Belle nana du Chili prends son pied

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Belle nana du Chili prends son pied
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Les voyages Chili J.99 (06.04) : défonçage de porte, 24h de bus & Toblerone fondu.

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Levés vers 7h30, un peu à la bourre car nécessité de prendre le taxi au max max à 9h pour attraper le bus de 9h31 pour le nord du Chili. Pdj vite vite réalisé, on peut faire cuire ses œufs comme on le souhaite donc on choisit l'option « à la coque », ça prend moins de temps & ça nous fera moins de vaisselle. Claire prend quelques news de ses parents. Vers 8h45, je retourne à la chambre pour récupérer tous nos bagages, et là, en voulant ouvrir la porte : la clé se casse en deux dans la serrure !! Je retourne paniqué vers Claire, toujours au tel, que faire ?!!! La fille de l'hôtel me répond confuse que d'autres touristes ont cassé le double hier et qu'elle n'a pas eu le temps d'en refaire une nouvelle…
En gros, on est un peu dans la merde et ça urge car on doit partir dans les 5 minutes attraper un taxi et courir prendre le bus… !! Je commence à tenter d'ouvrir avec une carte bleue, mauvaise idée… la nana tente avec un tournevis, marche pas non plus, plus qu'une solution : défoncer la porte au pied ! C'est une porte en bois, ça devrait le faire…
BAM, premier coup, la porte tremble mais ne cède pas. Je tente à l'épaule, moins efficace. Plus que quelques minutes avant d'être vraiment à la bourre. 
Je tente et retente, presque, sur un des coups je frappe la poignée en métal. Plus le temps, dernier essai, je prends plus d'élan et donne tout ce que j'ai. La latte centrale de la porte explose, on passe la main à travers la porte et tournons la poignée. Drôle de mélange de sentiments : culpabilité d'avoir ruiné la porte d'une chambre d'un petit hôtel sympa, satisfaction de pouvoir récupérer nos bagages et stress de devoir tout faire maintenant pour ne pas rater le bus. Go !
On essaie de se commander un Uber car l'hôtel est un peu dans un coin perdu et dur de toper un taxi par là. 7 minutes d'attente, c'est la merde ! Par miracle un taxi passe, on l'arrête, on annule le Uber et prévenons le taxi de la situation, rapido ! 
Le taxi fonce, zigzague entre ses confrères pour sauver la situation. Il trouve même le temps de jouer le guide en nous montrant du doigts les principaux monuments. Il nous dépose in-extremis à un raccourci (passage par les couloirs du métro) pour rejoindre les bus, je traîne la patte, mon pied droit me fait mal mais pas le temps de penser ! 
On arrive 5min avant le départ du bus, balançons nos sacs et nous installons sur nos sièges très conforts. C'est parti pour 24h de bus direction le désert de San Pedro de Atacama ! 
Après quelques heures, premier stop, un petit Monsieur rentre dans le bus pour vendre ses empanadas faites maison et encore toutes chaudes, on en prend 2 à 1500 pesos l’unité (2€), délicieuses & consistantes. Les empanadas sont énormes ici. 
Paysages rocailleux, poussiéreux et sublimes. 
Plus les heures avancent, plus mon pied me fait souffrir, impossible de mettre mes baskets, chaque pas est un couteau qui me saisit le plat du pied… ! 2ème stop à La Serena, on sort pour aller aux toilettes. Ils sont payants & c'est aussi possible d'y prendre une douche pour les voyageurs pressés ou longue distance, bien vu ! Je boîte et me traîne aux toilettes. 
Dans le bus Claire me fait un bandage badigeonné de baume du tigre (#astuce #çaarracheunpeu) et je troque baskets contre claquettes, ça soulage un peu. 
Le conducteur nous avertit de bien faire attention à nos petits sacs car il y a pas mal de vols. Un couple s'embrasse goulûment depuis 3h devant nous hehe. Les heures défilent, il y a des films, les sièges sont confortables et on a même le droit à un petit cookie bien sec avec un petit jus de fruit bien sucré. 
Je ne peux quasiment plus poser le pied au sol, je craque un peu & j'en pleure de rage ; c'est si frustrant d'avoir fait tout ce chemin jusqu'en Amérique du Sud et de mettre en péril tout notre voyage à peine arrivés pour une connerie de porte d'hôtel !! Claire me réconforte bien, on s'écoute un peu de musique latinos via la radio du bus qui colle bien au décor et on noie notre stress avec des mini Toblerones fondus : c'est encore meilleur !! 
Un splendide coucher de soleil sur les montagnes nous redonne le moral, c'est beau, on verra bien demain pour le pied. Adios ! 
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Triple tentative de pénétration au Pérou



Accueil > > Juin > 9 > Chili > Triple tentative de pénétration au Pérou


Morgane et Joselito Tirados ont voyagé durant une année en Amérique du sud à la rencontre de ceux qui font ce pays. Ce fût l'occasion pour eux d'envisager une installation sur place (certainement au Chili) et de développer un business autour de la cosmétique et des produits de bien être pour elle et proposer ces compétences en matière de stratégie d'entreprise pour lui.


















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Laura


6 Août 2013

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24 mai 2013, 10h00, Arica nord Chili.
Pour la deuxième fois nous quittons le gang des Rivarapid sur la plage dite « Las Machas ».
On se sert la main, on se fait la bise et on se dit que cette fois on ne va pas se revoir en Amérique du sud. Eux partent vers la Bolivie, nous vers le Pérou.
En voyage les amitiés sont rapides et intenses. Les au revoir n’ont pas besoin de durer une éternité.
Avec Morgane nous sommes un peu « désorientés » de nous retrouver ainsi à deux, après quelques jours en groupe mais très vite nous reprenons nos repères et la route. Essence, eau et nous voilà partis en direction de la frontière entre le Chili et le Pérou.
Vingt petites minutes de route et nous y voilà. Comme à chaque fois nous sortons l’ensemble des documents et cherchons rapidement l’ordre dans lequel nous devons procéder.
C’est un jeu un peu idiot que cette histoire de frontière. La mécanique est toujours la même : d’abord les humains passent par l’immigration pour sortir d’un pays. Ensuite la voiture passe à la douane pour sortir elle aussi du pays. Parfois il y a en plus l’inspection sanitaire. Et puis il faut procéder de la même façon à l’entrée de l’autre pays.
C’est pas compliqué sauf qu’à chaque coup ils changent l’ordre des guichets.
Pour ma part j’ajoute que c’est souvent un moment de stress. J’ai du mal à me retrouver dans un endroit avec des tas de gens en arme et en costume de militaire. Si l’un d’eux pour une raison ou une autre se met à tirer dans le tas ? Non sérieux, pour certains d’entre eux, je ne suis pas certain qu’il soit sage de les laisser se balader avec un flingue à la ceinture. Bref.
Avec l’expérience nous arrivons à repérer rapidement le bon guichet, me voici donc face à un homme d’un certain âge à qui je tends l’ensemble des documents avec mon plus beau sourire.
Alors que j’attends un coup de tampon et une indication de la marche à suivre pour poursuivre le voyage, le gentil douanier m’informe que nous ne pouvons pas nous rendre au Pérou. Son « non » est catégorique.
Petit moment de lévitation transcendantale…heu bon, ok, oui, mais heu…pourquoi ?
Il n’y a pas de convention pour notre cas entre le Chili et le Pérou. En clair, nous humains nous pouvons nous rendre sans souci au Pérou mais pas la voiture. Nous sommes français avec un véhicule chilien et nous ne vivons pas au Chili donc pas moyen de rentrer au Pérou. Ça c’est fait.
Je traduis ce que le gars vient de dire à Morgane, enfin quand je dis je traduis je veux dire que je réfléchis en français à haute voix car Morgane a bien pigé le souci.
Puisque c’est comme ça nous allons directement en Bolivie et puis c’est tout.
Bonne idée me dit Morgane sauf qu’il n’est plus possible d’aller en Équateur et en Colombie dans ce cas (leçon de géographie en accélérée by Morgane). Merde et merde et mierda de fucking.
Un type reniflant le touriste dans la merde vient nous proposer son aide. Au bout de deux minutes, il se casse car il pige rapidement que nous n’iront pas au Pérou dans sa voiture mais bien avec la notre. Toutefois cela donne à Morgane le temps de me relancer. En effet, les anciens propriétaires du Ford étaient dans le même cas que nous ; français avec un véhicule chilien et ils sont bien allés au Pérou !
Retour vers le douanier chilien et explication un peu plus serrée cette fois.
La solution est là et toute bête. Nous devons passer par la Bolivie pour rejoindre le Pérou.
C’est exactement ce que je ne voulais pas faire. A force d’entendre dire que les flics boliviens sont tous corrompus, j’ai fini par convaincre Morgane que nous n’allions pas passer par ce satané pays (même si c’est beau). En plus cela implique de devoir grimper à plus de 4500 mètres et notre dernière ballade à cette altitude a fatigué ma petite personne ( la preuve en image ).
Le plus stupide dans l’histoire est qu’il nous sera tout à fait possible de traverser cette frontière dans l’autre sens car il existe un accord entre les deux pays pour aller du Pérou vers le Chili. Vive l’Europe et l’absence de frontière. C’est dans ces moments là où nous prenons conscience de la chance qu’est l’Europe et la libre circulation des personnes et des biens.
Bref, pendant que je grogne en pensant aux nombreux kilomètres que nous allons devoir nous taper, au froid, au mal de tête en altitude et à la bêtise humaine, Morgane planifie la suite et nous voilà en train d’assurer notre autonomie en essence et en eau pour nous rendre en Bolivie.
25 mai 2013, Putre, Nord Chili, 3500 m au dessus du niveau de la mer.

Depuis ce petit village lové au pied de deux merveilleux sommets, il suffit de parcourir douze petits kilomètres pour se retrouver 1000 mètres plus haut face à l’incroyable volcan Parinacota en plein milieu du parc naturel Lauca à l’extrême nord du Chili.
Dire que nous nous étions pris la tête avec Morgane il y a plusieurs semaines pour savoir si oui ou non nous allions passer par cet endroit de rêve. Après une bonne heure d’engueulade, c’est le non qu’il l’avait emporté. J’étais en train de me remémorer cette belle soirée de prise de chou tout en regardant ce paysage incroyable.
Nous allions rester tranquillement quelques jours à Putre le temps de nous acclimater à l’altitude, en sirotant des tisanes de coca.
Autant en profiter pour faire ami ami avec la population locale.
Avec Morgane nous avons ce goût pour la philosophie gustative. Quand il nous faut méditer sur le cours des choses, nous aimons bien le faire devant une bonne assiette. Direction donc le restaurant du coin histoire de tester la bouffe locale et tâter de l’autochtone.
La dernière fois que nous avons croisé les quatre Rivarapid c’était au milieu de nulle part. Cette fois, c’est sur le stade de foot de Putre que les retrouvailles auront lieu. Autant la première fois nous pensions nous revoir avant que nos chemins bifurquent, autant cette fois la surprise fût de taille pour eux.
Après avoir expliqué le pourquoi du comment de notre présence ici, nous décidons de faire la route ensemble.
Histoire de ne pas monter trop vite, nous prenons le temps de faire une pause aux thermes de Jurasi à 4100 m et de passer la nuit sur place.
Nous iront ainsi ensemble passer une nuit au pied du Parinacota à 4500 m. Vent, froid et spectacle fabuleux du volcan se mirant dans les eaux cristallines du lac Chungara sont au rendez vous. Rien de tel pour oublier notre mésaventure et nous donner envie de continuer notre chemin vers le Pérou
Après une troisième cérémonie d’au revoir, les Rivarapid foncent vers la frontière bolivienne alors que nous voguons vers celle du Pérou.
29 mai 2013, Visviri. Poste Frontière entre le Chili et la Bolivie.
En fait, si tout c’était déroulé comme prévu (donc de façon chiante), nous serions en train de regarder les lignes mystérieuses de Nazca au Pérou. Là nous sommes à la frontière entre le Chili et la Bolivie (le pays que je ne voulais pas traverser).
Côté chilien tout baigne. Les douaniers nous donne des tas de conseils précieux pour passer du côté bolivien ; alors surtout ne donnez jamais vos originaux, si vous rencontrez un souci surtout vous revenez ici pour qu’on vous protège. Ah oui, en aucun cas ne passer la barrière avec la voiture. Si vous le faites, les douaniers boliviens vont considérer que vous êtes entrés clandestinement dans le pays et la voiture sera confisquée.
Ok, ok, ok, bien noté (putain mais pourquoi on est là ? Pourquoi on va en Bolivie b..de..m…de…p…de chiotte !
Pour ceux qui ont déjà pratiqué le billard français la suite de l’histoire va sembler évidente. Nous quittons donc Visviri au Chili pour nous rendre à Charaña en Bolivie (accrochez vous ça déménage).
C’est un plan à trois cette histoire et d’ailleurs l’endroit sur la carte porte le nom de Tripartito (traduire plan foireux à trois). Donc le tripartite est un endroit qui se trouve entre le Chili, la Bolivie et le Pérou.
Dans nos cerveaux de Français cela signifie regroupement des structures donc simplicité donc rapidité d’action. En Amérique du sud cela signifie : Te voilà plongé dans un Woody Allen et tu vas passer une putain de journée à plus de 4000 mètres d’altitude avec des douaniers de trois pays différents. Allez on y va !
On quitte le Chili et nous entrons en Bolivie. La voiture passe la frontière haut la main et nous avons une autorisation de séjour dans le pays de 7 jours. C’est cool mais nous n’avons besoin que de deux heures grand maximum puisque en vrai nous allons au Pérou. Le monsieur qui doit tamponner nos passeports n’est pas là et nous devons faire les cinq kilomètres qui séparent Charaña (Bolivie) de Visviri (Chili) pour faire tamponner nos passeports.
Le douanier bolivien n’est pas trop stupide et comprend que nous voulons juste faire un passage et nous rendre au Pérou. Il tamponne rapidement nos passeports avec un coup de tampon pour l’entrée et un coup de tampon pour la sortie.
Ça c’est fait, et nous voilà en route vers le Pérou qui se trouve à 30 minutes de piste de notre position actuelle (Visviri).
Alors le tripartite, c’est un peu comme un village de western en plein midi. Rues vides, maisons aux volets clos. Ambiance mains moites, pieds poites. Nous trouvons deux flics boliviens (ceux qui rakettent les touristes). Je flippe un peu mais je me lance et je demande comment passer au Pérou. Ils sont deux et sont en train de regarder un film sur leur PC. Ils m’indiquent le chemin.
Nous traversons le village au ralenti et nous voilà devant une sorte de baraquement militaire avec une barrière. Pas de doute, c’est le Pérou de l’autre côté.
Je me ballade un peu dans cet espèce d’endroit bizarre quand soudain je tombe sur un humain. Par chance, c’est un douanier péruvien habillé en civil.
Le monsieur d’un certain âge m’explique que nous ne pouvons pas passer par cette frontière puisqu’il n’a aucun tampon. Il nous faut aller à Desaguadero en Bolivie, à côté de la Paz pour pouvoir nous rendre au Pérou.
Là je sens comme un petit coup de mou. Une envie subite de rentrer en France,
La soumission, soft et excitant à la fois
Jeune antillaise en lingerie fine se fait sauter par rouquin
Superbe nana dans un plan à trois

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