Baise-moi de manière insensé mon frère

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Publié le 03.07.2013



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Bonjour, Je souhaiterai offrir mon témoignage pour tous les êtres blessés et déchirés par l'inceste qui cherchent comme j'ai cherché une issue, un espoir, une porte de lumière pour se libérer du poids qui les empêches d'être eux même. Je souhaiterais que vous ajoutiez une nouvelle catégorie intitulé "Inceste Sœur/Frère" car la catégorie que vous avez "Inceste Frère/Sœur" indique l'inceste commis par un frère sur une sœur, ici, c'est l'inverse, une grande sœur sur son petit frère, chose que l'on entend pratiquement jamais tellement c'est inconcevable, tabou et honteux dans l'inconscient collectif. Merci beaucoup !
Voila je me lance ! Je suis un homme de 35 ans, issue d'une famille de deux enfants, parents toujours mariés, j'ai une sœur qui a 8 ans de plus que moi. Et c'est avec elle que j'ai subie l'inceste entre l'âge de 6 et 7 ans. Une mère qui avait développé envers moi un amour passionnel, un inceste affectif puissant où j'avais la sensation qu'elle était ma femme et donc une très forte dépendance affective me poussant à développer un syndrome du sauveur en répondant aux besoins des autres sans que je reconnaisse ou que l'on reconnaisse les miens.
Ainsi pour avoir l'amour et la protection de maman j'étais attentif à ses besoins, triste quand elle était triste et honteux croyant que cette tristesse était là parce que je ne répondais pas assez à ses besoins ... Un père présent physiquement, mais absent affectivement, un manque de référent pour grandir Homme et avoir des repères forts. Ma mère donné ainsi double dose et cela arrangé certainement mon père quelque part. Pour ceux qui connaissent Lise Bourbeau, j'ai développé ce qu'elle nomme une blessure d'humiliation, de honte forte face à moi même. L'enfant que j'étais a donc "fais plaisir" longtemps, trop longtemps, d'une manière ou d'une autre, soit en faisant le pitre devant la caméra de papa, soit en étant câlin à l'excès, mais toujours pour rechercher l'attention et avoir l'amour qui l'empêcherait d'avoir peur dans ce monde insensé pour lui. Je sentais très bien les peurs de ma mère et de mon entourage, l'avantage du syndrome du sauveur c'est qu'il nous fait développer un don d'empathie puissant.
Comme une éponge mon émotionnalité se calquait sur les émotions des autres et toujours cette angoisse de savoir si je répondais juste à leurs besoins, et si ce n'était pas le cas de l'anxiété, de la honte et de la culpabilité m'envahissait. J'étais un enfant plein de vie, mais aussi timide et craintif par ailleurs, surtout bien entendu après l'inceste. Je sentais ma mère craintives et anxieuses, ma sœur triste et amer, mon père stressé et bloqué avec de nombreuses peurs et méfiances et j'ai dû lutter bien plus tard pour me défaire de ces peurs transmises qui viennent certainement en partie de très loin dans notre lignée ... Ma soeur a souffert dans une certaine mesure de ma naissance, c'était une adolescente renfermée, peu enclin au débordement d'affection et qui n'a pas reçu beaucoup d'affection de notre père qui lui n'en avait pas reçu de ses parents et on ne peut donner ce que l'on a pas reçu, mais les faits sont là et les souffrances bien réelles.
Ceci c'est sa vie et je lui laisse ce qui lui revient de comprendre sur le pourquoi de son état émotionnel de l'époque et ce qu'il en est dans sa vie aujourd'hui. A cause de son mal être et de l'excès d'attention dont j'ai bénéficié par ma mère, elle n'aimait pas trop s'occuper de moi, je ne lui en voulais pas je devais l'aimer c'est tout, j'étais programmé à aimer. Il lui est arrivé sous des accès de frustration juvénile d'avoir par moment des actes peu aimable envers moi comme me pincer où être blessante verbalement.
A d'autre moment peut être sous le poids de son ennui, de la jalousie et de la fascination qu'elle éprouvait envers moi, elle m'a entrainé dans un jeu qui s'ancra en moi comme un profond traumatisme qui fut l'inceste. Cela s'est donc passé de l'âge de mes 6 ans et jusqu'à 7 ans, alors que j'étais en pleine construction physique et psychique, alors que j'aimais ma soeur à ma manière d'enfant et que je lui faisais confiance, c'était ma soeurotte. Des contacts sexuels provoqués sous forme de jeu pour masquer ma vigilance. Des attouchements où j'ai eu la honte d'y prendre du plaisir, car à 6 ans ce type d'attouchements déclenchent mécaniquement une réaction physiologique chez l'enfant et je ne connaissais rien de cet univers d'adulte.
Puis à 7 ans, quand nous avons déménagé très loin cela s'est intensifié par le jeu du coiffeur, puis elle se déshabillait et me demandait de caresser ses seins, symbole maternelle sécurisant qui déviée ma vigilance, comme un hameçon de tendresse. Puis cela est allé jusqu'à l'obligation de la caresser elle sur ses zones génitales, je m'en souviens très bien et surtout de la terreur qui me figeait d'effroi à la voir jouir de ce plaisir dément, des odeurs corporelles et vaginales répugnantes et tout le reste ... Je me sentais vide, froid, honteux, je ne comprenais rien, j'étais tout seul, ma mère était resté à notre ancien lieu de vie pour vendre la maison et impossible d'en parler à quiconque, d'ailleurs ma sœur m'interdisait de révéler quoi que ce soit.
Et quand ma mère est revenue j'étais tellement content qu'elle s'occupe à nouveau de moi que j'ai rangé cela au plus profond de ma mémoire. Mais toutes mon adolescences j'ai eu des flash de ces moments là, les premières fois où je me suis masturbé comme tout adolescent c'était selon la manière avec laquelle ma sœur c'était prise avec moi. J'étais travaillé par cycle par des rêves sexuels où j'étais forcé d'avoir une relation sexuelle avec elle et où j'y prenais un plaisir honteux, avec des éjaculations nocturnes. Comme coincé entre la volonté de sortir du cauchemar de cette emprise psychique et le corps qui innocemment avait découvert des sensations. Ma vie sexuelle fut longtemps un douloureux plaisir … En y ajoutant cette emprise que ma mère exerçait sur mes relations intimes. Mais j'ai rangeait tout çà encore bien plus profond, sans voir à quel point ce traumatisme, cette violence masquait sous les traits de la tendresse avait brulé mon cœur. L'inceste masculin est un tabou dont on parle peu, les hommes ont honte d'avouer avoir était souillé par une femme et honte d'avoir était impuissant face à cette violence. Ainsi je me suis retrouvé à 7 ans tout seul, sans ma mère à Nice avec papa et Valérie. Un enfant de 7 ans avec qui sa mère a développé un rapport très passionnel, fusionnel et donc très dépendant affectivement d'elle se retrouve dans un lieu inconnu, sans repères, déboussolé, il tombe malade, doit être hospitalisé (appendicite), son père a un accident (de moto) où il a faillit mourir, c'est beaucoup pour un petit bonhomme qui a été trop couvé et donc pas préparé au choc du réel. Un père trop occupé à faire marcher sa boutique et une sœur qui inconsciemment profite de ma fragilité pour continuer à m'humilier, me nier, violer ma confiance et moi le gentil petit garçon qui avait compris que pour être aimer il devait faire plaisir je me pliais à ses désirs pour ne pas lui faire de peine … Je ne disais rien pour ne pas faire de peine à ma mère, je ne disais rien à mon père pour ne pas lui faire de peine, je n'ai jamais osé être moi-même pour ne pas leur faire de peine ... Je n'étais pas conscient de ce qui me tombé dessus, je ne savais pas dans ma tête d'enfant ce que cela représentait mais j'en ai bien marqué la blessure et en ai conservé la plaie ouverte jusqu'à aujourd'hui ou patience après patience je tente de cicatriser.
J'en ai été déchiré, je m'en souviens bien, dans de nombreux détails et surtout mon angoisse et ma honte d'avoir été utilisé et de ne pas avoir su dire non. Je n'ai pas appris à dire non dans le domaine affectif. S'en ai suivi bien entendu des problèmes scolaires, des troubles de l'apprentissage classique après ces traumatismes, les mauvaises notes à l'école, l'orthophoniste, la baisse radical de mon estime de moi-même, mon introversion et d'autres humiliations. L'inceste m'a conduit au mutisme en raison de l'énormité du secret, j'étais comme anesthésié. Dans l'impossibilité de communiquer mes sentiments, non pas que les mots manqués mais c'est plutôt le caractère déchiré et insupportable de la relation qui rendait l'aveu impensable. Je ne pouvais surmonter les contradictions de mes propres sentiments incestueux qu'en retournant l'écœurement contre moi-même. En fait, la raison majeure de ce silence angoissé était que je n'avais pas les moyens de résoudre le conflit affectif qui m'était imposé. Il s'était installé en moi une confusion affective insupportable car elle me mettait dans l'impossibilité de me construire une personnalité autonome. Plus l'inceste apparait comme intégré dans l'enfance plus il se montrera dangereux par la suite. Son assimilation apparente fait que la plus élémentaire révolte de l'enfant devient impossible.
D'où bien entendu toutes mes crises d'autonomie de l'adolescence à l'âge adulte ... J'étais comme stériliser (d'où mes difficultés à songer à la paternité aujourd'hui) quand à mon développement futur d'adolescent et d'adulte, dans l'impossibilité de me créer ma propre personnalité en dehors du milieu parental. S'est installé une dépendance absolue qui a fixé mon évolution affective et morale au stade le plus dépendant de l'infantilisme confusionnel. Ce qui a été imposé à l'enfant que j'étais sous l'appât de la tendresse dont il avait un besoin vital à équivaut à un interdit de grandir … J'ai dû refouler tout ceci pendant presque 30 ans pour pouvoir tant bien que mal me construire, avancer un peu, même bancal. Mais je me dois de le dire pour ma propre dignité et pour ma famille, car les secrets de famille ruinent des générations entières. Si je n'avance pas dans ma vie ce n'est pas à cause de mes choix philosophiques, de mes choix d'amis ou de compagne mais parce qu'entre autre je traîne aussi cette histoire depuis mon enfance et que l'ambiance familiale dans laquelle j'ai grandi a fait de moi un être démuni face au monde et devant lequel je me bat pour avancer. J'ai toujours eu peur d'admettre la gravité de cet inceste, j'ai effectué un déni total, même si pendant mon adolescence cela revenait me hanté je repoussais cela toujours à plus tard, c'était trop à gérer, je n'étais pas assez fort pour çà. Un enfant ayant développé une blessure d'humiliation se voit de l'impossibilité de communiquer ce qu'il ressent vraiment et cela reste en lui à l'adolescence et l'âge adulte. Il a cru que s'il répondait à ses propres besoins il ne serait plus disponible pour répondre aux besoins de ceux dont il attend protection et sécurité. Ce qui l'amène à taire ce qu'il est et ainsi toute personne qui ressemble à une femme qui s'affirme ou a du répondant, (qui a donc l'image des femmes qui ont eu autorité sur moi enfant) a été perçus comme un agresseur potentiel. L'angoisse relationnel avec les femmes, le sabotage de relation significative par crainte de souffrir et d'être de nouveau exploité dans le contexte d'une relation intime, la sensation de n'être digne de personne, comme un dégoût de soi-même. Quand un enfant a été trompé par un proche, il se dit que tous le monde peut en faire autant ! Nous n'étions pas très proche ou complice ma soeur et moi en règle général et ce fut ces seuls moments où j'ai cru dans mon cœur d'enfant à un rapprochement avec elle vers de la vraie tendresse fraternelle, mais qui a été bien désillusionnée. L'inceste n'a pas tout fait, il y avait en moi une carence d'affection envers moi-même puisque je donnais tous aux autres, mais cet événement a scellé ce mécanisme profondément en moi. J'étais en réaction contre ces femmes qui avaient autorité sur moi et qui m'ont humilité, bâillonné et bien entendu la haine des femmes que véhiculait mon père n'a rien arrangé. Pour me protéger de ma famille et continuer à recevoir de l'attention j'ai dû endormir ma propre souffrance, anesthésier ce que je voulais vraiment pour moi. Je faisais partie de ces enfants enfermés dans l'obligation d'être heureux !
Ensuite, j'en ai voulu à ma sœur d'être partie à 18 ans de la maison sans reconnaitre les faits, j'en ai voulu à ma mère de m'avoir abandonné et d'avoir maintenu une emprise de possessivité sur ma vie, mes choix, j'en ai voulu à mon père de ne pas avoir été protecteur et d'user d'autorité pour les mauvaises choses sans m'aider à grandir, à être un homme. Ma sœur n'est pas la seule responsable, c'est toute l'ambiance familiale qui l'a amené à commettre cet acte. L'inceste arrive dans les familles où chacun souffre d'une grande solitude affective, où règnent l'insatisfaction, le stress et le manque de respect, il n'y a pas de fumée sans feu … Ma soeur est partie rapidement, enfuie dans la religion pour peut être se faire pardonner d'un Dieu le père où trouver un père plus tendre et plus présent. Puis elle ma laissé là, dans mes habits de peine. Et comme si son emprise sur moi n'avait pas suffit il a fallut qu'elle nous impose son mode de pensée, son entrée en religion qui a selon moi en partie pour cause la culpabilité de ce qu'elle m'a fait subir, avec la volonté de se racheter une conscience, de trouver la paix et le pardon envers l'image d'un papa idéalisé. Mais cela ne fonctionne pas ainsi, le passé nous rattrape tôt ou tard. Alors il est normal que je n'ai pas eu de relation très proche avec elle pendant de nombreuses années dont ma mère se plaignait. J'ai tout naturellement, comme mécanisme de survie, développer une allergie à la famille, puisque c'est en elle qu'est née ma souffrance. Quand on mine l'amour propre d'un enfant il devient de plus en plus dépendant, mais il a besoin de croire que les adultes qui lui donne une éducation sont là pour le protéger, mais comme les faits lui disent le contraire, alors il fait un déni de cette réalité et retourne la honte et la culpabilité contre lui-même …
Contrairement à ce que pensait ma mère je n'ai jamais vraiment eu de problèmes avec mes racines, ce n'est pas elles que j'ai refoulé ou rejeté je te l'ai toujours répété mais elle n'écoutait que son narcissisme maternelle, elle me voyait à travers sa propre blessure. Mes racines sont en moi et je bénéficie de leur force ainsi que celles de ma lignée avec laquelle je communie dans le cœur régulièrement. Non, ce que j'ai rejeté c'est l'association hypocrite qui a été faite entre l'emprise des premières femmes que j'ai aimé (ma mère et ma sœur) et la religion. Et c'est en comprenant qu'en fait ce que je rejetais c'était l'emprise des femmes sur ma vie, ma mère d'un autre point de vue et ma soeur d'un autre et par extension la communauté religieuse en tant que matrice maternalisante, en tant que mère totale et étouffante, qui nous oblige à être heureux mais uniquement sous sa coupe, dans son giron
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