Bite noire pour la masseusse asiatique

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Bite noire pour la masseusse asiatique

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Publié le 30/07/2015 à 19h00


& mis à jour le

14/03/2017 à 13h15




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Les salons de massage proposant des prestations sexuelles envahissent ...
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>> En vidéo - Italie: le piège de la prostitution pour les femmes migrantes
Une devanture opaque dans une rue déserte du XIVe arrondissement ; un serpentin de néon rouge formant le mot « massage » ; un petit Bouddha et un Maneki-Neko, le chat porte-bonheur, qui agite le bras. Nous poussons la porte et une femme d'une quarantaine d'années nous accueille. Sur un petit canapé, deux autres employées, plutôt dans la trentaine, ont le nez plongé dans leur smartphone. Elles lèvent la tête, font un sourire discret et rajustent leurs tenues. Talons aiguilles, robe légère, elles ne ressemblent pas tout à fait à des kinés diplômées. Avec un fort accent asiatique, la patronne détaille le menu du salon : massage chinois, indien, thaïlandais, californien, body, body-body, à deux ou à quatre mains, la carte est aussi longue qu'au gourmet d'Asie.
Notre choix se porte justement sur un massage d'une heure, à 60 euros. La maîtresse de maison nous présente ensuite Tina et Joy Va pour Joy, qui nous conduit au sous-sol. La jeune femme nous désigne une pièce où est installée une douche à l'hygiène douteuse. Au mur, une petite affiche préventive : « La maison ne fait pas prestation sexuel » (sic). On entre ensuite dans la pièce voisine où la masseuse s'est elle aussi changée. Elle porte maintenant une nuisette qui ne cache plus rien de ses dessous. Le massage débute sur le futon posé au sol, au son de l'« erhu », un instrument traditionnel chinois. « Moi pas parler français, vous détendre bien », nous répond notre hôtesse pour désamorcer un début de conversation. Au bout de 45 minutes de massage, la jeune fille lance tout de go: « Voulez finition ? » Devant notre refus, elle insiste : « Pas cher, 20 euros et très bon. » Refus réitéré. Mine renfrognée de notre tentatrice. On en restera là.
La « finition en question », aussi qualifiée de « happy end », désigne, on l'aura compris, une masturbation. Car, sous couvert de détendre le cadre stressé ou l'artisan courbatu, nombre des salons chinois (au moins la moitié selon la police) qui ont fleuri dans les grandes villes de France offrent bel et bien des prestations sexuelles. A Paris, on dénombre, selon notre enquête, 575 de ces établissements aux devantures opaques et aux activités pas très claires, trois fois plus qu'il y a dix ans.
Carte : les salons chinois de la capitale (estimation Capital avec la CCI de Paris)

Même phénomène à Lyon, Bordeaux ou Marseille depuis 2010. Un business très rentable, dont les gérants, difficiles à identifier, exploitent souvent plusieurs adresses. Un salon avec deux masseuses, ouvert 7 jours sur 7, de 11 à 21 heures, peut atteindre 25.000 euros de chiffre d'affaires par mois et un bénéfice net de 10.000 euros.
Il faut dire que les prestations grimpent vite. Quand on opte pour un body-body, où la praticienne nue masse son client avec son corps, il faut compter entre 120 et 180 euros pour une heure. Avec le « body-body 4 mains VIP » - deux jeunes femmes nues qui vous inviteront à les rejoindre dans un Jacuzzi - la facture grimpe à 400 euros. Un tarif pour membre du comité central. « Difficile de croire qu'un client est prêt à payer une somme pareille sans avoir de rapport sexuel », admet Luc Poignant, du syndicat Unité SGP Police.
Que fait la police justement ? Elle s'active mollement dans la mesure où ce commerce se développe en toute discrétion : pas de tapage nocturne, pas de racolage, pas de vol ou de plainte. « Nous avons du mal à lutter contre ce fléau, admet un policier de terrain. Il y a quelques années, nous avons pu fermer de nombreux bars de prostituées car, dans un bar, il y a une législation plus sévère et surtout des nuisances. » En l'espèce, il est très compliqué de réaliser un flagrant délit. D'autant que le massage nu proposé à la carte ou sur Internet n'est, en soi, pas interdit. Au final, moins de trente salons sont fermés chaque année, et pour des motifs administratifs : travail dissimulé, faux papiers, etc.
Le droit des étrangers est d'ailleurs l'un des angles d'attaque. La plupart des filles, payées une misère, viennent de la région de Chengdu, une zone très pauvre du centre de la Chine. « Elles sont recrutées sur place ou via Internet par des réseaux mafieux, et très souvent leur passeport est confisqué dès leur arrivée », explique Luc Poignant. Confirmation d'un habitué : « Un massage de base à 60 euros ne les intéresse pas. Elles gagnent plus si vous acceptez de payer un petit supplément. »
Pour lutter contre l'explosion de cette forme d'esclavage sexuel, des élus locaux tentent de réagir. Delphine Bürkli, la maire Les Républicains du IXe arrondissement, souhaite ainsi mettre en place un label avec une charte très stricte pour faire le distinguo entre les vrais professionnels du massage et ceux qui se livrent à la prostitution. Les lieux qui exercent dans les règles de l'art ne proposent la plupart du temps que des massages thaïlandais ou indiens et n'ont pas à leur carte les fameux body-body. Ils n'offrent que les charmes de l'Asie, juste pour le plaisir des sens et de la décontraction. Mais sans happy end...

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Notre choix se porte justement sur un massage d'une heure, à 60 euros. La maîtresse de maison nous présente ensuite Tina et Joy Va pour Joy, qui nous conduit au sous-sol. La jeune femme nous désigne une pièce où est installée une douche à l'hygiène douteuse. Au mur, une petite affiche préventive : « La maison ne fait pas prestation sexuel » (sic). On entre ensuite dans la pièce voisine où la masseuse s'est elle aussi changée. Elle porte maintenant une nuisette qui ne cache plus rien de ses dessous. Le massage débute sur le futon posé au sol, au son de l'« erhu », un instrument traditionnel chinois. « Moi pas parler français, vous détendre bien », nous répond notre hôtesse pour désamorcer un début de conversation. Au bout de 45 minutes de massage, la jeune fille lance tout de go: « Voulez finition ? » Devant notre refus, elle insiste : « Pas cher, 20 euros et très bon. » Refus réitéré. Mine renfrognée de notre tentatrice. On en restera là.
La « finition en question », aussi qualifiée de « happy end », désigne, on l'aura compris, une masturbation. Car, sous couvert de détendre le cadre stressé ou l'artisan courbatu, nombre des salons chinois (au moins la moitié selon la police) qui ont fleuri dans les grandes villes de France offrent bel et bien des prestations sexuelles. A Paris, on dénombre, selon notre enquête, 575 de ces établissements aux devantures opaques et aux activités pas très claires, trois fois plus qu'il y a dix ans.
Carte : les salons chinois de la capitale (estimation Capital avec la CCI de Paris)

Même phénomène à Lyon, Bordeaux ou Marseille depuis 2010. Un business très rentable, dont les gérants, difficiles à identifier, exploitent souvent plusieurs adresses. Un salon avec deux masseuses, ouvert 7 jours sur 7, de 11 à 21 heures, peut atteindre 25.000 euros de chiffre d'affaires par mois et un bénéfice net de 10.000 euros.
Il faut dire que les prestations grimpent vite. Quand on opte pour un body-body, où la praticienne nue masse son client avec son corps, il faut compter entre 120 et 180 euros pour une heure. Avec le « body-body 4 mains VIP » - deux jeunes femmes nues qui vous inviteront à les rejoindre dans un Jacuzzi - la facture grimpe à 400 euros. Un tarif pour membre du comité central. « Difficile de croire qu'un client est prêt à payer une somme pareille sans avoir de rapport sexuel », admet Luc Poignant, du syndicat Unité SGP Police.
Que fait la police justement ? Elle s'active mollement dans la mesure où ce commerce se développe en toute discrétion : pas de tapage nocturne, pas de racolage, pas de vol ou de plainte. « Nous avons du mal à lutter contre ce fléau, admet un policier de terrain. Il y a quelques années, nous avons pu fermer de nombreux bars de prostituées car, dans un bar, il y a une législation plus sévère et surtout des nuisances. » En l'espèce, il est très compliqué de réaliser un flagrant délit. D'autant que le massage nu proposé à la carte ou sur Internet n'est, en soi, pas interdit. Au final, moins de trente salons sont fermés chaque année, et pour des motifs administratifs : travail dissimulé, faux papiers, etc.
Le droit des étrangers est d'ailleurs l'un des angles d'attaque. La plupart des filles, payées une misère, viennent de la région de Chengdu, une zone très pauvre du centre de la Chine. « Elles sont recrutées sur place ou via Internet par des réseaux mafieux, et très souvent leur passeport est confisqué dès leur arrivée », explique Luc Poignant. Confirmation d'un habitué : « Un massage de base à 60 euros ne les intéresse pas. Elles gagnent plus si vous acceptez de payer un petit supplément. »
Pour lutter contre l'explosion de cette forme d'esclavage sexuel, des élus locaux tentent de réagir. Delphine Bürkli, la maire Les Républicains du IXe arrondissement, souhaite ainsi mettre en place un label avec une charte très stricte pour faire le distinguo entre les vrais professionnels du massage et ceux qui se livrent à la prostitution. Les lieux qui exercent dans les règles de l'art ne proposent la plupart du temps que des massages thaïlandais ou indiens et n'ont pas à leur carte les fameux body-body. Ils n'offrent que les charmes de l'Asie, juste pour le plaisir des sens et de la décontraction. Mais sans happy end...

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vendredi août 12, 2022


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Reportage: Les autorités à prendre leurs responsabilités et informer l’opinion sur ce drame qui se joue dans la capitale sénégalaise, un journaliste de Actusen.com a réussi à infiltrer l’univers des salons de massage où il s’est fait passer pour un client. Sur les lieux, l’intrus a eu droit à plusieurs choix : massage simple à 15 000 F Cfa, massage « body-body » à 20 000 F Cfa, massage à l’Américaine (30 000 francs), avec à la clé des rapports sexuels.
Reportage au cœur du business et de la mafia du sexe générant des revenus colossaux qui échappent au fisc. Interdit aux moins de 18 ans !
C’est connu de tous ! Le travail du sexe est le plus vieux métier du monde. De Bombay à Kinshasa, en passant par Rio de Janeiro, la Rue Princesse à Abidjan et Dakar…, certaines femmes ont toujours troqué leur plastique de rêve contre des espèces sonnantes et trébuchantes. Loin du racolage dans les milieux torrides et interlopes des capitales du monde pour les plus osées, c’est désormais une prostitution de type nouveau qui fait fureur à Dakar : les salons de massage ouverts 7jours/7 et 15H/24 dans les coins et recoins de la capitale.
Sur les réseaux sociaux, leurs adresses, noms et numéros de téléphones portables ou fixes, défilent comme par enchantement, avec le silence coupable des autorités étatiques. Ce vendredi (saint), après la prière dite « Diouma », Actusen.com, décidé à percer le mystère, dépêche Gaston Mansaly, un de ses reporters qui, sous le couvert de l’anonymat, s’engouffre dans un taxi, pour aller se faire masser. Direction, le quartier de Yoff où il a pris rendez-vous dans un salon de massage. Ce, non pas pour gronder de plaisir, comme le cherchent la plupart des clients qui débarquent sur les lieux, mais plutôt pour aider les internautes de Actusen.com et les autorités étatiques à tâter le pouls de ce qui se joue dans ces salons et qui a les relents d’un péril humain en vue pour la jeunesse du Sénégal.
Acte 1 – scène 1 : ici, pour s’entourer de toutes les garanties, voici le modus operandi des masseuses avant d’accueillir le client.
Au bout du fil, c’est une voix suave qui répond dans un français approximatif et oriente le poisson qui vient de mordre à l’hameçon. « Vous connaissez le rond-point de Yoff ? », a-t-elle demandé avec un ton fascinant. « Oui », a rétorqué le reporter d’Actusen.com qui ne s’imaginait pas encore, alors pas du tout, à quoi son aventure ressemblerait. Mais ce n’est qu’une question de minutes.
En effet, à peine est-il arrivé au dit endroit que votre serviteur rappelle son interlocutrice, l’une des masseuses, qui lâche au bout du fil : « Maintenant, contournez le rond-point en prenant la direction de la Foire après le Bar Club Saxo. Devant vous, se dresse une Pharmacie, à votre droite. A quelques mètres, un restaurant Fast Food tient pignon sur rue puis… ».
Suivant scrupuleusement les explications, le reporter d’Actusen.com dépasse de 10m la maison indiquée. Une manière pour elle (avons-nous déduit plus tard) d’avoir un aperçu du type de personne avec qui le Rv a été pris. Une, deux, trois, voire 5 minutes, c’est la dame préposée à la réception qui rappelle : « Comment êtes-vous habillé ? « En tenue traditionnelle » (Ndlr : vendredi, oblige). Ok, je vous vois, faites demi-tour ». Le signal donné, le tour est joué. Au rez-de-chaussée d’un immeuble R+3, un appartement meublé de quatre pièces avec une douche intérieure dont le bureau de la gérante et cuisine est entièrement aménagé. Et accueille à bras ouverts, comme le Christ à Rio de Janeiro, les clients venus se faire masser ou passer un bon temps dans l’intimité d’un salon avec des « expertes » du sexe.
La beauté de ces filles peut envoyer aux urgences l’Islamiste le plus résistant
Noirceur captivante, robe courte de même couleur couvrant à peine ses cuisses et de nature à faire abjurer un islamiste, Bijou avance allègrement et traîne sa carapace de basketteuse. Jolie à couper le souffle d’admiration, elle a toutes les qualités pour envoyer au septième ciel un adepte de la chair fraîche. Visage ovale assorti de deux piercings dont l’un sur le côté gauche du nez et l’autre, sous la lèvre inférieure, en dessous du menton, elle a l’air d’une tueuse en série. Sur le lit, évidemment !
Avec ses yeux de biche, elle s’introduit dans une pièce parfumée à l’odeur de menthe. Derrière elle, une perruque de cheveux naturels qui lui tombent sur les fesses. Sa tenue décolletée laisse apparaître ses seins juvéniles, le tout dans un « pathial » qui peut donner du tournis à plus d’un fût-il reporter d’Actusen.com qui a pris le risque de se muer en chasseur de masseuse, pour investir, incognito, ce milieu.
Sur les murs de ce « mouroir », on est accueilli par « les mains du bonheur » ou « saf loxo »
Les tétons bien pointus, la glande mammaire arrondie et sans ride aucune, témoignent de sa jeunesse. Bijou est une perle noire, en plus d’être une gazelle comme du temps des vraies « Linguères » (ces femmes reconnues pour leur forme généreuse et leur beauté légendaire). Sans pudeur, elle installe son « client » du jour dans une atmosphère détendue. Dans cette chambre d’à peine 3 m sur 3 avec toilette intérieure et un petit salon, Bijou accueille dans une ambiance torride.
Tout autour, serviettes, produits massant, lingettes, parfum enivrant, les dessous de femmes servant de tenues d’échange accrochées sur un fil, font le décor de « mouroir ». Sur le mur, les serviettes et les draps, on peut lire : « les mains du bonheur » ou « saf loxo » en langue locale.
Acte 2- scène 2 : « Relax, chéri. Que puis-je faire pour vous ?», demanda-t-elle. La réponse coule de source. « Un massage », répondit le reporter de votre site. « Mais lequel ? », poursuit la pétillante Bijou, en faisant un clin d’œil accompagné d’un sourire en coin. C’est sur ces entrefaites que le reporter de Actusen.com réalise qu’il y a différents types de massage : simple, intégral ou à la Sénégalaise et à l’Américaine.
Avec 15 000 F Cfa, la masseuse ne se désh
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Chatte humide tourné vers l\’arrière, et a estimé qu\’il convenait de tromper autour d\’un peu, et puis prendre sur le poids de ses hommes dans sa chatte.

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