Bendy Bella se fait Analyser

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Bendy Bella se fait Analyser
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, 3 et 4. Variation du nombre d'erreurs corrigées commises aux 4 tùches du Stroop en fonction de l'ùge et du niveau d'instruction.
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Effets de l’ñge et du niveau de scolaritĂ©
sur l’inhibition et la flexibilitĂ© au test
Imed Bouzaouache, Tarek Bellaj ** et Moncef B ouaziz ***
RĂ©sumĂ© : N ous avons Ă©tudiĂ© l’effet de l’ñge et du niveau de scolaritĂ© sur l’inhibiti on et la
flexibilité, à travers une version arabisée du test de Stroop (4 planches). Nous avons analysé
les scores chez 401 sujets, ĂągĂ©s de 16 Ă  70 ans, et rĂ©partis en 4 classes d’ñge et 3 niveaux
d’instruction. Les scores sont dĂ©finis en termes de vitesse ( temps d’exĂ©cution), de prĂ©cision
(erreurs) et de donnĂ©es dĂ©rivĂ©es du temps (indices) . Nous avons testĂ© l’hypothĂšse selon
laquelle l’av ancement en Ăąge serait accompagnĂ© de rĂ©ductions des performances en
conditions d’interfĂ©rence (inhibition) ou nĂ©cessitant une flexibilitĂ© mentale . Les
performances temporelles semblent soutenir l’idĂ©e d’une dĂ© tĂ©rioration progressive avec
l’ñge de ces deux fonctions. Cepe ndant, aprùs contrîle de la vitesse de traitement et des
capacitĂ©s perceptivo- motrices, il apparaĂźt que l’inhibition est entretenue jusqu’à la
soixantaine, et ne connaĂźt pas d’amĂ©lioration avec le niveau de scolaritĂ©. La flexibilit Ă© est
par contre, affectĂ©e assez tĂŽt (dĂšs la trentaine), par l’avancement en Ăąge , et connaĂźt une
amĂ©lioration avec l’augmentation du niveau de scolaritĂ©. L’interaction de l’ñge avec le
niveau d’instruction dĂ©crit ce dernier comme un facteur important dans l ’entretie n de cette
Mots-clés : inhibition, attention, flexibilité, Stroop, vieillissement, niveau
Abstract : In this work, we studied the effect of the age and educational level on inhibi tion
and flexibility, by an Arabic version of the Stroop t est (4 boards). We anal yzed the scores of
401 subjects, old from 16 to 70 years, and divided into 4 age groups and 3 educational
levels. The scores are defin ed in t erm s of spe ed (e xec uti on t ime ), ac cu rac y ( err ors) and der ive d
* Institut Supérieur des Sciences Humaines de Tunis
** Faculté des Sciences Humaines et Sociales de Tunis
da ta (indices).We tested the hypothesis that advance in age would be accompanied
by reductions of the perf ormances in conditions of int erference (inhibition) or
requiring a mental flexibility. The temporal performances seem to support the idea
of a progressive deterioration with the age of these two f unctions. However, after
control the speed of treatment and perceptive/motor capacities, it appears that
inhibition is maintained to the about sixty, and does not know improvement with the
level of schooling. Flexibility is on the other hand, affected rather early (as of about
thirty) by advance in age, and knows an improvement w ith the increase in the level of
schooling. The interaction of the age with the educational level describes the
educational level as a significant factor in the maintenance of this function w ith
Key words: inhibition, attention, flexibility, Stroop, aging, education level.
L’avan cemen t en Ăąge est associĂ© Ă  divers changemen ts touchant l es sphĂšres
motrice, sensoriell e et cognitivo-aff ective (Tim iras, 1997). De nombreuses Ă©tudes ont
permi s d’établi r une altĂ©ration globale des fonctions exĂ©cutiv es liĂ©e au viei ll i sseme nt
normal ( Hupet et Van der Lin den, 1994 ; Andrés & Van der Linden , 2000 ; Bryan &
Luszcz, 2001 ; Drane et al. , 2002). Des données neuroanatomiques et
neurophys iologi ques relien t cet te défi cien ce à une altération du cort ex préfrontal chez
les plus ùgés (Haug et al, 1983; Dempster, 1992 ; Hart ley , 1993 ; Arbuckle & Gold,
1993). Cependant , d’autres travaux r elati vis ent ce dĂ©c lin des capacitĂ©s co gniti ves et
l’attrib ue nt plutît à une dimi nution de la vitesse de t raitemen t (S althouse et Meinz,
1995 ; Salthouse, 1996 ; Sal thouse et al. , 2000). Enfin, certains travaux, suggĂšre nt
que ces changemen ts ne sont pas inĂ©vi tables, et qu’il s peuvent ĂȘtre at tĂ©nuĂ©s, voire
Ă©li mi nĂ©s par une variĂ©tĂ© de condi tions environn emen tales et d’ expĂ©ri ences de la vie
(Marquié, 1997). Le niveau de scolarité est l'une des v ariab les qui conditi onnent l' eff et
de l'ùge sur la performan ce (Ardila, Rossel li & Rosas, 1989). Ceci est d'aill eurs refl été
par le fait, qu'en absen ce d'étalonnage prenan t en considération l es f acteurs d'ùge et de
niv eau de sco lari tĂ©, les scores bruts des t ests doiven t ĂȘtre ajustĂ©s avant d'ĂȘtre
comparés aux données normativ es et ce aussi bien pour les t ests verbaux que visuo-
spatiaux (Rosselli & Ardila, 2003) . Parado xal emen t, la quest ion de l'i nteraction entre
les eff ets de l'ùge et du niveau de sco lari té sur les performances cogniti ves n'a été que
rarement traitée expérimen talem ent. Capi tani et Barbarotto & Laiac ona (1996)
proposent t rois modĂšle nt d'interaction entre ces facteurs : 1/ le parallĂ©l i sme oĂč l'eff et
de l 'ùge affecte uniform émen t les sujets quel que soit l e niveau de scolarité ; 2/ la
protection, oĂč la dĂ©t Ă©rioration cognitiv e liĂ©e Ă  l'Ăąge est at tĂ©nuĂ©e par le haut niv eau de
scolari té ; 3/ la confluen ce, dan s l a quell e l'avantage ini tial du ni veau de sc olarité
observée chez l'adulte est réduit en fi n de vi e. L'étude de l'ef fet de l'ùge
indépe ndam ment du ni veau de scolari té aboutirait à des résul tats peu nuancés et
pourrait ĂȘtre Ă  l'origi ne de certai ns rĂ©sul tats controversĂ©s quant Ă  l 'ef fi cien ce des
mécan ism es attentionnel s chez l es suj ets ùgés.
L’attention sĂ©lective, dont le rĂŽle est d’eff ectuer un t ri parmi les mul tiples sour ces
d’in f ormati on, opùre par ampl i fi cation de l'i nf ormation pertin ente et exclusi on de
façon sélective des i nf ormations non pertine ntes (Hasher & Zaks, 1988) . Parmi les
mécan ism es de contrÎle att entionn el o n distin gue princi pal emen t : l'in hib iti on,
mĂ©can ism e s’ oppo sant aux i nterfĂ©ren ces (Neil l, 1977; Tippe r, 1985 ; et Tipper &
Driver, 1988; Neill et al, 1995) ; et l a flex ib il ité, permettant de dépl acer
adaptativem ent son attention d'un objet vers un autre et de réguler son comportement
en fonction des chan gemen ts de l'envi ronnem ent (Lezak, 1983). Les divergences
relevĂ© es dans la littĂ©rature traitant de l’eff et de l’ñge sur les mĂ©can ism es attentionnels
inh ib iteurs et de flex ib il ité, naissent aut ant de la diffi cul té à les dissocier des autres
fonctions (telles que la p erception ou la mĂ©m oire) qu’à la dif fi cul tĂ© de les dis socier les
uns des autres (Rabbi tt, 1997). En effet, les t ests frontaux classi quemen t utili sés en
neuropsych ologie du v iei l li ssem ent normal et conçus po ur Ă©valuer l’i nhi bi tion et l a
fl exi bil i té men tale ( go-no go, Trail Making Tes t, Stroop, Wisconsin Card Sorting
Test ) sont rarement d’in terprĂ©tation univoque .
L’obj ectif de ce tr avai l est de vĂ©rif ier l'h ypothĂšse de l'i nv olution des mĂ©can ism es
inh ib iteurs et de la flex ib il ité avec l 'av ancem ent en ùge, tout en contrÎlant les capaci tés
perceptivo-motrices et la vitesse de t raiteme nt. Le test de Stro op (1935) es t, Ă  c et
Ă©gard, souvent pr oposĂ© comme l’une des mei ll eures Ă©preuves permettant l’éval uation
des mécan ism es in hi biteurs (Kolb et Whish aw, 1985 ; MacLeod 1991) . Formé à
l’ori gine de 3 planc hes, ce test se base sur la compĂ©tition s’ins talla nt entre traitement
attentionnel (dénominati on) et traitement automatique (lecture), engendrant une
interf érence appelée "E f fet Stroop ". E n 1992, Bohnen et al. , vien nent propo ser une
quatriĂšme plan che, sur laquel le le s noms de couleurs sont im prim Ă©s en couleurs, et o Ăč
il s'agit de nomm er la couleur d'un mot coloré puis, occasionnel le ment (quand le mo t
est encadrĂ©), de li re le mot. Le sujet doit ĂȘtr e capable de chan ger de façon fl exi ble son
attention, et d’alterner de mani Ăšre adaptĂ©e les t Ăąches de lecture et de dĂ©nominati on
testant ainsi la fl exi bi li té men tale ( Bohnen et al ., 1992). No us nous proposo ns
d'anal ys er les performan ces aux quatre cartes du Stroo p, d'une population de sujets
appartenant Ă  quat re classes d’ Ăąges, de 16 Ă  plus de 60 a ns, et de vĂ©rifi er l'eff et de
l'av ancem ent en ùge sur les mécani smes att entionn els in hi bi teurs et de flex ibi l ité. Nous
aurons Ă©galem ent l’opportunitĂ© d’étudier l’eff et du nive au d’in struct ion, facteur
susceptib le d’avoi r d’importantes interactions avec l’ñge, et d’att Ă©nuer Ă©ventuel lem ent
ses eff ets sur les f onctions étudiées .
Population d'étude : La population soumis e à l'expéri men tation comprend 401 sujets
des deux sexes répartis en quatre classes d' ùges (voir table au 1) :
 La premiĂš re tranche (Age 1) est com posĂ©e de sujets do nt l'Ăąge est com pris
entre 16 et 29 ans; ils so nt au nombre de 128 ( l'Ăą ge moyen est de 23,25; ET =
 La deuxiĂšm e tranche (Age 2) comprend les suj ets ĂągĂ©s de 30 Ă  49 ans,
représentant une population de 93 suj ets (ùge moyen = 39,41; ET = 5,43).
 La tro isi Ăšm e tranche (Age 3) est constituĂ©e de 90 sujets Ăąg Ă©s entre 50 et 59
ans (Ăąge moy en = 53,26 ; ET = 2,66).
 La quat riĂšm e t ranche (Age 4) groupe les sujets les plus ĂągĂ©s, ayan t atteint ou
dépassé la soix antain e; 90 suj ets ont répo ndu à ce critÚre (ùge moy en = 62,72; ET
Nos sujets sont égalemen t répart is en trois niveaux d'ins truction : pr im aire de 0 à 6
ans de scolari té ; secondaire al la nt de 7 à 13 ans et supérieur de 14 ans et plus (tabl eau
Tableau 1 : Caractéristiques démographi ques de l a population d'étude.
La distributi on des homm es et des fem mes po ur chaque classe d'Ăąge et niv eau de
scolari té est homogÚne (X 2 ( 14 ) = 5,08 ; p= .9846 ).
Les suje ts retenus ne montrent pas et n'ont, à aucun momen t présenté d'antécédents
neurologiques o u ps ych iatriques ayant n écessi té un tr aitem ent chim iothérapi que ou
une hospi tali sation. Ils ne prenn ent ni tranqui ll is ants ni barbi turiques. I ls ont une
bonne acuité v isuel l e (normale o u corr igée) et n e souffrent pas non plus de v isi on
achromatique ou de daltonis me. T ous les sujets, de nationali té tunisi enne, savent li re
la lan gue arabe. Ils ne manif estent pas de t roubles d'articulation, de phonation ou de
Pour les sujets de pl us de cinquante ans nous avons admin is tré le MM SE (Mini
Mental State Examin ation , Folstein & Fols tein, 1975), et n’avons retenu que les sujets
ayan t un scor e supérieur à 27. Ils mÚnent t ous une vie famil iale structurée et , autant
que possibl e, normal e. Les i ndi vidus séjournan t dans des i nsti tutions ne sont pas
Instrument : Le t est de Stroop : I l s’agit d’une version classi que du t est de
STROOP adaptée à l a l angue arabe (Bell aj et al., 1994). Ell e consi ste en quatre
"plan ches" expéri men tales (29,7 x 21,1 cm), comportant chacune cent items
distrib ués, sel on un o rdre quasi-alé atoire, sur dix lign es et dix colonnes. La
présentation des i tems est horizontal e.
 La carte de lecture : Elle est composĂ©e de cent items "Mots" impri mĂ©s en noir sur
blan c. Le sujet est invi té à li re , r apidem ent et sans commettre d'erreurs, les noms des
quatre couleurs, Rouge, Jaune, Bleue, et Verte, en langue arabe :
"Ah' mar", îŽźî€îŽŁîŽƒ , "As' far", îŽźî”îŽ»îŽƒ , "Az'rak"  , et "Akh' dhar"   .
 La carte de dĂ©nomination : Les stimul i sont de petits rect angles colorĂ©s ( 1,3 x 0,6
cm) en ro uge, jaune, vert ou bleu. La t ùche du sujet est de dénommer rapidemen t ces
 La carte d'inhibition : Les noms de couleurs, rouge, jaun e, vert et bl eu s ont
im prim Ă©s par des couleurs non congruentes (par exem ple; le mot "rouge" peut ĂȘtre
Ă©crit en bleu îŽźî€îŽŁîŽƒ ). La t Ăąche du sujet consis te Ă  dĂ©nommer la couleur d'im pressi on
des mots en in hi bant l' automatism e de la l ecture.
 La carte de flexibilitĂ© : Cet te cart e ressembl e Ă  la cart e inhi bi tion sauf que vingt
des 100 items sont encadrés par de pet its rectangles (1,6 x 0,9 cm). Dans cette carte,
le sujet do it dénommer la co uleur d'im pression des m ots non encadrés aussi
rapidem ent que possibl e s ans faire d'erreurs. Pour l es mots en cadrés, le s ujet doit
changer de rÚgle et lire le nom de l a couleur plutÎt que dénommer la couleur
En début de chaque plan che, une prem iÚre l ign e d'ini tiati on est formée de dix items .
Le sujet doit la pass er en revue avan t chaque Ă©preuve.
Pour chaque carte, deux types d'in dices sont à relever : le temps d'exécution (T L ,
T D , T I et T F r espectiv emen t po ur les cartes de lecture, de dénominati on, d'inh ib ition et
de flexi bi li tĂ©) et le nombre d'erreurs qui peuvent soit ĂȘtre spontanĂ©men t corr igĂ©es soit
non corrigées. Afin de contrÎler les variati ons interi ndi viduel les par rappo rt aux
capacités perceptivo-motrices, et à la vitesse de traitem ent, nous cal culons l'i ndi ce
d'in hi bi tion proposĂ© par Stroo p (1935) et l’i ndic e de flex ibi l itĂ© que nous avons Ă©tabli
selon l e mĂȘm e prin cipe que l ’i ndice prĂ©cĂ©dent :
Procédure : Durant l'épreuve, le suje t est confortabl emen t in stall é f ace à
l'ex ami nateur. L'admi ni stration est in div iduel le et l a présence d'une ti erce personne
pouvant créer une so urce de distraction n'est pas aut orisée. L'ordre de passation e st le
suiv ant: la carte de dénomina tion, pui s la carte de lecture, l a cart e d' in hib iti on et
fi nal emen t la carte de flex ib il ité.
Analyse stat istique des rĂ©sultats : L’anal yse des performan ces relevĂ©es Ă  to utes les
cartes, ch ez les 4 classes d'ñge et les 3 n i veaux d’instruction ont d' abord subi une
ANOVA Ă  t rois facteurs. Les interaction s signi fi cativ es ont Ă©tĂ© suiv ies d’une analys e
post-hoc par le test de St udent-Newman- Ke uls (SNK), afi n d’explorer la source de
Les résultats sont présentés et analysés en termes de données brutes (temps de
passation, erreurs corr igées et erreurs non corrigées), relevées à chaque carte du
Stroo p, puis en termes de donnĂ©es dĂ©riv Ă©es (in dice d’i nh ibi tion et in dice de f lex ibi l itĂ©).
Les moyenn es du temps de passation de chacune des cartes du Stro op et leur
variati on avec l’ñge et le niveau d’instruction sont il lustrĂ©es par les courbes
Figure 1. Variati on d u temps d’exĂ©cuti on (en secondes) de chacune des 4 tĂąches du
Stroo p, en fonction de l 'ñge et du nivea u d’ins truction.
Une ANOVA à tro is facteurs (ñge : 4) X (niveau d’in struction : 3) X (tñche : 4)
sur le temps de passation rĂ©v Ăšle un ef fet signif i catif de l ’ñge [F(3,389)= 105,07 ;
p< .0001], du niv eau d’instruction [F(2,389)= 140, 45 ; p< .0001] et de la t ñche
[F(3,1167)= 1558,88 ; p< .0001]. Les interactions doub les sont sign if icati ves entre
l’ñge et le ni veau d’instruction [F (6,389)= 3,86 ; p< .001], entre l ’ñge et la tñche
[F(9,1167)= 40,94 ; p< . 0001] et entre la tñche et le niveau d’in struction [F(6,1167)=
50,85 ; p< .0001]. L’interaction tr ipl e est Ă©galeme nt signi fi cativ e [F(18,1167)= 3,51 ;
Suite à ces interactions , nous avons soumis nos données à une analyse po st-hoc,
par l'épreuve St udent-Newman-K euls (SNK) qui a pe rmi s de do nner les précisi ons
suiv antes quant aux dif féren ts effe ts :
 En c e qui se rapporte Ă  l’ef fet de tĂąche, l'an aly se post -hoc m ontre que les
temps de passation des tĂąches d’interfĂ©rence et de flex ib il itĂ© sont signi f icati veme nt
supérieurs aux temps de réalisation des tùches de lecture et de dénomi nation quels
que soient l’ Ăąge et le ni veau de scolari tĂ© du sujet (p<.0001).
 Concernant l ’eff et de l’ñge, l'anal y se post -hoc (SNK) permet surt out de
disti nguer les performances des suj ets de pl us de 60 ans (Age4) pa r rappor t a ux
autres gro upes d’ñge. Aux quat re t ñches, et pour les t rois niv eaux d’instruction, le
groupe Age4 est en effe t signi fi cativem ent plus lent que les groupes Age1 et Age2
(p<.05). Entre le groupe Age4 et le groupe Age3 (50-59 ans) les diff Ă©rences ne sont
sign if icati ves qu’aux tĂąches d’interf Ă©rence et de flexi bi l itĂ© (p<.05). Les diff Ă©rences
entre les gro upes d’ñge voisin s ne sont signif ic atives qu’à la tĂąche de flex ib il itĂ© entre
Age1 et Age2 de ni veau primaire (p<.0001) et secondaire (p<.05) ; et seulem ent
pour l es sujets de nivea u primai re entre l es gro upes Age2 et Age3, Ă  la t Ăąche de
lecture (p<.0001), d’ in terfĂ©rence (p<.05) et de flexi bi li tĂ© (p<.001). Enfin , entre les
16-29 ans et les 50-59 ans les dif férences sont sign if icati ves che z les suj ets de niv eau
prim aire Ă  la tĂąche de lecture (p<.0001), d’interfĂ©ren ce (p<.001) et de flexi bi li tĂ©
(p<.0001). Pour les sujets de niveau secondaire, ell e n’est signif ica tive qu’à la t ñche
de fl exi bil i tĂ© (p<.00 1). Il n’y a par contre pas de signi fi cativ itĂ©
 L’eff et du niveau d’instruction montre trois part icul aritĂ©s : i l se caractĂ©ris e
d’abord par l’i solem ent de la classe "prim aire" par rapport aux deux autres classe s
(Secondaire et Supérieur) en situations de lecture et de fl exi bil i té. Il apparaßt ensuite

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