Baise une strip teaseuse après son show

Baise une strip teaseuse après son show




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Baise une strip teaseuse après son show
Abonnez vous pour ajouter à vos favoris
Du rouge à lèvres (Sharon Pak/Flickr/CC).
SIMON RACK Panneau mural bleu pour atelier SIMONRACK - Taille - 900/600mm - 74,90€
Pour réagir, je me connecte Connexion
la_a_lescure a posté le 15 novembre 2016 à 22h37
Pour réagir, je me connecte Connexion
myosotis_lys a posté le 15 novembre 2016 à 22h37
Pour réagir, je me connecte Connexion
marcel_chapoutier a posté le 15 novembre 2016 à 22h37
Pour réagir, je me connecte Connexion
leon_777 a posté le 15 novembre 2016 à 22h37
Pour réagir, je me connecte Connexion
philippe_motta a posté le 15 novembre 2016 à 22h37
Pour réagir, je me connecte Connexion
L'Obs - Les marques ou contenus du site nouvelobs.com sont soumis à la protection de la propriété intellectuelle
Vous avez choisi de ne pas accepter le dépôt de cookies, notamment ceux de publicité personnalisée. Nous respectons votre choix. Le contenu de ce site est le fruit du travail des 135 journalistes de la rédaction de l'Obs, qui oeuvrent chaque jour pour vous apporter une information de qualité, fiable, et complète. Nos revenus proviennent de l'abonnement et de la publicité. Afin de nous permettre de poursuivre ce service, nous vous invitons à vous abonner . Merci
Web + tablette + mobile à partir de 1€
A peine majeure, fauchée et curieuse, j’ai dansé pendant un an dans les clubs chic des capitales française et belge, au milieu des années 2000. Tout juste à ma sortie de khâgne (oui, j’étais en avance), j’ai découvert un autre monde, loin des clichés habituels.
Aujourd’hui, il y a prescription et aucun regret. Mais toujours autant de questions. Derrière les épais rideaux – souvent miteux – de velours rouge, que fait-on, pour qui, pourquoi et pour combien ?
A l’époque, les médias multipliaient les sujets putassiers sur ces clubs « branchés » du VIIIe arrondissement, dépeints en sous-Lido abordables, « atmosphère conviviale » et « cadre élégant ». Je rigolais doucement. Rades glauques contre clubs de connaisseurs, un cliché en remplace un autre et l’opération communication visant jeunesse dorée et comités d’entreprises a bien fonctionné.
Passage par les vestiaires, antichambre d’un érotisme markété, avant/après. Ravalement de façade, Léa devient Chloé, plus de maquillage et beaucoup moins de tissu. La concurrence est rude et on ne copine pas facilement. Entre filles, il y a des choses qui ne se demandent pas, mais témoignent d’une vraie preuve d’amitié quand elles sont dites. Ce que tu as dîné, la marque de ton mascara et ragots divers : babillage. Ton vrai prénom, ton salaire et ton origine sociale : seuil de confiance franchi.
Bambi, Samantha, Diamond, Jade, Nina... j’ai vu deux types de filles : les pros et les touristes :
A coups d’investissements, de jolies filles, elles deviennent irréelles : créatures trop blondes aux yeux violets, longues griffes rectangulaires, anatomies fières et truquées, pilosité intégralement vaincue ;
J’ai croisé des secrétaires médicales, une assistante sociale, des fonctionnaires de catégorie C, deux cuisinières, deux comptables, une assistante de direction, une graphiste. Le reste fut « non renseigné ». Toutes ne sont pas forcément jeunes ou jolies, et d’ailleurs ça n’est ni un critère d’embauche, ni un gage de succès.
Je me rappelle encore de ma première fois. Après une journée à tergiverser en m’épilant, munie de la robe longue réglementaire (classieux, on a dit), du string et des talons, je me rends à 21h30 près des Champs-Elysées sans savoir à quoi m’attendre.
La manager vérifie mes papiers et édicte les règles : interdiction d’ôter son string, de prendre des photos ou de la drogue , de toucher ses ou leurs « parties », de mimer le coït, de se livrer à la prostitution . Mise en situation à valeur d’essai : un morceau pour se déhancher, le second pour se dévêtir.
Comme avant tout entretien d’embauche, je n’avais pas bu. Je l’ai bien regretté. Premières minutes éprouvantes : pas saccadé, une main sur la barre, je marche en cercle en évitant les regards et mon reflet dans les miroirs. Puis on se laisse prendre par la musique et son personnage. Ce soir-là et les autres, j’ai développé des talents acrobatiques, tête en bas, grands écarts, atterrissages allongée, sourire émail diamant, astuces pour faire passer le temps et n’être nue qu’aux dernières secondes.
Les hommes cherchent le regard et les femmes (si si, il y en a) scrutent le corps. Les modalités de rémunération dépendent de chaque club.
Souvent, les danseuses paient un droit d’entrée à la maison (entre 30 et 60 euros par soir à l’époque) et chiffrent sur les danses en salles privées et les « lapdances », ces danses rapprochées en public. Tout le jeu consiste à titiller suffisamment pour que le client débourse entre 40 et 80 euros pour ces danses. En salle, les videurs veillent au grain. Gare à celui qui touchera un corps dansant.
En privé, chaque fille gère sa stratégie. A croire l’odeur de vieux sperme et les scandales réguliers d’emballages de capotes, les « fins heureuses » sont légion. Et pourtant pas nécessaires : ce qui se joue pour la clientèle, entre encanaillement, plaisir de l’interdit, jeux de pouvoir ou émulation macho, est très rémunérateur. J’ai connu des soirs à 30 et à 700 euros, sans être une tête d’affiche.
Au hasard des coïncidences érotiques, chaque danseuse tient son rôle : femmes mangas au regard froid, ultralascives au ralenti, fraîches qui rougissent, fatales, pornos, enjouées rassurantes...
Côté clients, on s’en sort rarement pour moins de 100 euros, consommations comprises. Il y a bien une tenue correcte exigée et une barrière financière, mais on voit des jeunes, des vieux, des couples, des solitaires, des meutes.
J’ai eu peur à Paris, apercevant un camarade de promotion et mon prof de maths de lycée ; mais s’ils se souvenaient de Léa, ils n’ont pas reconnu Chloé. J’ai eu des réguliers qui payaient mon loyer en quelques déhanchements. Au fil des danses, j’ai sympathisé avec trois d’entre eux :
Très tendu, il n’avait pas le temps pour les petites amies, disait-il. Sans jamais être indiscret ou vulgaire, il tentait de me convaincre de le voir à l’extérieur. Nous discutions météo et actualités politiques ;
Touchant dans son stéréotype, habitué des lieux, il ne croyait jamais ce que je lui disais (la vérité pourtant), fanfaronnait en saluant son « ami de longue date » le patron, et répétait ses blagues phares comme un vieux prof. Plus paternel que sexuel, il m’a offert des briquets en argent et des flacons de parfums ;
C’est avec Léa, et non Chloé, qu’il débattait théories libertaires et concepts lacaniens, Georges Bataille , Michel Foucault et marquis de Sade à l’appui. Une complicité complètement impromptue, que nous entretenons toujours aujourd’hui dans une correspondance éparse et précieuse.
Moi aussi j’aimerai savoir comment elle s’en sort la comptable de Mulhouse. Mais même en travaillant avec elles, impossible de savoir pourquoi et comment. Les filles qui me parlaient un peu (et moi aussi) étaient toutes d’accord : c’est une activité stigmatisée, qui génère souvent l’incompréhension voire l’intolérance de l’entourage et oblige au mensonge. Ex concret (pas moi) : dur de trouver un mec qui accepte que sa copine fasse ce job, ou retrait de la garde des enfants quand les services sociaux l’apprennent. Les danseuses ne sont pas dupe, ça n’est pas un boulot comme un autre et sans le dramatiser, personne ne le banalise. Je ne l’ai jamais revendiqué comme un acte militant ; mon entourage ne savait pas à part 4 personnes ; je n’ai pu en parler que bien plus tard. Donc bref, même entre nous on n’en parlait pas trop. Donc moi aussi j’aimerai bien qu’elle témoigne, la comptable. A bon entendeur...


Parce qu’on est jalouses, on se compare, on se scrute... : D


Si t’as encore des doutes sur je ne sais quoi de ce genre, fais le nous savoir, c’est pas tout les jours qu’on rigole un bon coup ! ...


Merci pour cette collection de clichés ridicules.


Strip teaseuse, sans doute. Mais Khagneuse, j’y crois pas : trop de fautes d’orthographe, de style et de grammaire.
Ce qui confirme : ça reste difficile de s’effeuiller, même derrière un écran. Pas vrai, « Léa » ?



Доступ к информационному ресурсу ограничен на основании Федерального закона от 27 июля 2006 г. № 149-ФЗ «Об информации, информационных технологиях и о защите информации».

Доступ к информационному ресурсу ограничен на основании Федерального закона от 27 июля 2006 г. № 149-ФЗ «Об информации, информационных технологиях и о защите информации».

Le respect de votre vie privée est notre priorité
Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Cookies de fonctionnement , Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal






Accueil


L'INA éclaire l'actu


Strip tease amateur






Sexy tv - 18.02.2010 - 01:25 - vidéo


 
 
 
 

L'agenda et les actualités de l'INA
L'Institut national de l'audiovisuel
L'agenda et les actualités de l'INA
L'Institut national de l'audiovisuel
Deux jeunes femmes dévoilent leurs charmes devant la camera, tout ça en musique.
Vous êtes particulier, professionnel des médias, enseignant, journaliste... ? Découvrez les sites de l'INA conçus pour vous, suivez-nous sur les réseaux sociaux, inscrivez-vous à nos newsletters.
Chaque jour, la rédaction vous propose une sélection de vidéos et des articles éditorialisés en résonance avec l'actualité sous toutes ses formes.
L'Institut national de l'audiovisuel

Réalisateur :
Julien Diaz


Etudiante avec des gros seins baise avec sa prof
Apprendre à la connaître profondément
Une fille sexy se masturbe pour vous

Report Page