Black salope et son amant du soir

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Black salope et son amant du soir
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3 femmes disent pourquoi elles ont franchi le pas de l'infidélité
Sexe dans une smart, cierge au SacrĂ©-CƓur ou chambre uniquement tapissĂ©e de miroirs en Argentine: neuf femmes nous livrent leur session cul la plus Ă©trange.
SEXUALITÉ - Les coups d’un soir, c’est un peu la loterie. Parfois on tombe sur une perle, d’autres sur un·e partenaire qu’on aimerait bien oublier Ă  jamais. Et puis il y a aussi toutes ces anecdotes dont on se souvient en souriant, tant le contexte nous Ă©tonne encore. Le genre de plans qu’on se raconte aprĂšs deux verres pour faire marrer l’assemblĂ©e.
On a demandé à neuf jeunes femmes de nous confier leurs histoires éphémÚres les plus insolites, et le cru est juteux. Une chose est sûre, on ne pensera plus jamais au Quatorze Juillet comme avant.
“C’était en premiĂšre annĂ©e d’étude, via Tinder ou une plateforme du genre. Je parlais pas mal avec un mec et on a dĂ©cidĂ© d’aller boire un verre. En arrivant, dĂ©jĂ , il ne me plaisait pas du tout physiquement! Je me suis mĂȘme demandĂ© si je n’allais pas faire demi-tour. Et puis finalement je me suis dit ‘allez, vas-y!’.
Pendant tout le rendez-vous, j’étais persuadĂ©e que ça ne le ferait pas du tout. Mais au moment de partir, je ne sais pas... Il a un peu insistĂ© pour qu’on poursuive la soirĂ©e et moi comme ça faisait longtemps que je n’avais pas couchĂ© avec quelqu’un, j’étais partante. Je savais que je ne le reverrai pas alors pourquoi ne pas en profiter!
Sauf qu’en fait, il habitait loin, et moi je devais commencer les cours tĂŽt le lendemain. Du coup, on l’a fait dans sa Smart, la voiture. C’était complĂštement improbable. On a essayĂ© de trouver une rue pas trop passante dans Paris et on a fait notre affaire. Ensuite, je suis rentrĂ©e en RER. Mes collants Ă©taient trouĂ©s : une vraie Walk of Shame. On ne s’est plus jamais parlĂ© aprĂšs: emballĂ©, c’est pesĂ©!”
“C’était Ă  une soirĂ©e de boulot, oĂč on buvait beaucoup. C’était sympa, on rigolait bien. Et comme toutes les soirĂ©es de boulot, part une premiĂšre personne, puis une deuxiĂšme personne... Restent toujours ceux qui sont cĂ©libataires et qui aiment picoler. Donc je me suis retrouvĂ©e seule avec - on va l’appeler ‘Monsieur X’ - Ă  boire des coups. Quand, patatras!, il m’a embrassĂ©e. Pendant la soirĂ©e, j’avais dĂ» dire que je n’étais jamais allĂ©e Ă  la basilique de Montmartre, et que j’aimerais beaucoup la visiter.
Bonne pioche, lui avait Ă©tĂ© y faire du bĂ©nĂ©volat et adorait cet endroit. Nous nous y sommes rendus en moto (pas bien, je sais). Il devait ĂȘtre sept heures du matin. Je crois mĂȘme qu’on a posĂ© un cierge et fait un signe de croix. Et puis on est allĂ©s prendre un cafĂ© et on est rentrĂ©s chez moi. Absurde”.
“J’étais en voyage post-Ă©tudes Ă  Buenos Aires avec ma meilleure amie. Dans l’avion, on s’était promis de ne jamais se sĂ©parer ni de rentrer avec des inconnus. Le premier soir, on s’est sĂ©parĂ©es et on est rentrĂ©es chacune avec un inconnu. Le sien Ă©tait un JamaĂŻcain en vacances dans la mĂȘme auberge que nous, le mien l’un des employĂ©s de ladite auberge.
Le deuxiĂšme soir, je suis sortie en boĂźte avec lui, et au moment de rentrer dans son appartement, il me dit que c’est impossible car sa sƓur et son neveu y dorment, mais qu’on peut aller Ă  l’hĂŽtel. Pleine de confiance, je le suis. On arrive dans un hall Ă©clairĂ© au nĂ©on rose avec capotes sur le comptoir. Il demande une chambre pour deux heures: ça annonce la couleur.
On y entre et Ă  la place du papier peint, sur les murs, il n’y avait que des miroirs. Partout, mĂȘme au plafond. On a fait l’amour en levrette et je l’ai vu se mater sur la porte (aussi miroir) de la salle de bain. Je me suis endormie une demi-heure, et quand je me suis rĂ©veillĂ©e, il Ă©tait en train de renifler ma culotte. Je crois qu’on n’a pas recouchĂ© ensemble aprĂšs ça.”
“C’était une soirĂ©e sur la plage, lorsque je voyageais Ă  Mancora, au PĂ©rou. J’avais bu du Pisco dans une noix de coco. J’étais saoule, forcĂ©ment. Avec mes copines on avait rencontrĂ© une bande de surfeurs du coin, dont un, qui s’appelait Luis, il me semble. On a sympathisĂ©, et on a fini par coucher ensemble sur la plage. On est allĂ©s se baigner Ă  poil aprĂšs, mais rien de trĂšs romantique: je devais rester au sec au-dessus de la taille Ă  cause d’un eczĂ©ma attrapĂ© sur place.
Bref, je suis rentrĂ©e complĂštement saoule Ă  l’auberge de jeunesse oĂč je logeais, j’ai dormi en me disant que je n’en entendrai plus parler. Sauf que le lendemain, il a dĂ©barquĂ© au petit-dĂ©j’ en venant me chercher pour le cours de surf que j’avais apparemment acceptĂ© qu’il me donne la veille. Il m’a appelĂ©e ‘bĂ©bé’ devant tout le monde et j’ai cru mourir de honte”.
“J’avais rencontrĂ© ce mec Ă  une soirĂ©e d’échange linguistique et culturel - le genre d’évĂ©nement oĂč tu vas pour choper. Je le vois, il est brun, tĂ©nĂ©breux, il a la mĂšche, les tatouages. Il est beau, on a l’impression qu’il sort d’une scĂšne de film. Je le croise en partant alors que j’allais au vestiaire, on commence Ă  se parler, Ă  flirter. On s’écrit pendant plusieurs jours... Et je me rends compte que je ne sais pas quel Ăąge il a. J’avais 33 ans Ă  l’époque, il finit par me dire qu’il en a 23. Je me dis que c’est une trop grande diffĂ©rence d’ñge, je suis prĂȘte Ă  tout arrĂȘter; c’est un bĂ©bĂ©. Mais il me lance ‘tu vas voir Ă  quel point je ne suis pas un bĂ©bé’. J’ai des frissons d’excitation de partout, alors je lui laisse une chance.
On finit par se voir et par prendre un verre. Il me fait bien comprendre qu’il est fauchĂ©, donc je paye toutes les boissons. On boit, il est hyper tactile. Moi je n’en peux plus, j’ai envie de lui et qu’on aille chez moi. Je lui propose, comme il n’a plus de sous, qu’on poursuive la soirĂ©e dans mon appartement car j’ai de quoi boire Ă  la maison. On y va.
C’était trĂšs caliente. Il sentait bon, il avait mis du parfum, une chemise blanche : j’étais hyper motivĂ©e. On s’embrasse, et lĂ  je me dis: mauvais signe. Il m’embrasse... comment expliquer : comme une poule qui picore du maĂŻs. C’était atroce, je n’ai jamais eu pire baiser de ma vie. On dirait qu’il allait me pĂ©ter les dents, c’était juste pas possible.
On se retrouve dans mon lit, Ă  poil, et lĂ  je dĂ©couvre qu’il s’est rasĂ© de partout. Ça piquait sur le torse. Je commence Ă  l’embrasser un peu partout et Ă  lui tailler une pipe. Et lĂ , l’horreur: ça sent pas bon, une odeur de toilettes. J’essaie vraiment de l’occulter, mais je n’arrive pas Ă  me mettre dedans. Pour couronner le tout, il n’avait pas de prĂ©servatif, et le sexe Ă©tait nul. Il ne pensait pas du tout Ă  mon plaisir. Il a commencĂ© Ă  grogner, ça a durĂ© cinq minutes et c’était fini. C’était vraiment zĂ©ro.
ForcĂ©ment, j’avais envie qu’il parte, mais il voulait rester dormir, alors j’ai un peu cĂ©dĂ©. Grave erreur: il a pĂ©tĂ© toute la nuit j’ai mis 24 heures Ă  me dĂ©barrasser de l’odeur. Et en plus de ça, il n’a pas dĂ©campĂ© avant que je le dirige vers la porte Ă  13 heures le lendemain. Je ne l’ai Ă©videmment jamais revu, malgrĂ© ses relances”.
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Stephan Dötsch / EyeEm via Getty Images
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Cela m’a littĂ©ralement laminĂ©, dĂ©chiquetĂ© vivant.
COUPLE - J’ai Ă©tĂ© mariĂ© jeune et pĂšre tout aussi jeune. Je cumulais les deux Ă  23 ans. Ce n’était pas une pĂ©riode facile pour notre couple, ma femme m’avait trompĂ© peu avant de nous marier, j’avais dĂ©cidĂ© de passer par-dessus et je croyais pouvoir sauver notre couple. Je m’illusionnais et me voyais en super-hĂ©ros. J’ai d’ailleurs acceptĂ© d’avoir un enfant en sachant que cela allait aggraver les problĂšmes tout en espĂ©rant que cela les rĂšglerait.
Au bout d’un moment, je me suis aperçu que ma femme me trompait. Des mensonges, des incohĂ©rences, des amis qui me disaient qu’elle leur avait fait des avances. Les signes Ă©taient clairs mais j’étais toujours persuadĂ© que j’allais sauver notre couple, qu’elle cherchait Ă  l’extĂ©rieur du couple une solution Ă  un problĂšme interne.
Jusqu’au jour oĂč j’ai craquĂ©. J’avais largement dĂ©passĂ© mes limites de ce que je pouvais supporter et j’ai craquĂ©. Ce jour-lĂ , j’ai failli frapper mon jeune fils parce qu’il ne rangeait pas sa chambre. Pourtant, je ne suis pas violent.
J’ai dĂ©cidĂ© de divorcer et je suis parti squatter chez ma mĂšre, les finances valant l’état du couple. Un soir oĂč j’avais vu mon meilleur ami, je le vois partir et prendre une direction trĂšs diffĂ©rente de celle de chez lui. Par contre, elle allait tout droit chez ma femme. Je l’ai suivi. Oui, oui, comme dans les films. Et le rĂ©sultat fut aussi comme dans les films. C’est lĂ  que j’ai appris que leur liaison durait depuis des annĂ©es.
Cela m’a littĂ©ralement laminĂ©, dĂ©chiquetĂ© vivant. J’ai mis trois ans pour arriver Ă  refaire confiance Ă  une femme, me reconstruire.
Bien des annĂ©es aprĂšs, je sortais avec une femme qui m’avait dit ĂȘtre poly-amoureuse mais pas en relation avec d’autres. Premier contact avec ce terme.
Mais bon, vu qu’elle ne couchait qu’avec moi, quelle importance ? C’était juste des mots.
Et voilĂ  qu’un jour, elle m’annonce qu’elle veut terminer une histoire et va passer le week-end dans un camp naturiste avec un homme. Oups. Passablement de peurs sont montĂ©es, celle d’ĂȘtre abandonnĂ©, celle qu’il est mieux que moi et je vous passe toutes les variantes. J’ai cherchĂ© Ă  me calmer, Ă  accepter, Ă  me gĂ©rer. Mais ce foutu week-end a fini par arriver.
Étonnamment, ce ne fut pas si terrible. DĂ©sagrĂ©able, mais tout Ă  fait vivable. Elle m’a d’ailleurs proposĂ© de les rejoindre le dimanche, ce que j’ai fait, et j’ai passĂ© une excellente journĂ©e.
Cela m’a beaucoup interrogĂ©. Pourquoi n’avais-je pas revĂ©cu l’enfer ?
J’y ai rĂ©flĂ©chi. Pour ĂȘtre honnĂȘte, durant des annĂ©es. J’ai fini par comprendre que c’est le mensonge, les manipulations, qui m’avaient affectĂ©s, qui avaient sali ce que nous avions partagĂ©, ma femme, mon meilleur ami, et moi. Ce n’était pas le fait qu’elle couche avec un autre.
NĂ©anmoins, simultanĂ©ment, je trouvais insupportable l’idĂ©e d’avoir la femme que j’aime couchant avec un autre. Comment concilier cela avec le refus d’imposer quelque chose Ă  l’autre ? C’est pour moi une prise de pouvoir Ă  laquelle je me refuse. Et c’était tout autant inimaginable que cela se passe.
Finalement, j’ai entamĂ© un travail sur moi-mĂȘme avec l’aide d’une psychologue afin de renforcer ma confiance en moi et pris conscience de l’importance de l’honnĂȘtetĂ© dans une relation. Oser dire les choses, parler de ses besoins et de ses dĂ©sirs plutĂŽt que d’essayer de les nier et finir par y cĂ©der en dĂ©truisant ce Ă  quoi on tient. J’ai 53 ans maintenant et je suis enfin en accord avec moi-mĂȘme.
Le nom d’utilisateur de l’auteur de ce tĂ©moignage a Ă©tĂ© modifiĂ©.
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Publié le 20/12/17 à 14h34
— Mis à jour le 20/12/17 à 14h40

Un couple filmé pendant un acte sexuel dans une boßte de nuit à Lille. La vidéo a fait le tour des réseaux sociaux. Le patron de la boßte a informé le procureur de la République.


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Lille La vidĂ©o d’une fellation dans une boĂźte de nuit lilloise suscite un tollĂ©

FAITS DIVERS Le film, diffusé sur les réseaux sociaux, d'un couple en plein ébats sexuels au Network suscite de nombreuses réactions...
Il y a des endroits pour faire ça. Dimanche soir, une jeune femme a Ă©tĂ© filmĂ©e alors qu’elle pratiquait une fellation au beau milieu d’une boĂźte de nuit lilloise, le Network, dans le quartier Massena .
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La vidĂ©o en question circule depuis dimanche, notamment sur Twitter, oĂč l’on peut encore la retrouver sans trop de mal. A la base, le film avait Ă©tĂ© tournĂ© sur Snapchat , un rĂ©seau social sur lequel les posts disparaissent au bout de 24h.
Les publications sont normalement privĂ©es, sauf lorsqu’elles sont placĂ©es dans une « story » ouverte. Auquel cas, n’importe quel utilisateur de l’application peut les visionner en passant par l’écran de gĂ©olocalisation de Snapchat. C’est vraisemblablement ce qui s’est passĂ© pour la vidĂ©o qui nous intĂ©resse.
Fail ou volontĂ© de diffuser la vidĂ©o. MystĂšre. Quoi qu’il en soit, des dizaines de milliers de personnes ont ainsi pu voir un couple en plein Ă©bat. Pas de doute sur le fait que les deux personnes Ă©taient consentantes. Le problĂšme est ailleurs pour les nombreux internautes qui ont rĂ©agi, parfois mĂȘme violemment Ă  cette exhibition sexuelle .
Le Network de Lille la c’est vraiment sombre
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Face Ă  la polĂ©mique, l’établissement lillois a rĂ©agi sa page Facebook : « La direction du Network condamne fermement ce type d’agissements, qui ne correspondent nullement aux valeurs de l’établissement, et n’entend pas laisser dire ou croire qu’elle aurait la moindre tolĂ©rance Ă  cet Ă©gard », prĂ©cisant que le procureur de la RĂ©publique de Lille avait Ă©tĂ© avisĂ© de ces faits. Ces faits relĂšvent de l'exhibition sexuelle , un dĂ©lit puni d’un an d’emprisonnement et de 15.000 euros d’amende.

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