Baiser son trou du cul profondément

Baiser son trou du cul profondément




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Baiser son trou du cul profondément

Oups, ce service est momentanément indisponible.
Dans le jargon informatique, cela s’appelle un code erreur 500. Mais essayez de recharger, nous allons tout réparer !

Index actualités 2021 2020 2019 2018 2017
Rien que de la médecine et de la biologie, mais sous un autre angle
Des médecins taïwanais rapportent dans le numéro d’août 2019 de l’ International Urogynecology Journal l’histoire d’une femme de 59 ans qui avait depuis son mariage à l’âge de 38 ans des rapports sexuels non pas par voie vaginale mais par l’urètre , ce canal qui relie la vessie à l’extérieur et par lequel passe l’urine.

Cette patiente présente depuis plusieurs années une incontinence urinaire d’effort, se manifestant par une fuite involontaire lors de la toux, des éternuements ou de la course. Afin de remédier à cette situation, elle a bénéficié d’une intervention consistant à la mise en place d’une bandelette en matériau synthétique soutenant l’urètre. Celle-ci permet de remplacer les structures de soutien de la vessie et de l’urètre qui sont défaillantes.
Après avoir été opérée, la patiente a vu sa vie sexuelle bouleversée. Elle ne pouvait plus avoir de relations sexuelles avec pénétration et s’est décidée à consulter, quatorze ans plus tard, dans le service de gynécologie-obstétrique d’un hôpital de Taïwan.

Les médecins vont alors découvrir un urètre extrêmement dilaté, ce que les spécialistes appellent un méga-urètre. Les gynécologues constatent par ailleurs une quasi-absence de vagin (agénésie vaginale) confirmée par imagerie par résonance magnétique (IRM). Cette patiente indique aux gynécologues qu’elle avait subi à l’âge de 19 ans l’ablation chirurgicale de l’utérus, qui ne communiquait d’ailleurs pas avec la cavité vaginale.

La bandelette urinaire est retirée, ce qui rétablit l’inclinaison de l’urètre et permet à la patiente de reprendre ce type de rapports sexuels. Cinq mois après le retrait de la bandelette, cette femme a ainsi repris sans problème une vie sexuelle, mais en présentant à nouveau une incontinence urinaire d’effort.

Mais comment un pénis peut-il être pénétré dans l’urètre ? Il s’avère que ce conduit est très élastique. D’ailleurs, à l’arrêt de cette pratique, l’urètre peut reprendre sa taille physiologique sans qu’il soit forcément nécessaire d’intervenir chirurgicalement.

En mars 2019, des gynécologues américains ont rapporté un cas de coït urétral chez une femme de 23 ans. La patiente est adressée par un gynécologue libéral pour une possible malformation vaginale. En effet, celui-ci n’a pas réussi à introduire un stérilet à des fins contraceptives. Lors de l’insertion du spéculum, il remarque que l’anatomie de la jeune femme est atypique. La partie antérieure du vagin est réduite à un petit sac, ce que les spécialistes appellent un vagin borgne. De plus, une abondante émission d’un liquide clair a lieu lors de la palpation. L’échographie abdominale montre un utérus normal et deux ovaires. De même, l’IRM réalisée par la suite ne révèle pas d’anomalie de l’appareil urinaire.

En interrogeant leur patiente, les médecins apprennent qu’elle n’a jamais réussi à s’introduire un tampon hygiénique. Elle déclare avoir ressenti un léger inconfort et une résistance lors de son premier rapport sexuel mais que les choses se sont améliorées par la suite. Elle dit aussi avoir désormais des relations sexuelles avec des hommes sans éprouver de douleurs mais constate fréquemment avoir des pertes d’un liquide clair lors des rapports. Enfin, elle précise avoir présenté de multiples épisodes d’incontinence urinaire à l’effort ainsi que des infections urinaires.

A l’examen gynécologique, les médecins observent que les petites et grandes lèvres sont normales ainsi que le clitoris. Ils notent cependant la présence d’un urètre extrêmement dilaté, signe que la patiente pratiquait régulièrement le coït urétral. L’hymen est épais et ne porte apparemment pas de signe de perforation.

La jeune femme est amenée au bloc opératoire pour un examen gynécologique plus détaillé sous anesthésie générale, avec réalisation d’une cystoscopie (pour visualiser l’intérieur de la vessie). Les chirurgiens découvrent une ouverture de seulement 1 millimètre de l’hymen, témoin ce qu’ils appellent un hymen microperforé. Ils l’incisent (hyménectomie).

Il semble donc très probable que la jeune femme pensait avoir des rapports vaginaux alors que les coïts étaient urétraux.

Après l’intervention, les médecins lui ont recommandé d’éviter d’avoir ce type de rapports sexuels. Lors du suivi, la jeune femme déclare avoir des pénétrations vaginales depuis, sans que cela ne pose aucun problème. Encore gênée par une incontinence urinaire d’effort et par le besoin d’uriner la nuit, il lui a été conseillé de porter un pessaire (dispositif en matière souple appuyant sur l’urètre pour gérer les petites fuites urinaires). Aujourd’hui, l’incontinence d’effort a nettement diminué.

Cette observation clinique a été rapportée en mars 2019 dans la revue Obstetrics & Gynecology. Il est remarquable dans la mesure où l’urètre dilaté a été confondu par le premier médecin avec une anomalie vaginale. C’est l’impossibilité de localiser le col utérin pour mettre en place le stérilet qui a motivé un avis en milieu hospitalier spécialisé. Il s’est finalement écoulé deux ans entre la suspicion de l’anomalie vaginale et le traitement chirurgical définitif de l’hymen microperforé. Le fait que cette femme avait des règles normales (le flux menstruel s’écoulant par une ouverture hyménale de 1 millimètre) a largement contribué au retard de diagnostic.

« Ce cas souligne l’importance de connaître complètement l’histoire sexuelle de la patiente et de procéder à un examen complet des organes génitaux externes pour confirmer l’aspect normal du méat urétral et de l’hymen avant l’insertion d’un spéculum. Négliger cette étape cruciale lors de l’examen gynécologique peut conduire à passer à côté d’un diagnostic d’anomalies, ou variations, vaginales et hyménales », concluent les auteurs.
Le coït urétral est une rareté. On compte moins de 40 cas dans la littérature médicale internationale. La plupart du temps, cette pratique sexuelle s’observe chez des femmes présentant une absence de vagin, une cloison anormale dans la cavité vaginale (septum vaginal), un vagin trop étroit et trop court (sténose vaginale) ou une anomalie de l’hymen. Ces patientes présentent généralement une incontinence d’effort, des infections urinaires à répétition, des douleurs lors des rapports sexuels (dyspareunie). De rares cas de coït urétral ont cependant été décrits chez des femmes dont l’anatomie vaginale était normale.

Il arrive également que les médecins finissent par réaliser qu’un couple, désirant avoir un enfant, se livre depuis toujours au coït urétral. Tel est le cas clinique rapporté en 2017 par des gynécologues croates dans la revue Archives in Sexuel Behavior .
L’histoire est celle d’un couple qui consulte pour un problème d’infertilité. Tous deux ont la trentaine, ont fait des études supérieures, sont en bonne santé et sans antécédents médicaux. Cela dit, ce que ces époux connaissent de la sexualité se limite à ce qu’ils ont appris en biologie au lycée, n’ayant jamais eu de cours d’éducation sexuelle. Le mari a débuté sa vie sexuelle à l’approche de la trentaine, à la sortie de l’université, tandis que sa femme n’avait pas eu de rapports avant de se marier. Cela faisait 18 mois qu’ils avaient des relations sexuelles lorsqu’ils se sont décidés à consulter pour stérilité. L’analyse du sperme ne trouve rien de particulier. Le mari confie que son pénis, qui fait 10 cm en érection complète, l’a toujours complexé et que cela a contribué à retarder le début de sa vie sexuelle.

L’épouse a des cycles réguliers. Elle a consulté un gynécologue quand elle avait une vingtaine d’années. Celui-ci avait alors noté qu’elle était vierge, que les organes génitaux externes étaient normaux. L’ échographie pelvienne n’avait décelé aucune anomalie (utérus normal et ovaires normaux).

Venue donc consulter avec son mari pour infertilité, cette femme présente une dilatation du méat urinaire. L’orifice fait environ 3 cm de diamètre et 2,5 cm de profondeur. L’hymen est intact, uniquement percé de multiples petits orifices. Les spécialistes parlent d’hymen cribriforme (par opposition à l’hymen microperforé qui lui, présente une ouverture de seulement 1 mm, comme dans le cas précédant).
Il s’avère que cet homme et cette femme pensaient avoir des rapports sexuels « normaux ». L’homme était persuadé qu’il introduisait son pénis dans le vagin de sa femme alors qu’il l’insérait dans l’urètre. Elle avait bien éprouvé quelques douleurs lors des premières pénétrations, mais cela s’était dissipé avec le temps. Elle avait même fréquemment des orgasmes en pratiquant le coït urétral.

Ce cas est exceptionnel dans la mesure où « la femme ne présentait aucun symptôme et que la pratique du coït urétral par ce couple a été incidemment découverte par le clinicien » , font remarquer les auteurs. C’est également la première fois que des médecins rapportent un cas de coït urétral chez une femme avec un hymen cribriforme.

La patiente a bénéficié d’une incision chirurgicale de l’hymen sous anesthésie. Un mois plus tard, elle avait son premier rapport sexuel par voie vaginale. Une grossesse avait débuté trois mois après, aboutissant à la naissance d’un enfant bien portant.

Ce n’était pas la première fois que des médecins rapportaient un cas de coït urétral chez un couple pensant être infertile. En 2012, des médecins turcs ont décrit le cas d’une femme de 23 ans se livrant à cette pratique sexuelle. Elle ne présente pas d’incontinence urinaire, mais une pathologie endocrinienne (hyperplasie congénitale des surrénales par déficit en 21-hydroxylase classique) responsable d’une ambiguïté sexuelle (virilisation). Plus encore, il s’avère que son vagin est rétréci (sténose vaginale), conséquence d’une intervention chirurgicale réalisée quand elle avait 10 ans pour reconstruire un vagin (vaginoplastie).

Mariée depuis trois ans, elle a une vie sexuelle régulière avec au moins deux à trois rapports par semaine. Au vu du méat urinaire dilaté, les médecins comprennent que le couple pratiquait le coït urétral depuis leur mariage. La patiente est opérée pour son méga-urètre et sa sténose vaginale. Six mois plus tard, le conduit urinaire a retrouvé un diamètre normal. La patiente a enfin des rapports vaginaux sans ressentir aucune douleur.
En 2015, une autre équipe turque a rapporté le cas d’une femme de 48 ans, mère de cinq enfants et ayant des organes génitaux externes normaux, qui pratiquait le coït urétral. Elle avait commencé à se livrer à cette pratique après son cinquième accouchement. Une incontinence urinaire était apparue et s’était aggravée les deux années précédant la consultation. Les médecins indiquent ne pas avoir réussi à saisir la raison pour laquelle cette patiente avait des rapports sexuels par l’urètre. Il s’agit du premier cas de coït urétral rapporté chez une multipare sans anomalie génitale externe.
En 2008, des gynécologues italiens ont rapporté le cas d’une femme de 32 ans venue consulter pour stérilité et douleurs lors de l’acte sexuel. Elle présente par ailleurs une incontinence urinaire lors des rapports.
Les médecins réalisent que la patiente, qui ne présente aucune anomalie des organes génitaux externes, pratique le coït urétral. A l’examen gynécologique, ils découvrent en effet une cavité de 3 cm de diamètre, ressemblant à un vagin. L’introduction d’un spéculum provoque l’émission d’urine.

Un nouvel examen du périnée finit par révéler la présence sur l’hymen d’un orifice d’à peine un millimètre. Cette patiente est donc porteuse d’un hymen microperforé. Un instrument d’optique, introduit à travers l’orifice, montre la présence d’une cavité vaginale régulière et d’un col utérin normal. L’hymen microperforé est progressivement dilaté au bloc opératoire, jusqu’à atteindre une taille de 2 cm. Du fait de son élasticité, le diamètre de l’urètre diminue au fil du temps, jusqu’à atteindre une taille physiologique au bout de trois semaines. Après trois mois de suivi, la patiente a une fonction sexuelle normale et l’incontinence urinaire a disparu. Il s’agit du premier cas rapporté de coït urétral associé à un hymen microperforé.
La plupart du temps, les patientes concernées ont la trentaine. Néanmoins, en 2014, des médecins ont rapporté le cas de deux adolescentes pratiquant le coït urétral. Toutes deux présentaient une anomalie congénitale du vagin. L’une avait une quasi-absence de vagin, celui-ci ne mesurant que 4 cm de long. Elle n’avait pas réalisé qu’elle avait des rapports sexuels par l’urètre. Refusant toute manœuvre instrumentale pour dilater ou toute intervention pour reconstruire le vagin, cette patiente de 19 ans a continué à pratiquer le coït urétral.
L’autre adolescente, âgé de 16 ans, présentait une cavité vaginale cloisonnée (septum oblique). Après l’ablation chirurgicale de la cloison, suivie d’une dilatation progressive du vagin, cette jeune patiente a pu avoir des rapports sexuels vaginaux.
Signalons que des cas de coït urétral ont également été décrits chez des patientes présentant un syndrome de Mayer-Rokitansky-Küster-Hauser (MRKH), caractérisé par un défaut de développement de l’utérus (aplasie congénitale) et des deux-tiers supérieurs du vagin. Enfin, deux cas ont été rapportés chez des femmes victimes de viol.

Marc Gozlan (Suivez-moi sur Twitter , sur Facebook )
Liu HM, Lin HH, Hsiao SM. Impairment of urethral coitus due to mid-urethral sling in a woman with vaginal agenesis . Int Urogynecol J. 2019 Aug;30(8):1383-1385. doi: 10.1007/s00192-019-03972-3
Underwood PG, Bauer J, Huguelet P, Alaniz VI. Delayed Diagnosis of Microperforate Hymen Leading to Urethral Dilation Secondary to Coital Activity . Obstet Gynecol. 2019 Mar;133(3):503-505. doi: 10.1097/AOG.0000000000003118
Habek D, Arbanas G, Jukic V. An Unusual Case of Infertility: Urethral Coitus Due to Cribriform Hymen . Arch Sex Behav. 2018 Apr;47(3):811-813. doi: 10.1007/s10508-017-1060-z
Aksakal OS, Cavkaytar S, Guzel AI, Uzun C, Doganay M. Urinary Incontinence Due to Urethral Coitus in a Multiparous Woman . Female Pelvic Med Reconstr Surg. 2015 Jul-Aug;21(4):e39-40. doi: 10.1097/SPV.0000000000000166
Ryckman J, Black A, Fleming N. Adolescent urethral coitus: 2 cases and review of the literature. J Pediatr Adolesc Gynecol. 2014 Feb;27(1):e9-12. doi: 10.1016/j.jpag.2013.05.001
Sakinci M, Kokcu A, Malatyalioglu E. Satisfactory urethral coitus in a patient with vaginal stenosis: case report . Int Urogynecol J. 2012 Feb;23(2):237-9. doi: 10.1007/s00192-011-1469-1
Di Donato V, Manci N, Palaia I, Bellati F, Perniola G, Panici PB. Urethral coitus in a patient with a microperforate hymen . J Minim Invasive Gynecol. 2008 Sep-Oct;15(5):642-3. doi: 10.1016/j.jmig.2008.05.002
Okeke LI, Aisuodionoe-Shadrach O, Ogbimi AI. Female urethral and bladder neck injury after rape: an appraisal of the surgical management . Int Urogynecol J Pelvic Floor Dysfunct. 2007 Jun;18(6):683-5
Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *
Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site web dans le navigateur pour mon prochain commentaire.
Ce blog est celui d’un médecin de formation, journaliste par vocation.
J’y traite de l’actualité en médecine et biologie avec un focus sur les cas cliniques récemment publiés les plus étranges, déroutants, hallucinants, exceptionnels, incroyables, inoubliables.
Mon désir est de vous surprendre, toujours avec sérieux et bonne humeur.
Suivez-moi sur Twitter et sur Facebook
Journal d'information en ligne, Le Monde.fr offre à ses visiteurs un panorama complet de l'actualité. Découvrez chaque jour toute l'info en direct (de la politique à l'économie en passant par le sport et la météo) sur Le Monde.fr, le site de news leader de la presse française en ligne.

Merci de lire Medisite.fr ! Pour permettre à toute une rédaction de continuer à vous proposer des contenus accessibles gratuitement, soutenez-nous en acceptant le dépôt des cookies Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Pour prouver les difficultés du métier de radiologue aux étudiants, un centre de recherche a publié les clichés des cas les plus compliqués et insolites d'objets coincés dans le rectum de patients. Des images qui resteront dans les annales ! 
Un patient qui a "glissé" sur un pilon
Une bouteille avec des aiguilles dedans
Un sextoy fait maison avec un tube de vitamines
Planet Publishing,
Entreprise de presse en ligne, numéro d'agrément CPPAP 0621 W 93940
Pratique Contact Plan du site Protection des données Préférences cookies CGU Newsletters Annonceurs Flux RSS
Tous droits réservés - Groupe Erold 2022
Publié par Bénédicte Demmer , le 06/02/2015 à 11:19
Comment ce pilon est-il arrivé là ? Selon le centre de recherche en radiothérapie Radiopaedia, il aurait pénétré dans le rectum d"un patient de 40 ans "tombé par terre en cuisinant".
Le patient aurait avoué s"être lui-même inséré cette petite bouteille contenant du café d"une marque très connue, dans le rectum. Comment les aiguilles se sont retrouvées plantées à l"intérieur ? C"est encore un mystère.
N"ayant pas de jouet coquin sous la main, le patient aurait décidé d"en faire un lui-même en vissant un tube de vitamines sur une bombe de déodorant. Le problème c"est que sa petite fabrication maison est restée coincée à l"intérieur de son rectum.
Pas facile de garder son sérieux pour le médecin qui a découvert la silhouette d"une bouteille d"un soda très connu en visionnant la radio du rectum de son patient.
"Il devrait y avoir une petite corde qu"il faut attacher à sa cheville pour ne pas perdre ces objets coquins", a plaisanté le médecin qui a retrouvé un petit vibromasseur coincé dans l"anus de son patient.
Selon le centre de recherches en radiothérapie Radiopaedia, cette image montre une aubergine coincée dans le rectum d"un patient qui l"aurait lui-même insérée. "Il aurait dû savoir que tout ce qui traverse l" anus est automatiquement aspiré à l"intérieur" ont rappelé les médecins.
Parmi les clichés radiologiques inoubliables, celui d"un patient qui avait inséré volontairement une orange à l"intérieur de son rectum.
Une fois l"objet retiré du rectum de leur patient, les médecins se sont aperçus qu"il s"agissait d"une bouteille de déodorant.

Blonde mince en gangbang Hardcore
Des hippies très cochons
MILF chaude et ado sexy en action

Report Page