ceux qui nous aident à construire l’avenir.
Et je voudrais dans ce sens et en laissant de côté l’extrême richesse de l’actuelle édition du FIFM, dire qu’il manquera cette année à la « scène » de Marrakech le regard chaleureux du grand comédien Hassan SQALLI , mais que l’imaginaire de Marrakech sera plein d’un grand cinéaste, Youssef Chahine, qui nous a quitté lui aussi cette année et à qui, par amitié autant que par devoir de mémoire, nous rendons hommage à travers la projection de sept de ses plus beaux films, afin que le Cinquantenaire du cinéma marocain l’intègre comme l’une de ses figures tutélaires.
Que vive donc ce 7ème Art qui nous permet chaque année à Marrakech de tâter le pouls de notre monde et de constater combien l’humanité d’aujourd’hui a besoin de construire et de regarder ensemble ses images et ses rêves.
Les amateurs de cinéma britannique du Festival International du Film de Marrakech ont eu la chance de visiter (ou de re-visiter) quelques unes des quarante dernières années de l’histoire de leur cinéma favori. Une chance à ne pas manquer !
Bien des choses ont changé au Royaume-Uni depuis la fin des années soixante jusqu’à nos jours : dans le domaine économique et social, dans le monde politique, dans le monde culturel, et bien sûr dans le monde du cinéma. Coincé entre une production et une distribution cinématographiques nord-américaines omniprésentes et un système de télévision (public et privé) très dynamique, le cinéma britannique connaît régulièrement des périodes d’euphorie et des périodes de dépression.
Ainsi, en 1982, on parla de “renaissance”. Lors de la remise des Oscar à Hollywood, Chariots of Fire, le film de Hugh Hudson produit par David Putnam reçoit quatre récompenses. Colin Welland, le scénariste, s’écrie : “The Brits are coming !” La suite semble lui donner raison : en 1983, nouveaux Oscars pour Gandhi de Richard Attenborough ; Palme d’Or à Cannes pour The Mission de Roland Joffé ; Oscar encore pour A Room with a View, d’après le roman d’E.M. Forster, réalisé par l’Américain James Ivory.
Le succès parait aussi parfois là où on ne l’attend pas. C’est le cas de My Beautiful Laundrette (1985 – scénario : Hanif Kureishi), “petit film de télé” (Channel 4) qui se révèle être un succès international et fait connaître au monde le talent du metteur en scène Stephen Frears et du comédien Daniel Day-Lewis. Bien plus tard Frears signera The Queen, chronique douce-amère des premières “années Blair”. Mais au début des années 90, il n’est déjà plus question de “renaissance”, et un journaliste ne craint pas d’écrire : “Qui se soucie de savoir s’il existe ou non un cinéma britannique ?” (A. Turner, The Guardian, 19-XII-91)
Dans la diversité des talents et des productions britanniques, il n’est pas impossible de distinguer des constances, des lignes de force. La plus universellement reconnue est sans doute celle de l’humour. “L’humour britannique” : formule commode, derrière laquelle se dissimule – souvent pour notre plus grand plaisir – tout un arc-en-ciel de possibilités. Exemple : A Fish Called Wanda exploite un schéma narratif directement issu des comédies Ealing des années 50, avec toutefois, un additif important, celui des Monty Python, dont l’humour “absurde et iconoclaste”, mis au point pour BBC Television au tournant des années 60/70, culmine avec The Meaning of Life.
Autre exemple : la comédie sentimentale “mid-Atlantic” des années 90, réunissant une star américaine et une vedette britannique, dans des films tels que Four Weddings and a Funeral, ou encore Notting Hill, où s’illustrent le sourire et les yeux bleus de Hugh Grant. L’humour britannique peut aussi s’exprimer dans le film d’animation. L’invention par le Studio Aardman de Wallace (bricoleur amateur de fromage) et de Gromit (chien tricoteur) marque une date. The Curse of the Were-Rabbit (Oscar 2005 du film d’animation) est un excellent pastiche de film “horreur/humour”, et même une aimable satire d’un ordre social traditionnel.
Autre spécialité britannique : ceux qu’on nomme les “excentriques”. Il s’agit souvent d’auteurs provenant de domaines artistiques parallèles, théâtre, arts plastiques, etc : c’est le cas d’un Derek Jarman, provocateur inlassable, notamment avec son pamphlet The Last of England. Avec The Draughtsman’s Contract, Peter Greenaway, venu du monde de la peinture et du documentaire, inaugure une série de films “intellectuels” sans équivalents : chez lui, recherche narrative, plastique et humour noir font bon ménage.
Autre spécialité britannique : les grands interprètes. Des comédiennes et des comédiens qui sont bien plus que des “stars”, capables de triompher aussi bien au théâtre qu’au cinéma… et même à la télévision ! Une poignée de noms prestigieux : Helen Mirren, Vanessa Redgrave, Emma Thomson, Kristin Scott-Thomas, Tilda Swinton, et aussi Alec Guinness, Michael Caine, Ben Kingsley, Anthony Hopkins, John Hurt, Jeremy Irons, Ian McKellen, Tim Roth, Terence Stamp ou Kenneth Branagh, pour ne citer que quelques noms…
C’est l’occasion de rappeler ici le savoir faire des studios britanniques quand il s’agit de films “en costumes”, le plus souvent inspirés de grandes oeuvres littéraires, romans ou pièces de théâtre. A ne pas manquer : l’évocation du jeune Shakespeare dans le joli film Shakespeare in Love.
Et puis il y a la tradition réaliste : réalisme social, réalisme historique, réalisme psychologique aussi, qui puisent leurs racines dans la grande tradition romanesque du XIXème siècle, de Dickens ou de Thackeray. Héritiers modernes de cette tradition : Mike Leigh, Kenneth Loach, deux grands noms du cinéma britannique d’aujourd’hui. Bill Douglas, avec Comrades, nous raconte un épisode d’injustice sociale passé sous silence par les livres d’histoire. Terence Davies évoque son enfance dans le Liverpool pauvre des années d’après guerre. Autre témoignage douloureux, celui de l’acteur Gary Oldman, passé ici à la réalisation.
On remarquera dans cette programmation une place importante réservée à l’Irlande (l’Ulster et la République) : histoires de guerre civile, de guerre sociale, de guerre d’indépendance. Histoires douloureuses, mais aussi, parfois, histoires très drôles…
Où va le cinéma britannique ? Difficile à dire. Je reprendrai volontiers à mon compte la formule – toujours d’actualité – de l’historien Charles Oakley dans son livre Where We Came In (1964) : “A bien des égards, le cinéma britannique ressemble au pissenlit : vous pouvez le piétiner, l’arracher, le décapiter, le torturer de mille manières, il repousse toujours…”
Philippe Pilard
Auteur et réalisateur de films, Philippe Pilard est aussi spécialiste du Cinéma Britannique. Il a écrit notamment : Le Nouveau Cinéma Britannique (Hatier, 1989), Histoire du Cinéma Britannique (Nathan, 1996) et Typiquement British (avec N.T.Binh & Coll. Centre Pompidou,2001).
1968 IF…de Lindsay Anderson – 1968 – 111 mn
GET CARTER (La Loi du Milieu) de Mike Hodges – 1970 – 112 mn
SUNDAY BLOODY Sunday (Un Dimanche comme les autres) de John Schlesinger) – 1971 – 110 mn
DON’T LOOK NOW (Ne vous retournez pas) de Nicolas Roeg – 1973 – 110 mn
TOMMY de Ken Russell – 1975 – 111 mn
THE DUELLISTS (Les Duellistes) de Ridley Scott – 1977 – 100 mn
SCUM de Alain Clarke – 1979 – 98 mn
EXCALIBUR de John Boorman – 1980 – 98 mn
THE FRENCH LIEUTENANT’S WOMAN (La Maîtresse du lieutenant français) de Karel Reisz – 1981 – 124 mn
CHARIOTS OF FIRE (Les Chariots de Feu) de Hugh Hudson – 1982 – 123 mn
THE DRAUGHTSMAN’S CONTRACT (Meurtre dans un jardin anglais) de Peter Greenaway – 1982 – 103 mn
GANDHI de Richard Attenborough – 1983 – 188 mn
THE MEANING OF LIFE (Monthy Python, Le sens de la vie) de Terry Jones & Terry Gilliam – 1983 – 107 mn)
A PASSAGE TO INDIA (La Route des Indes) de David Lean – 1984 – 163 mn
THE HIT de Stephen Frears – 1984 – 93 mn
COMRADES de Bill Douglas – 1986 – 180 mn
THE MISSION (Mission) de Roland Joffé – 1986 – 126 mn
THE LAST OF ENGLAND de Derek Jarman – 1987 – 87 mn
DISTANT VOICES, STILL LIVES (Distant Voices) de Terence Davies – 1988 – 85 mn
A FISH CALLED WANDA (Un Poisson nommé Wanda) de Charles Crichton –1989 – 108 mn
MY LEFT FOOD de Jim Sheridan – 1990 – 103 mn
THE COMMITMENTS de Alain Parker – 1991 – 118 mn
HOWARDS END (Retour à Howards End) de James Ivory – 1992 – 140 mn
MUCH ADO ABOUT NOTHING (Beaucoup de bruit pour rien) de Kenneth Branagh – 1993 – 111 mn
FOUR WEDDINGS AND A FUNERA (Quatre mariages et un enterrement) de Mike Newell – 1994 – 117 mn
SHALLOW GRAVE (Petits meurtres entre amis) de Danny Boyle – 1994 – 93 mn
THE MADNESS OF KING GEORGE (La folie du Roi George) de Nicholas Hytner – 1994 – 107 mn
SECRETS AND LIES (Secrets et Mensonges) de Mike Leigh – 1996 – 142 mn
FACE de Antonia Bird – 1997 – 101 mn
NIL BY MOUTH (Ne pas avaler) de Gary Oldman – 1997 – 128 mn
THE FULL MONTY (Le Grand Jeu) de Peter Cattaneo – 1997 – 91 mn
SHAKESPEARE IN LOVE de John Madden – 1998 – 123 mn
AN IDEAL HUSBAND (Un mari idéal) de Oliver Parker – 1999 – 97 mn
NOTTING HILL (Coup de foudre à Notting Hill) de Roger Michell – 1999 – 124 mn
TIMECODE (Time Code) de Mike Figgis – 2000 – 97 mn
BEND IT LIKE BECKHAM (Joue-la comme Beckham) de Gurinder Chadha –2002 – 112 mn
BLOODY SUNDAY de Paul Greengrass – 2002 – 107 mn
THE MAGDALENE SISTERS de Peter Mullan – 2002 – 119 mn
LOVE ACTUALLY de Richard Curtis – 2003 – 135 mn
HOTEL RWANDA de Terry George – 2004 – 122 mn
HARRY POTTER AND THE GOBLET OF FIRE (Harry Potter et la coupe de feu) de Mike Newell – 2005 – 157 mn
WALLACE AND GROMIT THE CURSE OF THE WERE-RABBIT (Wallace et Gromit – Le mystère du lapin-garou) de Steve Box & Nick Park – 2005 – 85 mn
THE QUEEN de Stephen Frears – 2006 – 97 mn
THE ROAD TO GUANTANAMO de Michael Winterbottom & Mat Whitecros – 2006 – 95 mn
THE WIND THAT SHAKES THE BARLEY (Le vent se lève) de Ken Loach – 2006 – 127 mn
En 1958, Mohamed Ousfour, un autodidacte, rompu aux différents métiers de cinéma grâce à ses nombreuses collaborations dans des productions internationales tournées au Maroc, réalisait son rêve : montrer au public marocain des salles populaires de Casablanca, son premier long métrage « Le Fils Maudit ». Une expérience personnelle menée après quelques courts métrages qui parodiaient les grands genres cinématographiques.
Une initiative qui a été fêtée cette année comme le point de départ de la filmographie marocaine parvenue à ses cinquante ans (1958 – 2008), même si, à proprement parler, on peut faire la distinction entre l’histoire du cinéma marocain et l’histoire du cinéma au Maroc : le pays a en effet connu très tôt l’expérience des tournages internationaux et la présence du spectacle cinématographique.
La cinématographie marocaine a fêté en 2008 son jubilé d’or dans un contexte particulier, marqué par une grande dynamique qui caractérise l’ensemble de la profession cinématographique. Conséquence d’un long parcours de tâtonnements, de recherches, de traversées de désert et fruit d’une maturation qui lui ont permis de se doter d’outils et de stratégies au service d’une production cinématographique nationale de plus en plus visible, progressant à rythme régulier, reconnue et appréciée à travers le monde.
Considéré comme le père du cinéma marocain, Mohamed Ousfour naquit en en 1927 dans la ville côtière de Safi, 200 km à l’ouest de Marrakech. Il découvre ses premiers films à Casablanca au cinéma le Mondial, l’une des plus célèbres salles de la ville. En 1941, il acheta une caméra 9 mm et se mit à tourner des courts métrages inspirés de films d’aventure comme « Tarzan ». Ces films courts sont projetés ensuite dans un café du quartier populaire Derb Ghallef de Casablanca. Mohamed Ousfour a également tourné des films sur la célébration des fêtes nationales et familiales. Il travailla aussi sur plusieurs productions internationales tournées au Maroc où il a fait preuve de véritables prouesses dans la confection quasi artisanale d’accessoires de trucages et d’effets spéciaux. En 1958, il a réalisé « Le Fils Maudit », première fiction cinématographique tournée par un Marocain. Mohamed Ousfour s’est éteint le 17 décembre 2005 à Casablanca.
© 2022 Festival International du Film de Marrakech.




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