Baise passionnée avec son kiné

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Baise passionnée avec son kiné


Publié le 26/02/08 à 00h00
— Mis à jour le 26/02/08 à 18h44



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mercredi 07 septembre

Culture Scènes d’amour intégral
Un festival de films français intitulé «Extreme love» s'est ouvert lundi à Tokyo, organisé avec le soutien de l'ambassade de France.
>> ATTENTION, LES VIDEOS DANS CET ARTICLE PEUVENT CHOQUER >>
Au programme: 24 courts-métrages et 4 films dont «Sombre» et «La vie nouvelle», du cinéaste français Philippe Grandrieux; «Baise-moi» de Virginie Despentes et Coralie Trinh Thi et «Une vraie jeune fille» de Catherine Breillat, qui ont déjà été diffusés au Japon mais avec plusieurs scènes coupées ou floutées. Car dans ce pays d’Asie, la nudité intégrale est interdite et les séquences de nu dans les films, japonais ou étrangers, sont floutées au niveau du bas ventre, y compris pour les films X.
La vidéo de «Une vraie jeune fille»
Or exceptionnellement pour ce festival, il n’y aura aucune scène censurée, pas même les séquences qui montrent masturbation, fellation ou accouplement.
«La France jouit d'une liberté en matière d'érotisme que j'apprécie beaucoup, dit Takashi Asai, président de la société Uplink, là où sont projetés les films du festival. Dans le cinéma, nous ne sommes toujours pas libres au Japon», a-t-il regretté, en rappelant le cas du cinéaste japonais Nagisa Oshima dont le film culte, «L'empire des sens», n'a toujours pas été montré dans sa version intégrale au public japonais.
Takashi Asai est bien connu des responsables de la censure japonaise: il a fait la une des médias la semaine dernière après qu’un verdict de la Cour suprême l'autorise à importer au Japon un livre de nus du photographe américain Robert Mapplethorpe.
«C'est une pure coïncidence que ce festival de cinéma se tienne quelques jours seulement après le verdict», a assuré à l'AFP Asai, dont la société, créée en 1987, publie des livres d'art, produit et distribue des films et documentaires d'auteurs.

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Modifié le 27/01/2017
à 10h55


Encore une info signée Touche pas à mon poste : ce jeudi soir, Isabelle Morini-Bosc a fait une révélation sur… le pénis de Patrick Sébastien. La chroniqueuse l’a assuré, de ce qu’elle a vu, il est plutôt « impressionnant ».
À quasiment chaque émission, il arrive un moment où la bande de Touche pas à mon poste se met à parler de sexe. Et ce jeudi, c’est aux alentours de 20h30 qu’ils sont tous entrés dans le vif du sujet en parlant de taille de pénis. Estelle Denis a donné son avis ( « Trop petit, c’est trop petit » ), Enora Malagré aussi ( « Si c’est trop gros, c’est infaisable » ) et Isabelle Morini-Bosc a raconté une anecdote savoureuse à Cyril Hanouna . « Est-ce que vous avez déjà vu le zizi d’une star, à part moi ? » , lui a demandé l’animateur. Une précision utile, puisque toute l’équipe de l’émission l’a vu : il le met même sur l’épaule de sa secrétaire à certains entretiens d’embauche. La chroniqueuse s’est un peu creusé la tête et a sorti deux noms : Gérard Depardieu (mais on n’en saura malheureusement pas plus) et Patrick Sébastien.
Comme l’a précisé Thierry Moreau , elle n’est pas la seule : « Il le montre à tout le monde. » Mais d’après Isabelle Morini-Bosc, il n’a de toute façon pas besoin de le sortir : « Visuellement, même à travers un tissu, ça se voit , a-t-elle assuré à ses collègues. C’est impressionnant. » Et puis une fois, elle l’a vraiment vu. Un vrai choc : « Il se changeait , s’est-elle souvenue. J’ai regardé et j’ai constaté : si sa voiture tombe en panne, il n’a pas besoin de cric. » Attention quand même, ça peut être douloureux.

Confessions, séquences choc. . . le meilleur de la Télé.


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01/09/2018 à 07:30







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Estelle a eu une histoire torride avec l'un de ses collègues.
Il y a cinq ans, j'ai été recrutée comme chargée de clientèle dans une agence d'événementiel qui organise des séminaires, soirées et conférences de presse pour les entreprises. J'ai tout de suite trouvé Antoine, le directeur technique, très sexy avec ses grands yeux noirs, ses cheveux bruns et son sourire discret. Visiblement je n'étais pas la seule sous le charme. Les autres filles, avec qui j'ai sympathisé, en faisaient leur sujet de conversation préféré. Antoine intriguait. Il ne portait pas d'alliance et ne s'épanchait jamais sur sa vie perso. 

Nous n'avions aucun rapport hiérarchique direct et n'étions que rarement sur les mêmes projets alors quand je le retrouvais sur un dossier, je me réjouissais. Nous échangions des mails, discutions en réunion. Antoine était cordial mais toujours très sérieux. Cette posture m'attirait. Je l'observais, lui décochais un sourire dès que je le pouvais. Je revivais mes années lycée, les couloirs que l'on arpente en espérant tomber sur l'autre. 

Un jeudi, nous sommes sortis dans un bar après le boulot pour fêter la signature d'un gros client. Déjà trois mois que j'étais dans la boîte. Antoine et moi étions assis sur la même banquette et parlions boulot. Nos jambes se frôlaient sous la table. Je ne savais pas si c'était volontaire ou non mais la sensation agréable de sa cuisse contre la mienne me déstabilisait. 

Plus tard, nous avons envahi la piste de danse. Antoine me paraissait différent, plus ouvert, plus détendu, soulagé du boulot accompli. J'ai eu un déclic. C'était l'occasion ou jamais de sauter le pas. J'ai me suis avancée vers lui, gênée mais excitée, déterminée à tenter quelque chose. Je lui ai dit qu'il était très beau, en dansant et en plein brouhaha. Avec ce compliment, je prenais moins de risque qu'avec un baiser, même si j'avais terriblement envie de l'embrasser. Antoine m'a souri puis m'a proposé de me déposer chez moi. Arrivés à sa voiture, impossible de retrouver ses clés. Nous les avons cherchées pendant deux heures, dans la rue d'abord puis à l'agence, avant de nous résoudre à prendre le métro. 

En bas de chez moi, j'ai pris mon courage à deux mains pour l'inviter à monter. Il m'a emboîté le pas. C'est lui qui m'a embrassée avant que je n'ouvre ma porte d'entrée. Un baiser spontané, alors que je cherchais mes clés. Nos bouches ne se sont pas décollées, du palier au canapé. Ce que dégageait Antoine au quotidien, d'intouchable et de profond, se ressentait dans sa sexualité . Il était taiseux, un peu fermé, entreprenant mais avec une once d'hésitation. Il ne me regardait pas dans les yeux, comme pour dissimuler son plaisir. Une certaine pudeur émanait de lui, qui m'excitait plus encore. 

Le lendemain, Antoine est arrivé une heure après moi au boulot. Il m'a fait la bise, comme aux autres, tout en me jetant un regard complice. Il m'a envoyé un mail quelques jours plus tard pour me dire qu'il avait encore perdu ses clés de voiture. Je lui ai répondu que je venais de tomber sur son trousseau. Cette anecdote est devenue notre code. Nous avions brisé la règle du "no zob in job" et on s'en fichait pas mal. Seulement, nous ne voulions pas que les autres le sachent. Peur que ça nous desserve au travail, peur des ragots aussi. 

Avoir une relation en cachette était agréable. Nous nous lancions des regards explicites, des "vivement ce soir" par SMS en réunion. Cela faisait monter instantanément la température. Nous afficher au grand jour nous aurait fait perdre du piment. Cela nous aurait obligé à nous demander si nous étions un couple ou non. Ne pas se montrer ensemble était donc un bon moyen de laisser les choses se faire sans pression. 

Au bureau, les horaires étaient plutôt souples. Nous pouvions nous échapper de longues minutes sans attirer l'attention. Nos retrouvailles avaient lieu dans les toilettes les plus isolées de la boîte. Nous nous enfermions dans une cabine et ni une ni deux, Antoine plaquait mon corps contre le mur, une main sur ma bouche. Le sexe était toujours à la vite, précipité, bestial. Nous avions un besoin urgent de fusionner. L'excitation grandissait avec la crainte de nous faire surprendre. Le désir était si intense que nous oublions l'inconfort. Antoine avait abandonné sa pudeur des débuts. Il menait la danse, me faisait l'amour sauvagement et montre en main. 

J'ai essuyé plusieurs fois des remarques en arrivant en retard en réunion. Ce n'était ni méchant ni suspicieux, mais mon boss m'a précisé qu'être à l'heure n'était pas option. Ça me passait au-dessus. Après avoir fait l'amour avec Antoine, j'étais dans une bulle, coupée du monde. 

Il nous arrivait aussi de nous retrouver le soir tard, quand l'agence était déserte. Nous envoyions balader les dossiers et faisions l'amour à même le bureau. Le lendemain, je regardais toujours mon ordinateur d'un autre oeil en repensant à nos ébats de la veille. Quand le lieu que l'on associe à la réflexion et au sérieux se transforme en terrain d'expérimentations sexuelles, on a le sentiment d'être rebelle. Le plaisir est renforcé, multiplié par la transgression, c'est déconcertant. 

En plus d'un épanouissement sexuel dingue, vivre cette relation au boulot m'a apporté un regain d'énergie considérable. J'avais hâte de venir le matin et de travailler en binôme avec Antoine. Professionnellement, je me sentais capable d'abattre des montagnes. 

Plus le temps passait, plus notre histoire devenait sérieuse. Il ne s'agissait plus uniquement de sexe, loin de là. Au bout d'un an, Antoine a quitté l'entreprise. C'était mieux pour nous. Cela fait cinq ans aujourd'hui que nous sommes ensemble. Bien sûr, nous avons une vie sexuelle intime plus "classique" mais nous avons gardé le goût de faire l'amour dans des lieux interdits . Au quotidien, Antoine s'amuse parfois à me faire la bise, pour le clin d'oeil. Instantanément, ça me prend dans le ventre, j'ai envie de lui et nous courrons dans notre lit. 


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