Belle amateur se laisse emporter par la passion

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Écrit par



François Clapeau





Gary Chauvin va évoluer à la salle Grenon de Tours encore deux saisons.

© France 3 Limousin







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Les réponses à vos questions #OnVousRépond

Brive : Gary Chauvin au sommet du volley français









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C'est une discipline qui a fait briller la France lors des JO de Tokyo, avec une médaille d'or… Le Limousin ne compte pas de club de haut-niveau en volley-ball, mais le passeur corrézien Gary Chauvin s'illustre à Tours, une des meilleures équipes du pays.
Rencontre au bord de la Loire… Gary Chauvin va entamer sa deuxième saison dans l'un des meilleurs clubs français, le Tours Volley-Ball.
Mais c’est bien à Brive qu’il a débuté à l’âge de 6 ans. Il y a ensuite joué au plus haut niveau amateur, jusqu’en 2005, ce qui peut surprendre certains coéquipiers : "On n’a pas une culture de volley en Corrèze. Quand je dis aux joueurs étrangers que je viens de Brive, ils ne connaissent pas trop. Comme quoi on peut aussi arriver à jouer en pro, avec beaucoup de travail et d’abnégation, même en venant de régions qui sont pauvres dans ce sport."
À 33 ans, Gary Chauvin a déjà un long parcours ; il a même été champion de France avec Chaumont. 
Après une saison marquée par le Covid, il découvre encore sa nouvelle ville, sans aucune appréhension : "J’ai pas mal bougé… Je suis parti de Brive quand j’avais 18 ans. Entre Alès, Narbonne, Paris, Nantes, Rennes et Chaumont… Je me retrouve à Tours depuis l’année dernière, pour encore deux saisons. C’est un peu une vie de vagabond, mais c’est des petits sacrifices à faire pour vivre de sa passion !"
La famille de Gary Chauvin habite toujours en Corrèze. Son père Jean est un ancien dirigeant du CAB Volley. 
Evidemment, il est très fier de son fils et du modèle qu'il représente : "C’est un sport qui développe un certain nombre de qualités inhérentes à l’ensemble des sports collectifs, mais en plus, on a vraiment une dépendance les uns par rapports aux autres qui fait que l’esprit collectif est encore plus exacerbé."
Gary Chauvin est passeur, un poste stratégique, l’équivalent du meneur au basket. 
Pour promouvoir son sport, il a un coéquipier de choix : Kévin Tillie, champion olympique à Tokyo avec l’équipe de France, qui se prête volontiers aux interviews : "Des gens qui ne regardaient pas forcément le volley ont apprécié les Jeux olympiques, ils ont adoré le tournoi, et ils m’en parlent beaucoup (…). En France, il y a tellement de sports collectifs à haut-niveau qu’il faut batailler pour trouver sa place. Avec une médaille olympique, on espère pousser les jeunes à venir au volley."
Grâce à cet élan, la saison devrait être belle... L’objectif de Gary Chauvin, c’est un nouveau titre de champion. Et comme tous les amoureux du volley, il attend qu’une relève se laisse emporter par la passion, partout en France, jusqu’en Limousin.

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Il le reconnaît lui-même. Il ne met pas toujours de préservatif. Sham*, étudiant de 22 ans, a donc parfois des rapports non protégés. « Oui, il y a des moments de laisser-aller. Je fais confiance et voilà, avoue-t-il sans difficulté. Parfois, on se laisse emporter par l'envie, par l'excitation du moment. C'est de la spontanéité. Et puis, c'est quand même mieux sans préservatif. » Toutefois, ce n'est pas toujours la règle. « Je demande aussi si le mec est clean. S'il a fait des tests. Je le crois quand il me répond. » Pourtant, il y a peu Sham a eu une mauvaise expérience. « J'ai contracté la syphilis après un rapport non protégé. J'ai cru la personne et cela s'est retourné contre moi. Plus jamais je ne veux vivre ça. » Alors dans les bars ou pubs dans lequel il aime prendre des verres au cÅ?ur du Marais à Paris, il n'hésite plus à s'emparer des préservatifs mis à la disposition de la clientèle.
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Le football féminin italien est à
la croisée des chemins. Après une Coupe du monde encourageante, la
Squadra Azzura entame ces éliminatoires à l’Euro 2021 avec pour
ambition de s’installer dans le concert des nations européennes du
football féminin. Le temps de l’envol ?

«On ne peut pas toujours parler de donner des sous à quatre lesbiennes.»
Signé Felice Bolleli. Qui a toujours
nié avoir prononcé ces mots lors d’une réunion en 2015. Cela n’a
pas empêché la polémique. Belloli n’est pas n’importe qui. En
2015, il est le président de la Ligue de football amateur en Italie
(la Lega Nazionale Dilettanti ), du football de D4, mais et
surtout aussi du football féminin italien.

Après vingt ans d’absence en Coupe
du monde, l’Italie sort de la compétition par la grande porte.
Elle sort première de son groupe de poule, devant le Brésil,
l’Australie dont elle s’offre le scalp (2-1) et la Jamaïque.
Mais fatiguée par l’enchaînement des matchs, la Squadra Azzura se
laisse emporter en quarts de finale par les futures vice-championnes
du monde néerlandaises.

La mondialiste tricolore Julie Debever
signe à l’Inter de Milan. Le club Nerazzuri se lance enfin dans le
grand bain du calcio femminile après le rachat en 2018 de
l’ASD Femminile Inter Milano, un club de Serie B qui vient tout
juste de s’ouvrir les portes de la Serie A, la première division
italienne.
2015-2019. Quatre années de secousses
plus ou moins douces, comme les répliques d’un mini-séisme qui
secoue de manière insistante la tectonique football de l’autre
côté des Alpes. Le Mondial en France a soudain braqué le
projecteur sur les forces et antagonismes qui travaillent le calcio
femminile. Objectif : tourner le dos et pour toujours à
vingt années de marasmes, de non investissements.

Entre le football féminin et l’Italie, l’histoire avait bien commencé. Lorsque les femmes amorcent le virage des années 70 avec des velléités footballistiques, l’Italie est en pointe. C’est le premier pays à organiser une compétition internationale officieuse de football en 1970 : la Coppa del Mondo . La Squadra Azzura se hisse en finale face au Danemark. 10 000 personnes assistent à leur défaite 2-0. Bis repetita en 1984, l’Italie organise le Mundialito , qu’elle remporte 3-1, face à l’Allemagne de l’Ouest. 5 000 personnes assistent à leur sacre.
Rappeler ces histoires vieilles de
quarante ans resitue l’Italie sur la carte du football féminin.
S’il ne s’est quasiment rien passé durant toute la première
partie des années 2000, cela ne signifie pas pour autant que le
calcio femminile n’est pas chez lui en Italie. Les germes de
sa résurrection étaient semés, prêts à refleurir.

La Fiorentina est le premier club à semer. En 2015, elle crée sa propre section féminine, première étape majeure de la recomposition du football féminin. Bien sûr de nombreuses équipes existaient, une Serie A depuis 1968, dominée surtout le Brescia Calcio Femminile. Mais la Fiorentina est le premier club d’envergure à avoir compris l’importance de créer une équipe féminine de haut niveau, lui faire bénéficier des structures professionnelles mises à disposition des hommes.
C’est également un des seuls clubs à avoir créé sa section féminine. Fiorentina, first mover. Les autres grosses écuries dans son sillage optent pour la stratégie fusion. On repère un club prometteur du calcio femminile , on le rachète, on joue les premiers rôles en Serie A. En échange, on donne son nom, son aura, ses infrastructures, des moyens. Bref. On existe.
En 2017, le Cueno Calcio n’existe
plus, racheté par la Juventus de Turin. Un an plus tard, en 2018, le
légendaire ACF Brescia Calcio connaît le même destin, racheté par
le Milan AC. Dernier club à rejoindre le mouvement à ce jour,
l’Inter de Milan, qui s’offre l’ASD Femminile Inter Milano.

#Amale , da oggi ancora di più! ?‍ ?? Nuova avventura per l'Inter, che abbraccia ufficialmente la sua Prima Squadra femminile: benvenute nella famiglia nerazzurra, ragazze! #InterWomen #ForzaInter #FCIM pic.twitter.com/ZiLvtPe80y
À l’orée de cette saison 2019-2020, seuls deux clubs ne sont pas affiliés à une structure masculine : Florentia San Gimignano et l’UPC Tavagnacco. En France comme ailleurs, sans soutien d’un club masculin, difficile de durer au plus haut niveau aujourd’hui. Cette saison en première division française, seul le club de Soyaux ne s’appuie que sur lui-même et son histoire.
Ça pousse de partout. Pour la première fois, le championnat est organisé par la Fédération de football italien. Ça structure, ça fait sérieux. Et le reste suit. La diffusion médiatique de cette saison pré Mondial attise les convoitises. La Sky obtient les droits de diffusion des matchs de Serie A, alléchée par la perspective du Mondial, et le succès des retransmissions de la saison précédente sur la page Facebook de la Lega nazionale dilettanti , sur le site calciofemminile.lnd.it ainsi qu’en clair sur Raisport .
La Sky entend rentabiliser son investissement. En mars 2019, la chaîne réalise une opération d’envergure pour le choc entre la Juventus et la Fiorentina. Publicités, billets gratuits. Immense succès. Près de 40 000 spectateurs se pressent au Stade Allianz de Turin pour assister au succès 1-0 des Turinoises. Record absolu.
Cette mécanique qui se met en place
attire les sponsors. En 2018, la Juve lance un partenariat avec Mars
Inc., pour afficher la marque M&Ms sur les maillots noir et blanc
jusqu’en 2021.

#sponsoring Le groupe Mars a prolongé son partenariat avec la Juventus Turin jusqu’en 2021, avec pour nouveauté le #sponsoring maillot de l’équipe féminine du club (via sa marque M&M's). Preuve que le sport féminin attire de plus en plus de #sponsors ! ???? #womensports pic.twitter.com/BD11Byizeu
Les joueuses commencent à exister, les Barbara Bonnasea, Daniela Sabatino. Ou existent carrément, jouissent d’une popularité réelle, à l’image de la capitaine de la Squadra Azzura, Sara Gama, qui a droit à son effigie Barbie.
Les joueuses italiennes ont également
fait leur grande entrée dans l’album Panini des footballeurs. C
La première DP de Liana
Une double pipe parfaite et une pénétration intense
POV avec la roumaine Sensual Jane

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