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Muriel ROBIN les seins Ă l'air
Les victoires de la musique - 02.02.1991 - 00:42 - vidéo
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L'agenda et les actualités de l'INA
L'Institut national de l'audiovisuel
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Pendant la prestation de Martial Solal au piano, la camĂ©ra s'arrĂȘte sur Muriel ROBIN, dans la salle. L'humoriste se prĂȘte Ă un petit jeu avec la camĂ©ra avec force gesticulations, laissant apparaitre sa poitrine opulente Ă peine cachĂ©e derriĂšre une robe trĂšs trĂšs dĂ©colletĂ©e...
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L'Institut national de l'audiovisuel
12.02.2022 â Postface Ă "L'Homosexuel" suivi des "Quatre Jumelles" de Copi â Christian Bourgois Ă©diteur
« Reclining Back, Three Panels, Left », 1990 © The John Coplans Trust
[1] CitĂ© dans lâexposition et extrait de Christopher Lyon, « Seeing from Inside : John Coplans on âA Body of Workâ, MoMA [ The Museum of Modern Art Members Quarterly ], New York, n°47, printemps 1988. La traduction française est publiĂ©e dans le livre de Jean-François Chevrier, John Coplans â Un corps, Le Point du Jour, 2021.
[2] Câest peut-ĂȘtre lâapanage des corps ĂągĂ©s. En ce sens, Coplans prend le contrepied dâun Robert Mapplethorpe qui sâinscrit selon lui dans « lâidĂ©alisation de la forme ». « Je suis contre lâidĂ©alisation », affirme Coplans. « Je dis la vĂ©ritĂ© sur ma laideur. Souvent je pense quâil doit ĂȘtre choquant pour les gens de voir des photos si laides. La plupart des gens sont laids. La beautĂ© universelle est une utopie. Jâutilise lâappareil pour rĂ©vĂ©ler la vĂ©ritĂ© et non pour me cacher derriĂšre lâordre classique de la beautĂ©. » , in. « John Coplans Ă Marseille », Le Monde, 19 aoĂ»t 1989, non signĂ©).
[3] CitĂ© dans lâexposition et extrait de Christopher Lyon, « Seeing from Inside... », op. cit.
[5] CitĂ© dans lâexposition et extrait de Jean-François Chevrier, Une autre objectivitĂ©, Idea Books, Milan,1989. Jean-François Chevrier rapporte que Coplans dessinait dâabord les images de son corps. Il orientait ensuite la prise de vue de son assistante en la guidant grĂące Ă un retour vidĂ©o. Ă la fin de sa vie, quand Coplans deviendra aveugle, il sâen remettra totalement Ă la prĂ©visualisation de la photo par le dessin.
[6] CitĂ© dans lâexposition et extrait de « My chronology » in John Coplans, A Body : John Coplans, New York, PowerHouse Books, 2002 ( lisible ici) .
[7] StĂ©phane MallarmĂ©, citĂ© par Jean-François Chevrier, Les relations du corps, LâArachnĂ©en, Paris, 2011
[1] Voir Jacques RanciĂšre, Le spectateur Ă©mancipĂ© , Paris, La Fabrique, 2008, p. 7 Ă 29. Dans cet essai, lâauteur bat en brĂšche lâidĂ©e selon laquelle un spectateur est passif en regardant une piĂšce. « Regarder est aussi une action », dit-il. Le spectateur « observe », « sĂ©lectionne », « compare », « interprĂšte », « lie ce quâil voit Ă bien dâautres choses quâil a vues » et « compose son propre poĂšme avec les Ă©lĂ©ments du poĂšme en face de lui » (p. 19). [2] Jean Dubuffet, Asphyxiante culture , Paris, Ăditions de Minuit, 2011, p. 115-116. « On prĂ©tend que les rois de naguĂšre tolĂ©raient auprĂšs dâeux un personnage qualifiĂ© de fou qui riait de toutes les institutions ; on dit aussi que les cortĂšges triomphaux des grands vainqueurs romains comportaient un personnage dont la fonction Ă©tait dâinjurier le triomphateur. Notre sociĂ©tĂ© dâaujourdâhui, quâon dit si sĂ»re de sa ferme assise sur sa culture et en mesure de rĂ©cupĂ©rer au profit de celle-ci toute espĂšce de subversion, pourrait donc bien tolĂ©rer ces gymnases et ce corps de spĂ©cialistes, et mĂȘme, qui sait ? subvenir Ă leur entretien. Peut-ĂȘtre quâelle rĂ©cupĂ©rerait aussi cette totale contestation. Ce nâest pas sĂ»r. Câest Ă essayer. » [3] RĂ©duire lâoffre a Ă©tĂ© donnĂ© en fĂ©vrier 2012 au Studio-ThĂ©Ăątre de Vitry et Gymnase nihiliste au CAC BrĂ©tigny de novembre Ă dĂ©cembre 2013. [4] Heiner MĂŒller, « Le thĂ©Ăątre est crise », conversation de travail du 16 octobre 1995 avec Ute Scharfenberg, traduit par Jean-Louis Besson et Jean Jourdheuil, ThĂ©Ăątre/Public , n°160-161, 2000, p. 8 [5] Jean Dubuffet, op.cit. , p. 29 et p. 46 [6] Tel Ă©tait le mot dâordre (et le hashtag) de la mobilisation nationale des 20 et 21 mars 2021, Ă lâinitiative du SyndĂ©ac (Syndicat des entreprises artistiques et culturelles).
21.01.2021 â Postface au "Bal des folles" de Copi â Christian Bourgois Ă©diteur
CrĂ©dit : Hasegawa TĆhaku, « Pins », XVIe siĂšcle
[ 1] OpĂ©ration lancĂ©e le 18 mars 2020 par le ministĂšre de la culture et de la communication : « Chacun est invitĂ© Ă rester chez soi pour Ă©viter la propagation du Covid-19 jusquâau 31 mars minimum. Câest lâoccasion de dĂ©couvrir lâexceptionnelle offre culturelle numĂ©rique proposĂ©e par le ministĂšre de la culture et ses nombreux opĂ©rateurs. » [2] Wajdi Mouawad, Journal de confinement , Jour 0, 17 mars 2020 [3] Annie Le Brun, Du trop de rĂ©alitĂ©, Stock, Paris, 2000, p. 115. [4] « La festivisation globalisĂ©e paraĂźt ĂȘtre le travail mĂȘme de notre Ă©poque (âŠ). Dans le monde hyperfestif, la fĂȘte nâest plus en opposition, ou en contradiction avec la vie quotidienne ; elle devient le quotidien mĂȘme. » (Philippe Muray, AprĂšs lâhistoire, Gallimard, Paris, 2000, p. 15). Lire aussi Evelyne Pieiller, « Mauvais esprit, es-tu lĂ Â ? », Le Monde diplomatique, aoĂ»t 2011. [5] Câest ce que disait François Regnault dans une lettre adressĂ©e Ă une commission Ă©tudiante de Paris-III en 1995 : « revendiquer que les arts soient considĂ©rĂ©s comme aussi utiles Ă la sociĂ©tĂ© que le gaz et lâĂ©lectricitĂ© part certainement de la meilleure intention du monde (âŠ) mais il faut dire une bonne fois que cela consiste Ă les aligner Ă tout jamais sur la marchandise (âŠ). Je mets en question lâidĂ©ologie du service public qui consiste Ă faire croire aux sujets, citoyens et contribuables, quâun thĂ©Ăątre est indispensable comme lâĂ©cole et la poste » (citĂ© par Olivier Neveux dans Contre le thĂ©Ăątre politique, La Fabrique Ă©ditions, 2019, p. 80 ; lire « MisĂšres du thĂ©Ăątre politique », Le Monde diplomatique, mai 2019).
Dauphins, Dauphines , exposition de Charlotte Khouri, du 25 janvier au 21 mars 2020 Ă La Galerie, Centre dâart contemporain de Noisy-le-Sec
Photo 1 : Thibaud Croisy Photos 2 et 3 : Extraits du tournage de Nuit majeure , 2020 © Nathanaëlle Puaud
Photo : JĂłzsef Ferenczy, "Ronde", date inconnue
[1] Roslyn Sulcas, « When the choregrapher wonât fly, the dancers rehearse by Skype » , New York Times, 23 septembre 2019. Trad. de T.C.
[2] Les spectacles vivants du Centre Pompidou, publication Facebook du 1er octobre à 12h34.
[5] LâExpress , op.cit. [6] Ibidem .
[8] Voir Carole Talon-Hugon, Lâart sous contrĂŽle, Paris, PUF, 2019. Voir aussi « Lâart doit-il ĂȘtre moral ? » , entretien avec Carole Talon-Hugon et Violaine Roussel, par Marc-Olivier Bherer, Le Monde, 11 octobre 2019
[9] « Comme un chauffeur de salle, micro fixĂ© Ă lâoreille, short oversize et vieilles baskets de course aux pieds, le chorĂ©graphe aux yeux rieurs prend soudain un air grave : âPour des raisons Ă©cologiques, je nâai pas distribuĂ© le programme de ma piĂšce. Ce soir, câest moi qui vais vous le lire.â », citĂ© par ChloĂ© SarramĂ©a, « Le chorĂ©graphe JĂ©rĂŽme Bel fait monter les spectateurs sur scĂšne » , NumĂ©ro Magazine, 4 octobre 2019. Sur le sujet, voir aussi lâanalyse clairvoyante dâĂve Beauvallet : « JĂ©rĂŽme Bel, en vert et contre tout » , LibĂ©ration, 30 septembre 2019.
Collage : Thibaud Croisy Ă partir dâune photo de Jacques Morell (Getty / Sygma)
Photo © "The Perfect Beach", Aram Bartholl, Thailand Biennale 2018
Thibaud Croisy Paru sur Lundi Matin le 21 novembre 2018
[1] Cette question était posée exactement en ces termes par Aude Lorriaux dans un article intitulé « Comment Instagram tue notre expérience contemplative » , Slate , 4 novembre 2018
[3] Ibidem . Site internet de Yondr, https://www.overyondr.com/
Thibaud Croisy Paru sur Lundi Matin le 26 juillet 2018
[1] Les Intermittents du dĂ©sordre, « à propos de notre premiĂšre piĂšce : LâOdĂ©on commĂ©more comme un mort ou Lâesprit de Mairde », tract distribuĂ© au ThĂ©Ăątre de lâOdĂ©on le 25 mai 2018, lisible en intĂ©gralitĂ© sur Lundi Matin [2] Les Intermittents du dĂ©sordre, « Vincent Macaigne nâa pas jouĂ© au ThĂ©Ăątre de la Colline » , Lundi Matin , 18 juin 2018. Toutes les actions du groupe sont prĂ©cĂ©dĂ©es ou suivies de communiquĂ©s diffusĂ©s sur internet. [3] Pierre Longeray, « Les intermittents du dĂ©sordre : hackers de thĂ©Ăątre » , Vice , 19 juin 2018 [4] Les Intermittents du dĂ©sordre, « Faisons connaissance », communiquĂ© lisible en intĂ©gralitĂ© sur Lundi Matin , 1er juin 2018
[8] à titre dâexemples, en 2015, ce sont Joachim Salinger, comĂ©dien, et Marie Payen, comĂ©dienne, qui Ă©crivaient un article pour demander Ă Luc Bondy, alors directeur de lâOdĂ©on, de mettre un terme Ă la campagne de mĂ©cĂ©nat participatif que le thĂ©Ăątre avait lancĂ© pour financer un projet dâaction culturelle dans une zone dâĂ©ducation prioritaire ( « Scandale thĂ©Ăątral : quand lâĂtat se dĂ©sengage de lâaction sociale et culturelle », MĂ©diapart , 14 avril 2015). Plus rĂ©cemment, Nicolas Barrot, directeur technique de compagnies, rĂ©pondait Ă un article de Jean-Pierre Thibaudat ( « Suite Ă lâarticle de M. Thibaudat » , MĂ©diapart , 13 mars 2018).
[11] « Macron fustige "les professionnels du dĂ©sordre" dans les universitĂ©s » , Reuters , 12 avril 2018. En pleine pĂ©riode de grĂšve et de manifestations, Emmanuel Macron « fustigeait "les professionnels du dĂ©sordre" qui [bloquent] des universitĂ©s françaises pour dĂ©noncer la rĂ©forme de lâaccĂšs aux Ă©tudes supĂ©rieures » et appelait « les Ă©tudiants Ă "rĂ©viser" leurs examens de fin dâannĂ©e ». Merci papa ! [12] Moulement fut distribuĂ© au cours de lâannĂ©e 2012. Une archive est disponible Ă cette adresse .
[1] Alain Buffard, colloque, spectacles, exposition, concert , conçu par Mathilde Monnier et Aymar Crosnier, produit par le CN D et lâassociation PI:ES Alain Buffard, du 4 au 14 octobre 2017 Ă Pantin et Paris. [2] Colloque Alain Buffard, du 6 au 8 octobre 2017. Le 8, jâintervenais sur We lost the night , piĂšce inachevĂ©e dâAlain Buffard autour de la danseuse allemande Anita Berber. [3] Good boy , conçu et interprĂ©tĂ© par Alain Buffard, assistĂ© de Matthieu Doze, crĂ©Ă© en janvier 1998 Ă La MĂ©nagerie de Verre (Paris) ; Alain MĂ©nil, Sain[t]s et saufs â Sida : une Ă©pidĂ©mie de lâinterprĂ©tation , Les Belles Lettres, 1997. Pierre Lauret affirmait mĂȘme que « Sain[t]s et saufs est le pendant de Good boy » : « câest la mĂȘme question qui est mise au travail : maintenant quâon voit quâon ne va pas mourir, enfin pas tout de suite, et quâil va falloir "vivre avec", quâest-ce quâon fait ? Que fait-on de son corps ? Que fait-on de sa vie ? » Il faut rappeler que la notion de « vivre-avec » est centrale dans la rĂ©flexion dâAlain MĂ©nil sur le sida. PrĂ©sente dĂšs 1997 dans Sain[t]s et saufs , il la retravaillera encore dans lâun de ses derniers articles : « "Vivre-avec" ou les plissements de lâexistence », Cahiers philosophiques , n°125, 2Ăšme trimestre 2011, p 107-123 [4] Baron Samedi , conception et mise en scĂšne dâAlain Buffard, crĂ©Ă© en avril 2012 au ThĂ©Ăątre de NĂźmes ; Alain MĂ©nil, Les voies de la crĂ©olisation. Essai sur Ădouard Glissant , De lâIncidence Ăditeur, 2011. « Les Alain » avaient aussi rĂ©alisĂ© ensemble un entretien sur le travail de Buffard : « To be moved », entretien avec Alain Buffard par Alain MĂ©nil, OutreScĂšne , revue du ThĂ©Ăątre national de Strasbourg, n°11, juin 2008, p. 43-49 [5] Pierre Lauret, « Le chevalier dĂ©senracinĂ©. Alain MĂ©nil, du sida Ă la crĂ©olisation », 7 octobre 2017. Sur Alain MĂ©nil, on lira aussi avec intĂ©rĂȘt un autre texte de Pierre Lauret : « Alain MĂ©nil (1958-2012). Hommage », Cahiers philosophiques , n°138, 3Ăšme trimestre 2014, p. 103-107, consultable sur https://www.cairn.info/revue-cahiers-philosophiques1-2014-3-page-103.htm
Thibaud Croisy Paru dans Le Monde , 6 septembre 2017
02.2017 â Catalogue de l'exposition "L'Esprit français : Contre-cultures 1969-1989" â éditions La DĂ©couverte
Suite dans L' Esprit Franç ais â Contre-cultures 1969-1989 sous la direction de Guillaume DĂ©sanges et François Piron, Ăditions La DĂ©couverte / La maison rouge, 2017
[1] « Je mâexprime parfois dans ma langue maternelle, lâargentine, souvent dans ma langue maĂźtresse, la française. Pour Ă©crire ce livre mon imagination hĂ©site entre ma mĂšre et ma maĂźtresse ». Ainsi commence RĂo de la Plata , le dernier texte de Copi quâil nâeut pas le temps dâachever ( Album Copi , Ăditions Christian Bourgois, 1990, p. 81). [2] RĂ©fĂ©rence Ă sa piĂšce de thĂ©Ăątre : Copi, ThĂ©Ăątre 2 â Les Escaliers du SacrĂ©-CĆur , Ăditions 10/18, 1986 [3] NĂ© en Espagne en 1950, Armando Llamas vĂ©cut en Argentine jusquâĂ lâĂąge de trente ans. Au vu de sa culture, de ses inspirations et de ses frĂ©quentations, il ne paraĂźt pas scandaleux de lui faire une petite place dans la mouvance des « Argentins de Paris ». [4] Carlos dâAlessio composa les musiques des films de Marguerite Duras, dont le thĂšme bien connu dâ India Song (1975) ; Armando Llamas fut lâassistant de Claude RĂ©gy ; et Marcia Moretto, la professeur de danse de Catherine Ringer avec qui elle joua une piĂšce dâArmando Llamas, Silences nocturnes aux Ăźles des fĂ©es (1977). Sur la vague dâimmigration argentine, voir le livre de RenĂ© de Ceccatty, Mes Argentins de Paris (Ăditions SĂ©guier, 2014) qui raconte les tribulations de cette faune Ă travers les portraits de trois dâentre eux : Hector Bianciotti, Silvia Baron Supervielle et Alfredo Arias.
01.03.2017 â Feuille de salle de "Champs d'Appel" au ThĂ©Ăątre de la CitĂ© internationale
10.11.2016 â Projet de direction pour le Studio-ThĂ©Ăątre de Vitry
Ă lâautomne 2016, le Studio-ThĂ©Ăątre de Vitry lançait un appel Ă projet pour recruter son prochain directeur ou sa prochaine directrice. Je dĂ©posais ma candidature et adressais le projet suivant aux instances dĂ©cisionnaires : MinistĂšre de la Culture, RĂ©gion Ăle-de-France, DĂ©partement du Val-de-Marne, Ville de Vitry-sur-Seine. En mĂȘme temps que je le postais, je le rendais public sur un site internet accessible Ă tous. Ce projet n'a pas Ă©tĂ© retenu.
Véronique Alain et Olivier Veillon dans Rencontre avec le public , de Thibaud Croisy, Studio-Théùtre de Vitry, 2014. Photo : Emmanuel Valette.
Sophie Demeyer et Véronique Alain dans Rencontre avec le public , de Thibaud Croisy, Studio-Théùtre de Vitry, 2014. Photo : Emmanuel Valette.
Remerciements : Marie-Laure Menger, Ălise Simonet et Isabelle Giovacchini. Toutes les personnes impliquĂ©es dans ce projet ont donnĂ© leur accord.
Ă la rentrĂ©e 2016, alors que je prĂ©sentais plusieurs piĂšces, je dĂ©tournais la communication du Festival d'Automne Ă Paris, rebaptisĂ© pour l'occasion Festival d'Automne Ă Croisy. Le dessin de Pierre Alechinsky, logo du cĂ©lĂšbre festival, Ă©tait dĂ©tournĂ© avec la complicitĂ© d'Isabelle Giovacchini et dĂ©clinĂ© en une centaine de badges, forcĂ©ment collector. Cette communication parodique fut considĂ©rĂ©e par certains comme une rĂ©ponse, voire mĂȘme une riposte, Ă la communication du Festival d'Automne, grand-messe culturelle de la rentrĂ©e. Lucile Commeaux, journaliste Ă France Culture, s'intĂ©ressa Ă cette facĂ©tie dans l'Ă©mission d'Arnaud Laporte, La dispute (17 octobre 2016), Ă travers une chronique intitulĂ©e : « Ă quoi sert le Festival d'Automne ? » ( en Ă©coute ici ) . JoĂ«lle Gayot, autre journaliste Ă France Culture, y rĂ©agit en tenant des propos pour le moins confus. Je me sentis donc autorisĂ© Ă adresser un droit de rĂ©ponse Ă l'Ă©quipe de l'Ă©mission afin de ramener un peu de bon sens et de rĂ©tablir quelques vĂ©ritĂ©s. Il fut lu Ă l'antenne et relayĂ© sur internet. Le voici.
Thibaud Croisy Paru dans Le Monde , 27 juillet 2015
Photo mise en ligne sur la page Facebook du théùtre
Thibaud Croisy Paru dans Le Monde , 1er octobre 2014
01.09.2014 â Ăditions de l'Olivier / Ăditions CornĂ©lius
Suite dans Vive les pĂ©dĂ©s , Copi Ăditions de l'Olivier / Ăditions CornĂ©lius, 2014
[1] Giovanni Gandini, Un livre blanc , Ăditions Buchet/Chastel, Les cahiers dessinĂ©s, 2002, p. 10
[2] Bizarre , numéro spécial présenté par Jean-Pierre Castelnau et Michel Laclos avec un avant-propos de Jacques Sternberg, n°36-37, quatriÚme trimestre 1964
Thibaud Croisy Paru dans Le Monde , 28 mars 2014
Thibaud Croisy Paru dans la revue Volailles , n°4, avril 2014
[1] Georges Perec, Tentative dâĂ©puisement dâun lieu parisien , Ăditions Christian Bourgois, 2008, p. 10 [2] Seul le journal Les Ăchos , dont le nombre moyen de numĂ©ros achetĂ©s sâĂ©lĂšve Ă 122 149 exemplaires par jour, a Ă©tĂ© mis de cĂŽtĂ© en raison de son caractĂšre spĂ©cialisĂ© mais aussi par manque de place dans le cadre qui nous est imparti. Par ailleurs, je me suis contentĂ© de lire les Ă©ditions papiers des quotidiens et non les Ă©ditions numĂ©riques, parfois augmentĂ©es dâarticles inĂ©dits.
Thibaud Croisy Paru dans Le Monde diplomatique , le 14 juillet 2013
[1] « Copi, lâhomme debout », par SĂ©golĂšne Dargnies, rĂ©alisĂ© par Lionel Quantin, Une vie, une Ćuvre, France Culture, 58 minutes, 13 juillet 2013. Avec les voix de : Isabelle BarbĂ©ris, Federico Botana, Thibaud Croisy, Delfeil de Ton, Serge Lafaurie, Jorge Lavelli, MarilĂș Marini, Jean-Michel Rabeux et Lionel Soukaz. [2] Serge July, « Bazooka fout la merde. Le graphisme punk. La science-fiction visuelle devient quotidienne. », LibĂ©ration , 12 aoĂ»t 1977. [3] « Copi libĂšre LibĂ©rettâ dans LibĂ©ration », non signĂ©, LibĂ©ration , 27 juin 1979. [4] Ibidem . Lâallusion Ă HĂ©lĂšne Hazera nâĂ©tait pas dĂ©nuĂ©e dâune certaine cruautĂ© dans la mesure oĂč Copi la rĂ©duisait Ă sa gĂ©nitalitĂ© (poitrine, pĂ©nis). Pourtant, « à cette Ă©poque », dit-elle, « jâĂ©tais discrĂšte, mignonne, et partout dans LibĂ©, il y avait LibĂ©rettâ en train de sodomiser tout un chacun... Tout le monde me disait : "Mais LibĂ©rett', câest toi, non ?" » (correspondance entre HĂ©lĂšne Hazera et Thibaud Croisy, 3 juillet 2013). [5] « LibĂ©rez-nous de LibĂ©rettâ », LibĂ©ration , 19 juillet 1979
Shemale sucĂ©e massĂ©e et enculĂ©e sur la table Ă
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Trio fait maison