Belles Bites Gay
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Belles Bites Gay
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Archivé de: Confessions Gay – Numéro 15
Date de parution originale: inconnue
Date de publication/archivage: 2017-12-18
Auteur: Guy
Titre: Deux belles bites de motards
Rubrique:
Note: Le magazine Confessions Gay ayant disparu, nous vous présentons alors sur l'archive des textes y ayant paru au fil des ans, à titre d'archive, le but premier de l'archive étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte, ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.
Ce texte a été lu 4244 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)
Je roulais de bonne heure sur l’autoroute en direction de la Savoie. J’avais dépassé une petite localité couverte de neige, lorsque dans mon rétroviseur je vis deux motards qui me suivaient. L’un me fit signe de me garer sur l’aire de repos. Lorsque je descendis de voiture je me retrouvais face à deux superbes gaillards, un blond et un châtain, fort sympathiques.
— Ai-je fait une faute, messieurs ?
— Non, mais votre véhicule à besoin d’un gonflage de pneus.
— Merci de m’avertir, je vais faire tout de suite le nécessaire. Voulez-vous prendre un café avec moi ?
Ils acceptèrent tout de suite. Ils étaient loin d’être moches, alors je leur dis qu’ils étaient invités tous les deux, quand ils voudraient dans mon chalet qui se trouve dans la prochaine localité. Comme ils étaient en contrôle de routine ils me suivirent.
Une brave paysanne qui s’occupait de mes repas, à cru tomber dans les pommes en me voyant escorté par la police. Je la rassurai en lui disant de faire le nécessaire pour deux de plus. Le chalet était douillettement chaud, je fis mettre mes invités à l’aise. Nous attendions le repas au coin du feu;
— Vous êtes seul ici, me demanda le blond ?
— Oui, mais j’ai beaucoup d’amis qui passent.
— Oui, en effet, je suis loin des indiscrets, je peux faire ici ce que je veux sans risque.
Ils se regardèrent, moi je voulais en savoir plus, car ils me plaisaient tous les deux. Le blond s’approcha d’un tableau au fusain d’un athlète et me dit :
— Oui, l’original est venu plusieurs fois ici.
— Mais, fit remarquer l’autre, il semble avoir un début d’érection !
— Oui, lorsque le tableau a été exécuté, je suis apparu nu, et je dois vous
préciser, que ce beau modèle aime beaucoup mes fesses pour y loger sa bite !
Le blond demeura bouche bée, et l’autre resta muet à me regarder. Le blond s’approcha de moi, me prit par les épaules en disant:
— On ne peut rien te cacher, répondis-je ironique.
— Alors, dans ce cas, peut-être que Ralph et moi-même pourrions t’offrir nos sucres d’orges ?
— Je crois que ton cul sera satisfait !
— Dans ce cas, suivez-moi, nous allons passer à l’acte, cela nous ouvrira l’appétit pour le déjeuner.
Je les fis monter dans ma chambre où j’avais un immense lit, puis je redescendis avertir la cuisinière que nous ne mangerions que dans une bonne heure. Je remontai rapidement, les deux mâles étaient déjà à poil et en érection, ils attendaient que je leur dévoile mon postérieur.
— Voilà, mes fesses attendent vos matraques. La plus grosse d’abord !
C’était celle du blondinet. Il s’approcha de moi, et nous avons échanges un long baiser. Il me fit mettre sur le ventre, j’écartai bien les cuisses, et il s’accoupla avec moi en gémissant.
Puis l’autre prit sa place, il m’ouvrit les fesses pour me bouffer le cul, malgré le lubrifiant et le sperme de son collègue, puis il logea sa queue pour finir de me ramoner. Je parvins a lui saisir les couilles, il me remplit avec un cri rauque, si bien que je me demandais s’il n’allait pas être entendu par la cuisinière.
Nous sommes descendus déjeuner et avons fait honneur au repas. Dans l’après-midi, avant leur départ, j’ai sucé leurs belles queues. À mon grand regret, ce fut l’heure du départ de mes deux amants.
— Avec toi, je me sens devenir pédé à 100% me dit le blondinet.
J’espère en connaître d’autres comme eux, et avoir l’occasion de convertir le maximum de mâles aux plaisirs de Sodome.
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