Baise en groupe pour salopes assorties

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Baise en groupe pour salopes assorties



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26.06.2013
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Claire Quand Claire se laisse gliss
correctement avec lui. Cette habitu
moment, il est venu la voir, hors d
de Reldanch. Il leur arrive de plus
Ils sont nombreux dans ce petit end
Clochette urbaine. Je regrette de n
voudrait pas retomber sur lui, il e
Elle ne savait pas pourquoi elle av
sa hauteur, sans un mot, elle avait
anciennes relations dans le recouvr
irrationnelle. Quelque chose dans s
Je regarde, distraitement, les phot
mauvaise foi qui remontait le moral
quand le vampire croque une victime
aimaient le concept, mais trouvaien
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Quelqu’un contre le reste du monde… 3 mars 2018 285 minutes de lecture 1.9K vues
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Je me lève, je suis toujours vivant, ça fait bizarre… Pas que j’aurais voulu être mourru, tout rétendu, mais ailleurs ! Je jette un oeil dehors, façon de parler parce que j’y tiens… et que vois-je ? Pluie et brouillard, couleurs fades et grises, mines renfrognées des gens…, ceux qui vont au turbin râlent d’en avoir, du turbin…, ceusses qui n’ont pas de travail râlent de ne pas aller au turbin…, personne sourit, rigole, se marre ouvertement, même Bruel toujours à sourire bètement pour anoner “ Ya d’la joie “, ben…: il crie sa joie dans le poste qu’il reverra Drucker dans 10 ans, la belle affaire…
Mes rapports à l’humanité se limitent à l’observer… Entre vous qui lisez ceci et moi c’est bien suffisant… Ça foisonne ! Microbes ! Bactéries ! Parasites ! D’ailleurs, c’est bien ce qui m’a valu les pires emmerdes, de trop l’observer. Quoiqu’on en dise, l’humanité est prête à exister et à se perpétuer dans les pires conditions dans la mesure où on ne lui montre pas la tristesse de son état… Bien fait pour elle ! Question psychanalytique de l’Etat sociétal (en double sens, c’est pareil), je ne peux vous dire grand-chose, sauf qu’en tant que psychanalisé, j’ai rencontré des psychanalystes de réputation, entre autres, mais je m’y suis attardé seulement par curiosité…, par voyeurisme si vous saisissez le tableau… Un con exécutant de nouvelles conneries comme une danseuse exécutant de nouvelles figures !… C’est un truc dont je ne me soucie pas, une forme d’auto mutilation cérébrale dont, en tant qu’être désuhmanisé, je ne suis pas friand. La paix de mon âââme remplaçant le charlatanisme des ceusses qui dirigent le monde vers son néant séant, écoutez-les en radio et en télévision, partout… Ils bafouillent le même langage. L’acceptation ! La résignation ! La soumission ! Les masses massives devant subir, attendre… Encore une journée de con et de conneries à supporter… Après moulu, le café bout, trop bouillu de bouilloire, comme les gens, noir, amer…, un filet de laid pour faire beau, pour être buvable pas oublier de sucrer… La journée commence qu’on voudrait déjà qu’elle finisse…, qu’on en connasse déjà la faim, la faim de la connerie est insatiable… Moi, je vais nulle-part, encore, j’ai un boulot autre, attendre le client en commerce, c’est comme tout, on nait tousses des putes, on en est tous, des putes, nés pour attendre le client qui attend aussi…, devoir accepter qu’il mate, touche, discute, palpe, branle ses conneries, se déloque la tête, raconte ses histoires, écoute les bobards, puis propose toujours moins que besoin…, par plaisir d’enculer…, puis se fait enculer en retour dans d’atroces douleurs jouissantes de discussions inutiles, pour passer le temps… Les ceusses d’autres, ils subissent tout ça…, baise, baise, bordel…, jouit, paye, paye…, du moment que tu craches des sous, du flouze, vas-y, spermate…! C’est que ça, piting, la vie…, parfois c’est pire dans des trucs miteux, genre crade et compagnie…, les ceusses de trucs miteux qui enculent à tour de bras, profond, souvent que t’es obligé de douiller pour souffrir de le sentir passer…, paye, paye, paye… Tes ronds, ton flouze, jamais assez, toujours plus, et quand tu crois que ça pourra plus être pire… ça continue, plus gras, plus fort, plus profond… Pas de morale, si t’as pas le moral il te faut aussi enculer les autres, pareil, à l’infini, tout le monde encule tout le monde, partouze géante universelle, avec des évèques, chamans, mollah et autres, pape, prophètes, généraux, présidents, dicteurs-dictateurs… Tous ils crient : allez-y, la grande enculade et paye, paye, paye, ramène ton flouze, tes pépètes… T’auras le paradis, des vierges, la paix universelle le bonheur d’être mort et d’avoir été con aussi, d’avoir agité des drapeaux, crié vive le roi, vive le président, vive la connerie, plus fort, plus profond, faut pas qu’elle crève la patrie pour que la connerie puisse continuer, toujours plus loin, toujours plus profond… Piting… Déjà midi, faut bouffi, de la merde, mais chaire payée pour cher cochon de payant, bouffe ta merde, pain garni, ravioli, paye, paye, bouffe, bouffi ! Café encore, en final, comme bouquet… Puis vas-y, retourne au turbin, comme faire tapin…, tapine ! Re-belotte, après-midi pareil que matin, faire la pute, jouer la pute, fonctionnaire pour emmerder la moitié des autres, commerce pour commercer la patrie, payer, payer, payer, taxes, impots et compagnie… Puis c’est la fin, journée inutile, retour dans la cohue, métro ou auto même chemin…, du monde partouze, bousculade, fais gaffe à ton cuir ! Contredanse sans musique, paye, paye, paye, ou tickets divers, paye, paye, paye, dans la foule, stressante, stressée… Conneries, la vie ça devrait pas être ça… Je crois que la liberté devrait être complète, absolue ! Totale ! Qu’elle dérape ! S’éclate ! Se contorsionne ! Enfonce le décor ! Explose en feux d’artifice ! Bengale ! Multiples ! Atomique ! Qu’elle éclabousse !… Du temps pour le romantique, un poil de lubrique, du temps pour faire le con, pas pour être con, surtout le con des cons, des autres… Peu importe le propos, au populo de se démerder avec la futaille. D’ailleurs, y en a rien à foutre, le populo de ces histoches. Bien peinard, il préfère carburer au pinard et dompter ses mômes à coups de gnons sur la tronche !… Ça ne joue pas dans la dentelle, bonjour la cisaille de la vie. Et c’est pas fini, tu crois que c’est fini alors que ça fait que commencer, non, paye, paye, paye… quelques courses en magasin, magazine, magazine, paye paye, merde en boîtes, merdes en conserves, salades sous plastique, tout aseptisé, même pas sur que c’est du vrai, du recomposé, du chimique… Manger avec un masque pour être sur, suri comme citron, con écrase, écrabouille ta bouille de con… Bouffe ta merde, après tout c’est toi qui l’a fabriquée tout le jour en collaborant aux conneries du turbin… Après bouffi ta merde, faut la vider, tu merdes, re-merdes, c’est le bonheur, moment ou tu payes pas, plus… Pousse, plus fort tes conneries de la journée, regarde les conneries télévisées, ça aide… Après c’est Druckerisation et compagnie, déjà tu l’as vu le week-end, tu crois qu’il est plus là, ben non… Mais ouiiiiiiiii…. Jouissance, extase, transe… Il y est toujours, il prépare ses coups, son coup, partouze, monte en hélicoptère, pense à toi, c’est sur, citron, bouche bée devant ta télévision, crédit, paye, paye… Puis va dormir, essaye d’oublier, branle, branle, fais des Hop-hop-hop-hop-hop… Pathétique, jouissance, enculades royales, Jésus, my gode, profond… Foutre plein la gueule, fabule, venge-toi des conneries, pense à ce que tu n’as pas, les seins de Paméla, la zigounette de Bradd, sans Pitt, qui lui n’en a rien a foutre, Madonna non plus, du moment que tu payes, payes, payes pour qu’il et elle engrangent, bateaux, villas, châteaux, limousines, hélicos et jet-set… Regarde, tu sais faire que ça, bave, branle comme con et conne, t’auras que ça du gateau, eux gateau, toi gâteux, gateuse, vieille , vieux, fini… T’as raté l’express, pas même eu l’omnibus, le tram de la connerie, place debout, turbin, tu dors, tu rêves, c’est bon moment, puis réveil, sonnent les cloches, retour à l’enfer, pas à la vie, douche, mélancolie, les conneries… Après ce sera pire, les moufflets, d’autres emmerdes, paye, paye, paye… T’as voulu jouir, t’as le moufflet en prime…, alors travaille double, encore, encore, pense à tes vacances à rotir comme un steack grillé au soleil, un peu pile, un peu face, partouze fait pareil, des millions tous serrés à faire pareil, grillés, et c’est pas gratis, c’est cher pour chair faisandée… Ruiné, toutes les maigres économies pour un hale de cancer de peau, puis partouze embouteillage, retour à la normale, turbin, tapin… tapine… Une vie de con, inutile, c’est pour cela que les grands te prennent pour un fion, quantité négligeable, juste bon à copuler et payer, payer, payer… Si t’es en panne, Hop ! La casse, on jette… Y en a des millions qui n’attendent que prendre la place pour faire pareil… Peut-être ne suis-je pas l’ogre que l’on voudrait… mon ressentiment vital vient de l’acharnement des hommes à réduire les autres à des peaux de chagrin. Mes cris scribouillés gènent… Ils voudraient bien me rayer de leur liste pour pas devoir se regarder… À tout jamais, n’avoir jamais existé. Éliminé ! Brûler Quelqu’un, ses texticules, ses couillonnades aussi, ses couilles pareillement, hop ! Alors, toutes griffes dehors… J’écume ! Je rage ! Je défends mon intégrité d’homme et l’intégrité des autres aussi, même s’ils s’en f…., les autres !. Soyez assuré, vous qui lisez, que je sais apprécier les quelques approbations venant de mes lecteurs… Il est vrai que je me méfie des acclamations… un peu !… À tellement d’occases on m’a trahi ! Lâchement poignardé dans le dos que je garde une incrédulité permanente envers des exclamations mal dosées… Question de survie. Voyez-vous…, non ? C’est trop de boulot… peaufiner… rayer… reprendre. Vendre ma camelote dans les étals des shows comme boucherie de conneries… La préoccupation des réflexions désabusées de tant de gâchis, les gnous s’en branlent de satisfaction … C’est une histoire qui ressemble à un million de milliards d’autres, toujours torchées dans le même sens… Je n’incite à rien du tout. Je montre l’absurdité de toute cette merde, les guerres, les massacres… boucherie ! Tueries ! Hécatombes à perpette. Voilà tout…. Jamais personne ne m’a démontré que j’avais tort.
En ce moment je recouvre mes textes de noir, donc mieux vaut ouvrir les fenêtres.
Mes conseils pour les sous-êtres, qui parfois viennent ici, ils feraient mieux de continuer la retape, tout ce qui est magnifique ne suffit pas… On roulait…, Anamary conduisait sa BMW cabriolet… et je ne savais pas très bien pourquoi…, il y avait une tension entre nous…, amoureuse voire même sexuelle je vais dire. Non pas que ça me gênait pas du tout, j’avais besoin de serrer une femme contre moi ce soir-là et elle était là. Je parle de son corps. Je parle de sa chaleur. Vous savez, les odeurs dans le cou, qu’on respire, la peau des lèvres ne touche pas la peau du cou de la femme qu’on approche avec méfiance. On attend la sortie. Il faisait nuit, on sortait d’une soirée et sans rien dire, il y avait donc cette tension. Elle devait se dire : dis-lui que tu as envie de lui, dis-lui… Sur la route en pleine nuit avec une musique planante, j’adore, des morceaux aériens… et elle m’a pris la main, sans rien dire, elle m’a souri avec angoisse…, que je la repousse…, et je lui ai souri pour la rassurer, j’ai serré sa main et elle était émue. Enfin une femme qui ne recherchait pas que du sexe. J’étais bien et j’avais envie de l’aimer, moi aussi dans tous les sens du terme. On a parlé de banalités ce soir-là, elle voulait aller en ville danser, la nuit. Les couleurs allumées, un pays étranger, pas très loin de la France, le sang chaud des habitants…, j’étais bien à cette époque-là. Aujourd’hui je me dis : quelle illusion, quelle pauvreté. Mais à l’époque, dans l’instant j’étais bien. – Qu’est-ce qui te pousse à écrire ? Pourquoi ne pas apprendre les bases de la poésie, de l’écriture, faire un plan ? Pourquoi être si crû dans tes textes ? Pourquoi ne pas utiliser des quatrains et faire moins “moderne” dans ton style ? Quelle violence en si peu de mots, pourquoi ? Est-ce que tu parles de toi ? On ne parle jamais vraiment de mes textes, on me parle de moi. Alors que les autres, on parle de leurs textes. Du coup certains et certaines se permettent des gestes à mon égard, des paroles vulgaires. Qui me visent. J’ai dit à Anamary que j’étais désolé… Ce samedi-là on a fait l’amour la nuit, quelle jolie phrase. Et c’était vrai, elle se sentait vraie, elle se sentait vivante ! Et c’était bon, elle écoutait mon cœur et puis il a ralentit. Bon bien sûr, je ronfle après, comme tous les hommes, mais que voulez-vous, on est tous tellement adorables et puis les femmes nous prennent tellement en pitié, qu’elles nous laissent… (passage drôle pour ceux qui en douteraient). Elles nous regardent dormir aussi, elles sont heureuses, enfin non, elles se sentent juste bien, elles nous regardent comme ça avec une jambe mise comme ça, on est beau, beaufs oui…, non ce n’est pas vrai mais en tout cas c’est à moi qu’Anamary était attachée, pas un autre. Les autres, des hommes invisibles pour elle, même des plus beaux. Et comme mon cœur battait fort, comme elle aurait aimé être à l’intérieur pour voir mes ventricules, couper au scalpel en deux l’aorte, pour y mettre son doigt, goûter le sang, manger un bout de gras jaune du cœur, du cœur de son amant, de moi. Elle aurait aimé faire ça, elle m’aimait tellement qu’elle aurait pu me manger. Certaines qui me lisent (certains aussi, mais je ne suis pas homosexuel) se permettent parfois de venir parader devant moi, ils cherchent à me parler. Apparemment ce sont des femmes. Je précise sans dire quoique ce soit d’autre… Je ne veux pas passer pour un macho. Elles viennent en me disant : tu es comme tous les autres, mais on t’a quand même lu jusqu’au bout, tes textes trop longs, si complexes parfois qu’il faut un dictionnaire pour se rendre compte après vingt minutes que tu inventes des mots, que tu retournes les sens, les nôtres aussi, salaud ! Elles ne se demandent pas si ELLES sont comme les autres, car elles le savent : toutes reconnaissent leur condition, quelqu’en soit le niveau, voire la hauteur… Elles se vantent d’avoir “ une mauvaise image d’elles ” ce qui justifierait leur mépris envers les mâles, aussi, souvent envers leurs… elles-mêmes… Une attitude lâche confite-confiture dans le non-mouvement de la vie et de la pensée, ce qui est assez scandaleux je dois dire. C’est un jeu pour elles, jouer, elles n’y mouillent pourtant ni leur string ni leur chemise, elles ne risquent rien, le web est anodin de néant quand on y nait pseudonyme et qu’on est anonyme. En amour réel, je pense qu’on se risque soi-même, bien sûr. On ne joue pas quelque chose d’anodin : sa vie. Bien sûr. Certaines écrivent comme elles disent : un amour de perdu, dix de retrouvés. Tu parles…, je doute qu’elles aient vraiment aimé, celles-là. Je sais bien de quoi je parle, je vous assure. Donc elles viennent m’écrire, en privé, je ne sais pas trop pourquoi, elles veulent peut-être passer le temps. Le non-mouvement de la pensée, il n’y a rien de pire dans l’écriture. On voit ça
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Deu grosses bites pour toi

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