Bienvenue dans la maison de la luxure

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Bienvenue dans la maison de la luxure
Traduction par Anonyme. Duringe , 1903 ( Volume 1 , p. 1 - 165 ).
book Le roman de la luxure attribué à Edward Sellon , attribué à William Simpson Potter Anonyme Duringe 1903 Paris V Volume 1 Tome 2, Miss Aline Le roman de la luxure, tome 2, Miss Aline, 1903.djvu Le roman de la luxure, tome 2, Miss Aline, 1903.djvu/1 1-165 


Dernière modification il y a 4 ans par Cunegonde1


J’ai déjà dit que miss Aline devenait chaque jour de plus en plus familière dans sa manière d’être avec moi et dans ses caresses. Elle me serrait fortement contre elle, passant presque toujours son bras autour de ma taille, m’embrassant souvent et me pressant contre sa poitrine ferme et bien développée. Ces caresses avaient un effet direct sur mes parties secrètes, même lorsque j’avais moins de raisons d’être très excité par suite du travail amoureux que me faisait faire madame Benson. Maintenant je n’avais même plus cette occasion,
car les quelques plaisirs que je prenais avec ma sœur Marie n’étaient rien en comparaison des travaux que j’avais exécutés pendant tout un mois. Depuis le jour où je remarquais la petite déception qu’éprouva miss Aline en attribuant à ses étreintes la distraction évidente dans laquelle j’étais par suite du retour de monsieur Benson, elle avait augmenté ses serrements de mon corps contre le sien et devait certainement sentir ma pine toute raide tressaillir contre sa cuisse. Je remarquais souvent comme ses yeux brillaient alors et comme elle rougissait en m’embrassant, moi je me contentais de lui caresser les joues. Par moments elle me repoussait brusquement, me disant d’aller reprendre ma place ; fréquemment aussi, elle quittait la chambre dans un état de grande agitation, ce qui me fit supposer qu’un combat terrible se livrait en elle entre sa raison et sa passion. Me souvenant des sages conseils que m’avait donnés madame Benson, ma bien-aimée et ravissante maîtresse, je résolus de faire l’innocent et de laisser ses passions se développer et produire l’effet que je désirais si vivement.
Je ne sais si j’aurais pu attendre bien longtemps sans le secours que je trouvais dans les étreintes de ma chère Marie qui, chaque fois que nous pouvions nous rencontrer en cachette, devenait de plus en plus attrayante et plus capable de donner et de recevoir le plaisir. Nous eûmes beaucoup de mal pour empêcher Elise de voir ce qui se passait entre nous. À la fin Marie se décida à initier Elise aux plaisirs du gamahuchage ; elle lui dit donc ce que je lui faisais quand nous nous enfermions ensemble et lui promit que je lui ferais la même chose si elle voulait garder le secret ; mais qu’il était nécessaire que l’une ferait le guet dans le cas où miss Aline viendrait. Marie commença à gamahucher Elise qui jouit outre mesure, car, quoique de dix-huit mois plus jeune que Marie, elle montra de suite que ses passions étaient plus développées que celles de sa sœur.

Pour commencer, je la gamahuchai simplement, la laissant jouer avec ma pine, sans lui dire qu’on pouvait l’enfoncer dans sa charmante petite fente qui commençait déjà à se couvrir d’un léger gazon sur sa
motte proéminente et bien formée. Quand je l’eus suffisamment gamahuchée, Marie, que j’avais déjà foutue, revint, et Elise alla faire le guet à sa place pendant que j’apaisais dans le délicieux petit con de Marie, le feu qu’avait allumé mon gamahuchage avec Elise.

C’était ainsi que je pouvais attendre plus froidement les résultats que devait amener l’évidente passion de miss Aline pour moi. Elle la combattait certainement, mais la passion gagnait du terrain, ce qui se voyait par ses pressions de mains nerveuses et tremblantes, m’attirant à ses lèvres brûlantes, puis me repoussant, tressaillant de tout son corps et devenant subitement toute pâle. Je m’imaginais que la nature l’aidait trop dans ces occasions, qu’en réalité ses pressions soudaines étaient l’approche de la crise amoureuse, et que lorsqu’elle tremblait et me repoussait, elle déchargeait certainement. Il était évident que cela ne pouvait durer longtemps. Enfin le jour heureux tant désiré arriva. Maman devait aller à la ville et emmener avec elle mes deux sœurs pour leur acheter différentes choses. Elle
invita miss Aline à l’accompagner, mais elle refusa, prétextant un grand mal à la tête ; le fait est que le violent combat qui se livrait entre sa passion et sa prudence, avait véritablement altéré sa santé ; elle était devenue pâle, avait mauvaise mine, et ma mère était très effrayée de cela. Elle lui dit donc de ne pas trop se fatiguer avec mes leçons ce jour-là, de me faire travailler seulement une heure le matin et une heure l’après-midi, et la pria de se promener un peu dans le jardin et de se reposer le plus possible.

En nous quittant, elle me recommanda d’être gentil et obéissant, car miss Aline ne se trouvait pas bien. Maman partit avec mes sœurs. Miss Aline, aussi pâle que la mort, tremblant visiblement, me pria d’aller à la salle d’étude apprendre la leçon qu’elle m’avait donnée la veille, et qu’elle me rejoindrait bientôt. J’y allai, mais je ne pus apprendre aucune leçon ce jour-là. J’étais distrait sinon effrayé par l’agitation évidente et la maladie apparente de miss Aline ; j’étais encore trop inexpérimenté pour comprendre la nature du combat qui se livrait
en elle : c’était une phase de la nature de la femme que je ne connaissais pas encore.

J’avais cependant une vague idée que tout cela finirait par la réalisation, de mes espérances lascives ; je suivais seulement les conseils que m’avait donnés ma charmante maîtresse et j’attendais le résultat que je désirais si ardemment. Miss Aline vint enfin me rejoindre ; ses yeux étaient rouges et gonflés comme si elle avait pleuré ; les miens se remplirent de larmes quand je la vis. M’approchant d’elle, je lui dis en hésitant :

— Oh ! ma chère gouvernante, je suis si chagrin de vous voir malade. Oh ! ne travaillons pas aujourd’hui et je vous promets de travailler deux fois plus demain.

En ce moment, je fus tout à fait effrayé de la mauvaise expression de ses traits. Elle sourit languissamment une minute ; puis, me saisissant dans ses deux bras, elle me pressa contre son sein, me couvrant de baisers ; ses yeux brillèrent étrangement.

— Oh ! mon cher, cher bien-aimé garçon, je t’aime au-dessus de toute expression.
Embrasse, oh, embrasse-moi, mon chéri et soulage-moi, car je t’aime trop.

Là encore elle changea sa manière d’être ; craignant d’en avoir trop dit, elle détourna la tête et les larmes s’échappèrent de ses yeux, mais ses bras ne se desserrèrent pas de l’étreinte dans laquelle elle me tenait. J’étais profondément ému par son extrême agitation. Je crus qu’elle était vraiment malade et souffrait beaucoup ; aussi je jetai mes bras autour de son cou, l’embrassant tendrement, pleurant moi-même, essayant de la soulager, je lui dis, dans mon inexpérience, en sanglotant :

— Oh ! chère, chère miss Aline, soyez soulagée, je vous aime si tendrement que cela me saigne le cœur de vous voir si malheureuse. Oh ! laissez-moi vous voir sourire et essayez de ne pas pleurer. Pourquoi êtes-vous si malheureuse ? Oh, comme je serais content si je pouvais vous rendre heureuse !

Et redoublant mes caresses, je la vis tourner sa pâle figure vers moi. Ses yeux brillaient encore d’un feu extraordinaire, et une rougeur fiévreuse envahit ses joues.

— Oh, cher ange, cher amour, c’est « toi » qui me rend malheureuse !

— Moi, je vous rends malheureuse ! Oh ! miss Aline, comment cela peut-il être ? Quand j’adore la terre sur laquelle vous marchez et que je vous… (sanglot) je vous… (sanglot) aime plus que tout au monde.

Elle prit ma tête dans ses deux mains, colla ses lèvres aux miennes et me donna un long, long baiser d’amour ; me pressant alors contre son sein :

— Oh ! répète-moi cela, mon amour, mon bien-aimé garçon ; c’est l’amour que je ressens pour toi qui me brise le cœur, mais je ne puis résister plus longtemps. Mon Charles aimera-t-il toujours son Aline comme il l’aime maintenant ?

— Oh ! comment pourrait-il en être autrement ! Je vous ai chérie du premier moment de votre arrivée et n’ai jamais eu d’autre pensée. Que puis-je faire pour vous le prouver ? Essayez, oh, essayez ! Je n’ai jamais soufflé une syllabe de mon amour, non seulement à vous-même, mais encore à personne.

Ses yeux, brillants de passions, cherchaient dans la profondeur des miens à sonder mes pensées. Je commençai aussi à sentir mes passions amoureuses excitées par ses baisers brûlants et ses chaudes caresses. Elle me tenait serré contre son corps et devait certainement sentir le dur morceau qui tressaillait contre elle.

— Je te crois, mon Charles, aussi je veux te confier ma vie, plus que ma vie, mon honneur ! Je ne puis résister davantage à mon destin. Mais, oh Charles, aime-moi toujours, car je cours un terrible danger en t’aimant autant que je le fais.

Elle m’attira encore à ses lèvres, mes mains entouraient son cou dans une étroite étreinte. Ses mains se promenaient partout et s’arrêtèrent sur ma pine palpitante. D’une main tremblante elle déboutonna, déchira plutôt mon pantalon, et de ses doigts doux empoigna mon instrument nu.

— Oh, je mourrai, chère miss Aline, que dois-je faire pour vous rendre heureuse ?

Mon apparente ignorance ne pouvait moins faire que de lui plaire. Elle se renversa sur la chaise longue sur laquelle elle
était assise, relevant avec la main ses jupons en se renversant, apparemment sans le vouloir. Je me jetai à genoux et, relevant davantage ses jupons, découvris sa belle motte couverte d’une forêt épaisse de poils noirs et frisés. Elle cacha sa figure enflammée dans ses mains, pendant que poussant ma tête en avant, je commençai à lécher son con magnifique sans oublier de lécher le clitoris. Elle essaya d’abord de me repousser.

— Non ! non ! non ! je ne dois pas ; je ne dois pas !

Mais je suppose que mon procédé ne faisait qu’enflammer davantage ses passions, car son con était tout mouillé et juteux, et cela ne fit aucun doute pour moi, elle avait déjà déchargé quand elle m’embrassait.

— Viens alors, mon cher enfant, je veux être toute à toi.

Me relevant, je m’étendis sans peine sur le ventre, pressant contre son con ma pine bien tendue. J’eus encore la prudence de montrer que je ne savais rien de ce qu’il fallait faire. Je soupirai profondément.

Oh ! ma bien-aimée miss Aline, aidez-moi, je ne sais pas ce qu’il faut faire.

Sa main se glissa entre nos deux ventres et elle guida mon instrument enflammé entre les lèvres avides de son con délicieux ; je poussai et du premier coup j’enfonçai la tête ainsi que deux pouces du restant de ma pine. Au second coup je sentis un obstacle inattendu, car je ne m’étais jamais imaginé que miss Aline fût vierge. Je poussai donc plus violemment.

— Oh Charles ! mon amour ! va gentiment, tu me fais beaucoup souffrir.

Sachant que le meilleur moyen était de l’exciter par des petits coups, sans essayer de pénétrer d’un seul coup, j’agis en conséquence et elle commença à sentir les violents désirs qu’une pine aussi énorme que la mienne ne peut moins faire que d’exciter quand elle manœuvre entre les replis, doux comme le velours, d’une fente aussi étroite et aussi juteuse que la sienne. Je me maintins au poste et continuai ma manœuvre jusqu’à ce que les mouvements convulsifs de ses reins et les pressions successives des replis de son con, m’indiquèrent que la
crise approchait et qu’elle allait décharger. Elle me serra étroitement dans ses bras et, au moment de décharger, souleva involontairement son derrière. C’était le moment difficile que j’attendais. Je me retirai un peu et me replongeai dedans avec une force irrésistible. Je franchis mon chemin à travers tous les obstacles et j’enfonçai ma pine jusqu’aux couilles. L’attaque fut aussi terrible qu’inattendue. Miss Aline poussa un cri de douleur et s’évanouit.

Profitant de suite de l’occasion, je fis aller et venir mon membre avec la plus grande vigueur, brisant tous les obstacles et élargissant le plus possible l’ouverture par des mouvements de côté, pendant qu’elle était insensible à la douleur. Je m’évanouis moi-même dans une agonie de bonheur. Je restai plongé dans sa délicieuse fente jusqu’au moment où des frémissements convulsifs et des courts sanglots m’indiquèrent que ma maîtresse, maintenant complètement dépucelée, allait reprendre ses sens. L’idée que je venais de gagner une victoire inattendue fut cause que ma pine commença à raidir à nouveau, quoiqu’elle
fût encore relativement molle. Je sentis une pression involontaire, au moment où elle fut tout à fait consciente de sa position. Elle jeta ses bras autour de mon cou, me donna un baiser des plus passionnés et se mit à sangloter et à pleurer comme si on lui avait brisé le cœur.

C’est une des choses les plus curieuses de ma nature que les pleurs des femmes ont le don d’exciter mes passions lubriques, et, quoique souffrant vraiment de la voir dans un tel état, je sentais ma pine se raidir d’une façon extraordinaire. J’essayai de la consoler par des paroles, mais elle sanglotait, sanglotait toujours.

Je pensais subitement qu’en recommençant à manœuvrer, cela pourrait changer ses sensations et je commençai mes vigoureux mouvements ; elle soupira profondément, mais je m’aperçus par les soubresauts nerveux de ses reins que les passions commençaient à être excitées.

J’en eus rapidement la preuve. Elle passa ses bras autour de ma taille, me serra contre elle et me dévora la bouche de baisers. La nature seconda ses mouvements et peu
d’instants après nous déposâmes tous les deux une offrande copieuse sur l’autel de Vénus. Elle tressaillit et trembla lorsqu’elle sentit couler dans elle la chaude liqueur et me serra de toute sa force sur sa poitrine.

Nous restâmes immobiles pendant au moins dix minutes, ma charmante institutrice évanouie de plaisir, donnant à ma pine ravie des pressions lascives, qui l’enflammèrent de suite de nouveaux désirs. Miss Aline elle-même était furieusement excitée et nous nous plongeâmes encore une fois dans le délicieux sentier de l’amour, pour finir, comme d’habitude, dans un évanouissement de passion satisfaite. Lorsque nous reprîmes nos sens, ma charmante maîtresse m’embrassa tendrement et me dit en levant les yeux au ciel :

— Oh ! mon cher enfant bien-aimé, tu m’as bien fait souffrir d’abord, mais après tu m’as procuré des joies célestes. Mais, mon Charles, il faut nous lever, car on pourrait nous découvrir. Nous avons par le fait couru un grand danger, car nous n’avions pas fermé la porte à clef.

Je me levai et retirai ma pine de sa fente fumante, qui semblait par ses pressions la laisser partir à regret. Je m’aperçus qu’elle était pleine de sang.

— Attends, Charles, laisse-moi l’essuyer avec mon mouchoir sans quoi tu vas tacher ta chemise.

Elle fit ce qu’elle venait de dire, puis pliant son mouchoir et le mettant dans son sein, elle ajouta :

— Je garderai cette précieuse relique comme un souvenir du sacrifice que je t’ai fait, mon enfant adoré. Ah ! Charles, tu ne peux pas encore comprendre la valeur de ce sacrifice et les dangers que je cours pour l’amour de toi. Je t’aime comme je n’ai jamais aimé auparavant et comme je n’aimerai jamais. Mon honneur et mon bonheur sont maintenant dans tes mains et ils reposent sur ta discrétion. Aie soin de ne jamais prendre de libertés avec moi dans ta conduite future ou de ne raconter à personne ce qui s’est passé entre nous.

On peut facilement s’imaginer que je lui donnai toute assurance à ce sujet, lui disant que je l’aimais trop tendrement et lui
étais trop reconnaissant du bonheur qu’elle m’avait appris à goûter, pour croire qu’il pourrait lui arriver des ennuis par mon indiscrétion. Elle m’embrassa tendrement, me dit d’aller me promener dans le jardin, qu’elle avait besoin de prendre quelque repos après tout ce qui s’était passé et que nous nous retrouverions après le déjeuner.

Je fis comme elle le désirait, pensant aux exquises jouissances qu’elle m’avait procurées et désirant déjà être à l’après-midi pour renouveler l’union si ravissante de nos corps et de nos âmes.

Miss Aline ne descendit pas pour le lunch, mais se fit porter différentes choses dans sa chambre. Cependant elle me rejoignit à deux heures comme d’habitude, dans la salle d’étude. Elle était très pâle et très caressante et m’embrassa tendrement. Naturellement cela me mit aussitôt en chaleur et je devins très entreprenant, mais elle me repoussa doucement et me pria de la laisser tranquille ce jour-là car elle se sentait non seulement anéantie, mais encore souffrante et que cela valait mieux pour elle de se reposer tout à fait. Je la suppliai
ardemment de m’accorder quelques petites faveurs, si ce n’était pas tout, mais elle fut inflexible. Voyant que je ne pourrais faire aucun devoir ni rester tranquille, elle me dit :

— Allons au jardin, je crois que le grand air et une gentille promenade me feront beaucoup de bien.

Je pensai immédiatement que, si j’arrivais à la mener au pavillon, je pourrais avoir une meilleure chance de réussir à jouir encore de ses délicieuses caresses. Aussi pendant qu’elle monta chercher son mantelet et son chapeau, je m’emparai de la clef, pour pouvoir être prêt à tout hasard.

Nous nous promenâmes un certain temps dans le parterre de fleurs, miss Aline me donnant le bras et me causant le plus gentiment du monde. Elle marchait avec une certaine raideur. Nous nous assîmes pour nous reposer un peu, bientôt elle se plaignit de la trop grande chaleur du soleil, aussi je lui proposai de faire une promenade sous le bois ombrageux. Je bavardai tant que je pus pour ne pas lui laisser apercevoir comme je la menais loin, aussi fut-elle surprise que nous ayons fait tant
de chemin en voyant que nous étions arrivés au pavillon d’été.

— Oh ! Charles chéri, j’ai peur de ne pouvoir retourner à la maison si je ne me repose pas et nous n’avons pas la clef.

— On la laisse quelquefois après la porte, je vais courir voir.

Je bondis en avant, glissai la clef dans la serrure et retournai lui dire qu’elle était là ; elle me suivit à l’intérieur et s’affaissa tout de son long sur le sopha, qui m’avait déjà servi si souvent.

Je plaçai un coussin sous sa tête et approchai d’elle une chaise pour m’asseoir. Elle n’eut pas la moindre idée que je pouvais désirer faire l’amour, aussi, elle se tourna sur le côté, prit ma main dans les siennes et nous commençâmes une conversation des plus intéressantes, car il était question de la façon dont nous devions nous conduire pour n’éveiller aucun soupçon sur nos rencontres amoureuses et aussi comment nous ferions pour nous voir seuls de temps en temps.

— Cher enfant, me dit-elle, je ne puis plus vivre sans la joie de tes caresses, mais
il faut te souvenir que, dans ma position d’institutrice, la découverte de notre amour serait ma ruine, je me fie à ton silence et à ta discrétion, et si je te suis aussi chère, Charles adoré, que tu l’es pour moi, je puis avoir toute confiance en toi.

Je jetai un bras autour de son cou et lui dis que je l’aimais trop ardemment et avais trop envie de sentir encore ses délicieuses et caressantes étreintes, pour qu’elle n’ait aucune crainte d’indiscrétion de ma part. Elle me serra et m’embrassa passionnément ; je commençai à brûler de passion, ma main se promenait partout, sa position ne lui permettait pas de faire une grande résistance, je parvins à sa motte si richement fournie, elle me murmura de la laisser tranquille et tint ses cuisses étroitement serrées. Elle ne savait pas que je connaissais bien cet endroit, aussi entrant mon doigt dans la partie supérieure, entre les lèvres, je touchai son clitoris que je me mis à frotter de haut en bas en ayant bien soin d’enflammer de désirs le bon endroit.

— Charles, mon Charles, ne fais pas
cela… ne fais pas cela… je… je ne peux pas… le supporter.

En même temps elle m
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