Beauté française chez le médecin

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Beauté française chez le médecin
Doctorant à l’université Jean-Moulin-Lyon-3 et juriste en droit des affaires
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Que les hommes et les femmes cherchent à s'embellir n'est pas vraiment nouveau. Mais cette quête révèle les valeurs d'une société : à l'ère de la compétitivité, ce sont les mous que l'on traque. Enquête sur les nouveaux diktats de l'apparence.
A priori, le sujet n'a l'air de rien. Mieux, les questions posées relèvent d'un domaine tenu pour léger, sans gra-vité : quels sont les canons de la beauté contemporaine ? Dans l'industrie de la mode et celle des cosmétiques, comment ces standards sont-ils définis ? En fonction de quels critères une personne ou un look sont-ils tenus pour beaux ? Et ces standards, s'ils existent, de quelle manière évoluent-ils ? Pas de quoi casser trois pattes à un canard. Enfin, apparemment. Car, visiblement, les codes de la beauté sont aussi bien gardés que la bombe atomique. Après des jours de tergiversation, la Fondation L'Oréal a " décidé de ne pas donner suite " à nos demandes d'entretien. Idem pour Lancôme international, dont le président s'est entouré de mille précautions avant de déclarer qu'il n'avait pas le temps. Etonnante prudence, d'autant qu'il ne s'agissait pas de divulguer des secrets de fabrication. Mais la beauté, si fluctuante, si subjective, est un enjeu crucial. Et de plus en plus, dans un monde où des techniques raffinées (quoique pas toujours fiables, comme l'a montré le scandale des prothèses PIP) deviennent accessibles à un grand nombre.
Un enjeu d'autant plus important que le physique détermine fortement la vie des individus. Dans son livre Le Poids des apparences (Odile Jacob, 2004), le sociologue Jean-François Amadieu met en évidence le cercle vertueux qu'engendre une belle apparence. Non seulement celle-ci déclenche des " préjugés qui résistent aux faits objectifs " , mais les gens se conforment souvent à l'image qu'on se fait de leur personne, donc de leur beauté ou de leur laideur.
Selon l'eurobaromètre de la Sofres, en 2009, le sentiment d'inégalité lié à l'apparence dans le processus de recrutement est très fort en France. Avec raison, estime le sociologue. Prenez un CV, envoyez-le une première fois, puis modifiez artificiellement la photo, dans le sens d'une obésité : l'effet sera dévastateur. Les avantages liés à la beauté sont perceptibles en termes d'embauche, de réussite professionnelle et plus généralement d'ascension sociale.
Partout " la beauté, notamment féminine, prend plus de place ", note l'historien Georges Vigarello, auteur d'une Histoire de la beauté (Seuil, 2004). De son côté, Jean-François Amadieu observe que l'aspect physique compte, et de plus en plus. Un seul exemple : l'augmentation du nombre de romans publiés avec la photo de leur auteur et surtout de leur auteure, lorsque celle-ci est avenante. " C'est en France que le look est le plus déterminant ", observe Jean-François Amadieu, qui enseigne à Paris-I et dirige l'Observatoire des discriminations.
Paradoxalement, la France est aussi l'un des pays où l'on étudie le moins ces phénomènes, comme s'il s'agissait d'un détail négligeable. Par exemple, la question n'est que très peu prisée par les sociologues. A telle enseigne que, au moment de publier son livre, Jean-François Amadieu a même envisagé de le faire sous un pseudonyme. Surtout, il n'existe presque pas de chiffres vraiment fiables sur la chirurgie esthétique, au moins en France. Il est évident que le nombre d'interventions augmente et qu'elles sont pratiquées par des spécialistes différents (ophtalmologues, dermatologues ou gynécologues se sont mis sur le marché), mais impossible d'évaluer leur volume exact, de l'aveu même de la Société française de chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique.
Reste une certitude : la tentation d'instrumentaliser la chair est amplifiée par ce poids des apparences. L'affaire n'est pas nouvelle. " On ne connaît pas de société humaine dont les membres se soient contentés de leur corps biologique " , explique Elisabeth Azoulay, ethnologue et coordinatrice de 100 000 ans de beauté, passionnant ouvrage en cinq volumes, paru en 2009, chez Gallimard, avec le concours de L'Oréal. Dès le paléolithique, les hommes et les femmes parent leur corps, qui devient " un médium culturel, chargé de signes et de jugements " , selon Elisabeth Azoulay. Et même au plus profond de ces périodes, des silhouettes de Vénus aux corpulences différentes montrent qu'il existait plusieurs canons de la beauté.
Dans l'Egypte ancienne, puis dans l'Antiquité gréco-latine, des techniques d'embellissement et de séduction sont mises au point, dont nous sommes les héritiers. On apprend à porter un parfum, à se maquiller, à se teindre les cheveux (Ramsès II, qui était roux, utilisait du henné pour dissimuler ses cheveux blancs) et même à contraindre les squelettes pour les déformer dans des buts esthétiques ou rituels.
Aujourd'hui, la chirurgie plastique et les différentes innovations de la médecine esthétique (Botox ou produits de comblement notamment) permettent de se transformer plus facilement que jamais. Un sondage réalisé à l'échelle mondiale par l'International Society of Aesthetics Plastic Surgery (ISAPS) montre que la médecine esthétique a désormais pris le pas sur la chirurgie, en termes de nombre d'interventions. En 2009, près de 300 000 interventions auraient été pratiquées par des chirurgiens français, sans compter toutes celles qui le sont par des médecins non chirurgiens.
On a vu fleurir des seins en forme d'obus, des bouches protubérantes, manifestations spectaculaires et parfois un peu délirantes de ces possibilités nouvelles. Mais ces attributs voyants ne doivent pas masquer une tendance qu'observent de nombreux chirurgiens esthétiques : la demande contemporaine est au naturel et à une lutte impitoyable contre le relâchement.
" Il y a eu une grande cassure depuis cinq ou six ans, souligne Jean-Claude Hagège, auteur de plusieurs livres sur la question, notamment Votre beauté vous appartient ! (Odile Jacob, 2010). Les femmes demandent surtout à rester elles-mêmes. Elles ont compris que la beauté est aussi dans le comportement et surtout dans les expressions. " Ce que confirme Philippe Malet, qui pratique la médecine esthétique à Saint-Priest, près de Lyon : " Il y a six ou sept ans, elles venaient me voir avec une photo prise dans un magazine, maintenant ce serait plutôt celle de leur permis de conduire, donc elles, en plus jeunes. "
Plus encore que l'âge, c'est le relâchement qui est combattu, et avec une vigueur déconcertante. Ce qui conduit les patients chez un médecin ou un chirurgien n'est pas forcément le désir de paraître jeune, mais ferme. Et s'il fallait déterminer le canon le plus admis, en 2012, ce serait celui du maintien, dont la minceur fait partie intégrante. " La société valorise un corps musclé, débarrassé de graisse, c'est un canon incontournable. Cette image du corps se construit en fonction des modèles sociaux de l'époque : regardez les mannequins ", observe Françoise Millet-Bartoli, psychothérapeute à Toulouse et auteure de La Beauté sur mesure (Odile Jacob, 2008).
Cette obsession de la minceur a tout un passé. Dans son livre, Georges Vigarello montre ainsi qu'au xviie siècle elle est un marqueur social. Les dames de qualité ont le buste fuselé, tandis que les paysannes affichent une taille plus épaisse, moins " tenue ". " Mais il ne faut pas oublier que la minceur ancienne n'obéit pas aux mêmes critères que maintenant, rappelle Georges Vigarello. Autrefois, elle devait traduire la vulnérabilité des femmes, une forme de dépendance. Celle d'aujourd'hui est tonique, elle doit mettre en évidence la mobilité, la rapidité, la résistance. "
Au xxie siècle, on est passé à une demande qui reflète moins l'appartenance sociale qu'une certaine forme de néolibéralisme, appliqué au corps. Car ne pas pendouiller, se tenir, signifie aussi être dans la compétition, dans le coup. " Il s'agit surtout de ne pas avoir l'air fatigué, remarque le professeur Maurice Mimoun, chef du service de chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique à l'hôpital parisien Saint-Louis. Dès qu'un relâchement apparaît, on veut retendre, qu'il s'agisse des seins, des cuisses, des visages. C'est comme une sorte d'hygiène. Une manière de faire moderne, efficace. " Dans leur combat contre le flétrissement, certains règlent aussi des comptes familiaux. " Au-delà du jeunisme ambiant, affirme Hélène Parat, professeure de psychopathologie à Paris-X, les demandes de lifting visent souvent à repousser l'image du parent vieillissant. " Une exception à cette demande de naturel : les seins. Selon Elisabeth Azoulay, un grand nombre de femmes désireraient des prothèses mammaires pour marquer leur féminité, dans une époque où les silhouettes deviennent de plus en plus androgynes. La culture gay est passée par là, influençant les standards en vigueur. Mais contrairement à l'idée reçue, les demandes de chirurgie ne vont pas toutes dans le sens de l'augmentation de volume. " Il y a beaucoup de goûts différents, dans ce domaine, analyse Maurice Mimoun. La seule constante est que le sein tombant ne plaît jamais. Les canons de la beauté, en matière de seins, ont radicalement changé en vingt ans. Mais, ce qui est hallucinant, c'est qu'on montre maintenant des poitrines dites jolies qui sont en fait des prothèses arrogantes. Et on les donne en exemple, comme si elles étaient naturelles. "
A force d'interventions, à la fois sur le corps et sur le papier (grâce aux procédés virtuels, qui permettent de " photoshoper " les images), on ne sait plus bien à quel sein se vouer. Il y a trente ans, les chirurgiens esthétiques retouchaient les paupières des femmes occidentales dans le sens d'une " orientalisation " - exactement comme les Asiatiques d'aujourd'hui demandent souvent à être " occidentalisées ". A l'époque, l'Asie était un continent plus lointain, plus fascinant peut-être. La mode est passée.
Les tendances évoluent au fil du temps et parfois se retournent, comme le montre Pascal Ory dans son livre L'Invention du bronzage (Complexe, 2008). Dans cette savoureuse étude, l'historien met en évidence une révolution culturelle : " En une génération, explique-t-il, on est passé de la phobie du bronzage à son adoration. " La société a changé dans sa composition. Soudain, ce n'est plus du paysan hâlé qu'on veut se démarquer, mais de l'ouvrier blanc comme un cachet d'aspirine.
En dehors de la lutte contre les affaissements en tous genres, les canons se sont atomisés. " Les critères bougent, il n'y a rien d'éternel " , sourit Pascal Ory. On peut être beau, et surtout belle de différentes manières, même si certains clichés continuent de s'imposer, comme le pense la styliste Agnès B. : " La beauté est construite par la publicité, selon des critères de luxe. C'est une beauté imposée, qui est censée faire envie afin de créer des stéréotypes. La beauté que l'on nous propose est une beauté artificielle. "
Comme toujours, quand il s'agit d'esthétique, " les modes partent des élites sociales, avant de se diffuser au reste de la société, par capillarité " , souligne Pascal Ory. Mais ce qui est vrai des images de magazine ne le devient pas forcément pour le commun des mortels. Et Maurice Mimoun tient à préciser qu'il n'est pas nécessaire d'être beau pour " réussir vraiment " . Beau, peut-être pas, mais conforme à des standards, sans doute. En France, un candidat trop gros peut-il prétendre à la présidence de la République ? Le régime draconien suivi par François Hollande montre que lui a répondu par la négative. La population mondiale a beau prendre de l'embonpoint, les personnages publics dans l'ensemble restent minces. Et quand ils ne le sont pas, on leur en tient grief. Lorsque deux prétendants se sont affrontés pour le poste de directeur général du FMI, au printemps dernier, chacun souffrait d'un handicap. Le Mexicain Agustin Carstens était obèse ; la Française Christine Lagarde était une femme. Et qui l'a emporté ?
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Par Remy Jacqueline et Lebourcq Sébastien et Cousin Marie


Publié le
08/08/2002 à 00:00

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Par Aurélien Saussay, chercheur à la London School of Economics, économiste de l'environnement spécialiste des questions de transition énergétique

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