Baiser la bouche de cette traînée

Baiser la bouche de cette traînée




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Baiser la bouche de cette traînée
Classique Ce très joli poème nous offre une métrique peu, très peu usitée : l'ennéasyllabe (je trouvais plus le mot). Les rimes embrassées pour La volupté d'un baiser étaient naturellement désignées. Mais le rythme régulier (3/6) dut être moins évident à garder tout au long des seize vers surtout sur la fin quand le cœur accélère au souffle chaud du désir. L'envolée n'est pas uniquement à la rime, elle est aussi en début de vers (Oh ! Sa bouche... Oh ! sa lèvre.... Si Monsieur...). Pour moi, çà s'est arrêté trop vite, j'aurais aimé que cette volupté s'éternise encore. Un travail d'orfèvre ou de dentellière admirable qui me laisse bouche bée. Anje en EL
Je ne savais pas que la bouche d'un homme pouvait susciter autant d'émoi et de désir chez une femme (car je suppose que c'est une femme qui a osé écrire cela!), ni qu'elle ( la bouche aux possibles moustaches) pouvait ressembler autant à "celles" de la femme si souvent décrites, vantées, fantasmées avec de mêmes qualificatifs: "ourlet de chair...puits d'amour...ciboire...pétale à saisir...éden tiède et rose...fruit pur et gourmande beauté..." Bravo quel homme vous faites Monsieur pour susciter autant de "volupté"; mais ne soyez pas dupe, je crois qu'on se moque un peu. Sur le sujet j'ai tout dit et je suis bluffé. C'est super! Heureusement que l'exergue avait prévenu de cette "inversion des rôles" sinon quelle surprise dans la chute...mais n'y a-t-il pas là une peu crédible tentative de supercherie ou boutade ironiques et perverses. Un règlement de compte réussi, en somme, à l'encontre des propos machistes fréquents sur ce thème. Je m'incline avec respect! Sur la forme aussi je suis enthousiasmé; des ennéasyllabes, (c'est vers sont tellement rares que je ne voudrais pas faire de faute d'orthographe) superbes, bien rythmés avec de jolies rimes bien comme il faut, pas d'erreurs de prosodie qui m'interpellent... Tout est remarquablement parfait. Dois-je arrêter là les compliments? Oui cela risque de faire copinage et un peu louche de ma part! Non vraiment ce magnifique poème classique m'enchante par son originalité dans le thème et son écriture ouvertement suggestive et délicatement provocatrice et érotique. Chapeau bas à l'auteur(e) que j'ai presque démasqué(e) je pense. En EL Lebarde subjugué et admiratif
Les incertitudes du rythme (ni 4/5 ni 3/3/3) ajoutent pour moi à l'expressivité de votre poème, elles disent les palpitations de l'espoir amoureux ; l'ennéasyllabe, un bon choix pour ce sujet à mon avis, ce vers a quelque chose d'inaccompli, c'est comme si on était en attente. Le vocabulaire m'apparaît bien celui d'un blason, comme le ton, je trouve plaisant le contraste entre ce côté canonique des vers et, donc, leur trébuchement rythmique. La lecture m'a été plaisante mais enfin, bouche d'homme ou de femme, l'ensemble ne me frappe pas par son originalité ; sans le mot "Monsieur" savamment placé, rien ne révélerait le genre du porteur de la bouche. Que ne parlez-vous, par exemple, de sa barbe, de la spécificité d'embrasser une bouche masculine ?
Ces interjections, l'une qui exprime l'admiration, l'autre, une invocation, m'ont interpellée, ont capturé mon attention. Interjection reprise au troisième quatrain. Bonne accroche, donc. La dimension sacrée de cette attirance est filée : "vin (sacré), divin, ciboire, eden, péché", est mêlée à une sensualité voluptueuse. Associer deux thèmes aussi opposés donne à ce désir, à cet espoir, ce Graal, un côté presque inaccessible et un goût d'interdit. Tout contribue à exacerber le désir de posséder cette bouche. Les mots sont délicats, les vers élégants, le ton est ludique, un brin provocateur. Comme une hésitation entre une certaine retenue et un désir bouillonnant. Les rôles sont inversés : c'est la dame qui part à la conquête de Monsieur. Le petit côté désuet ajoute un soupçon de piment à cette approche amoureuse. Le mot "Monsieur" me fait penser au titre autrefois donné aux hommes de condition élevée. Du grand art. Bravo ! Annick en EL. 
Merci madame (ce pourrait être "monsieur'", mais dans ce cas il se rendrait aussi un peu hommage à lui-même, et cela serait moins galant). Cette sensuelle invasion des valeurs habituelles ("le péché serait que je ne touche...") a un côté épicurien (au sens courant du terme) plein de charme : une invitation sans barrière au plaisir. Une petite réserve : l'ennéasyllabe est ici parfois rythmé 3/3/3 et parfois 4/5 : ces changements rendent la lecture un peu heurtée.
Waouh, du très bel ouvrage ! Ciselé à la perfection. Aaah, la volupté !... Je pense avoir reconnu l'auteur, et comme je ne dispose pas d'assez de temps maintenant, je repasse commenter dès la publication. Car il ne fait aucun doute pour moi, que ce petit bijou de poème sera publié. (voir EDIT plus bas... ) Cat (le 10 août, en E.L.) Qui s'en va cueillir un plein panier de baisers ÉDIT du 17 août 2022 : je t'avais bien devinée, Cristale . Yes !!!.. Comme promis, je développe : C'est alléchée par le titre, si j'ose dire, que j'ai découvert ce petit bijou de sensualité dans mon espace lecture. Qui d'autre que toi, Cristale , peut écrire et décrire aussi finement ce délicat moment d'extase ? Un petit bijou à faire tourner en bouche pour se régaler avec délice du moment le plus érotique qui soit dans l'échange amoureux. Enfin, le plus érotique à condition toutefois de s'y prendre comme décrit avec moult grâce dans le poème. J'entends mieux que je ne comprendrais jamais les règles du Classique. C'est donc la musique qui se dégage à la lecture qui me prend (ou pas) dans ses filets. La tienne, de musique, celle que tu insuffles à chacune de tes partitions, me fait toujours le même effet. Magique et ensorcelant. Bravo aussi pour le thème original ! Tu renverses l'angle de vue banalisé avec le temps, pour nous offrir ta touche si féminine sur cette bouche d'homme à croquer. Décrite par tes soins, on se délecte de sa sensualité raffinée – elle pourrait être la bouche d'une femme. Lorsque tout d'un coup surgit du chapeau ce '' Monsieur '' percutant, qui remet tout le monde sur les rails, tout en jouant une savante fausse soumission particulièrement jouissive. Si, si. Parole de moi !^^ Mille mercis. Un ne suffirait pas...
J'ai toujours trouvé un peu dégoûtant et baveux le fait de se rouler une pelle. Oui, le seul moyen de résister à la tentation c'est d'y céder. Plus sérieusement, c'est un peu redondant avec "l'ourlet fin de sa chair", "un pétale à saisir". C'est très idéaliste aussi et un peu excessif les 3 "oh", "ô", "oh". "Qu'à sa lie", beurk, non? Mais, dans l'ensemble, c'est très fluide, bien écrit et délicatement tourné. Joli et élégant la dernière strophe. J'aime beaucoup: "Si Monsieur m’offrait la volupté De cueillir un baiser de sa bouche." Une belle célébration du baiser! C'est Cristallin...
Bonjour Les poèmes en vers de 9 syllabes sont bien rares de nos jours mais je reconnais que ça passe plutôt bien à la lecture. Bon, quelques rimes me semblent bien un peu forcées et quelques expressions un peu limites (qu'à sa lie, entre autres) mais on ne va pas chipoter, c'est dans son ensemble un beau texte qui ne déparerait pas mon anthologie des poèmes érotiques.
Ce poème parait ne pas choisir son chemin. Une fois le thème facilement déchiffré on trouve des récurrences trop insistantes qui nuisent à l'envolée pourtant ici nécessaire. Ainsi "confesse/divin/ciboire/péché" n'appellent pas la variété et l'enthousiasme qui auraient renforcé le thème. L'auteur pourra affirmer qu'il faut ne garder que le second degré mais cela reste à mon avis une source de pesanteur. Le thème du poème est bien sûr sympathique mais traité avec une certaine difficulté à vraiment 'oser'. Le "Monsieur" de la dernière strophe me semble une facilité regrettable. Une lecture tout de même agréable malgré les imperfections. Merci.
Bonjour, Un poème qui tourne un peu en boucle sur le thème insistant du baiser (bouche, lèvre, langue...), il est bien ciselé, il faut le reconnaître, même si les rimes ne sont pas très originales, mais dommage que la prise de risque ne soit pas au rendez-vous chez une auteure aussi costaude et réputée dans le rayon poésie classique. Bien à vous Anna
Bonjour Cristale On pourrait dire : " ah, ta bouche, j'la veux ! je vais t'la mordre ! croix d'bois, croix d'fer, si j'mens... " Mais Cristale dit tout cela d'une façon différente... Ce trésor qui m'est si cher, sa bouche, m'en viendrai un beau matin, lui offrir la mienne pour sur ses lèvres, y déposer un ardent baiser qu'il voudra m'en suis certaine me rendre, fruité... NB j'ai appris l'art d'écrire les mots pour le dire, mais il me manque le talent, pour faire en 16 vers un chef-d'oeuvre, une maille à l'endroit, une maille à l'envers ! Une fois encore, le " classique " entre vos doigts, coule comme une gentille rigole, emportant sur son dos papillons et feuilles soufflées par le vent. le 3e quatrain, oh " pardonnez-lui Seigneur ? " est mon passage préféré dans cette cascade aux dives promesses... la métrique de 9 pieds est si courante... que je dus chercher " ennéasyllabe " ne serait-ce pas ce genre de combustible, qui enflamma les Monts d'Arrée...
Bonjour. Si certains ne voient pas la régularité de ces vers, dont certaines césures sont enjambantes, ce qui s'excellence pour briser une régularité monotone en 3/3/3, voici comment vous pouvez lire ces vers (je retire quelque ponctuation pour une lecture plus aisée par les ajouts intempestifs) : Oh ! sa bouche / ô trésor / qui m’est cher, Je saurai / d’un vœu que / je confesse Un matin / frôler a/vec tendresse De mon doigt / l’ourlet fin / de sa chair. Puits d’amour / espoir d’un / jour y boire, Enivrer / mon palais / de son vin ; Qu’à sa lie / un désor/dre divin M’aliène / et me noie / au ciboire. Oh ! sa lèvre / un pétale / à saisir, Un appel / vers l’éden / tiède et rose Où ma langue / à sa lan/gue — si j’ose – Aura l’heur / d’embraser / le désir. Le péché / serait que / je ne touche Au fruit pur / et gourman/de beauté Si Monsieur / m’offrait la / volupté De cueillir / un baiser / de sa bouche. * Le rythme fait preuve d'une certaine virtuosité, typique et invitée de la forme du blason, avec une richesse de variations cadrée, musicalement très précise, rejetant des schwas à l'unité suivante, comme le pratiquaient déjà Saint-Pol-Roux ou Verlaine. Ce qui se formule difficilement pour des césures très marquées (pour le decasyllabe et l'alexandrin classique) est ici employé avec délicatesse et précaution, peut-être trop timidement, mais rend certainement la musicalité d'un mètre honni vigoureuse et conquérante en esprit. Quant au thème, je resterai prude et n'y toucher oserai.
Bonjour Cristale, Je ne dirais pas que ce poème fait du sur place; l'auteure a délibérément choisi de dilater l'instant de l'attente du baiser, et, à travers le blason, de magnifier un élément du visage comme un zoom sur les lèvres, un arrêt sur image qui vous emporte. Etant moi-même assez idéaliste, j'ai apprécié cet élan vers un ailleurs mais celui-ci a été entaché par quelques vocables qui m'ont gênée par leur effet appuyé :"confesse","ciboire" ,"volupté" par exemple ou même "cueillir un baiser". Très belle troisième strophe, empreinte de simplicité, avec ses rimes en "ose". Quant à la prosodie, je sais, en aveugle, que rien n'est laissé au hasard. Merci
Quelle belle utilisation du chiffre neuf pour approcher les dieux ! Après les neufs muses, l’Ennéade en Égypte, nous voici confrontés aux 9 syllabes d’un baiser qui nous aliène dans un désordre divin. Mais, détrompez vous, ce chaos n’est qu’apparent, car à travers le cap fixé par des rimes embrassées, ces vers enjambent l’instant présent dans une fuite amoureuse. J’ai donc cueilli ce matin un joli pétale couvert de 16 vers délicats qui laisse sur nos lèvres un petit goût de fruit défendu. Original dans sa forme, voilà un nouveau trésor qui nous sera cher, car il est à la fois classique dans sa structure et moderne dans le traitement de ce thème. Cette inversion des rôles dépoussière le classique et montre qu’il a tout à fait sa place pour s’inscrire dans les thématiques du 21e siècle. Quoi de mieux qu’un passionnément pour célébrer la passion ?
De cette bouche gourmandise, une lecture activité fantasmatique, où douceur de l’âme et intelligence des sens font que la frontière entre l’érotisme viscéral et l’idéal romantique n’a jamais été aussi ténue ( Un border line où l’auteure, avec beaucoup de tendresse pour « l’autre » (qui en réalité est une activité séductrice) y prend donc un malin plaisir d’en jouer et c’est cela le cartouche de cette poésie, un semblant jeu de miroir ! ) Une poésie « de l’autre côté du miroir » où se dévoilent toute les facettes de la séduction féminine.
Bonjour Cristale. J’ai beaucoup apprécié votre poème et son rythme que j’ai lu en 3/6 du début à la fin. Je ne sais si j’ai eu raison mais ça m’a paru fluide et léger ainsi. J’ai pleinement ressenti le désir qu’éprouvait la narratrice ou le narrateur pour Monsieur (je reviendrai sur ce Monsieur plus tard). Je précise narrateur car à part ce Monsieur, rien ne s’oppose à ce qu’il s’agisse du désir d’un homme pour un autre il me semble (même si j’opte pour une narratrice dans ce contexte précis). « Oh ! sa lèvre – un pétale à saisir, » je comprends qu’il était presque impossible (voire complètement) d’employer le pluriel, j’ai néanmoins du mal à m’imaginer qu’une seule lèvre suscite la passion quand la plupart des êtres humains en possèdent deux. Ça m’a légèrement gêné mais n’a pas suffit à enlever le bien que je pensais de votre poème. Une autre petite chose m’a quelque peu dérangé, c’est le twist (pas again à Saint-Tropez, celui que l’on emploie fréquemment au cinéma) final et l’apparition de Monsieur qui change la perspective et la compréhension du poème. Si j’ai trouvé l’idée plutôt astucieuse, j’aurais aimé un autre mot ou formule que Monsieur pour me rendre compte qu’un homme se cachait derrière la personne désirée. Avec ce Monsieur je n’ai plus ressenti l’attirance ardente évoquée précédemment. Ce n’est qu’une question de ressenti me direz-vous peut-être et à juste titre, mais pour moi, Monsieur ça m’évoque plutôt un Maitre d’hôtel d’un grand restaurant qui me dirait quelque chose du genre : « Si Monsieur veut bien me suivre jusqu’à sa table…» La passion et le désir sont retombés comme un soufflé pour moi à la lecture de ce fameux Monsieur, j’ai trouvé ça dommage…
Bonjour Cristale Tant d'ivresses et caresses, dans votre doux poème je me mets peu à peu aux plaisirs de lire (déjà...) de la poésie classique et vous m'y incitez, peut-être bien qu'un jour je me laisserais tante par son écriture la votre et si bien travaillée, elle égale la sensualité de votre texte merci Cristale
Salut Cristale, Si la prosodie est respectée, je n'ai pas été conquis par le thème de ce court poème bien trop sirupeux à mon goût... Je n'ai pas non plus apprécié le lyrisme un peu béat qui se dégage de ces vers... Une autre fois, sur un autre thème... Bonne continuation
Bonjour Cristale, Cueillez, cueillez, égérie cristalline ! Excellente analogie que celle de la lie rapportée au ciboire pour imager cette transgression du rapport homme-femme. Heureux prélude que celui de la langue prudente, précautionneuse qui cherche son âme-soeur. Comment voulez-vous que le quémandé s'oppose à une telle proposition, amazone transfuge qui bafouez les codes, égérie héroïque. D'un professionnalisme prégnant.
Bonsoir Cristale, J'aime beaucoup l'idée de mettre à l'honneur le corps des hommes (ici la bouche), le désir qu'il peut susciter dans l'esprit d'une femme. Il est vrai que ça change un peu et c'est ce qui fait l'originalité de ce joli poème. L'ennéasyllabe n'est pas fréquent, bravo pour le travail même si le rythme me perturbe un peu, par manque d'habitude. Poésie, sensualité, douceur, c'est un bon ensemble pour une belle lecture.
Le retournement du cliché de la femme-fleur en homme-fleur (vers 9 : "un pétale à saisir",' vers 16 : "cueillir") est plaisant. Le lexique de la religion ménage subtilement la part d'interdit (vers 2 : "un vœu que je confesse", vers 13 : "Le péché") et de sanctification (vers 7 : "un désordre divin", vers 8 : "au ciboire") du baiser. Le blason se pare de significatives métaphores (vers 4 : "l’ourlet fin de sa chair", vers 5 : "Puits d’amour", vers 10 : "l’éden tiède et rose") : la beauté des lèvres annonce une plénitude sensuelle de la bouche avalisée par le thème de l'ivresse (vers 5 : "boire", vers 6 : "enivrer", "son vin", vers 7 : "sa lie"). Mais le plus marquant est cette distance affichée entre l'hypothétique (marqueurs temporels des vers 3 et 5 : "un matin", "un jour", formes conditionnelles des vers 11, 13 et 15 : "si j'ose", "serait", "Si Monsieur m’offrait") et le certain (futur aux vers 2 et 13 : "saurai", "aura"). Ainsi le baiser apparaît-il ici comme l'expression d'un fantasme constamment alimenté, continûment nourri par la vue de l'organe convoité. Merci pour ce partage !
Bonjour Cristale, On voit bien ici ton goût du classique et des classiques qui te permet de perpétuer une tradition et de remettre au goût du jour des formes poétiques peu utilisées sinon par les maîtres. Plus que le thème, qui était déjà choisi lorsque tu as choisi d'explorer le blason, je garderai donc en tête la technique. La poésie c'est comme la gastronomie. Il faut de l'imagination, un peu de folie, mais on ne s'invente pas grand cuisinier sans avoir suivi des cours qui vous apportent la technique. On ne nait pas artiste, on le devient mais cela nécessite du temps, de l'apprentissage et beaucoup beaucoup de modestie pour progresser. Tu fais de la gastronomie et je ne sens pas obligatoirement encore suffisamment techniquement à l'aise pour m'autopromouvoir critique culinaire du Michelin. Je resterai donc modeste en mettant un petit mot sur tripadvisor pour te dire mon admiration Bien à toi EDIT : je vois que ma cotation passionnée ne s'est pas inscrite hier. Désolé
Blason « bouche ». Le genre s'est perpétué de manière souple en restant dans la veine traditionnelle du poème descriptif de la figure féminine qui chante les différents éléments du visage de la femme ou du corps entier (visage, seins, cuisses…) Pourquoi le corps des femmes serait-il toujours à l'honneur ? Celui des hommes suscite autant de désir et d’admiration. Cette injustice doit être réparée.
Oh ! sa bouche – ô trésor qui m’est cher, Je saurai, d’un vœu que je confesse, Un matin frôler avec tendresse De mon doigt l’ourlet fin de sa chair. Puits d’amour, espoir d’un jour y boire, Enivrer mon palais de son vin ; Qu’à sa lie un désordre divin M’aliène et me noie au ciboire. Oh ! sa lèvre – un pétale à saisir, Un appel vers l’éden tiède et rose Où ma langue à sa langue – si j’ose – Aura l’heur d’embraser le désir. Le péché serait que je ne touche Au fruit pur et gourmande beauté Si Monsieur m’offrait la volupté De cueillir un baiser de sa bouche.

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Cristale : La volupté d'un baiser de sa bouche [Sélection GL]
 Publié le 17/08/22  -  22 commentaires  -  665 caractères  -  491 lectures    Autres textes du même auteur
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