Billie et sophi deux meilleures amies lesbienne

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Création : 14/03/2005 à 00:25
Mise à jour : 05/06/2007 à 13:12
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Laure et Julie c'est mes deux cheries... On forme le groupe... Comprendra la reference qui pourra!





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Commentaires
Kiffs
Remix




Bienvenue sur mon blog, que je vais essayer de tenir correctement, un peu comme un journal... mais avec des photos! Voila, je ne vais pas m'étendre davantage, j'espère que vous passerez un bon moment!



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# Posté le lundi 14 mars 2005 01:37

Mercenaire ,
Posté le mercredi 20 avril 2005 02:06


Sophie ,
Posté le jeudi 17 mars 2005 15:13

C'est pour quand la soirée de la folie??

laure ,
Posté le mardi 15 mars 2005 18:29

toi aussi t'es ma cherie.. et sans julie la vie serait moins drole!

Matthieu ,
Posté le lundi 14 mars 2005 03:26


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Elles se croyaient hétérosexuelles, vivaient en couple... Et elles sont tombées amoureuses d'une femme. Témoignages de ces basculements heureux et souvent libératoires. 
« J'ai toujours été gênée par les décolletés plongeants, jusqu'au jour où j'ai compris que j'étais attirée ! Mon amoureuse dit que je suis carrément fétichiste des seins ! se marre Florence*, 52 ans, ingénieure, mère de trois enfants, en couple avec Chantal depuis quatre ans. Il m'aura fallu un divorce et une psychanalyse pour accepter le fait que j'aime les femmes. Mon mariage n'était pas une catastrophe, j'étais sincère. Je me disais juste que la vie n'était pas terrible... Je faisais tout bien comme on m'avait dit. Maintenant, je vis enfin ce que je veux ! » Vivre en accord avec soi-même, se débarrasser des diktats sociaux intériorisés pour s'autoriser à être heureux... Comme Florence, ou l'héroïne de Constance Debré dans « Play boy », qui vient de paraître aux éditions Stock, de plus en plus de femmes, après une vie hétérosexuelle très construite, osent enfin exprimer leur amour pour une personne du même sexe. Partout, autour de nous, des couples de femmes qu'on croyait hétéros se forment, s'épanouissent dans cette nouvelle sexualité à laquelle elles n'avaient pas forcément pensé jusque-là. Plus nombreuses ou seulement plus visibles, plus assumées ? Impossible de trancher. Mais les temps changent. « La sexualité homosexuelle a longtemps été vécue hors mariage. L'idée que nous devons vivre selon nos désirs profonds est très récente », remarque le sociologue Sébastien Chauvin, qui a publié, avec Arnaud Lerch, « Sociologie de l'homosexualité » (éd. La Découverte). Cette aspiration infuse tous les niveaux de la société. « 35, 40 ans, c'est l'âge des premiers bilans. L'identité sexuée est un enjeu fondamental. Et on se retrouve souvent dans un couple 'fraternisé', où on ne se sent plus exister en tant que femme, analyse le psychanalyste Robert Neuburger, auteur du 'Couple : le désirable et le périlleux' (éd. Payot). L'être humain est bisexuel de naissance : il suffit parfois d'une rencontre pour réveiller une possibilité latente. On peut se sentir plus pleinement femme dans les yeux d'une autre femme. » De fait, dans son cabinet, le psychothérapeute voit de nombreuses patientes, au sein d'un couple en crise, partir avec une femme, lesbienne en général. Souvent, elles ne se disent pas « homos » ou « lesbiennes », mais déclarent juste « être tombées amoureuses de cette personne - là ».
« J'aurais pu passer ma vie dans le déni total, à chercher le bonheur parmi les hommes. »
Une réalité dont les filles qui aiment les filles ont fait une blague, imprimée sur leurs T-shirts lors des manifs pour les droits LGBT : « I'm not a lesbian, but my girlfriend is » (je ne suis pas lesbienne, mais ma petite amie l'est). Une formule miroir pour nos témoins. « Ma chérie, elle, c'est une vraie ! » glissera Margot, spontanée. Une vraie ? Comprendre « une lesbienne qui a toujours su qu'elle l'était, le revendique et l'affiche », explique-t-elle. Il y a deux ans à peine, « une éternité ! », la jeune productrice de cinéma au visage poupin et au sourire pudique parlait bébé et papier bleu d'azur avec l'homme qui partageait sa vie depuis six ans. Quand, séparée pour la première fois de lui pendant le Festival de Cannes, un vent de liberté et une femme lui font tourner la tête. « Elle était sur le point de se marier ! J'ai juste passé une soirée à parler avec elle. Mais elle m'attirait comme un aimant. Quand j'ai compris que je ne la verrais plus, ça m'a brisée ! Je ne savais plus où j'en étais. » Une porte s'est ouverte, le début d'un long chemin vers la renaissance : « Avant, j'étais spectatrice de ma vie, maintenant, j'en suis l'actrice ! poursuit Margot. Et je remercie la première lesbienne qui m'a embrassée juste après le festival, même si elle m'a beaucoup baladée... Sans elle, j'aurais pu passer ma vie dans le déni total, à chercher le bonheur parmi les hommes. » De fait, dans une société encore très hétéronormée, où toute personne, sauf mention contraire, est supposée hétérosexuelle, la prise de conscience peut être très tardive, car on ne l'envisage même pas.
Que de temps perdu ! commentent nos témoins. « Je ne savais pas qu'on pouvait être aussi heureux ! Si c'était à refaire, je le ferais beaucoup plus tôt, mon seul regret ! Mais mon père était militaire », raconte Sophie dans un rire haut perché. « Beaucoup de personnes dans le déni ou le mensonge ne le seraient plus si elles savaient combien c'est plus simple de le dire, assure Marianne, 47 ans, écrivaine, en couple depuis cinq ans avec Véronique. On cesse à la fois d'être une proie pour les hommes et une rivale pour les femmes. Quelle libération ! » Sans occulter les nombreuses réactions lesbophobes, toujours inévitables et très violentes (lire l'encadré), en particulier au sein de la famille (« Ça va te passer, t'es sous le choc de ta rupture ! », « Aaah ! Moi, je pourrais jamais lécher une... » et on en passe), le cercle de leurs amis est resté le même et se réjouit de l'évident mieux-être de nos témoins.
« Tout est tellement plus fluide avec une fille », commente Marion, 34 ans, architecte d'intérieur qui travaille avec sa femme à Strasbourg, dans un tandem « hyper créatif. Avec les hommes, il y a trop d'enjeux d'ego. C'est le concours de bites en permanence. Et puis, si on veut continuer dans les clichés : avec ma femme, les tâches ménagères sont divisées par deux ! » À l'unanimité, les filles décrivent un couple où les rôles ne sont ni définis ni figés. Et où la rivalité, bien réelle dans les couples hétéros (le fameux « gagne de l'argent, mais pas trop » de Chimamanda Ngozi Adichie, ou « sois intelligente, mais pas trop » que dénonce Virginie Despentes dans « King Kong Théorie »), est inexistante. « C'est comme vivre avec ta meilleure amie, sauf que tu couches avec : pratique ! » conclut Émilie, en confectionnant des bouquets de muguet dans la boutique que tient sa nouvelle belle-famille dans leur village du Sud-Ouest. Cette sexualité nouvelle, que la plupart d'entre elles ont abordée avec appréhension, elles la décrivent au final comme beaucoup plus sensuelle et « sans aucun manque », précisent-elles à l'attention des phallocrates. « Il n'y a pas un homme qui puisse rivaliser avec ça », conclut même Constance Debré dans « Play boy », récit très cash d'une redécouverte du plaisir.
Le chemin vers le bonheur reste malgré tout semé d'embûches. Pour l'anthropologue Natacha Chetcuti-Osorovitz, auteure de « Se dire lesbienne » (éd. Payot), « ce parcours progressif est majoritaire chez les femmes. Cela leur prend du temps et plusieurs allers-retours, contrairement aux gays. Car la contrainte à l'hétérosexualité est plus forte pour elles ». À la fois sexistes et homophobes, les pressions ont toujours pesé sur le lesbianisme, souvent considéré comme une « extension ludique de la sexualité hétéro, commente Sébastien Chauvin. Cela entretient l'invisibilité du couple lesbien au sein du patriarcat, comme inoffensif ». En ce sens, l'autonomie juridique et économique acquise récemment par les femmes joue un rôle majeur : c'est la possibilité d'un ménage sans hommes. Mais « cette double exposition, sexiste et homophobe, renforce la difficulté à se dévoiler, notamment dans le monde du travail, où deux lesbiennes sur trois cachent leur homosexualité », rappelle une grande enquête du Défenseur des droits, parue le 17 mai 2017. Après presque cinq ans d'application, les droits au mariage pour tous et à l'adoption chez les personnes de même sexe commencent en tout cas à influer sur les mentalités. Même si, quand elle donne la main à son amoureuse dans la rue, Margot a le sentiment d'être regardée « comme un éléphant », la loi favorise la banalisation de l'homosexualité en la faisant entrer dans le cadre de la famille, tamponnée par un contrat. Le mariage a « un effet protecteur sur l'intimité, en donnant droit à une vie privée, précise Sébastien Chauvin. Quand on est stigmatisé, réduit à sa sexualité, on est paradoxalement à la fois moins visible et plus exposé ». Car les homosexuels ne sont souvent envisagés et définis qu'au travers de leur sexualité.
« On se fait souvent une idée de ce qu'on souhaite. On croit aimer les grands bruns et on épouse un petit blond... »
L'émotion et l'empathie constatées lors du discours du mari du policier tué par un terroriste sur les Champs-Êlysées l'an dernier attestent que nous avons bel et bien atteint un tournant civilisationnel. « Il y a une vraie ouverture d'esprit des gens qui va de pair avec une montée incroyable des actes homophobes. Mais je suis très attentive aux filles qui se découvrent lesbiennes à 35 ans, et je vois que, pour beaucoup, dans leur famille, ça passe tout seul. Le fait d'être jugée, que les gens te fassent te sentir moins qu'une femme normale, ça arrive quand même beaucoup moins qu'il y a quinze ans », analysait dans ELLE l'écrivaine Virginie Despentes, devenue elle-même lesbienne tardivement. Les séries comme « Dix pour cent » ou « The L Word » et les films, de « La Vie d'Adèle » au récent « Embrasse-moi ! » en passant par « La Belle Saison », avec leurs héroïnes lesbiennes, ni « fhommes » ni nymphomanes, ont contribué à ce mouvement qui ouvre les possibilités intimes. L'identification devient soudain possible.
Un changement de paradigme qui explique le coming in (révélation à soi-même) et le coming out des femmes plus âgées. Florence confirme que ces nouvelles images sont rassurantes et rompent le sentiment de solitude : « La première fois que je suis sortie avec un groupe de lesbiennes, au centre LGBT de Paris, je me suis dit : 'Qu'est-ce que je fais là ? Elles me foutent la trouille, ces filles !' Dix minutes après, j'étais comme à une réunion de parents d'élèves. Elles étaient toutes mamans comme moi ! »
D'ailleurs, contrairement aux craintes légitimes des mères devenues lesbiennes, leurs enfants trouvent cela complètement « O.K. », voire « trop cool », devant les copines de l'école. « Pour une fois que je suis cool... », commente Florence, amusée. Même le père de la petite Carla, élevée par Hélène et Êmilie, s'incline devant l'équilibre du couple qui s'occupe désormais de sa fille. « Je n'aurais pas voulu enseigner à mes enfants que c'est normal d'être malheureux », remarque-t-il.
Pourtant, comme le mouvement Sens commun l'a bruyamment prouvé, toute la société française n'est pas prête. Les sociologues soulignent que ce sont surtout les classes moyennes, via leur idéal démocratique d'égalité des droits, qui ont fait avancer les choses. C'est très compliqué dans les classes supérieures à haute adhésion religieuse et dans les classes populaires. Marion, mariée depuis deux ans, en a fait la triste expérience, comme beaucoup : « Ma mère, aristo, a été pire que mon père, de confession juive : elle trouve ça 'pervers et malsain'. Lui s'est contenté de pleurer... et de nous envoyer des merguez à la tête, la seule fois où il nous a invitées à déjeuner. Personne de la famille n'est venu à mon mariage. » Qui ne craint pas d'être rejeté par ses parents, même adulte ? « Cela reste le principal frein à la révélation du désir, au stade intime ou public », selon Marianne, écrivaine, confirmant les enquêtes de SOS homophobie (lire l'encadré). Le dire à ses parents, c'est prendre le risque de n'être plus aimé. Les gamins du Refuge (une association qui accueille les jeunes homos chassés de chez eux) en ont fait l'expérience. « D'ailleurs, pour atténuer la nouvelle, les femmes attendent quasiment toutes d'être vraiment en couple », conclut Marianne. Un couple auquel elles restent très attachées, « comme lieu de la sexualité légitime. Elles sont toujours tenues de bien se tenir », remarque Natacha Chetcuti-Osorovitz. Un archaïsme de plus pour Marianne : « On se fait souvent une idée de ce qu'on souhaite. On croit aimer les grands bruns et on épouse un petit blond... » On rêve encore et toujours du prince charmant, et puis on s'envole avec une reine. 
* tous les prénoms ont été changés à la demande des témoins.
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