Bella Moretti prouve son expertise en fellation

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L'agenda et les actualités de l'INA
L'Institut national de l'audiovisuel
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Pendant la prestation de Martial Solal au piano, la camĂ©ra s'arrĂȘte sur Muriel ROBIN, dans la salle. L'humoriste se prĂȘte Ă  un petit jeu avec la camĂ©ra avec force gesticulations, laissant apparaitre sa poitrine opulente Ă  peine cachĂ©e derriĂšre une robe trĂšs trĂšs dĂ©colletĂ©e...
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12.02.2022 − Postface Ă  "L'Homosexuel" suivi des "Quatre Jumelles" de Copi – Christian Bourgois Ă©diteur
« Reclining Back, Three Panels, Left », 1990 © The John Coplans Trust
[1] CitĂ© dans l’exposition et extrait de Christopher Lyon, « Seeing from Inside : John Coplans on “A Body of Work”, MoMA [ The Museum of Modern Art Members Quarterly ], New York, n°47, printemps 1988. La traduction française est publiĂ©e dans le livre de Jean-François Chevrier, John Coplans — Un corps, Le Point du Jour, 2021.
[2] C’est peut-ĂȘtre l’apanage des corps ĂągĂ©s. En ce sens, Coplans prend le contrepied d’un Robert Mapplethorpe qui s’inscrit selon lui dans « l’idĂ©alisation de la forme ». « Je suis contre l’idĂ©alisation », affirme Coplans. « Je dis la vĂ©ritĂ© sur ma laideur. Souvent je pense qu’il doit ĂȘtre choquant pour les gens de voir des photos si laides. La plupart des gens sont laids. La beautĂ© universelle est une utopie. J’utilise l’appareil pour rĂ©vĂ©ler la vĂ©ritĂ© et non pour me cacher derriĂšre l’ordre classique de la beautĂ©. » , in. « John Coplans Ă  Marseille », Le Monde, 19 aoĂ»t 1989, non signĂ©).
[3] CitĂ© dans l’exposition et extrait de Christopher Lyon, « Seeing from Inside... », op. cit.
[5] CitĂ© dans l’exposition et extrait de Jean-François Chevrier, Une autre objectivitĂ©, Idea Books, Milan,1989. Jean-François Chevrier rapporte que Coplans dessinait d’abord les images de son corps. Il orientait ensuite la prise de vue de son assistante en la guidant grĂące Ă  un retour vidĂ©o. À la fin de sa vie, quand Coplans deviendra aveugle, il s’en remettra totalement Ă  la prĂ©visualisation de la photo par le dessin.
[6] CitĂ© dans l’exposition et extrait de « My chronology » in John Coplans, A Body : John Coplans, New York, PowerHouse Books, 2002 ( lisible ici) .
[7] StĂ©phane MallarmĂ©, citĂ© par Jean-François Chevrier, Les relations du corps, L’ArachnĂ©en, Paris, 2011
[1] Voir Jacques RanciĂšre, Le spectateur Ă©mancipĂ© , Paris, La Fabrique, 2008, p. 7 Ă  29. Dans cet essai, l’auteur bat en brĂšche l’idĂ©e selon laquelle un spectateur est passif en regardant une piĂšce. « Regarder est aussi une action », dit-il. Le spectateur « observe », « sĂ©lectionne », « compare », « interprĂšte », « lie ce qu’il voit Ă  bien d’autres choses qu’il a vues » et « compose son propre poĂšme avec les Ă©lĂ©ments du poĂšme en face de lui » (p. 19). [2] Jean Dubuffet, Asphyxiante culture , Paris, Éditions de Minuit, 2011, p. 115-116. « On prĂ©tend que les rois de naguĂšre tolĂ©raient auprĂšs d’eux un personnage qualifiĂ© de fou qui riait de toutes les institutions ; on dit aussi que les cortĂšges triomphaux des grands vainqueurs romains comportaient un personnage dont la fonction Ă©tait d’injurier le triomphateur. Notre sociĂ©tĂ© d’aujourd’hui, qu’on dit si sĂ»re de sa ferme assise sur sa culture et en mesure de rĂ©cupĂ©rer au profit de celle-ci toute espĂšce de subversion, pourrait donc bien tolĂ©rer ces gymnases et ce corps de spĂ©cialistes, et mĂȘme, qui sait ? subvenir Ă  leur entretien. Peut-ĂȘtre qu’elle rĂ©cupĂ©rerait aussi cette totale contestation. Ce n’est pas sĂ»r. C’est Ă  essayer. » [3] RĂ©duire l’offre a Ă©tĂ© donnĂ© en fĂ©vrier 2012 au Studio-ThĂ©Ăątre de Vitry et Gymnase nihiliste au CAC BrĂ©tigny de novembre Ă  dĂ©cembre 2013. [4] Heiner MĂŒller, « Le thĂ©Ăątre est crise », conversation de travail du 16 octobre 1995 avec Ute Scharfenberg, traduit par Jean-Louis Besson et Jean Jourdheuil, ThĂ©Ăątre/Public , n°160-161, 2000, p. 8 [5] Jean Dubuffet, op.cit. , p. 29 et p. 46 [6] Tel Ă©tait le mot d’ordre (et le hashtag) de la mobilisation nationale des 20 et 21 mars 2021, Ă  l’initiative du SyndĂ©ac (Syndicat des entreprises artistiques et culturelles).
21.01.2021 − Postface au "Bal des folles" de Copi – Christian Bourgois Ă©diteur
CrĂ©dit : Hasegawa Tƍhaku, « Pins », XVIe siĂšcle
[ 1] OpĂ©ration lancĂ©e le 18 mars 2020 par le ministĂšre de la culture et de la communication : « Chacun est invitĂ© Ă  rester chez soi pour Ă©viter la propagation du Covid-19 jusqu’au 31 mars minimum. C’est l’occasion de dĂ©couvrir l’exceptionnelle offre culturelle numĂ©rique proposĂ©e par le ministĂšre de la culture et ses nombreux opĂ©rateurs. » [2] Wajdi Mouawad, Journal de confinement , Jour 0, 17 mars 2020 [3] Annie Le Brun, Du trop de rĂ©alitĂ©, Stock, Paris, 2000, p. 115. [4] « La festivisation globalisĂ©e paraĂźt ĂȘtre le travail mĂȘme de notre Ă©poque (
). Dans le monde hyperfestif, la fĂȘte n’est plus en opposition, ou en contradiction avec la vie quotidienne ; elle devient le quotidien mĂȘme. » (Philippe Muray, AprĂšs l’histoire, Gallimard, Paris, 2000, p. 15). Lire aussi Evelyne Pieiller, « Mauvais esprit, es-tu là ? », Le Monde diplomatique, aoĂ»t 2011. [5] C’est ce que disait François Regnault dans une lettre adressĂ©e Ă  une commission Ă©tudiante de Paris-III en 1995 : « revendiquer que les arts soient considĂ©rĂ©s comme aussi utiles Ă  la sociĂ©tĂ© que le gaz et l’électricitĂ© part certainement de la meilleure intention du monde (
) mais il faut dire une bonne fois que cela consiste Ă  les aligner Ă  tout jamais sur la marchandise (
). Je mets en question l’idĂ©ologie du service public qui consiste Ă  faire croire aux sujets, citoyens et contribuables, qu’un thĂ©Ăątre est indispensable comme l’école et la poste » (citĂ© par Olivier Neveux dans Contre le thĂ©Ăątre politique, La Fabrique Ă©ditions, 2019, p. 80 ; lire « MisĂšres du thĂ©Ăątre politique », Le Monde diplomatique, mai 2019).
Dauphins, Dauphines , exposition de Charlotte Khouri, du 25 janvier au 21 mars 2020 à La Galerie, Centre d’art contemporain de Noisy-le-Sec
Photo 1 : Thibaud Croisy Photos 2 et 3 : Extraits du tournage de Nuit majeure , 2020 © Nathanaëlle Puaud
Photo : JĂłzsef Ferenczy, "Ronde", date inconnue
[1] Roslyn Sulcas, « When the choregrapher won’t fly, the dancers rehearse by Skype » , New York Times, 23 septembre 2019. Trad. de T.C.
[2] Les spectacles vivants du Centre Pompidou, publication Facebook du 1er octobre à 12h34.
[5] L’Express , op.cit. [6] Ibidem .
[8] Voir Carole Talon-Hugon, L’art sous contrĂŽle, Paris, PUF, 2019. Voir aussi « L’art doit-il ĂȘtre moral ? » , entretien avec Carole Talon-Hugon et Violaine Roussel, par Marc-Olivier Bherer, Le Monde, 11 octobre 2019
[9] « Comme un chauffeur de salle, micro fixĂ© Ă  l’oreille, short oversize et vieilles baskets de course aux pieds, le chorĂ©graphe aux yeux rieurs prend soudain un air grave : “Pour des raisons Ă©cologiques, je n’ai pas distribuĂ© le programme de ma piĂšce. Ce soir, c’est moi qui vais vous le lire.” », citĂ© par ChloĂ© SarramĂ©a, « Le chorĂ©graphe JĂ©rĂŽme Bel fait monter les spectateurs sur scĂšne » , NumĂ©ro Magazine, 4 octobre 2019. Sur le sujet, voir aussi l’analyse clairvoyante d’Ève Beauvallet : « JĂ©rĂŽme Bel, en vert et contre tout » , LibĂ©ration, 30 septembre 2019.
Collage : Thibaud Croisy à partir d’une photo de Jacques Morell (Getty / Sygma)
Photo © "The Perfect Beach", Aram Bartholl, Thailand Biennale 2018
Thibaud Croisy Paru sur Lundi Matin le 21 novembre 2018
[1] Cette question était posée exactement en ces termes par Aude Lorriaux dans un article intitulé « Comment Instagram tue notre expérience contemplative » , Slate , 4 novembre 2018
[3] Ibidem . Site internet de Yondr, https://www.overyondr.com/
Thibaud Croisy Paru sur Lundi Matin le 26 juillet 2018
[1] Les Intermittents du dĂ©sordre, « À propos de notre premiĂšre piĂšce : L’OdĂ©on commĂ©more comme un mort ou L’esprit de Mairde », tract distribuĂ© au ThĂ©Ăątre de l’OdĂ©on le 25 mai 2018, lisible en intĂ©gralitĂ© sur Lundi Matin [2] Les Intermittents du dĂ©sordre, « Vincent Macaigne n’a pas jouĂ© au ThĂ©Ăątre de la Colline » , Lundi Matin , 18 juin 2018. Toutes les actions du groupe sont prĂ©cĂ©dĂ©es ou suivies de communiquĂ©s diffusĂ©s sur internet. [3] Pierre Longeray, « Les intermittents du dĂ©sordre : hackers de thĂ©Ăątre » , Vice , 19 juin 2018 [4] Les Intermittents du dĂ©sordre, « Faisons connaissance », communiquĂ© lisible en intĂ©gralitĂ© sur Lundi Matin , 1er juin 2018
[8] À titre d’exemples, en 2015, ce sont Joachim Salinger, comĂ©dien, et Marie Payen, comĂ©dienne, qui Ă©crivaient un article pour demander Ă  Luc Bondy, alors directeur de l’OdĂ©on, de mettre un terme Ă  la campagne de mĂ©cĂ©nat participatif que le thĂ©Ăątre avait lancĂ© pour financer un projet d’action culturelle dans une zone d’éducation prioritaire ( « Scandale thĂ©Ăątral : quand l’État se dĂ©sengage de l’action sociale et culturelle », MĂ©diapart , 14 avril 2015). Plus rĂ©cemment, Nicolas Barrot, directeur technique de compagnies, rĂ©pondait Ă  un article de Jean-Pierre Thibaudat ( « Suite Ă  l’article de M. Thibaudat » , MĂ©diapart , 13 mars 2018).
[11] « Macron fustige "les professionnels du dĂ©sordre" dans les universitĂ©s » , Reuters , 12 avril 2018. En pleine pĂ©riode de grĂšve et de manifestations, Emmanuel Macron « fustigeait "les professionnels du dĂ©sordre" qui [bloquent] des universitĂ©s françaises pour dĂ©noncer la rĂ©forme de l’accĂšs aux Ă©tudes supĂ©rieures » et appelait « les Ă©tudiants Ă  "rĂ©viser" leurs examens de fin d’annĂ©e ». Merci papa ! [12] Moulement fut distribuĂ© au cours de l’annĂ©e 2012. Une archive est disponible Ă  cette adresse .
[1] Alain Buffard, colloque, spectacles, exposition, concert , conçu par Mathilde Monnier et Aymar Crosnier, produit par le CN D et l’association PI:ES Alain Buffard, du 4 au 14 octobre 2017 Ă  Pantin et Paris. [2] Colloque Alain Buffard, du 6 au 8 octobre 2017. Le 8, j’intervenais sur We lost the night , piĂšce inachevĂ©e d’Alain Buffard autour de la danseuse allemande Anita Berber. [3] Good boy , conçu et interprĂ©tĂ© par Alain Buffard, assistĂ© de Matthieu Doze, crĂ©Ă© en janvier 1998 Ă  La MĂ©nagerie de Verre (Paris) ; Alain MĂ©nil, Sain[t]s et saufs – Sida : une Ă©pidĂ©mie de l’interprĂ©tation , Les Belles Lettres, 1997. Pierre Lauret affirmait mĂȘme que « Sain[t]s et saufs est le pendant de Good boy » : « c’est la mĂȘme question qui est mise au travail : maintenant qu’on voit qu’on ne va pas mourir, enfin pas tout de suite, et qu’il va falloir "vivre avec", qu’est-ce qu’on fait ? Que fait-on de son corps ? Que fait-on de sa vie ? » Il faut rappeler que la notion de « vivre-avec » est centrale dans la rĂ©flexion d’Alain MĂ©nil sur le sida. PrĂ©sente dĂšs 1997 dans Sain[t]s et saufs , il la retravaillera encore dans l’un de ses derniers articles : « "Vivre-avec" ou les plissements de l’existence », Cahiers philosophiques , n°125, 2Ăšme trimestre 2011, p 107-123 [4] Baron Samedi , conception et mise en scĂšne d’Alain Buffard, crĂ©Ă© en avril 2012 au ThĂ©Ăątre de NĂźmes ; Alain MĂ©nil, Les voies de la crĂ©olisation. Essai sur Édouard Glissant , De l’Incidence Éditeur, 2011. « Les Alain » avaient aussi rĂ©alisĂ© ensemble un entretien sur le travail de Buffard : « To be moved », entretien avec Alain Buffard par Alain MĂ©nil, OutreScĂšne , revue du ThĂ©Ăątre national de Strasbourg, n°11, juin 2008, p. 43-49 [5] Pierre Lauret, « Le chevalier dĂ©senracinĂ©. Alain MĂ©nil, du sida Ă  la crĂ©olisation », 7 octobre 2017. Sur Alain MĂ©nil, on lira aussi avec intĂ©rĂȘt un autre texte de Pierre Lauret : « Alain MĂ©nil (1958-2012). Hommage », Cahiers philosophiques , n°138, 3Ăšme trimestre 2014, p. 103-107, consultable sur https://www.cairn.info/revue-cahiers-philosophiques1-2014-3-page-103.htm
Thibaud Croisy Paru dans Le Monde , 6 septembre 2017
02.2017 − Catalogue de l'exposition "L'Esprit français : Contre-cultures 1969-1989" – éditions La DĂ©couverte
Suite dans L' Esprit Franç ais – Contre-cultures 1969-1989 sous la direction de Guillaume DĂ©sanges et François Piron, Éditions La DĂ©couverte / La maison rouge, 2017
[1] « Je m’exprime parfois dans ma langue maternelle, l’argentine, souvent dans ma langue maĂźtresse, la française. Pour Ă©crire ce livre mon imagination hĂ©site entre ma mĂšre et ma maĂźtresse ». Ainsi commence RĂ­o de la Plata , le dernier texte de Copi qu’il n’eut pas le temps d’achever ( Album Copi , Éditions Christian Bourgois, 1990, p. 81). [2] RĂ©fĂ©rence Ă  sa piĂšce de thĂ©Ăątre : Copi, ThĂ©Ăątre 2 – Les Escaliers du SacrĂ©-CƓur , Éditions 10/18, 1986 [3] NĂ© en Espagne en 1950, Armando Llamas vĂ©cut en Argentine jusqu’à l’ñge de trente ans. Au vu de sa culture, de ses inspirations et de ses frĂ©quentations, il ne paraĂźt pas scandaleux de lui faire une petite place dans la mouvance des « Argentins de Paris ». [4] Carlos d’Alessio composa les musiques des films de Marguerite Duras, dont le thĂšme bien connu d’ India Song (1975) ; Armando Llamas fut l’assistant de Claude RĂ©gy ; et Marcia Moretto, la professeur de danse de Catherine Ringer avec qui elle joua une piĂšce d’Armando Llamas, Silences nocturnes aux Ăźles des fĂ©es (1977). Sur la vague d’immigration argentine, voir le livre de RenĂ© de Ceccatty, Mes Argentins de Paris (Éditions SĂ©guier, 2014) qui raconte les tribulations de cette faune Ă  travers les portraits de trois d’entre eux : Hector Bianciotti, Silvia Baron Supervielle et Alfredo Arias.
01.03.2017 − Feuille de salle de "Champs d'Appel" au ThĂ©Ăątre de la CitĂ© internationale
10.11.2016 − Projet de direction pour le Studio-ThĂ©Ăątre de Vitry
À l’automne 2016, le Studio-ThĂ©Ăątre de Vitry lançait un appel Ă  projet pour recruter son prochain directeur ou sa prochaine directrice. Je dĂ©posais ma candidature et adressais le projet suivant aux instances dĂ©cisionnaires : MinistĂšre de la Culture, RĂ©gion Île-de-France, DĂ©partement du Val-de-Marne, Ville de Vitry-sur-Seine. En mĂȘme temps que je le postais, je le rendais public sur un site internet accessible Ă  tous. Ce projet n'a pas Ă©tĂ© retenu.
Véronique Alain et Olivier Veillon dans Rencontre avec le public , de Thibaud Croisy, Studio-Théùtre de Vitry, 2014. Photo : Emmanuel Valette.
Sophie Demeyer et Véronique Alain dans Rencontre avec le public , de Thibaud Croisy, Studio-Théùtre de Vitry, 2014. Photo : Emmanuel Valette.
Remerciements : Marie-Laure Menger, Élise Simonet et Isabelle Giovacchini. Toutes les personnes impliquĂ©es dans ce projet ont donnĂ© leur accord.
À la rentrĂ©e 2016, alors que je prĂ©sentais plusieurs piĂšces, je dĂ©tournais la communication du Festival d'Automne Ă  Paris, rebaptisĂ© pour l'occasion Festival d'Automne Ă  Croisy. Le dessin de Pierre Alechinsky, logo du cĂ©lĂšbre festival, Ă©tait dĂ©tournĂ© avec la complicitĂ© d'Isabelle Giovacchini et dĂ©clinĂ© en une centaine de badges, forcĂ©ment collector. Cette communication parodique fut considĂ©rĂ©e par certains comme une rĂ©ponse, voire mĂȘme une riposte, Ă  la communication du Festival d'Automne, grand-messe culturelle de la rentrĂ©e. Lucile Commeaux, journaliste Ă  France Culture, s'intĂ©ressa Ă  cette facĂ©tie dans l'Ă©mission d'Arnaud Laporte, La dispute (17 octobre 2016), Ă  travers une chronique intitulĂ©e : « À quoi sert le Festival d'Automne ? » ( en Ă©coute ici ) . JoĂ«lle Gayot, autre journaliste Ă  France Culture, y rĂ©agit en tenant des propos pour le moins confus. Je me sentis donc autorisĂ© Ă  adresser un droit de rĂ©ponse Ă  l'Ă©quipe de l'Ă©mission afin de ramener un peu de bon sens et de rĂ©tablir quelques vĂ©ritĂ©s. Il fut lu Ă  l'antenne et relayĂ© sur internet. Le voici.
Thibaud Croisy Paru dans Le Monde , 27 juillet 2015
Photo mise en ligne sur la page Facebook du théùtre
Thibaud Croisy Paru dans Le Monde , 1er octobre 2014
01.09.2014 − Éditions de l'Olivier / Éditions CornĂ©lius
Suite dans Vive les pĂ©dĂ©s , Copi Éditions de l'Olivier / Éditions CornĂ©lius, 2014
[1] Giovanni Gandini, Un livre blanc , Éditions Buchet/Chastel, Les cahiers dessinĂ©s, 2002, p. 10
[2] Bizarre , numéro spécial présenté par Jean-Pierre Castelnau et Michel Laclos avec un avant-propos de Jacques Sternberg, n°36-37, quatriÚme trimestre 1964
Thibaud Croisy Paru dans Le Monde , 28 mars 2014
Thibaud Croisy Paru dans la revue Volailles , n°4, avril 2014
[1] Georges Perec, Tentative d’épuisement d’un lieu parisien , Éditions Christian Bourgois, 2008, p. 10 [2] Seul le journal Les Échos , dont le nombre moyen de numĂ©ros achetĂ©s s’élĂšve Ă  122 149 exemplaires par jour, a Ă©tĂ© mis de cĂŽtĂ© en raison de son caractĂšre spĂ©cialisĂ© mais aussi par manque de place dans le cadre qui nous est imparti. Par ailleurs, je me suis contentĂ© de lire les Ă©ditions papiers des quotidiens et non les Ă©ditions numĂ©riques, parfois augmentĂ©es d’articles inĂ©dits.
Thibaud Croisy Paru dans Le Monde diplomatique , le 14 juillet 2013
[1] « Copi, l’homme debout », par SĂ©golĂšne Dargnies, rĂ©alisĂ© par Lionel Quantin, Une vie, une Ɠuvre, France Culture, 58 minutes, 13 juillet 2013. Avec les voix de : Isabelle BarbĂ©ris, Federico Botana, Thibaud Croisy, Delfeil de Ton, Serge Lafaurie, Jorge Lavelli, MarilĂș Marini, Jean-Michel Rabeux et Lionel Soukaz. [2] Serge July, « Bazooka fout la merde. Le graphisme punk. La science-fiction visuelle devient quotidienne. », LibĂ©ration , 12 aoĂ»t 1977. [3] « Copi libĂšre LibĂ©rett’ dans LibĂ©ration », non signĂ©, LibĂ©ration , 27 juin 1979. [4] Ibidem . L’allusion Ă  HĂ©lĂšne Hazera n’était pas dĂ©nuĂ©e d’une certaine cruautĂ© dans la mesure oĂč Copi la rĂ©duisait Ă  sa gĂ©nitalitĂ© (poitrine, pĂ©nis). Pourtant, « à cette Ă©poque », dit-elle, « j’étais discrĂšte, mignonne, et partout dans LibĂ©, il y avait LibĂ©rett’ en train de sodomiser tout un chacun... Tout le monde me disait : "Mais LibĂ©rett', c’est toi, non ?" » (correspondance entre HĂ©lĂšne Hazera et Thibaud Croisy, 3 juillet 2013). [5] « LibĂ©rez-nous de LibĂ©rett’ », LibĂ©ration , 19 juillet 1979
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Trio fait maison

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