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— Littérature


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— Écologie


Pendant la guerre froide, Russes et Américains arrivent à la même conclusion. Ils misent sur le sexisme de leurs adversaires. Moscou envoie aux États-Unis ses meilleures agentes, comme Elena Vavilova et Lidiya Guryeva, qui se feront passer pendant dix ans pour de banales « desperate housewives ».


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— Corruption


La justice anticorruption a saisi au début de l’été, à Neuilly-sur-Seine, un hôtel particulier suspecté d’appartenir à Denis Christel Sassou Nguesso, ministre et fils du président autocrate du Congo-Brazzaville. Pour justifier cet acte, les juges ont rédigé une ordonnance pénale, dont Mediapart a pris connaissance, qui détaille des années d’enquête sur un vertigineux train de vie.


Journal
— Écologie


Si les dérèglements climatiques ont attisé les grands incendies qui ravagent les forêts des Landes cet été, l’urbanisation croissante de cette région de plus en plus attractive contribue aussi à l’intensification des mégafeux, alerte Christine Bouisset, géographe au CNRS.


par

Mickaël Correia


Depuis vingt ans, l’Oniam est chargé d’indemniser les victimes d’accidents médicaux. Son bilan pose aujourd'hui question : au lieu de faciliter la vie des malades, il la complique bien trop souvent.


par

Caroline Coq-Chodorge
et Rozenn Le Saint


Le bras de fer en cours avec la Russie autour des énergies fossiles est l’occasion d’entrer de plain-pied dans l’ère de la sobriété énergétique. Pourtant, nos gouvernants semblent lorgner vers une autre voie : celle qui consiste simplement à changer de fournisseur, au risque de perdre toute crédibilité morale et de manquer une occasion historique en faveur du climat.


par

Sylvain BERMOND


[Rediffusion] Catherine MacGregor, Jean-Bernard Lévy, et Patrick Pouyanné, directrice et directeurs de Engie, EDF et TotalEnergies, ont appelé dans le JDD à la sobriété. En réponse, des professionnel·les et ingénieur·es travaillant dans l'énergie dénoncent l'hypocrisie d'un appel à l'effort par des groupes qui portent une responsabilité historique dans le réchauffement climatique. Un mea culpa eût été bienvenu, mais « difficile de demander pardon pour des erreurs dans lesquelles on continue de foncer tête baissée. »


par

Les invités de Mediapart


[Rediffusion] Le choix de redéfinir collectivement ce dont nous avons besoin doit être au centre des débats à venir si l'on veut réussir la bifurcation sociale et écologique de nos sociétés, ce qui est à la fois urgent et incontournable.


[Rediffusion] Qu'arrive-t-il aux besoins des êtres humains sous le capitalisme ? Alors que la doxa libérale naturalise les besoins existants en en faisant des propriétés de la «nature humaine», nous sommes aujourd'hui forcé·es, à l'heure des urgences écologique, sociale et démocratique, à chercher à dévoiler et donc politiser leur construction sociale.


par

Dimitris Fasfalis



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Édition


« Ils te demandent de te déshabiller intégralement ? », « oui », « Et toi tu refuses ? », « Oui je négocie à chaque fois, je leur explique que je suis mal à l’aise avec mon corps, que je ne veux pas, que j’ai froid, je demande à faire en deux temps… » - le temps du haut, le temps du bas. »
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Magalie a une trentaine d’années, elle a un enfant qu’elle a eu à 19 ans dans une ville où elle venait d’emménager, où elle ne connaissait personne. Son suivi de grossesse a été pénible : moquée, jugée, laissée seule face aux difficultés ; elle en garde un souvenir terrible quand je la rencontre dix ans après. Notre entretien porte sur sa grossesse et les dix années suivantes de prise en charge de son corps, de ses fausses couches à répétition. Elle exprime un immense malaise face à cette profession, et va attirer mon attention sur quelque chose qui ne m’avait jamais questionnée vraiment. 
Alors qu’elle raconte, elle s’attarde soudain sur le fait qu’elle ne souhaite pas être nue lors des consultations de gynéco. Je n’ai pas compris tout de suite de quoi elle parlait. C’est le fait qu’elle s’attarde qui m’a fait comprendre que chez les gynécos chez qui elle allait, ils lui demandaient de se déshabiller intégralement, les hommes comme les femmes. Je lui pose la question clairement : « ils te demandent de te déshabiller intégralement ? », « oui », « Et toi tu refuses ? », « Oui je négocie à chaque fois, je leur explique que je suis mal à l’aise avec mon corps, que je ne veux pas, que j’ai froid, je demande à faire en deux temps… » - le temps du haut, le temps du bas.
Comme elle attire mon attention, je me demande soudain si ça m’arrive aussi. Est-ce que je me déshabille intégralement chez la gynéco ? Je cherche parmi les quelques gynécos que j’ai consultés, ça ne me vient pas. Je ne crois pas que ça me soit déjà arrivé. De son côté, le fait que je m’attarde sur ce point l’intrigue : « toi, ce n’est pas le cas ? » Je réponds que non. Elle me raconte que pour elle c’est une normalité, que sa mère lui a présenté de cette manière les visites. « Chez le gynéco, tu te mets à poil ». C’est drôle parce que, de mon côté, j’ai aussi souvenir les conseils de ma mère, « Quand tu vas chez le gynéco, tu mets un t-shirt long pour te couvrir. »
Comment expliquer que deux parcours de deux femmes du même âge dans le même pays soit aussi différent sur cet aspect ? Pour m’aider je dois recourir aux copines, j’envoie un message simple : « Vous demande-t-on de vous déshabiller intégralement chez le gynéco ? » Trois réponses m’arrivent : oui, non, ça m’est arrivé mais aujourd’hui plus. Celles à qui on demande de se déshabiller ont toutes la même réaction : « Pas toi ? » Les autres ne disent rien ou demandent « pourquoi ? »
Je ne perdrais pas de temps à exposer les raisons qui m’ont été données quant à cette pratique, elles sont toutes faiblardes. Ce qui me questionne c’est que, une fois dite, la situation parait tout simplement absurde, mais son absurdité ne suffit pas à empêcher que ça arrive. Et ce pour plusieurs raisons :
En d’autres lieux, on pourrait parler d’abus de faiblesse. On touche ici bien sûr au fait que les femmes et leurs corps sont considérés comme des objets. Le mal-être, le froid, la honte… sont autant de sentiments et de sensations qui importent peu aux praticiens qui ont cette demande. Quand on écoute Magalie, on a même la sensation qu’il y a la volonté de la punir de quelque chose : celui d’être une femme ? Aller voir un gynécologue devient non pas un accompagnement de son corps, mais un contrôle social sur un corps qui ne doit pas se libérer, qu’elle n’a pas le droit de s’approprier.
Je demandais plus haut comment expliquer deux parcours aussi différents. Il y a bien sûr nos parcours sociaux : études, travail. Magalie m’a aussi expliqué à quel point elle se sentait insultée et méprisée par le corps médical en tant que femme sans emploi et mère jeune. L’autre chose importante que je sais c’est que de mon côté j’ai grandi dans des villes qui avaient mis en place des centres de planification, où des associations féministes existent, j’ai donc bénéficié d’un environnement social favorable. Ça ne suffit pas, bien sûr, surtout qu’il faut penser à y aller, penser à y accéder, mais chaque étape de mon enquête m’apprend que la première nécessité c’est que les femmes parlent, racontent, échangent. Alors c’est vrai que parfois, on se sent parfois un peu bête quand on discute : « Mais mince, j’ai accepté ça pendant si longtemps ? Je ne m’étais jamais posée la question, je faisais ». D’ailleurs, c’est surprenant de lire les témoignages sur les blogs sur les violences gynéco car je me demande toujours pourquoi c’est là qu’on les découvre et pas quand on est avec ses copines, ses collègues, ses connaissances. Sur tout un tas d’autres sujets corporels ou médicaux, les gens parlent. Alors oui, parfois on se sent un peu bête, mais faut s’accrocher les filles, parler, c’est l’étape 1 de notre émancipation.
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Publié le 29 avril 2015 à 16h08 Mis à jour
le 29 avril 2015 à 16h08

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